Les documents du Pays d'Auray

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Église paroissiale Saint-Pierre et Saint-Paul (Erd
Edifiée au centre du bourg, chevet et sacristie sur la départementale 781. Enclos au nord et à l'ouest, planté correspond à l'ancien cimetière.Eglise de plan en croix latine, chevet plat, doté d'une tour-clocher sur porche occidental en demi-hors-oeuvre. Nef séparée des collatéraux par des piles cylindriques et deux piliers rectangulaires à la croisée du transept. Murs sud et nord percés d'une porte et de trois baies cintrées à ébrasements intérieurs et extérieurs.A l'exception du pignon est, aux rampants de béton, et de la tour en pierre de taille, l'église construite en moellons est enduite.La tour-clocher entièrement appareillée en pierre de taille repose sur un porche anciennement voûté de pierre. En retrait d'un large corniche, le tambour octogonal abrite la chambre des cloches, au dessus duquel la flèche en forme de dôme pyramidal étiré se termine par un lanterneau lui-même coiffé d'un petit dôme en pierre.A l'intérieur, un escalier de pierre adossé au mur séparant le porche de la nef, correspond à la montée d'une ancienne tribune seigneuriale.La sacristie accolée à l'église, au sud-est, communique avec le transept par une porte récente (fin 19e siècle ?). Elle a été reconstruite après l'alignement des années 1960, en remployant des éléments anciens telle la corniche à modillons.Les Talhouët, seigneurs de Keravéon sont fondateurs de l'église paroissiale. On retrouve leurs armes (losanges en bannière) en divers endroits sur l'édifice. D'après le chanoine Danigo (Danigo, 1986), d'importants travaux sont exécutés au milieu du 18e siècle : couverture, mur nord, décor intérieur et lambris de couvrement. La tour-clocher porte la date 1755 sur sa face sud. Les armes martelées et la couronne comtale figurées sur les faces intérieures et extérieures de cette tour, sont celles du comte Georges-René de Talhouët (1679-1761), seigneur de Keravéon et dernier du nom.On peut rapprocher de cette campagne de rénovation de l'ancien sanctuaire, la mise en place du retable majeur, connu par d'anciennes photographies.L'église est agrandie de deux collatéraux entre 1832 et 1833, suivant la décision du conseil de fabrique (Danigo, 1986). Ce que confirme la comparaison des deux plans cadastraux de 1811 et 1845, ainsi que la date portée 1833, à l'angle sud-ouest du bas-côté sud.En 1896, l'église est entièrement vitrée par Laumonnier, peintre verrier à Vannes.Dans les années 1960, l'élargissement de la Départementale 781, provoqua l'alignement et l'amputation de l'édifice d'une partie de son chevet et de la sacristie. L'ensemble des trois retables situés dans le choeur et les transepts fut détruit à cette époque.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Berthou Marie ; Toscer Catherine ; Pierre L. et M.

Par : L'inventaire du patrimoine

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Dernier voyage de la locomotive à vapeur entre Ren
Dernier voyage d'une locomotive à vapeur sur le réseau de l'Ouest. Le train quitte la gare de Rennes à destination de la gare d'Auray dans le Morbihan. Tout au long de ce voyage à travers la campagne, les cheminots actionnent les machines.

Par : INA

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - ju
juillet 1918. 20ème siècle

Par : Gallica

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Paotred Landevan

Par : Dastum

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Ur meliner yaouank

Par : Dastum

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Stival ; fontaine de la chapelle de Saint-Mériadec

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Maison, 3 venelle du Thym (Etel)
Maison faisant partie d'un ensemble de deux, dont le second au nord est très remanié, non étudié.Maison de type à pignon sur rue, de plan allongé, double en profondeur. Une seule travée en façade avec porte fenêtre à balcon en béton armé, et cheminée et fenêtre unique sur gouttereau est. Demi croupe sur pignon sud, croupe sur pignon nord.Charpente débordante, toiture à demi-croupe et modénature des enduits de type années 1930.Servitude de passage à l'est.Maison reconstruite vers 1930 à l'emplacement d'un logis qui figure sur le plan cadastral de 1851.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Chantiers ostréicoles sur la commune d'Etel
Les chantiers ostreïcoles sont des concessions sur le DPM développées au nord de la commune.Ils se composent de bâtiments d'exploitation comprenant aire de conditionnement avant expédition et bureau, d'une maison réservée à l'exploitant ou au gardien, et d'infrastructures diverses aménagées sur des terre-pleins : cales, bassins de stockage.Un chantier repéré : celui de la pointe de la Garenne.L'élevage des huîtres se développe en rivière d'Etel à partir des années 1890. A l'instar de celles du golfe du Morbihan, ces exploitations profitent du développement des voies de commercialisations et en particulier du chemin de fer.L'élevage de l'huître plate en rivière d'Etel est complété à la fin des années 1940, par celle de l'huître creuse d'origine portugaise. Après l'épizootie de 1970, les ostréiculteurs introduisent dans leurs parcs, l'huître creuse japonaise.Outre le chantier encore en exploitation, deux anciens chantiers, non documentés, ont été reconnus. Le premier identifié par une photographie du début des années 1960 (fig 1), était situé au nord de la Corderie ; il n'en reste rien. Du second, aménagé dans l'anse du Sach, ne subsiste que la maison (fig 2), intégrée à la propriété de la maison de retraite.Aujourd'hui il n'existe qu'un seul chantier ostréicole sur le territoire de la commune, établissement fondé vers 1905 à la pointe de la Garenne.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Immeuble, 11 rue du Général Leclerc (Etel)
Immeuble construit à l'alignement de la voie et à l'angle d'un passage carrossable. Mitoyenneté partielle.De plan massé à deux étages carrés sous comble habitable, il comporte un corps postérieur à deux étages, en retour au nord dans la cour.Travée à bow-windows superposés en façade antérieure.Le rez-de-chaussée intègre une boutique et une porte d'entrée latérale réservée à l'immeuble, remarquablement traité en pierre de taille de granite.Immeuble construit vers 1930-1940.Menuiseries extérieures et grande lucarne pignon, remaniés fin des années 1990.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bulletin paroissial de Quiberon - février 1917
février 1917. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - juillet 1918
juillet 1918. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - paroisse Saint-
février 1919. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - paroisse Saint-
décembre 1919. 20ème siècle

Par : Gallica

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Josiane la sémaphoriste
A la mort de son mari, Josiane a repris l'activité de son époux au sémaphore d'Etel. Elle a appris son métier en observant la nature, et, s'est petit à petit imposée auprès des marins, qui se laissent guider à travers la barre, réputée dangereuse.

Par : INA

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Les menhirs de Carnac
Le maire et le président du syndicat d'initiative de Carnac sont inquiets face au nombre toujours grandissant de visiteurs du site de mégalithes. Les menhirs touristes ne sont en effet pas toujours respectueux du lieu.

Par : INA

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2 femmes en costume breton ; les vitrines du musée

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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femme en costume breton et enfant devant les porte

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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militaire à cheval

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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2 soldats debout devant un mur du musée

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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