Sports et jeux en Bretagne

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Parc des sports de Saint-Brieuc, propriété de la S
Vélodrome Beaufeuillage. Propriété de la S.P.O.R.T.S. Acquisition d'un terrain de sports par la ville de Saint-Brieuc, parc de sports qui deviendra le vélodrome de Beaufeuillage. Terrain de sports avec terrain de football, piste pour courses pédestres et entrainement physique et piste en béton armé, avec tribunes et gradins. Relevés métriques.

Par : Archives municipales de Sa

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Projet de construction d'une école de filles rue G
Ecole Guébriant quartier Robien. Etat descriptif de la façade sur cour (briques), un pignon sur la route, une coupe, (charpentes, mesures). Surface au sol des bâtiments (classes disposées).Trois dessins détaillés des sanitaires. Surface au sol de l'ensemble de la construction (jouxtant une propriété privée), en rapport à la cour de jeux et l'école des garçons.

Par : Archives municipales de Sa

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Ecole Nationale Supérieure d'Agronomie, ancienne é
L´édifice est formé de plusieurs bâtiments d´enseignement, d´une ferme-école au nord (fig. 14) et de cités universitaires au sud (fig. 18 et 20). Le bâtiment principal, construit en calcaire appareillé en pierre de taille sur soubassement de granit et couvert d´ardoises, est implanté en retrait d´une cour d´honneur. Une clôture ajourée en fonte ferme la parcelle. Implanté sur un terrain en dénivelé, il compte 1 étage carré sur rez-de-chaussée surélevé et étage de soubassement. Au nord, la ferme-école est construite en moellons de schiste et couverte d´ardoises. Au sud, les cités universitaires sont réalisées en béton (ossature de béton armé et remplissage de parpaings) et couvertes d´ardoises, comme les salles de cours contemporaines (fig. 21 et 22).Le bâtiment principal de plan allongé est rythmé par deux ailes médianes en retour d´équerre à l´est et un amphithéâtre (fig. 10) également en retour d´équerre au centre de la façade postérieure, à l´ouest. La cour d´honneur dessinée par les deux ailes (fig. 3) est soulignée par une galerie de circulation vitrée et par un pavillon central, dans l´axe de la grille d´honneur, dont le toit à quatre pans est coiffé d´un lanternon et dont la travée unique est couronnée d´un fronton triangulaire.Selon M. Blanchon, l´école d´agriculture est construite en 1893, sur les plans de l'architecte départemental Jean-Marie Laloy. L'inauguration a lieu le 12 août 1896. Pendant la Première Guerre mondiale l'école est transformée en hôpital militaire. Réouverture de l'école en novembre 1919. Dès lors l'ingénieur du génie rural Maitrot et l'architecte Pierre Laloy (fils de Jean-Marie Laloy) reprennent les projets de travaux de construction de la ferme expérimentale. A partir de 1920 ajout de nombreux bâtiments: hangars, étable avec écurie, grenier à grains, local de préparation, salle de zootechnie, infirmerie, logements pour le chef de culture et l'intendant de l'école, entrepôts et galerie des machines. L'école atteint une superficie totale de 31 hectares avec des champs d'expériences, une chaire d'agriculture, un jardin potager et un arboretum. Un système d'internat coopératif à la charge des élèves est également mis en place dans un local désaffecté de l'école d'enseignement féminin de la route de Lorient qui donne naissance à la "ruche agricole". Pierre-Jack Laloy (petit-fils de Jean-Marie Laloy) dessine les plans de la ferme-modèle de l'école d'agriculture. Les permis de construire signalent la construction de logements (1949), au sud, boulevard Marbeuf, sur les plans de l'architecte Pierre-Edme Derrouch, et d'une salle de sport (1965) dessinée par l'agence Derrouch et Rual.Une cité annexe est ajoutée sous le mandat du directeur Mantagrin ; ouverture en 1968. Entre 1970 et 1985 construction de nombreux laboratoires derrière le bâtiment principal dit "La Masure". Depuis les années 1980 les bâtiments de la ferme agricole ne sont plus utilisés comme tel: ancienne porcherie alors utilisée comme lieu de stockage et de rangement ; étable transformée en locaux de divertissement pour les élèves et en bureaux pour l'INRA (1991). Dès 1993 des travaux de restauration de l'ensemble du site sont programmés par le ministère de l'Agriculture.
Auteur(s) du descriptif : Barbedor Isabelle

Par : L'inventaire du patrimoine

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Société vélocipédique de Quimper dite du "vélo-spo
Statuts de la Société vélocipédique de Quimper dite du "vélo-sport"

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Les papegauts de Bretagne et spécialement le papeg
Julien Trévédy parle des papegauts de Bretagne, ces cibles représentant des oiseaux pour l’entraînement au tir à l'arc ou en guise de jeu, et plus spécifiquement de celui de Quimper.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Chanson composet var sujet an Dançou hac an Tenned
Feuille volante dont le titre peut être traduit comme suit : "Chanson sur les danses et les jeux de cartes".

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Jeux traditionnels Celtes
A Carhaix s'est tenu un rassemblement international de jeux traditionnels celtes. A cette occasion, un stage de lutte bretonne et un colloque sur l'avenir et la reconnaissance des jeux et sports traditionnels ont débuté.

Par : INA

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Boulou Pok à Guerlesquin
La boule "Pok" n'a de boule que le nom puisqu'en fait il s'agit d'un demi cylindre de buis dans lequel on a coulé du plomb fondu, la boule étant au préalable placée dans un lit de terre glaise. Ce jeu se pratique depuis plus de cinq siècles à Guerlesquin; et nulle part ailleurs dans le monde. Il se joue en suivant des règles particulières. C'est ainsi que ce sport occupe, tous les ans, la journée entière du Mardi-Gras. La compétition aurait été créée par un prêtre désirant meubler les loisirs de ses ouailles, mais cela reste à prouver... En tous les cas, un registre des cotisations datant de 1856 prouve le sérieux et la prospérité de cette véritable institution. Replongez vous dans l'ambiance avec ce reportage effectué sur le sujet en 1995 par Trégor-Vidéo ...

Par : TV Trégor

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Dol-de-Bretagne. - Les Petits Palets : maison roma
Date : 1981. Fonds : Gwyn Meirion Jones

Par : Archives départementales d

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plaque de verre
Sujet représenté : portrait collectif (homme ; uniforme ; clergé ; officier ; costume ; sport ; escrime ; cravate ; chapeau melon ; hiérarchie militaire) - N° d'inventaire : 2015.0.150

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Foot, colonies
Football, hersage du terrain de jeu, semence pelouse. Repas

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Préventorium Rey-Leroux."Le carrefour".
Maison d'enfants à caractère sanitaire de type permanent. La Bouëxière. Salle de jeu. Date : 20e siècle, fin. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Plestin-les-Grèves (C.-du-N.) La Route de St-Effla
Joueurs de boules
Habitations et dépendances

Par : Dastum

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Une querelle de jeu au XVIIIe siècle
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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Le Mag d’U de Novembre 2001
Le deuxième épisode de la deuxième saison du Mag d’U, le magazine d’Université qui a pour vocation de parler des étudiants, qui représentent un tiers de la population rennaise, dispersés dans les différents campus et établissements d’études supérieurs de la ville de Rennes. Au sommaire : Ce mois-ci, le Mag d’U est place Hoche à al faculté de Droit. L’Uvénement du mois : Reportage sur les étudiants qui n’ont pas encore trouvé de logement sur Rennes. Découverte : La fiction Jean-Claude perd la boule. Discussion avec le doyen de la faculté de droit Place Hoche : Pascal Gaudron. Le Doc’U : les associations professionnalisantes sur les campus. Rencontre avec des étudiants de Sciences et économies. L’Histoire d’U : Tous Ugaux : Billy le roi du Caddie. Découverte du Club Web Campus, une association de Rennes 1. Le petit plUs : Mathieu part à la découverte des bars de Rennes. L’Ugenda, l’actualité de la vie universitaire rennaise.

Par : L'aire d'u

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Gymnase-piscine du lycée Félix Le Dantec, rue des
Le plan masse du lycée comprend 8 bâtiments répartis autour d'une cour de terrain de jeux ouverte au sud-est. Le gymnase de 40 x 20 m doit se trouver à droite de l'entrée, donc facilement accessible aux sportifs extérieurs à l'établissement. Le procédé de construction comporte une ossature générale en béton armé et une couverture aciéroïde sur charpente métallique.Le 10 juillet 1961, un arrêté du ministre de l'Education nationale désigne l'architecte J. de Jaegher pour la construction du CET de Lannion. Le plan de masse est approuvé par le Conseil général des Bâtiments de France (section spéciale des bâtiments d'enseignement) le 24 juillet 1962. Les travaux débutent le 12 août 1964. La réception provisoire du gymnase-piscine a lieu le 18 juillet 1968.
Auteur(s) du descriptif : Vely Simon ; Bonnet Philippe

Par : L'inventaire du patrimoine

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Argoat Armor PlenumOrganum
L'association Argoat Armor PlenumOrganum basée à Bégard (22140) a pour vocation de valoriser l'orgue à tuyaux sur son territoire. Elle fédère l'ensemble des organistes concernés qui, avec d'autres musiciens ou passionnés, se réunissent au travers de commissions thématiques. Car l'orgue n'est pas seulement un instrument : c'est aussi une histoire. Certains ont traversé les siècles, connu le talent de différents facteurs ou organiers, gardé les souvenirs de secrets de fabrication et de virtuosité de mélomanes. C'est aussi un patrimoine : instrument souvent monumental, il est lui-même enchâssé par un monument telles nos chapelles et églises d'Argoat et d'Armor. C'est aussi une technique, tant celle du virtuose que celle qui permet le jeu entre clavier, tuyaux, soufflets, pédales et tirettes. La magie d'un son comme nul autre pareil… Et qui donne à chaque orgue sa personnalité. Il existe encore nombre de raisons pour se passionner pour l'orgue ; et c'est bien là l'objet de notre association. Promouvoir, valoriser, expliquer, mais surtout vous faire partager notre enthousiame pour cet instrument. Réalisation : Daniel DONVAL - Ouest Armor Image -

Par : TV Trégor

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Lotissements Bardet : Lotissements des Sports, Est
1- Organisation des lotissements : l’homme au centre des préoccupationsGaston Bardet met en place un schéma de développement déterminé par plusieurs principes : un développement radio-concentrique, la mise en place d’échelons, une hiérarchisation des voies de circulation, la présence d’espaces publics, d’équipements sportifs et de verdure. Il organise son schéma de développement en cinq projets d’urbanisation mais il ne construit que trois lotissements sur les cinq prévus : le lotissement de l’Ouest en 1959, le lotissement des Oiseaux en 1964 et le lotissement des Sports en 1966. L’ensemble forme un total de 298 bâtiments.Ainsi, les lotissements sont implantés selon un schéma radio-concentrique autour d’un noyau central, le bourg. Ces ensembles se développent sur trois échelons et présentent un tracé de voirie hiérarchisé. Gaston Bardet développe la théorie des “échelons communautaires” qu’il avait élaboré en 1943. Trois échelons composent une communauté organique : patriarcal, domestique, paroissial. L’échelon patriarcal est associé à la société familiale où les voisins se côtoient. L’échelon domestique résume la société économique, c’est le commerce quotidien. Enfin, l’échelon paroissial est la communauté politique et spirituelle. Les axes de circulation doivent permettre la fluidité et la création de liens entre les différents espaces de vie, entre les échelons.Les axes majeurs sont les voies rayonnantes qui “vivifient” les lotissements. Les voies circulaires sont les axes secondaires qui permettent de desservir l’intérieur des lotissements. Enfin, les chemins piétonniers traversent les îlots bâtis pour faciliter les déplacements quotidiens.Pour Gaston Bardet, la "villette" est une alternative à la ville. La part des espaces publics et de la végétation est très importante dans ces lotissements. L’insertion dans le paysage se traduit par un respect des arbres et des aires bocagères soigneusement préservées et intégrées aux chemins et espaces publics. Il tente, dans la mesure du possible, d’offrir à chaque logement une façade donnant sur un espace ouvert : jardin public, espace de sports et de jeux ou placette. Pour Bardet, les espaces libres sont une nécessité. Les espaces publics ont pour objectif de créer du lien social tout en apportant la sécurité et le calme résidentiel. Dans cette optique, l’urbaniste intègre plusieurs placettes au sein de ces lotissements. Celles-ci abritent un square entouré de trois alignements de maisons formant un “U”. Afin de créer du lien social et d’améliorer la qualité de vie, il intègre aussi un certain nombre d’équipements sportifs regroupés dans le lotissement des Sports (un terrain de foot, de basket, deux terrains de tennis, une piste de course et une table de ping-pong).2 - Les typologies: le reflet d’une mixité sociale Faire coexister différentes couches sociales est un objectif pour l’urbaniste. Ainsi, des logements économiques destinés à une population ouvrière côtoient des maisons plus spacieuses, implantées aux angles des îlots et destinées à des cadres, des directeurs d’industries. La majorité des maisons ouvrières sont jumelées ou triplées, implantées en alignement sur la voie ou à une distance de 3m. Les habitations cossues sont soit isolées et situées au centre de la parcelle, soit jumelées à une maison ouvrière.Les constructions présentent une certaine homogénéité. La totalité des maisons sont élevées en parpaings de ciment recouverts d’un enduit de couleur claire. Le soubassement en schiste maçonné, caractéristique du bassin rennais, est réemployé pour les maisons ouvrières. Les charpentes sont en bois. La toiture est composée d’un toit mansardé avec une ou plusieurs lucarnes et recouverte d’ardoises. Ces constructions possèdent un garage juxtaposé à l’habitation. Les maisons sont toujours délimitées par une clôture en béton de ciment peinte en blanc avec une haie et un jardin.Néanmoins, Bardet cherche à distinguer chaque maison afin d’éviter la monotonie et permettre à chaque habitant d’identifier les lieux. Pour y parvenir, il accorde un soin particulier à la composition, aux détails et aux décors allant jusqu’à élaborer lui-même les panneaux des rues à base de céramique. La pluralité des identités s’exprime par la composition et la distribution des maisons. Plusieurs plans ont été recensés : certaines habitations possèdent un sous-sol, un rez-de-chaussée et un étage de combles ; d’autres se composent d’un rez-de-chaussée surmonté d’un étage carré et d’un niveau de combles ; enfin, quelques maisons présentent un rez-de-chaussée avec un étage mansardé. Pour les habitations disposant d’un sous-sol, l’accès principal se fait par un escalier, desservant le rez-de-chaussée, situé sur la façade principale ou sur le pignon. L’accès des habitations de plain-pied s’effectue majoritairement par la façade sur rue, par le mur pignon ou dans une moindre proportion, par la façade arrière. Dans les deux cas, certaines maisons présentent des halls d’entrée sur rue. Les jardins sont situés à l’avant ou à l’arrière des propriétés. Afin de singulariser les habitations, Gaston Bardet accorde aussi un soin particulier à l’emploi des matériaux et aux détails architecturaux. Ainsi, les proportions et les formes d’ouvertures diffèrent tout autant que les lucarnes. L’ensemble s’accompagne de volets colorés dont la couleur est identique pour une maison jumelée. Par ailleurs, l’urbaniste emploie divers matériaux afin de donner une identité singulière aux façades sur rue : granite, grès, schiste, brique, mosaïque. Ces matériaux sont utilisés pour les chaînages d’angles, les encadrements de fenêtres mais également les halls d’entrée.A l’aube des années 1950, Le Rheu est un village de 900 habitants, composé d’une église avec quelques maisons agglomérées. Ce village ne comprend que des habitations anciennes et il faut attendre le début des années 1950 pour que s’amorce un développement réel. En 1953, l'élection d’un nouveau pouvoir municipal amorce un tournant pour l’histoire de la commune : le maire, le Comte Hyppolyte du Boisbaudry est « sorti » par un jeune concurrent, boulanger de son état, Jean Châtel.Cette année-là marque aussi une date décisive pour la ville de Rennes : l’arrivée à la tête de la municipalité d’Henri Fréville qui veut faire de « sa » ville une véritable capitale régionale. Ses projets dynamiques et d’envergures entraînent un développement exceptionnel de la ville rennaise et par conséquent, celle de son agglomération. A cette période, l’installation de l’usine automobile Citroën sur le site de la Janais occasionne une transformation accélérée de la ville de Rennes et du bassin rennais. La métropole est obligée d’accompagner financièrement cette modernisation, notamment par la construction de logements destinés à accueillir les ouvriers. L’effet de l'accroissement urbain va alors commencer à se manifester et le destin de Le Rheu va prendre le sillage de la grande ville voisine : Rennes.Dès son élection, le maire de Le Rheu, Jean Châtel décide d’amorcer le développement de sa commune. Il prend des initiatives permettant d’établir la création d'entreprises, d'emplois et de ressources sur le territoire communal. Parallèlement à sa croissance économique, la commune engage un processus de développement urbain. L’amorce de cette évolution engendre rapidement un phénomène d’attractivité autour de Le Rheu et un essor démographique allié à une extension urbaine.En 1955, l’urbanisation est amorcée avec un premier lotissement aménagé en bordure de l’ancienne route de Lorient aux Landes d’Apigné. La construction de ces logements collectifs répond à l'afflux de population, ils sont occupés principalement par des ouvriers de Citroën. De conception médiocre, isolé du bourg, chaque lotissement compte une centaine de maisons. Leur construction marque, historiquement, le début du phénomène péri-urbain dans l’agglomération de Rennes. Cela introduit, pour la première fois, une alternative aux processus officiels des grands ensembles de l’époque et marque le début de l’urbanisation pavillonnaire avec accession à la propriété. C’est le point de départ d’une prise de conscience sur la nécessité d’asseoir une véritable politique d’urbanisation.En 1957, face à ce constat d’échec, le maire Jean Châtel fait appel à Gaston Bardet, urbaniste de renom, pour organiser le développement de la ville autour du bourg. C’est la naissance d’une collaboration de 10 ans. Gaston Bardet propose un développement original où il met en pratique ses théories sur l’urbanisme. La recherche d’une certaine qualité, tant humaine que paysagère, architecturale et urbanistique fut une des préoccupations majeures de la municipalité. Comme dans la plupart des communes péri-urbaines, l’urbanisation s’est réalisée principalement sous forme de lotissements. Pourtant, ce s’est souvent banalisé dans certaines villes, a pris au Rheu une forme particulière, du fait de l’intervention de Gaston Bardet. Ce dernier met en place un schéma de développement directement influencé par le concept de la cité jardin.Les cités jardins sont nées à la fin du 19e siècle pour répondre aux différents problèmes sociaux des villes industrielles. C’est un certain Raymond Unwin qui réalise les premiers exemples près de Londres au début du 20e siècle. Néanmoins, c’est Ebenezer Howard qui théorise cette conception en 1898 dans son ouvrage “Tomorow: a peacful path to real reform”. Ce nouveau concept a pour objectif de créer un nouveau type de municipalité planifiée en alliant les avantages de la ville et de la campagne.Dans cette perspective, Gaston Bardet met en place un urbanisme social avec des objectifs multiples. Avant toute chose, il veut apporter des solutions aux différents problèmes d’urbanisme qu’il identifie: circulation, hygiène et confort, sociaux et économique, esthétiques, intellectuels et spirituels. Il veut également maîtriser le développement urbain en stoppant l’urbanisation croissante autour de l’axe routier principal traversant la commune et re-concentrer son extension autour de son bourg. Ses autres objectifs sont de favoriser et concilier le lien social avec l’aménagement intelligent des axes de circulation et les espaces verts. Il veut également faire cohabiter les différentes catégories sociales autour d’équipements collectifs et d’espaces publics. Gaston Bardet place les liens sociaux au centre de l’organisation des lotissements.
Auteur(s) du descriptif : Heuzé Maëlle ; Guillemot Anna

Par : L'inventaire du patrimoine

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Écart
L'écart de la Chardronnais est implanté dans la partie occidentale de la commune, il ne possède pas de réelle organisation, mais les maisons sont alignées sur d'anciens chemins ruraux perpendiculaire à la route qui passe au sud du hameau.Ces maisons sont orientées nord-sud pour cinq d'entre elles, et six sont mitoyennes.Parmi les éléments typiques, on trouve des mises en oeuvre en pierre de taille, des portes en plein cintre, des encadrements chanfreinés et des corniches à modillons.La maison type compte un étage, une porte et une fenêtre au rez-de-chaussée, parfois agrémentée d'une seconde porte annexe, ainsi qu'une gerbière à l'étage. La toiture est à deux pans et coyau, dotée d'un rampant sur le pignon pour la maison 7.La maçonnerie en moellon et pierre de taille de granite est couronnée d'une corniche à modillons pour les maisons 3 et 4 et d'une corniche à cavet pour la maison 7. Les souches de cheminées des maisons 2 et 4 portent également des modillons à leur sommet.Les maisons 2 et 8 sont dotées de portes en plein cintre, la plus remarquable étant celle de la maison 7, à double rouleau et moulure sur les encadrements. On trouve aussi des portes avec linteau en anse de panier, à la maison 4 et 7, ainsi qu'une porte à linteau chanfreiné et décor de boules sur la maison 3. Le reste des ouvertures se caractérise par des chanfreins au niveau des encadrements.Bien que de taille moyenne, avec cinq ensembles bâtis, formés par des maisons mitoyennes pour trois d'entre-eux, cet écart est remarquable par la densité de bâti ancien qu'il possède. Nous avons pu repéré sept logis du 16e siècle ou du 17e siècle et un seul du 19e siècle, bien que doté d'éléments de récupération anciens.On trouve sur ces sept maisons des éléments de décor et des mises en oeuvre typiques des 16e et 17e siècle, en particulier avec des encadrements chanfreinés, des corniches ou des souches de cheminées à modillons. Deux maisons sont datées, la maison 3 datant de 1618 et la maison 8 de 1816.Les principales modifications ont été opérées au niveau des ouvertures par des agrandissements de fenêtres, notamment aux maisons 3, 4 et 7.
Auteur(s) du descriptif : Le Bohec Régis

Par : L'inventaire du patrimoine

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Atersadenn-Kaozeadenn gant Youenn Gwernig (1)

1. Kaozeadenn gant Youenn Gwernig, barzh ha kaner, e Lokmaria-Berrien : skeudennoù, Youenn o lenn barzhonegoù nevez, istor plac’h pilet Spanish Harlem, lod eus barzhonegoù adkavet, lod nevez, barzhonegoù kozh lennet eus Un Dornad Pluñv, embann, skeudennoù, istor Grasset. 2. Brezhoneg, tad, ganet Skaer, tad labour OCB, goude sakrist, devot, pareet e Lourdes, Youenn « anar », skol maristed St Brieg, « bac », deskiñ kizellañ gant Le Coz, labour Roazhon ha Naoned, goude Amerik, skrivañ, krouiñ, gant eontr « ébéniste » e Skaer, meurbl stil Bzh, dipitet gant Bretoned, pas trawalc’h labour, c’hoar en Amerik, aet 57, anaoudegezh gant gwreg, bagad Skaer en Uhelgoad, 3 miz goude dimezet, Suzig a-du mont Amerik, mamm-gaer da heul, pellgomz, labour, saozneg, ti er Bronx, OK betek distro 69, New Jersey 4 bloaz, goude Manhattan, Bretoned, mignon polis iwerzhonat, tud eus pep lec’h un dra vat, Suzig labour bowling, metro dañjerus, addeskiñ bzg, skol dre lizher, dihan lenn galleg 2 vloaz, 61 barzhonegoù da Al Liamm, Youenn Drezen, distro, dihunet ar Vretoned, aet er jeu, musisianed, barzhonegoù nevez.

1. Conversation avec Youenn Gwernig, poète et chanteur, à Locmaria-Berrien : images, lit nouveaux poèmes, puis poèmes anciens de Un Dornad Pluñv, conversation, éditeurs. 2. Breton, père OCB puis sacristain, dévot après Lourdes, maristes St Brieuc, bac, apprentissage sculpture, travail ébéniste oncle, crise demande, dépit envers Bretons, Amérique 57, soeur déjà là, connaissance femme Suzig Huelgoat, Amérique avec belle-mère, anglais, Bronx OK au début, 4 ans New Jersey, puis Manhattan (ébéniste), Bretons NY, amis, diversité, travail nuit Suzig, danger, préapprentissage breton, cours correspondance, poèmes Al Liamm 61, Youenn Drezen, retour 69 Huelgoat, réveil breton, succès, musiciens divers, lit nouveaux poèmes.

Par : Dastum

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La station balnéaire des Sables-d'Or-les-Pins (Fré
La station de Sables-d'Or-les-Pins est établie sur un vaste cordon dunaire orienté au nord qui s'étire en un long arc de cercle de trois kilomètres entre les roches de Follet à l'ouest et la roche Fournel à l´est.En dépit de son caractère inachevé, elle constitue un rare exemple de projet d´ensemble incluant dès le départ une problématique paysagère et architecturale. L´aménagement est organisé de part et d'autre d'une large avenue - l´Allée des Acacias - conduisant à la mer et servant à la fois à la circulation et au stationnement des véhicules, ainsi qu´au passage du chemin de fer. Cette large avenue concentrait les hôtels et les magasins de commerce, et notamment l´Hôtel des grandes arcades dont la position et la masse donnent à l´ensemble une touche de monumentalité.A l´ouest et à l´est de cette artère se trouvent deux plans en étoile qui délimitaient au total 300 parcelles, celui situé à l´est étant plus rigoureux du fait d´une topographie plane, celui situé à l´ouest étant plus souple en raison de son caractère valonné.Les oeuvres repérées datent de la fin du 1er quart du 20ème siècle et du 2ème quart du 20ème siècle.Sables-d´Or-les-Pins est une station balnéaire inachevée dont l´histoire remonte au début des années Vingt. Elle est établie sur les « dunes du Minieu », antérieurement dénommées « dunes de l´Hôpital », où furent mis au jour au cours des années Soixante-dix les vestiges d´une villa de la fin du 2ème siècle ainsi qu´une sépulture collective du Bas-Empire. Le site fut découvert avant la Première Guerre mondiale par un agent immobilier de Paramé, Roland Brouard (1887-1934), qui, associé à Bernard Launay, acheta le 2 décembre 1921 à la famille de Courville quatre-vingt-dix hectares de dunes et de bois bordant la grève du Minieu. Décidé à créer « la première station du monde pour les sports nautiques » capable de rivaliser avec La Baule et Deauville, incluant d'emblée dans son projet une dimension architecturale, il s´attacha alors les services du géomètre Larieux, auteur du plan de lotissement des dunes, des frères Treyve, célèbres paysagistes vichyssois, et de deux architectes, Yves Hémar (1896-1955) et Hyppolite Abraham (1891-1966). Le 15 avril 1923, il fut en mesure d´annoncer à la presse nationale et internationale la création d'une station balnéaire de 96 hectares. Le dossier d'ensemble du projet fut déposé pour approbation en mairie le 14 décembre 1924 et accepté par le préfet le 23 mars 1925. Pour faire appel aux capitaux extérieurs, Roland Brouard créa la Société immobilière de la plage de Sables-d'Or le 2 mai 1925. Le projet déposé en mairie en 1924 fut en quasi totalité exécuté. Dotée d´équipements hôteliers, de magasins et d´équipements de loisirs (golf, casino, tennis ...). Sable-d´Or-les-Pins fut officiellement ouverte en juin 1925 par une « Fête du tourisme et de l´hôtellerie » associée au Congrès du Syndicat des hôteliers et restaurateurs. Si l´année 1928 fut marquée par l´obtention du titre de station climatique, elle le fut plus encore par la mévente des lots qui inaugura un déclin accéléré par la crise de 1929.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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