Patrimoine de Saint-Brieuc

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Guingamp. Basilique Notre-Dame-de-Bon-Secours
Vue de la Basilique Notre-Dame-de-Bon-Secours à Guingamp

Par : Archives municipales de Sa

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Cathédrale de Saint-Brieuc. Statue de Mgr David
Statue de Monseigneur David dans la cathédrale

Par : Archives municipales de Sa

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Cathédrale
Esquisse d'étançonnement d'une partie des voûtes de la cathédrale. Consolidation d'une partie de la voûte

Par : Archives municipales de Sa

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L'Eglise St-Pierre (N.-D. d'Espérance)
Vue prise de la place Saint-Pierre vers N.-D d'Espérance

Par : Archives municipales de Sa

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Phare du Légué
Vue du phare au port du Légué à Saint-Laurent. Promeneurs et trois personnes dans une barque

Par : Archives municipales de Sa

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St Brieuc : Les courses de chevaux sur la greve de

Par : Dastum

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Louis Guilloux
L'écrivain briochin Louis Guilloux évoque son travail et notamment deux de ses livres, Le Sang noir et La Maison du peuple/. Il revient également sur sa relation à la Bretagne et à sa langue, le français.

Par : INA

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Mona Ozouf : les bibliothèques de Plouha (1931-196
Jean Maurice de Montremy interroge Mona Ozouf sur son enfance à Plouha. Elle racontes on enfermement dans l'école laïque où elle vivait entre sa mère, institutrice et veuve à 29 ans, et sa grand-mère et d'où elle ne sortait presque jamais : "une enfance confinée". Elle parle du décès de son père lorsqu'elle avait 4 ans, de la personnalité inclassable de ce régionaliste militant d'extrême gauche. Elle souligne le contraste entre les deux bibliothèques auxquelles elle avait accès : celle de la maison où les traductions des grandes œuvres en breton voisinaient avec la littérature folklorique et les héros de l'indépendance irlandaise, et celle de l'école, républicaine et hexagonale. Mona Ozouf évoque aussi le catéchisme et l'église, puis son arrivée au collège de Saint Brieuc, sa rencontre avec l'écrivain Louis Guilloux qui lui a servi de "débarbouillage" intellectuel...

Par : INA

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La tour de Cesson et le fort de Saint-Brieuc / Par
Julien Trévédy recense les sources sur et décrit la Tour de Cesson, édifiée en 1395 sur un promontoire surplombant la baie de Saint-Brieuc.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Courses de Saint-Brieuc
Sujet représenté : scène (femme ; officier ; canotier ; chapeau melon ; costume ; homme ; barrière ; course ; coiffe ; drapeau ; estrade ; tente ; plage) - N° d'inventaire : DOC 992.13.60 ; R992.13.60

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Bretagne. 475, Maison ancienne Place du Martray :
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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[Saint Quay et Port de Portrieux]
Ancien possesseur : Argenson, Antoine-René de Voyer (1722-1787 ; marquis de Paulmy d'). Ancien possesseur

Par : Gallica

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Sept-Iles (Les)
Guides au Sept-Iles. Fête-Dieu dans le Finistère. Promenades (Monique, Maman, Tatie...).

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Saint-Brieuc et alentours

Par :

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SAINT-BRIEUC. - Rue Saint-Michel A. G.
Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Les cités gallo-romaines de la Bretagne / par M. A

Par : Gallica

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Aux courses de Saint-Brieuc
Sujet représenté : scène (canne ; canotier ; chapeau melon ; chapeau ; costume ; homme ; plage ; course ; jockey) - N° d'inventaire : DOC 992.13.63 ; R992.13.63

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Ce n'est pas... qui nous ferons tourner

Par : Dastum

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Un déporté évêque de Saint-Brieuc - Mathias Legroi
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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Un grand Pardon Breton - Ste-Anne-la-Palue. Chapel
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Julien Tiné aux Rencontres Trans Musicales de Renn
On l’a déjà croisé aux côtés de Yelle ou dans les coulisses du Théâtre National de Saint-Brieuc, pour lequel il imagine des dispositifs sonores propices à l’évasion onirique et au songe éveillé. Ces éléments se retrouvent dans des sets qui résonnent comme un bel échappatoire à la réalité et à chacune de ses apparitions, il prouve par l’exemple que dance music et atmosphères mélancoliques peuvent parfaitement faire bon ménage.

Par : Association Trans Musicale

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Enquête auprès d'Élie Guichard - Tremeur - 1974-10
Selon la note manuscrite qui est dans la bande (ASO-020-004), il y a deux enquêtes, l'une date d'octobre 1974 et l'autre de janvier 1975. Il semble impossible de déterminer à l'oreille où se situe la coupure. Tous les items ont donc été datés de octobre 1974 et regroupés dans une seule enquête.

Par : Dastum

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Port du Légué (Plérin-sur-Mer)
Jusqu'au milieu du 19ème siècle, l'espace navigable du port du Légué était très restreint. La marée d'Equinoxe submergeait les quais. D'autre-part, le port est exposé aux vents de Nord-Nord-Est, ce qui représente une forte contrainte pour les navires qui quittent ce port 'vent de bout'. Les premiers travaux d'aménagement du port (bassin à flot, premier bief) ont permis de rendre ses quais accessibles aux vapeurs. Cependant, la canalisation du Gouët et l'endigage de la rivière ont freiner l'effet chasse d'eau et envasé progressivement l'estuaire. Le port comprend plusieurs parties distinctes, depuis l'avant-port en aval, avec ses digues, jetées, môles et son chenal d'accès jusqu'aux deux bassins (pêche, commerce et plaisance), reliés par l'écluse, le barrage déversoir et le pont tournant. Ces ouvrages portuaires sont complétés par les nouvelles digues de la Pointe-de-Cesson en direction du môle de 'Sous-la-Tour', qui élargissent les perspectives de développement portuaire. L'endigage de la Pointe-de-Cesson doit servir à l'extension du nouveau port du Légué afin d'aménager une zone industrielle portuaire sur plus de 13 ha reliée directement au port actuel trop faiblement doté en terre-pleins. Les terre-pleins de la Ville-Gilette et du quai Surcouf, rive droite, proposent leurs infrastructures au commerce international. L'îlot de l'Ecluse et la presqu'île du bassin n°1 servent de dépôt pour le sable, le maërl et la kerphalite.L'anse d'évitage, située sur la rive droite, occupe l'ancien emplacement de la cale de carénage. Elle permet aux navires de longueur inférieure à 50 mètres 'd'éviter'. L'anse forme un rectangle long de 48 mètres et large de 30 mètres. Elle s'achève par 2 cales inclinées et son sol présente la particularité d'être pavé.L'activité de commerce se répartit aujourd'hui entre le bassin à flot Le Guales de Mézaubran (avec ses 650 mètres de quais), le terre-plein de la Ville Gillette (poste d'échouage avec un quai de 120 mètres du côté plérinais, où les navires chargent les sables et la ferraille), et le nouveau terminal des Kaguerlins. Les trois nouveaux quais rive droite, offrent des perspectives de développement pour la réception des navires marchands ; cependant, le 3ème quai n'est pas assez long pour recevoir trois navires en même temps (84 mètres de longueur). De plus, il s'affaisse et les bassins s'envasent, portant leur profondeur à 4 mètres..Il semble que le Légué ne soit pas le port primitif de Saint-Brieuc. Les premiers ports, 'Portus Aurélius' ('Port Aurel') et 'Portus Cessonius' ('Port de Cesson') auraient disparu à la suite d'un cataclysme survenu en l'an 709. Selon la tradition orale, C'est le port du Valais (appelé 'Port Glé') qui aurait été le port de Saint-Brieuc. Il menait encore les navires au début du 20ème siècle jusqu'au fond de la baie d'Yffiniac, avant que les phénomènes d'envasement ne changent la profondeur et la géomorphologie locale. L'un des derniers caboteurs, de 15 mètres de quille, s'appelait la 'Joséphine'. Il venait chercher des briques et des oignons à Langueux-Les-Grèves. A cette époque, la rivière d'Hillion, beaucoup plus large qu'aujourd'hui, passait le long de la côte.La 1ère mention du havre du Légué est datée de 1423, dans une lettre de change de Jean V, duc de Bretagne, donnée à son épouse Jeanne de France, pour le négoce et la pêche à Terre-Neuve. En 1556, on remarque l'existence de 'souilles' pour l'échouage des navires et la présence du manoir de l'armateur Favigo (t). En 1625, le manoir de Rohannec'h témoigne d'un commerce déjà actif. En 1687, L'armateur Le Roux arme pour Terre-Neuve, et en 1691, Saint-Brieuc devient le siège royal de l'Amirauté. En 1731, les premiers travaux portuaires sont réalisés : construction d'un pont en bois et du 'Chemin Neuf'.Pendant le 4e quart du 19ème siècle et le 1er quart du 20ème siècle, les travaux d'aménagement du port vont s'accélérer. Des armateurs et des commerçants, comme Alain Le Gouales de Mézaubran et la famille Sébert, vont favoriser le développement industriel et commercial du Légué : nouvelles lignes de fer et nouvelle ligne de transport maritime en direction des îles anglo-normandes (commerce de la pomme de terre).Le port du Légué devient à la fois un port de Grande pêche, de pêche côtière et un port de commerce, très actif pour son hinterland environnant (commerce des céréales, de la toile et des meules de moulin). Il est considéré comme un port-refuge, un port secondaire.Cependant, l'historique des travaux d'aménagement portuaire du Légué montre une succession de chantiers ponctuels et le manque d'aménagement global :En 1731 : premiers travaux portuaires d'après le plan dressé par l'ingénieur Thévenou : construction du Pont de bois.En 1756 : plan du Légué par l'ingénieur Chacat de Grandmaison.En 1758 : construction du quai d'Aiguillon et des premières cales, rectification du chenal.En 1733 : le quai et le pont sont détruits par le 'déluge de Châtelaudren'.En 1777 : édit royal donnant le droit d'armer pour les colonies.En 1783 : rectification du chenal sur 300 mètres et aménagement d'un nouvelle route d'accès au port.En 1784 : plan du port par l'ingénieur Perroud.En 1796 : Plan de 'Port-Brieuc' avec projet de nouvelles cales. En 1819 : création de la Chambre de Commerce et reconstruction du Pont-de-Pierre modifié.En 1837 : construction des quais de Nemours et de RohanetEn 1844 : prolongement du chemin de halage, rive gaucheEn 1847 : projet de bassin à flotEn 1859 : projet de mise en communication du bassin à flot et du port d'échouage du LéguéEntre 1868 et 1876 : Ecluse et bassin à flot en construction (achèvement de l'écluse en 1869).En 1881 : projet d'une double écluse.En 1885 : Achèvement et ouverture du bassin à flot, fonctionnement manuel de l'écluse. Construction de la voie ferrée, rive droite.En 1887 : projets d'avant-port à la Pointe-de-l'Aigle et d'allongement de l'écluse.En 1893 : ouverture du pont tournant livré à la circulation.Le port du Légué devient un port à bassins, le seul dans les Côtes-du-Nord, dont les équipements répondaient aux besoins économiques de cette fin du 19ème siècle.En 1904 : construction d'une voie ferrée, rive gauche.En 1915 : création du bassin à flot n° 2 et d'un barrage déversoir.En 1928 : électrification du système de manoeuvre de l'écluse.EN 1932 : nouveau plan d'équipement portuaire.En 1936 : allongement de l'écluse (+ 10 mètres), opération de désenvasement.En 1944 : écluse dynamitée et détruite.En 1946 : reconstruction et désenvasement, reprise du trafic, phase active, écluse portée à 85 mètres.En 1962 : avant-projet de modernisation portuaire ; nouveau feu à la cale de la Douane.En 1968 : augmentation du trafic portuaire et projet d'agrandissement du port.En 1969 : trafic portuaire à son apogée : projet de terre-plein.En 1975 : nouveau projet d'extension et construction du terre-plein de la Ville-Gilette.En 1981 : projet de port de plaisance.En 1985 : endigage à la Pointe-de-Cesson, désenvasement, chute du trafic.En 1991 : nouveau projet d'extension, projet de port de plaisance, difficultés de la pêche.En 1992 : projet de développement global du port. EN 1999 : premiers travaux d'aménagement du port de commerce.Les récentes améliorations portuaires ont augmenté la superficie des terre-pleins sur la rive gauche et facilité les mouvements des bateaux de pêche. L'endigage réalisé à la Pointe-de-Cesson en 1985 constitue un entonnoir dont les perrés ont servi au futur port. Après les graves crises économiques qui ont perturbé le trafic du port à la fin du 20ème siècle, plusieurs projets d'extension du port du Légué ont été étudiés par la Chambre de Commerce, avec le soutien du Conseil général, dont la réalisation en cours d'un grande digue à l'Est et du 3ème quai. Le port du Légué est aujourd'hui le principal port de commerce des Côtes-d'Armor et le 5ème port breton (trafic pour les bateaux de charge de 3000 à 5000 tonnes). Il est aussi devenu un port de plaisance et un site départemental de réparation navale, en particulier pour les navires de pêche de fort tonnage (350 tonnes).Les friches industrielles de la rive droite du Légué (Carré Rosengart, Chaffoteaux et Maury) sont devenues un atout pour le développement des activités portuaires du Légué autour des activités de maintenance de la plaisance et de la pêche, mais aussi pour le développement du commerce maritime, lié au contexte international favorable aux transports maritimes.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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