Patrimoine de Saint-Brieuc

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Maison
Maison de plan rectangulaire, avec accès antérieur central, construite en moellons de granite et schiste. La façade antérieure est animée par une lucarne-pignon axiale en maçonnerie.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Palais de Justice, jardin
Plan des bassins du palais de Justice : aménagement du jardin

Par : Archives municipales de Sa

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Les lignes fortifiées sur la commune de Pléneuf-Va
Les ouvrages de défense militaire utilisaient pour le béton armé les roches dures, comme le grès d'Erquy, mélangées au ciment et au fer. C'est une architecture mono-bloc, réalisée dans un béton liquide, fluide, un monolithe moderne.Ils représentent plusieurs formes architecturales : - poste de guet- coupole d'acier- embrasure- encuvement- section courbe- angles abattus- épaulements latéraux- dôme frontal.En 1943, les menaces de débarquement se précisaient sur les côtes, particulièrement en Manche ; les Allemands accrurent leurs systèmes de défense, avec l'organisation Todt (plan de tir de la plage du Val-André). Des milliers de mines furent enfoncées sur les plages du Val-André et de la côte de Penthièvre, les rues du Val-André, menant à la plage furent fermées par des "portes Maginot" (obstacles métalliques de 2 mètres de hauteur). Les points stratégiques souvent situés en hauteur furent aménagés avec des blockhaus, des casemates, des Tobrouks, des canons et des mitrailleuses dirigées vers les plages Saint-Symphorien, des Graviers et leurs voisines, selon un tir croisé (entre la pointe du Château-Tanguy et la pointe des Murs-Blancs).Le quai Célestin-Bouglé et les villas contigus furent réquisitionnées pour servir de "soldatheim" (maison du soldat) pour l'armée allemande (Villa "Le Soleil", Villa Cornu), flanqués de casemates pour tirer au canon. Le port de Piégu était inaccessible, côté mer.Le général Rommel qui inspectait les fortifications du mur de l'Atlantique séjourna à la Villa Cornu (André Cornu, secrétaire général du ministère de l'Intérieur) en 1914. Les plans de ces blockhaus et abris que l'on rencontre sur toute la côte permettent de se faire une idée des compétences techniques des ingénieurs allemands, qui se servaient abondamment de la main d´oeuvre locale et des matériaux trouvés sur place. Un groupe de 12 blockhaus couvre l'ensemble des plages de Pléneuf à Erquy. Les blockhaus, abris pour 2 groupes de combat, sont au nombre de quatre à Pléneuf : Péhouet, Rue des Bignons, Villa Grosrichard et propriété Téry. De la Ville Berneuf à la Croix des Landes, au Péhouet, les terrains offrant une vue dégagée vers la mer, sont parsemés de postes d'observation, de blockhaus armés. La grève de Piégu aux Murs-Blancs est couverte de tétraèdes en ciment et d'obstacles anti-chars. Une pièce légère en batterie devant la chapelle de la Communauté balaie la rue principale et les débouchés. Sur la photo prise le 5 août 1944, on aperçoit une pièce d'artillerie, des casiers à munitions, douilles et obus. La casemate est située à l'intersection des rues du coteau et de la tour d'Auvergne, aujourd'hui, cachée par les garages construits dans la propriété de la famille Garand. Une autre casemate, construite d'après les mêmes plans, près d'un abri pour deux groupes de combat, se trouve à environ 50 mètres, en contrebas, dans une autre propriété privée (Famille Yves Grosrichard).Texte de Michel Grimaud.Le dispositif de flanquement possédait un angle d'action beaucoup plus restreint que le Tobrouk, mais avait l'avantage d'être servi de l'intérieur. Il était composé d'une chambre de combat munie d'un créneau blindé obturable et permettait de tirer perpendiculairement à l'entrée pour défendre l'accès direct à la construction. Aujourd'hui, il existe encore de nombreux ouvrages militaires témoins matériels de cette époque, en particulier des ouvrages bétonnés, en bon état, dissimulés sous la végétation, ou intégrés aux nouvelles constructions. De nombreuses villas se sont construites dans les années 1950, sur le front de mer, la digue promenade et au-dessus des falaises, avec une partie de leurs fondations ou de leurs dépendances aménagées sur ces blockhaus. Ces ouvrages militaires servent parfois aujourd'hui de remises. Les casemates, anciens abris pour groupes de combat, servent parfois d'habitation (le Souchay à Saint-Alban).Près de la rotonde du Val-André, sous les fondations de la digue promenade, se trouve encore aujourd'hui un de ses blockhaus armés, qui pouvait tirer des deux côtés.Ce système de défense contemporaine a semé ses équipements le long des côtes de la manche et de l'Atlantique : onze ouvrages militaires de la seconde guerre mondiale ont été repérés sur la côte du Val-André, dont six seraient à étudier, pour un projet du type "conservatoire militaire du Mur de l'Atlantique". Ces blockhaus sont situés de la Promenade de la plage du Val-André jusque la Ville-Pichard et la Ville-Berneuf, formant les points d´appui côtiers.Cette architecture militaire, vestige de la deuxième guerre mondiale, représente une architecture spécifique, qui met en scène le paysage de la frontière qu´impose la guerre totale, aux limites mêmes de l´espace littoral.Elle montre aussi la typologie des ouvrages du Mur de l´Atlantique et de leurs fonctions :- bloc de tir à créneau,- bloc de tir à cloche cuirassée- bloc d´observation d´infanterie ou d´artillerie, avec PC de tir des batteries côtières- bloc pour la défense aérienne : DCA, abri, poste de direction de tir, radio-radar- bloc passif : troupes, munitions, centre de transmission, canons, chars, poste de secours.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Les débuts de Bernard Hinault
Après quatre années de compétition, Bernard Hinault a obtenu des résultats prometteurs, en remportant notamment deux titres de champion de France. Il est interviewé sur ses débuts de carrière.

Par : INA

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Tro-Breiz : (Tour de Bretagne) / A. Loüard et G. B
Ce Tro Breizh n'est pas vraiment le chemin de pèlerinage passant par les capitales des anciens évêchés, mais plutôt un tour de Bretagne et plus particulièrement de la Basse-Bretagne. Commencé à Vannes il se termine à Saint-Brieuc.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Compte-rendu sténographié du 3e Congrès Régional d

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Le catholicon : dictionnaire breton, français et l
Premier dictionnaire en breton, réédité fin XIXe par F.-R. Le Men, archiviste départemental du Finistère.

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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L'Eglise : [carte postale] : Tombeau de Saint Rona
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Hommage à Saint Yves, Patron des avocats
Le traditionnel Pardon de Saint-Yves s'est déroulé le 22 mai à Tréguier. Cette manifestation reçoit chaque année des milliers de pélerins pour la célébration du Saint Patron des avocats. Cette année le Pardon a été présidé par Monseigneur Laurent Dognin, évêque de Quimper, entouré de nombreux dignitaires venus du grand Ouest, dont Monseigneur Denis Moutel, évêque de St Brieuc et Tréguier, et l'Abbé Caous, Curé de Tréguier. Après la cérémonie à la Cathédrale de Tréguier, procession des bannières en direction de Minihy-Tréguier, paroisse d'origine de Yves Hélory de Kermartin (1253-1303), qui a été canonisé par le Pape Clément VI en 1347.

Par : TV Trégor

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sommet du tumulus de la Motte Meurdel

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Le pont de Caroual

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Bulletin paroissial de Saint-Brieuc - paroisse de
septembre 1914. 20ème siècle

Par : Gallica

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Tour de Cesson ; le phare

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Notions historiques, géographiques, statistiques e
Pagination avant numérisation : VIII-448 pages. Reproduction numérique de l'édition imprimée à Saint-Brieuc chez Guyon en 1834

Par : Collections numérisées - U

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Abrege eus an histor santel hac eus a histor an il
Pagination avant numérisation : 303 pages. Reproduction numérique de l'édition imprimée à Saint-Brieuc chez Prud'homme en 1846

Par : Collections numérisées - U

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Concours hippique de Saint-Brieuc
Sujet représenté : scène (abri ; escalier ; plante ; jockey ; cavalier ; canne ; chapeau melon ; canotier ; costume ; homme ; sac ; capeline ; veste ; robe ; femme ; course ; Saint-Brieuc ; drapeau) - N° d'inventaire : DOC 992.13.204 ; R992.13.204

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Le mai breton du joint français
Quatre ans après Mai 68, la grève des ouvriers du Joint Français à Saint-Brieuc déclenche un mouvement de solidarité dans toute la région et devient une affaire politique nationale.

Par : Bretagne et diversité

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Groupe sculpté : Education de la Vierge
Groupe sculpté du 15e siècle (?), connu par des photos de 1950, disparu.
Auteur(s) du descriptif : Ducouret Jean-Pierre

Par : L'inventaire du patrimoine

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. 6483, Menhir de Pergat en Louargat entre Belle-I
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Frères de Classe
La Bretagne, Saint-Brieuc, mars 1972. Une grève avec occupation éclate aux usines du Joint français. Le 6 avril, l'affrontement avec les forces de l'ordre est imminent. De cette lutte un moment unique va être immortalisé par un cliché photographique : un manifestant, un CRS face-à-face. L'ouvrier est en rage, semble hurler, le visage déformé par la colère. Il tient le CRS par la vareuse... Deux hommes prêts au corps à corps. Mais l'image ne dit pas tout...

Par : Bretagne et diversité

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Dom Alexis Presse, Abbé de Boquen : 26/12/1883 – 1
Né en 1883 à Plouguenast, Mathurin Presse, prononce ses vœux en 1908, sous le nom de Frère Alexis, à l’abbaye cistercienne de Timadeuc. Souhaitant renouer avec l’authenticité de la vie monastique, après onze ans comme Père Abbé à Tamié en Savoie, il va s’employer à restaurer l’abbaye en ruine de Boquen. Il repose dans l’église abbatiale achevée deux mois avant sa mort le 1er novembre 1965.

Par : L'ARSSAT

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The 1969 Club aux Rencontres Trans Musicales de Re
Année érotique pour certains, 1969 évoque surtout ici le titre de la chanson des Stooges ou le millésime de Kick Out The Jams du MC5!! Les trois membres de ce club né il y a cinq ans du côté de Saint-Brieuc sont désormais installés à Rennes où ils parviennent à redonner tout son souffle originel et son énergie juvénile à la formule magique d’un punk rock chauffé au fer rouge. Leurs compositions aussi épurées qu’efficaces sont sublimées sur scène par l’intensité de la présence de Marie, chanteuse et bassiste charismatique. Metallic KO à prévoir parmi les spectateurs !

Par : Association Trans Musicale

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Port de pêche et de cabotage : Le Légué (Plérin-su
Le port du Légué était un port à échouage jusqu'au milieu du 19ème siècle. Les bateaux, armés au cabotage, faisaient leur souille au niveau de l'actuelle place de la Résistance, devant les habitations, alors que les bateaux de pêche restaient dans l'avant-port, sur le banc de sable ou à l'accore de la 'rivière'. Le pont de bois comprenait une partie mobile pour permettre aux navires de grande pêche de remonter à 'Port Favigo' et même jusqu'au pont du Gouët, limite naturelle du port. A l'emplacement du terre-plein de la Ville-Gillette, les quais étaient réservés au caboteurs et sabliers de la TIMAC, qui venaient livrer sable et maërl (1950-1960). Un cimetière à bateaux trouvait sa place en amont au bout des quais. Le port de pêche s'est établi au cours du 20ème siècle au niveau de l'avant-port (sous-la-Tour) et de la cale de la Douane, plus proche de l'embouchure du Légué.Le premier document qui atteste de l'activité portuaire du Légué est daté de 1423 et provient d'un acte signé par le duc Jean V de Bretagne, sur les receveurs de divers ports et forteresses parmi lesquels figurent Cesson et le port du Légué. A la fin du 15ème siècle, Bigot et la Noë sont déjà des armateurs avisés qui arment leurs navires pour Terre-Neuve. Pendant les siècles suivants, ils seront suivis par de nombreux autres armateurs, commerçants et corsaires : Favigo, Rouxel, Le Goales de Mézaubran, Montjaret de Kerjégu. Le port du Légué est ainsi l'un des premiers ports de France qui arme pour la pêche à Terre-Neuve (avec Binic et Dahouët). Elle contribue largement à sa prospérité. On remarque déjà en 1554 que le navire 'La Grande Fantaisie' du Légué a été arraisonné sur les bancs portugais.En 1623, le sieur Gilles Moro de la Ville-Bougault à Saint-Brieuc revendique le droit de pêche à l'embouchure de la rivière. En 1664, en amont du Pont-du-Gouët, le seigneur de Boisboissel possède une pêcherie. En 1664, la flottille du port compte un bateau à deux ponts, de 60 tonneaux, au moment de l'essor de la Grande Pêche, sous l'impulsion des Favigo.La Grande Pêche et la pêche côtière se sont de tout temps côtoyés au port du Légué, ouvert sur une baie poissonneuse et sur la Manche. Cependant, c'est davantage la Grande Pêche qui emploie les forces vives, alors que la petite pêche saisonnière stagne. En 1865, est créée une 'Société d'encouragement à la pêche côtière', tant pour développer les nouvelles techniques de pêche que pour rénover les huîtrières naturelles. Mais, au cours du 19ème siècle, Le Légué arme aussi pour les Indes et les Amériques.Au cours des siècles, le havre sous-la-Tour représente le port de pêche côtière du Légué.Chronologie des activités maritimes du port du Légué : En 1687 : construction de deux bateaux au Légué par le chantier naval Rouxel : le 'Saint-François' et le 'Saint-Jacques'.En 1691 : le port est érigé en siège royal de l'Amirauté et obtient une juridiction des Traites pour le tarif des douanes.En 1780 : 11 navires du Légué sur les bancs de Terre-Neuve, soit 1168 tonneaux de jauge totale et 349 hommes embarqués.En 1820 : 22 bricks inscrits à la Grande Pêche, soit 1250 marins. Les primes pour la pêche à la morue encouragent les armateurs du Légué, dont les sieurs Denis, de Kerautem, Villeféron, St-Jouan, frères, Guibert et Corbel, Ruellan, Allenou, Sébert aîné, Besnard et Floch, Marie et le Pomellec (en 1828). A la même époque, le commerce vers l'Amérique du Sud ouvre la voie au trafic des toiles et autres marchandises. Le milieu du 19ème siècle représente l'apogée de la Grande pêche pour la baie de Saint-Brieuc. Certains armateurs ont aussi armé quelques bâtiments pour la pêche à la baleine.En 1839 : 19 bateaux de pêche côtière au Légué. En 1861 : 31 goélettes pour Terre-Neuve.En 1863 : 7 bateaux naufragés, dont 16 marins disparus en mer.Entre 1866 et 1875 : entrée au port du légué de 555 navires à voiles, dont 1/3 de nationalité norvégienne et anglaise, avec un tonnage total de 29810 tonneaux, ainsi que 136 navires de commerce à vapeur (commerce avec les îles anglo-normandes).En 1895 : apogée de la Grande Pêche à Terre-Neuve, puis redéploiement de la flottille pour l'Islande, 80 embarcations recensées. Le 1er quart du 20ème siècle annonce la fin de la Grande Pêche.En 1900 : St-Brieuc et le Légué arment 9 navires (226 marins) pour la Grande Pêche sur un total de 59 navires pour les Côtes-du-Nord.En 1910 : demande d'ouverture d'une école de pêche et de navigation.Entre 1950 et 1960 : 60 bateaux de pêche fréquentent le port du Légué En 1968 : 31 bateaux inscrits au port du Légué, soit 69 marins.En 1978 : nouvel essor de la pêche côtière et installation d'une criée au port (pêche à la coquille Saint-Jacques).En 1986 : nouvelle halle à marée de la Ville Gillette.En 1990 : 525 tonnes de poissons frais, crustacés et coquillages débarqués.En 1991 : 33 bateaux inscrits, soit 87 marins, mais chute considérable des produits débarqués, dont le poisson frais.En 1992 : 26 bateaux inscrits, soit 59 marins. 460 tonnes débarquées.Entre 1992 et l'année 2000 : la pêche professionnelle déserte le port du Légué pour le port en eau profonde de Saint-Quay-Portrieux. La criée ferme. En 2000 : 44 tonnes de produit débarquées (17000 tonnes pour l'ensemble du département).En 2007 : un seul bateau inscrit.Cependant, le port de pêche du Légué souffre du manque d'aménagement portuaire et de son ouverture aux vents de Nord : les bateaux échouent face aux murs de quai de la Ville-Gillette, rive gauche, sur la plage de galets, devant la cale de la Douane, dite le 'Trou à l'Oeil' (avant qu'elle ne s'envase) et rive droite du côté de Cesson, sur un sol de sable. Les sabliers de Carbocentre et du groupe Roulier opèrent leur déchargement sur le terre-plein de la Ville-Gillette.Si la pêche côtière s'est éloignée du port du Légué pour des raisons de convenance (la contrainte de la marée) et d'aménagement tardif, les nouvelles infrastructures de réparation navale vont permettre de gérer la maintenance de la flottille de pêche de l'ensemble des Côtes-d'Armor.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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