Sports et jeux en Bretagne

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Projet de construction d'une école de filles rue G
Ecole Guébriant quartier Robien. Etat descriptif de la façade sur cour (briques), un pignon sur la route, une coupe, (charpentes, mesures). Surface au sol des bâtiments (classes disposées).Trois dessins détaillés des sanitaires. Surface au sol de l'ensemble de la construction (jouxtant une propriété privée), en rapport à la cour de jeux et l'école des garçons.

Par : Archives municipales de Sa

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Collège de jeunes filles. Externat. Façades et cou
Construction des façades midi et nord (sur cours des jeux, et sur rue) du collège. Plans de pignon, détail de structure (horloge sur cour), coupe transversale de cet élément principal.

Par : Archives municipales de Sa

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Portrait de peintre
Sujet représenté : scène (Christ en croix ; tenture ; porte ; toile ; tableau ; peintre ; cravate ; homme ; pinceau ; palette ; atelier d'artiste) - N° d'inventaire : DOC 992.13.624 ; R992.13.624

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Manoir, actuellement ferme, la Boulais (Betton)
Parties agricoles et clôture de jardin en terre.Le manoir de la fin du 15e siècle (il porte la date 1471, mur nord de la salle haute à l'ouest, sur le montant d'une fenêtre), qui pourrait avoir été remanié(?) superficiellement en 1571 (date inscrite au 1er niveau de l'escalier), fût rabaissé à la fin du 19e siècle à la suite d'effondrements. La chapelle et le colombier sont détruits.
Auteur(s) du descriptif : Rioult Jean-Jacques ; Quillivic Claude

Par : L'inventaire du patrimoine

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Gymnase Jeanne d'Arc, 16 rue Guillaume Lejean (Ren
La notice descriptive des travaux prévoyait une salle de 38 x 24 m avec un pan coupé de 10 m à l'alignement du boulevard. A l'exécution, deux pans coupés furent réalisés. Le bâtiment présente une ossature métallique avec remplissage de parpaings de 0,15 m montés au mortier de ciment et recouverts d'un enduit tyrolien au mortier mixte (chaux et ciment) et couverture en fibrociment.Créée en 1945, l'association sportive Jeanne d'Arc reçoit l'agrément de l'administration de la Jeunesse et des Sports le 15 mars 1950. Le permis de construire pour une salle de sports à l'angle de la rue Guillaume Lejean et du boulevard Raymond Poincaré (aujourd'hui Alexis Carrel) est délivré le 23 novembre 1957. La direction technique des travaux, dont le montant est estimé à 7 millions de francs, est assurée par un certain Adam, ingénieur diplômé de l'Institut catholique d'Arts et Métiers. Le bâtiment est inauguré en 1961. Des travaux d'aménagement, concernant le rehaussement du sol et la construction de gradins, bénéficient d'un arrêté d'approbation technique le 27 juillet 1970.
Auteur(s) du descriptif : Bonnet Philippe

Par : L'inventaire du patrimoine

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Lycée Dupuy-de-Lôme, 4 rue Jean Le Coutaller (Lori
Lycée de type "campus" construit entre 1954 et 1967, puis restructuré entre 2005 et 2009.Le lycée Dupuy-de-Lôme est constitué d'une vingtaine de bâtiments qui abritent les différentes fonctions : externats ; internats ; bâtiment scientifique ; logements de fonction ; conciergerie, administration ; réfectoire, cuisine ; infirmerie ; foyer ; chaufferie ; gymnases ; chapelle ; salle polyvalente (amphithéâtre) ; CDI.Les bâtiments sont implantés dans un vaste parc ouvert, de 9ha, à l'origine, avec des arbres remarquables. Les allées de circulation entre les bâtiments sont bitumées.Les premières tranches de construction de ce vaste ensemble s'étalent de 1953 à 1967. Une restructuration profonde, débutée en 2005, se traduit par la démolition de plusieurs externats et du bâtiment administratif d'origine, ainsi que par la construction de nouveaux bâtiments.Les bâtiments des premières tranches de travaux (1953-1959) : modernisme constructif et classicisme formelLes 7 premiers externats et 3 premiers internats sont l’œuvre de Georges Tourry (avec trois architectes d'exécution : MM. Conan, Grihangne et Baudeau). L'architecture de Georges Tourry, élève de Gustave Umbdenstock, dont l'opposition à Le Corbusier était de notoriété publique, est un mélange de modernité constructive et de classicisme formel. L'ensemble reflète assez bien sa capacité d'adaptation que décrivent les auteurs qui ont étudié les vicissitudes des plans de la reconstruction de Lorient, dont il est l'urbaniste en chef. Pour comprendre le lycée, l'étude du plan masse est aussi importante que celle du bâti.Le plan masse d'origine prévoyait un bâtiment pour abriter l'administration et les fonctions communes. Le dessin de ce dernier lui ont valu d'être nommé "la langouste". Il devait séparer d'un côté les internats et externats des filles, de l'autre ceux des garçon, en formant, nouvelle preuve de classicisme, axe de symétrie de l'ensemble. Ce plan masse a été abandonné en 1957 au profit du plan qui est demeuré celui du lycée jusqu'à la restructuration en cours (voir PDF en annexe, le plan masse de 2001 est proche de celui de 1967).Les bâtiments sont parmi les premiers construits en France selon le procédé constructif prescrit par le ministère : la trame composée de poteaux, distants de 1,75m, et de poutres en béton armé, supporte des murs et planchers en parpaings de ciment. Des panneaux préfabriqués en béton et gravier sont utilisés comme parement pour les façades et pignons.Les internats sont composés de 3 étages de dortoirs, wc, douches et lavabos sur rez-de-chaussé abritant des salles d'études et de jeux. Les externats comportent deux étages de salles de classe "de 40 élèves" sur rez-de-chaussée abritant des salles de classe ou des salles de jeux. Aux étages, les salles et dortoirs sont desservis par des couloirs latéraux.Les toitures sont couvertes de zinc et sont à un pan pour les premiers, à pavillon pour les seconds. Les salles de jeux sont dotées de grandes verrières qui rappellent les rez-de-chaussées très ouverts des écoles de plein air. A deux des externats sont accolées des extensions recevant des logements de fonction. Les archives municipales de Lorient conservent des plans et élévations d'origine de ces deux types de bâtiments.Trois externats (du côté des filles à l'origine) ont été démolis. Un internat de garçon a été restructuré en profondeur et agrandi. Un autre est aujourd'hui désaffecté. Le troisième héberge les cours de langues et attend d'être réhabilité. La conciergerie est murée. Les travaux Les bâtiments construits pour terminer le lycée (1963-1966) : modernité et diversitéLe bâtiment scientifique (BS) (2e tranche), le service de restauration, le premier bâtiment de l'administration, l'internat des filles et la chapelle (ainsi que les gymnases étudiés dans l'opération "patrimoine des sports") portent l'empreinte de Maurice Ouvré, adjoint à Georges Tourry. Il a remplacé, à compter du 15 octobre 1959, M. Conan (AD 35,1343 W 60 : "7 février 1961 : arrêté ministériel).Il a construit des toits-terrasses et implante des logements de fonctions, en attique du BS et de l'internat des filles, introduisant ainsi de nettes ruptures avec le parti-pris antérieur, bien moins conforme aux principes de l'architecture moderne.Les bâtiments dessinés par Maurice Ouvré ont des volumes singuliers dans le paysage du lycée, là où Georges Tourry et ses collaborateurs reproduisaient les volumes. A l'inverse, le bâtiment scientifique est tout en longueur, le bâtiment qui accueille la totalité des services de restauration (réfectoire et cuisines) ne possède qu'un étage sur rez-de-chaussée...L’architecture de ce dernier adopte en effet, avec celle la chapelle, un parti plus original. Comme souvent dans les lycées de cette génération, le bâtiment de la restauration permet aux architectes de se libérer un peu des contraintes ministérielles. Le réfectoire des élèves est aujourd'hui encore une vaste pièce rectangulaire occupant l'espace d'une façade à l'autre. Il bénéficie de la lumière des grandes baies de chacune d'elles.Maurice Ouvré, qui ne cachait pas son admiration pour Le Corbusier, voulait lui rendre hommage à travers le plan et les élévations de la chapelle. Mais la réalisation finale ne correspond pas à la miniature de Notre-Dame-du-Haut à Ronchamp qu'avait imaginé l'architecte. Il était en effet impératif de pas dépenser un centimes de plus que l'estimation des dommages de guerre. Cette chapelle témoigne cependant de la rupture introduite par les architectes du mouvement moderne avec les plans types, multiséculaires, des édifices religieux.Cette diversité du bâti, évidente à l'étude, ne semble pas, de prime abord, la caractéristique première du lycée. L'ensemble paraît bien uniforme compte-tenu de l'homogénéité des matériaux des façades (panneaux préfabriqués de béton et gravier lavé), de la géométrie orthogonale des édifices, du respect des normes de construction des bâtiments scolaires... Cette impression est demeurée prégnante jusqu'aux restructurations récentes.La restructuration commencée en 2005 modifie la perception d'ensemble et rompt avec l'esprit premier du plan d'ensemble.Deux grandes idées directrices ont orienté les travaux menés à partir de 2005 par les architectes Pascal Debard et Serge Bertic, à la demande du maître d'ouvrage (Conseil régional de Bretagne) : créer une entrée fonctionnelle mieux reliée aux transports collectifs et créer des espaces où l'ensemble de la communauté scolaire puisse se rencontrer.L'entrée ainsi créée est encadrée de nouveaux bâtiments : l'administration, la salle polyvalente. Elle débouche sur un espace semis clos bordé du CDI, de la galerie de circulation couverte, du nouvel externat construit en lieu et place de l'ancien bâtiment administratif, ainsi que du bâtiment scientifique. Ce dernier a été sensiblement réhabilité. Son préau, l'ancienne entrée du lycée, a été fermé pour abriter un "espace professeurs". Les architectes ont ainsi proposé la création d'un espace de rencontre, sorte de "cloitre" préservant les espaces verts et la sculpture de M. Joncourt (1% culturel). Ce jardin, relativement clos (la galerie ménage de large des perspectives visuelles sur le reste du campus), est en partie inachevé. Le projet de réalisation d'un haut-vent, parallèle à la galerie, le long du bâtiment scientifique n'a pas été retenu.Cet espace est cependant en rupture très nette avec la notion de "campus-parc", sur lequel l'implantation des bâtiments ne formait aucun cloisonnement.Les nouveaux bâtiments issus de cette restructuration sont en rupture avec l'architecture des lycées des trente glorieuses. A Dupuy-de-Lôme, le béton banché brut et le verre (CDI) dominent. Les bâtiments réhabilités et mis aux normes thermiques sont également recouverts de matériaux de ton gris. Ces nuances de gris côtoient désormais le beige des panneaux de préfabriqués en béton et gravier lavé des bâtiments d'origine.Les interventions de l'architecte Thierry Loison, chargé de réhabiliter et mettre aux normes thermiques deux internats, respectent les nouvelles orientations colorimétriques. L'internat des filles a été rénové selon les mêmes principes que le bâtiment scientifique (préservation de la trame verticale, utilisation de panneaux composites en aluminium pour recouvrir la façade en préservant la trame verticale). L'internat de garçons a quant à lui fait l'objet d'une extension et d'une restructuration qui modifient les élévations d'origine.Le Lycée de LorientAlors que trois lycées sont créés en Bretagne par la loi du 11 floréal an 10 (1er mai 1802), à Rennes, Nantes et Pontivy, Lorient doit attendre 1863 pour être dotée d'un lycée. Mais il ne naît pas de rien. Différentes institutions scolaires lorientaises fusionnent, en 1823, pour devenir collège communal. D'emblée, sa spécificité est de préparer des élèves au concours de l'école navale. Il devient collège royal, en 1842, lycée impérial en 1863 et prend le nom de l'ingénieur naval Dupuy-de-Lôme, en 1923.Il occupe alors des bâtiments (Aristide Lussault, architecte, 1824), formant un îlot urbain, attenant au mur d'enceinte de l'arsenal maritime. Son architecture est assez représentative de l'architecture scolaire du 19e siècle, celle des « lycées casernes » : les bâtiments sont construits à l'alignement des rues, le plan "en grille" délimite deux cours. Le lycée est doté de salles spécialisées pour les sciences naturelles et les sciences physiques (AM Lorient).Au cours de la Seconde Guerre mondiale, les Alliés bombardent Lorient et sa base de sous-marins construite pour les U-boot allemands. En janvier et février 1943, 9 raids détruisent la ville. L'essentiel de la population se réfugie dans l'arrière pays. Le lycée est alors hébergé à l'hôtel de la Pomme d'Or, en Guémené-sur-Scorff.La guerre a fait près de 40000 sinistrés à Lorient, 3500 maisons sur 5000 sont totalement détruites. La plupart des autres sont endommagées. Il en est de même des établissements publics : du lycée ne demeure que le portail !Le lycée « en baraques »Après guerre, la population revient à Lorient. Elle loge dans des baraques. Le Lycée s'installe lui aussi "en baraques", rue de la Belle Fontaine, avant de prendre place sur les terrains qu'il occupe encore actuellement. Les bâtiments « en dur », élevés à partir de 1953, sont construits progressivement, au milieu des baraques qui continuent à accueillir les salles de classes, ateliers et internats.Dès 1946, le ministère décide de créer un vaste campus susceptible d'accueillir 2000 élèves. Le programme initial prévoit la création de deux cités scolaires, une pour les filles, une pour les garçons, regroupant l'ensemble des établissements secondaire de Lorient : le lycée, le collège de jeunes filles, le collège technique et l'école ménagère. Les deux derniers donneront, in fine, naissance aux actuels lycée Colbert et lycée professionnel Marie-Le-Franc. Le lycée Dupuy-de-Lôme sera ainsi privé de formations professionnelles, jusqu'à l'arrivé des formations aux métiers du tertiaire.La construction du lycée Dupuy-de-Lôme : 1953-1966 : un élément important du nouveau plan de Lorient.La construction du nouveau lycée est, elle aussi, indissociable de l'histoire de la ville. Et ced'autant plus que Georges Tourry, son architecte et auteur du plan masse, n'est autre que l'urbaniste en chef de la Reconstruction de Lorient. Nommé en ces fonctions dès 1943, dans des circonstances assez originales (Daniel Le Couédic, « Lorient la syncrétique », op. cit. dans les sources), il est confirmé à la Libération. Ses premiers projets sont vivement contestés. Mais il sait composer. Il doit certes abandonner l'idée de reconstruire Lorient à un nouvel emplacement, puis celle de modifier en profondeur le parcellaire et le tracé des rues de l'intra-muros. Mais il réussit à faire évoluer le plan de la Ville en s'appuyant, en grande partie, sur la « zone B », le vaste plateau du champ de foire, du parc des sports et du Moustoir.Cette zone B jouxte l'ancien intra-muros à l'ouest. Georges Tourry y installe le lycée. Elle lui permet de composer un « grand axe », du bassin à flot au Moustoir, et de déporter à l'ouest le centre de Lorient. Une partie du bassin à flot est alors comblée : à la place du centre commercial en baraques installé après guerre, Georges Tourry propose un jardin, bordé au sud d'immeubles d'habitation modernes (Félix Le Saint, architecte). Il installe, à l'extrémité de cet axe, une nouvelle place et la borde de l'hôtel de ville et d'un hôtel des administrations (finances, caisse d'épargne).Il implante la cité scolaire sur la majeure partie du plateau libéré par l'ancien champ de foire et le parc des sports. Il lui réserve pas moins de 9ha de terrain moyennant, en outre, quelques expropriations.Face au lycée, il positionne le nouveau parc des sports, avec sa piscine et son stade vélodrome.Le lycée est conçu comme un campus-parc. Certains des arbres des propriétés expropriées de M. Guilloux et des consorts Debord sont conservés. Les bâtiments sont implantés sur l'ensemble, sans cloisonnement, bien que figure sur le premier plan-masse un important bâtiment qui eut séparé le lycée du collège de jeunes filles. Les constructions sont orientées pour favoriser l'ensoleillement. Plusieurs architectes de la reconstruction de Lorient sont à l’œuvre aux côtés de l'architecte en chef : MM. Conan, Brihangne, Baudeau, puis, pour la dernière tranche, Maurice Ouvré.Le lycée a bénéficié, pour sa construction, sous maîtrise d'ouvrage municipale, des dommages de guerre affectés à la reconstruction de l'ancien lycée et de l'ancien collège. En compensation de celle, détruite par les bombes, de l'ancien lycée, le nouveau, un des trente glorieuses, bien postérieur à la loi de séparation des Églises et de l’État, a ainsi été doté, en 1966, d'une chapelle. Cet édifice fournit l'occasion, à l'architecte Maurice Ouvré, d'un hommage à Le Corbusier.C'est le dernier des bâtiments construits après presque 15 ans de travaux, pendant lesquels les cours se poursuivent, à proximité immédiate du chantier. Lorient est ainsi doté d'un lycée neuf, dans le respect des normes de l'époque. Un des premiers à reproduire à l’infini la "fameuse" trame de 1,75m.Lors de l'inauguration du premier internat (avec d'autres équipements publics de la ville) ; le 16 septembre 1954, M. Brunold, directeur de l'enseignement du second degré, confesse inaugurer "le premier lycée ainsi construit en France".Il précise :"Nous avons inauguré ce matin la première tranche des travaux du Collège Technique. Nous savons que la seconde tranche est en route ; les autres suivront. Nous nous efforçons d'aller aussi vite que possible, pour faire disparaître, à côté des beaux bâtiments que nous avons inaugurés aujourd'hui, les baraques qui sont encore le souvenir des temps difficiles(...) je suis un peu le responsable de cette architecture sobre, de cette normalisation qu'on a imposées aux constructions du second degré, car nos charges sont si lourdes en ce moment, et nos crédits, si vastes qu'ils soient, sont toujours insuffisants pour tout ce que nous voulons faire. Nous sommes obligés, évidemment, de simplifier, et d'imposer aux architectes des règles qu'ils acceptent, je le sais, avec beaucoup de bonne humeur. (…)J'avais vu les premiers lycées construits selon les nouvelles normes édictées par la Direction de l'Enseignement du Second Degré, lorsque je les avais inaugurés, aux côtés de M. François PONCET, en Allemagne. Il s'agissait des Lycées français de Baden-Baden et de Coblentz. (…)C'est le premier lycée ainsi construit en France que j'ai vu ce matin. J'ai constaté qu'on peut faire de très belles choses, même lorsqu'elles sont si strictement normalisées. Je dois remercier M.Le Député-Maire qui a présidé les travaux, et les Architectes en Entrepreneurs qui ont été les artisans de cette première tranche."Tout est dit : le contexte de l'après-guerre, les baraques, les conditions financières de la reconstruction, les nouvelles normes, le rôle de la municipalité...Et les travaux s'étaleront jusqu'en 1966.Une chapelle dans un lycée public de la reconstruction !Le dernier bâtiment édifié est une chapelle (réceptionnée en 1967) et cela demande quelques explications. Construit au 19e siècle, donc avant la loi de Séparation des Églises et de l’État, le lycée de Lorient comportait, comme les autres établissements secondaires de l'époque, une chapelle dédié à l'éducation religieuse, des internes notamment. Démolie avec le reste du lycée, cette chapelle est incluse dans les dommages de guerre. Les archives municipales de Lorient conservent, à ce sujet, une importante correspondance et les délibérations du Conseil municipal. On y apprend que Georges Tourry, l'architecte en chef du lycée, découvre, en septembre 1959, qu'il convient de construire une chapelle qui n'était prévue ni dans l'avant projet, ni dans le projet. Que l’Évêque de Vannes est intervenu pour réclamer la construction de cette chapelle. Que c'est l'architecte Maurice Ouvré qui en dresse les plans. Il ambitionne, ni plus ni moins, de construire une véritable miniature de Nôtre-Dame du Haut à Ronchamp ! Comme il s'agit cependant de dépenser la totalité des dommages de guerre estimés, réévalués, mais pas un centime de plus, la chapelle réalisée est moins ambitieuse que son projet initial.Vieillissement prématuré, décentralisation, restructurations.Dès 1969, l'occupation du lycée évolue : garçons et filles sont réunis au sein d'un même établissement. L'ancien collège de jeunes filles devient CES lui aussi mixte. Il prend le nom de collège du Moustoir puis ferme en 1991. Les externats qui lui étaient dédiés ont été détruits en 2008.A l'instar des grands ensembles de logement social, construits rapidement, avec peu de moyens, parfois mal entretenus, les bâtiments vieillissent vite.Avec la décentralisation, la Région est devenue propriétaire des bâtiments et a planifié, à partir de 2005, une profonde restructuration.Depuis les années 1980, la standardisation de l'architecture des lycées à fait place à une grande diversité d'architecture répondant à des cahiers des charges adaptés au cas par cas.Ici, les nouvelles orientations d'urbanisme qui incitent à densifier les villes, la prise en compte de la liaison des établissements publics avec les transports collectifs, le besoin d'isoler les bâtiments afin d'économiser l'énergie et de réduire les émissions de gaz à effet de serre mais aussi la nécessité d'organiser, dans ce vaste campus, un espace de rencontre de l'ensemble de la communauté éducative ont conduit à des démolitions, des restructurations et des constructions nouvelles. Ces dernières ont doté le lycée d'un CDI neuf, d'une administration fonctionnelle, d'une salle polyvalente avec un amphithéâtre et d'une nouvelle entrée, plus proche de l'axe de transports en communs en site propre, appelé Triskel.
Auteur(s) du descriptif : Goyet Thierry

Par : L'inventaire du patrimoine

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Les papegauts de Bretagne et spécialement le papeg
Julien Trévédy parle des papegauts de Bretagne, ces cibles représentant des oiseaux pour l’entraînement au tir à l'arc ou en guise de jeu, et plus spécifiquement de celui de Quimper.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Chanson composet var sujet an Dançou hac an Tenned
Feuille volante dont le titre peut être traduit comme suit : "Chanson sur les danses et les jeux de cartes".

Par : Médiathèques de Quimper Br

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'Kanom hor bro' : jeu scénique du Bleun-Brug de Pl

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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La lutte bretonne
D'activité de loisir, la lutte bretonne est en passe de devenir un sport à part entière dans la région. Notamment à Berrien, dans le Finistère, où compétition et entraînements rythment l'emploi du temps des athlètes. Et les infrastructures suivent.

Par : INA

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Dol-de-Bretagne. - Les Petits Palets : maison roma
Date : 1981. Fonds : Gwyn Meirion Jones

Par : Archives départementales d

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s.l. - Puits / Chevalet
PUITS margèle circulaire, chevalet mouluré avec tête + 5 boules

Par : Dastum

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Fougères (sans précision) - Niche
NICHE à Vierge PH cintrée culot hémisphér. À godrons + boule

Par : Dastum

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Gaye Bykers on Acid aux Rencontres Trans Musicales
Digne héritiers du MC5 et des STOOGES d’antant, ces fous furieux avec à leur tête le chanteur hurleur MARY, renvoient ZODIAC et autres SIGUE SIGUE réapprendre « Jeux Interdits » dans leur chambrette estudiantine. Plus destroy qu’eux tu meurs. Tympans fragiles s’abstenir !

Par : Association Trans Musicale

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Make-Overs aux Rencontres Trans Musicales de Renne
En Afrique du Sud, les rappeurs n'ont pas le monopole de la sauvagerie. Make-Overs pourrait même en remontrer à Dookoom. Et pour cause : formé dans la banlieue de Pretoria, ce couple hyperactif (dix albums en six ans !) s'approprie la musique au format garage (du blues à la noise) dans ce qu'elle a e plus sale, menaçant et frontal. Une baffe ? Plutôt un coup de boule.

Par : Association Trans Musicale

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Ken Ishii aux Rencontres Trans Musicales de Rennes
Le Japon est le pays de la technologie et Ken Ishii le prophète de la techno nipponne. S'il enregistre égaiement sous le pseudo de Rare, il a surtout composé la musique officielle des Jeux Olympiques de Nagano et vient de sortir Sleeping Madness, un nouvel album pour le compte du prestigieux label belge R

Par : Association Trans Musicale

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Port Louis, citadelle...
Jeux des enfants avec les voitures à pédales. Les enfants dans la cour dégustant des sucettes. Port Louis, baignade à côté de la citadelle. Un navire militaire en arrière plan. Une procession religieuse. Une plate-forme à aube de la Marine Nationale identifiée "Port-Louis". Déchargement manuelle par des marins au pompon. En famille sur la plage de Port-Louis.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Sloy aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (199
A Béziers, lorsque Armand, Cyril et Virginie décident d'abandonner leurs études et de gagner une ville au climat plus accueillant pour le rock, certains ont dû les prendre pour des fous. Il y a encore quelques mois, lorsque Sloy écumait les bars de la région rennaise pour survivre, ces mêmes personnes devaient penser que le trio était mûr pour l'asile. Aujourd'hui, elles sont sans doute devenues leurs fans les plus ardents. Fort d'un contrat avec le label indépendant Rosebud, rodé par leur récente première partie de Dinosaur Jr, Sloy a dévoilé une partie de son savoir-faire sur Fuse, leur premier CD-single : une rythmique mouvante, des guitares tranchantes et une voix sombre pour une musique incandescente, tendue, agrémentée de samples intelligents. Et comme la scène est leur terrain de jeu de prédilection, mieux vaut ne pas arriver en retard ce soir-là. Il serait tout de même dommage de rater ce qui sera — peut-être — LA révélation des Trans. Non ?

Par : Association Trans Musicale

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DOMINOES – Station House Opera (GB) – Rennes 2015
Après Londres, Helsinki, Ljubljana, Bailleul et Poperinge, Copenhague, Mulhouse, Marseille, et Mons Capitale Européenne de la Culture (Belgique),  Soit la chute en cascade d’une ligne de 7000 dominos en béton cellulaire serpentant en chaîne dans la ville, au long d’un parcours de 2,5 kilomètres, entre places, quartiers, ruelles, boulevards, cours intérieurs, appartements, jardins, quais, bâtiments publics et bassins, lieux historiques et recoins quotidiens… Porté par 300 habitants-volontaires prenant en charge l’installation et l’accompagnement du public, le pari fou du STATION HOUSE OPERA de Julian Maynard Smith a investit le quartier du mail François Mitterand pour réaliser une journée d’exception autour d’un événement unique. L’idée simple de DOMINOES réinvente en mise en scène l’architecture intime de la ville autant qu’elle transforme le rythme de la cité. Ressemblant à des parpaings blancs d’un mètre de hauteur ou des morceaux de sucre géant, ces pièces écrivent une autre échelle urbaine dans ce parcours spécifique à hauteur de pavé. Entre ordre et chaos, jeu de l’enfance et taille adulte, le matériel concret et répétitif se fait métaphorique en instituant une temporalité, une géographie et une sociabilité qui lui sont propre. Avec ses centaines de bénévoles et ses milliers de spectateurs massés au fil du parcours, DOMINOES reste avant tout un fascinant projet participatif. Qu’importe alors si l’acmé de la cascade en chaîne ne durera qu’une trentaine de minutes : au fil des heures de rassemblement s’invente un temps de redécouverte et de retrouvaille commune, une effervescence et une véritable mémoire collective autour de cette « chaîne de cause à effet à la fois physique et symbolique » dans l’espace public. DOMINOES était l’événement majeur de l’édition 2015 des Tombées de la Nuit, par son ampleur et son ébullition participative.

Par : L'aire d'u

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