Les documents du Pays d'Auray

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Dernier voyage de la locomotive à vapeur entre Ren
Dernier voyage d'une locomotive à vapeur sur le réseau de l'Ouest. Le train quitte la gare de Rennes à destination de la gare d'Auray dans le Morbihan. Tout au long de ce voyage à travers la campagne, les cheminots actionnent les machines.

Par : INA

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - se
septembre 1917. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - oc
octobre 1918. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - ao
août 1919. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - dé
décembre 1919. 20ème siècle

Par : Gallica

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Ferme 1
Ferme de type logis étable, dont la salle à l'ouest est séparée de la partie étable par une marche. Face à la porte qui donne dans l'étable, l'escalier en pierre dans une tour en demi-hors-oeuvre dessert le grenier. La cheminée au pignon ouest est engagée, deux consoles grossièrement moulurées en quart de rond supportant montants et linteau de bois. Une partie de l'étable contre le mur sud, correspondant à la place du cheval, est dallée, un muret en demi-hauteur servant de mangeoire séparant la stalle de l'entrée. Dans le mur nord sont creusées deux niches à poules, à proximité de la porte de communication avec la laiterie. La charpente est typique d'une charpente de chaume, avec arbalétriers croisés, faux-entrait.La ferme est construite au 17e siècle. La ferme est restaurée (la façade peut-être en partie remontée, de même que la cheminée) au début du 19e siècle. Dans la première moitié du 19e siècle (avant 1839), une pièce est construite en prolongement du logis. Le puits porte la date de 1813, date sans doute regravée (les 1 sont en général faits d'une simple barre), correspondant à la superstructure, la base du puits remontant plutôt comme la ferme au 17e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Aotroù Sant Denaù
Denaù est le Saint Patron de Landaul. Chanson composée par le père du maire de Landaul Arthur Le Dréau.

Par : Dastum

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Bulletin paroissial de Quiberon - décembre 1916
décembre 1916. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - août 1918
août 1918. 20ème siècle

Par : Gallica

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Louison Bobet
Le cycliste Louison Bobet revient sur sa carrière. Durant 14 années il a participé à de multiples courses qui lui ont valu un beau palmarès. Il affirme néanmoins n'avoir jamais eu recours au dopage.

Par : INA

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Louison Bobet, entrepreneur
L'ancien cycliste Louison Bobet a troqué son maillot de sportif pour la casquette de chef d'entreprise. Il évoque sa reconversion et son besoin d'entreprendre. A Quiberon, il a ainsi ouvert un centre de thalassothérapie.

Par : INA

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Fort de Penthièvre

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Ferme, 6 rue des Menhirs (Erdeven)
Ferme comprenant un logis et une étable en alignement, l'ensemble flanqué d'un appentis postérieur. D'autres dépendances : écurie, soue à cochon et cellier sont en retour à l'ouest.Le logis est à deux travées dont une surmontée d'une lucarne passante coiffée d'un fronton de pierre de taille en forme de demi-cercle.La grange au-dessus de l'étable éclairée d'un jour présente également une porte haute.Figurée sur le plan cadastral de 1845, avec deux escaliers extérieurs. Façade recomposée dans la seconde moitié du 19e siècle.Le jardin clos d'un muret, au sud de la cour, correspond à l'ancienne chapelle Notre-Dame.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison, 21 rue Nationale (Erdeven)
Maison construite à l'alignement de la route avec jardin latéral postérieur.Façade de type ternaire avec lucarne à fronton triangulaire, en pierre de taille dans l'axe de la travée centrale.Maison construite vers 1910-1920.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Josiane la sémaphoriste
A la mort de son mari, Josiane a repris l'activité de son époux au sémaphore d'Etel. Elle a appris son métier en observant la nature, et, s'est petit à petit imposée auprès des marins, qui se laissent guider à travers la barre, réputée dangereuse.

Par : INA

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Moulin à marée du Lac, actuellement maison, Passag
Le moulin se situe entre l'étang du Lac et la rivière de Crach. Sur le cadastre napoléonien de 1833, le moulin se situe au milieu de la digue. Celle-ci a donc visiblement été remblayée pour accueillir des maisons et installation de chantier agricole, aujourd'hui le moulin est donc davantage situé à l’extrémité de la digue rectiligne de 200 m. Côté amont, on peut encore observer les anciens coursiers et la porte mer. En aval seul le coursier nord est encore visible. Le coursier sud se caractérise par un changement d'appareillage de la digue. Celle-ci a en effet été très remaniée et est constituée aujourd'hui d'un mélange de pierre de taille et de moellons de granit avec certaines parties qui ont été bétonnées. Les vannes ont subi des modifications, notamment la porte mer qui semble s'ouvrir à l'aide de deux treuils, visiblement modernes. Ils pourraient compléter un ancien système à clapet, le privant de son caractère automatique pour vider et remplir l'étang selon la volonté des propriétaires, contrairement à son fonctionnement initial dépendant de la marée. Le moulin comptait deux roues : une étroite de 6,3 m de diamètre et une de 1,2 m de large et 6 m de diamètre, une association qui n'est pas habituelle. L'arbre de la roue du coursier nord est encore visible, tout comme une paire de meule qui a été laissée en décoration sur la digue. Une des deux roues s'occupait de la mouture du millet, une production assez rare et qui entraînait l'utilisation de meules plus petites. Les archures des meules étaient hexagonales, une forme qui n'était pourtant pas des plus pratiques puisque la farine se stockaient dans les coins, contrairement aux archures circulaires. D'après J-L. Boithias et A. de La Verhne, il s'agissait d'une variété de roue à simple couronne. Elle comptait une rosace en fonte avec des départs de bras en formes de U qui sont prévus et coulés d'après gabarits et dans lesquelles il n'y a plus qu'à encastrer et boulonner les bras.Le bâtiment est conçu selon un plan rectangulaire de 10 m par 7,2 m. Cette présence du chiffre 7 n'est pas un hasard. En effet elle se retrouve pour de nombreux moulins à marée et particulièrement dans le Morbihan, elle est à associer à la règle du nombre d'or caractéristique des travaux propre au compagnonnage. Contrairement à de nombreux moulins à marée, le moulin du Lac ne compte pas d'éperons pour résister à l'enfoncement dans la vase et renforcer le bâtiment. Ses fondations comptent cependant un léger fruit sur une petite hauteur et les murs sont très épais, il mesurent 1,3 m d'épaisseur à leur base. Par ailleurs le soubassement est réalisé en pierre de taille de grandes dimensions qui constituent une base plus solide et permettent de pas utiliser un ciment qui ne résisterait pas à l'eau de mer. Les murs se continuent en un appareil de moellons de granit. En 1936, F. Richez indique que le moulin est rehaussé de 1 m pour faire passer les cylindres. Cette surélévation est encore très nette et il est encore donné à voir la rangée de pierre plates qui devaient terminer le mur.En 1937 un bâtiment a été construit dans la prolongation du moulin. Cette « annexe » visible sur les dessins de J-L. Rousseau en illustration a été partiellement détruite et il ne reste plus que le bas des murs qui ferment un jardin privé.Le moulin a été transformé en habitation, il est donc difficile de savoir quelles ouvertures sont d'origine. Le doute n'est pas permis quant à la porte haute que l'on retrouve sur la façade aval et qui permettait le déchargement des bateaux. On peut encore observer deux pierres en saillie de part et d'autre de cette ouverture et à mi hauteur, percés pour recevoir un axe qui portait une poulie pour hisser les sac de grains. Sur le pignon sud, la poterne accueillant l'arbre de la roue est de forme trapézoïdale avec un linteau de pierre reposant sur des corbelets. Cette façade compte également deux petites fenêtres dont une serait idéalement placée pour surveiller la rotation de la roue. Aujourd'hui, la façade amont compte une porte charretière assez basse, dont la hauteur est alignée avec la fin des pierres de tailles, ainsi que trois fenêtres. Le pignon sud accueille deux baies vitrées visiblement moderne ainsi qu'une petite fenêtre centrale. La façade aval, en plus de la porte haute accueille deux grandes fenêtres qui ne sont pas alignées.Les recherches de François Richez l'ont conduit a proposer une existence du moulin du Lac antérieure à 1541, une donnée qui est mentionnée dans une sentence de 1689 (ADM E2496). F. Richez relève que ce moulin dépendait à la fois au niveau féodal de la Seigneurie de Largouet sous Auray et de la la Seigneurie du Latz en Carnac sur le plan domanial, il n'est donc pas évident de savoir a qui il appartenait. F. Richez a donc établi la liste des propriétaires successifs de la Seigneurie de Largouet entre 1521 et 1715 dates auxquelles le moulin appartient respectivement à Claude de Rieux et Charles René de Cornulier. Pour la Seigneurie du Latz, cette liste est dressée entre 1426 et 1885 et commence par Jean Garric, comte du Latz et les époux Montfort-le Rouzic.F. Richez indique qu'à partir de 1885 il faut distinguer les propriétaires du moulin de ceux du château. En 1922, le moulin est vendu à Marie Gestalin le 12 mai, puis à Mathurin Audic le 9 décembre. En 1955, suite au partage des biens de Mathurin Audic, le moulin revient à François Audic. Le 4e de ses 8 enfants sera le dernier meunier du moulin. En 2000 suite à son décès, le moulin revient à l'un de ses fils. En ce qui concerne les meuniers du moulin du Lac, le premier connu est Ollivier Coutin. Le 5 octobre 1654 il est cité dans une déclaration de récolte. Le 3 décembre 1663, Laurent Kerrio est cité comme le « moulinier », il est sous la tutelle de son frère, François Kerrio. Vers 1678 Guillaume le Goff, est le meunier du moulin du Lac, c'est le gendre de Laurent Kerrio. Le moulin passe ensuite aux mains de la famille Le Boulh.En 1776, Pierre Le Goff reprend le moulin après s'être occupé du moulin de Kermalvezin, non loin de Carnac. Une de ses filles est mariée avec Marc Quer, qui est d'abord charpentier au Latz, puis meunier en 1769. F. Richez relève qu'il effectue le transport de la farine en bateau. Les fils de Pierre Le Goff, Jean et Gilles seront également meuniers au Lac. Puis ce sera au tour de Mathurine, la fille de Gilles. En 1774 c'est Bernard Hulbron qui s'occupe de faire tourner le moulin, Gildas Hulbron de 1786 à 1792, puis son fils Julien Hulbron entre 1786 et 1822. Suite à une succession, c'est Pierre Marie Le Goff qui reprend le moulin entre 1798 et 1830, il n'a pas de lien avec la lignée des Le Goff évoquée plus haut. Sa femme Marie-Anne prend sa suite après sa mort en 1830. Son fils, Charles-Marie s'assure de la reprise du moulin mais le quittera pour celui de Coët-Courzo dont sa femme est originaire. Le moulin passe alors aux mains des époux le Rouzic : François-Marie et Marie-Michelle qui prendra la suite de son mari à sa mort, parallèlement à ses activités d’ostréicultrice. Elle est restée célèbre à Carnac pour son fort tempérament. Son mari, François-Marie Le Rouzic était un descendant de Mathurine Le goff évoquée plus haut. Marie Michelle donna ensuite le moulin à bail à Mathurin-Marie Audic puis le vendit à Joseph-Marie Getalin qui lui même le vendit à Mathurin. Le moulin revint enfin à François Audic qui s'en occupa jusqu'en 1952 avant de se reconvertir à l’ostréiculture. A travers ces différents meuniers, on relève une histoire du moulin très mouvante, assez dramatique aussi puisque plusieurs meuniers moururent alors qu'ils étaient au travail. Outre la dimension familiale, l'endogamie est aussi de rigueur. En effet on se marie beaucoup entre famille de meunier, notamment parce c'est une profession mal vue du reste de la population, souvent soupçonnée de voler ses moulants. Dans son article, "Moulin et meuniers du Morbihan", Jacques Guillet a eu l'occasion d'interroger François Audic, permettant ainsi de se figurer ce qu'était la vie au moulin à l'époque. En ce qui concerne le transport du grain, en 1952, il s'effectue toujours en charrette, mais François Audic fait partie des premiers à se moderniser en achetant une camionnette vers l'année 1933.Le cheval reste malgré tout une préoccupation centrale dans l'activité de meunerie puisque F. Audic rapporte que : « Presque tous les jours, à la belle saison, le commis sautait sur le cheval, cramponnait sa crinière et le faisait trotter dans l'eau du lac. On disait que c'était bon pour la circulation ». Chaque tournée compte environ une tonne de grain ce qui n'est pas toujours simple pour les bêtes, surtout dans la configuration du site de Carnac qui comptait une côte importante : « on entendait l'essieu grincer quand le gars rentrait de sa tournée. On lui envoyait un cheval de renfort »Comme le témoigne la porte haute sur la façade aval du moulin, le transport du grain s'effectuait aussi en bateau, François Audic rapporte : « On faisait Crach aussi, on traversait avec des pontons. On louait un cheval et une charrette de l'autre côté au château en face, chez le commandant Muller. Aujourd'hui le moulin a été transformé en habitation et a donc subi d'importantes modifications.
Auteur(s) du descriptif : Nadolski Claire

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bonjour doh hui plahég, bonjour e laran doh
La médiocre qualité de l'enregistrement rend difficile la compréhension des paroles.

Par : Dastum

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Le Pardon de Sainte Anne d'Auray
Le 26 juillet, la paroisse de Sainte Anne d'Auray fête sa sainte patronne, Anne. Ce grand pardon rassemble de nombreux pèlerins, notamment des femmes qui viennent célébrer la mère de la Vierge Marie.

Par : INA

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