Les documents du Pays d'Auray

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Stèle funéraire, dit Lech de Langombrac'h (Landaul
Pierre pyramidale de granite rose établie au carrefour des routes de Landévant à Locoal-Mendon et de Landaul à Larmor. Il s'agit d'une stèle en granite monolithe dont l'angle nord-est est brisé. Une inscription en latin partiellement lisible et inachevée placée sous une croix ancrée gravée orne sa face est.La stèle porte une inscription latine partiellement tronquée en caractères onciaux, déchiffrée par divers auteurs. Wendy Davies propose : "CROX BRIT (OU) ET MULIER (IS) DRILEGO FILI CONB (RI) TI HOC OPU (S) (E) ORUM QUICUMQUE LIGAUIRIT (..) ". Cette inscription (Croix de Britou, fils de Conbritus et de son épouse Drilego) la désigne en tant que monument sépulcral, sans exclure la réutilisation d'une stèle de l'Age du fer comme l'imaginait Rosenzweig, mais aussi les chercheurs actuels. La forme des lettres onciales permettraient de dater l'inscription du 8e ou 9e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - ju
juillet 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Ferme, Pen Pont en Mendon (Locoal-Mendon)
La ferme de Pen Pont appartient au type dit logis-étable à deux portes et haut comble à surcroît. Elles est construite en moellon et couverte en chaume. Sa structure associe un logis à gauche à une vaste étable à droite, tandis que le grenier est accessible au nord par un escalier extérieur menant à des portes hautes jumelées. C'est par la façade nord, côté route, que l'on pénètre à l'intérieur du logis et de l'étable tandis que les ouvertures sont disposées sur la façade sud, tournées vers l'étang de Saint-Jean. Une troisième porte haute dessert le grenier sur la façade sud. Une remise à charette est édifiée contre le pignon est, couverte en ardoise. La dépendance en appentis, perpendiculaire au corps principal, prend appuie sur la façade nord et ferme la cour à l'ouest. Elle abritait autrefois un four à pain. Une terrasse agricole est aménagé sur cette anse de l'Etel, au nord de la ferme, de l'autre côté de la route, afin de créer un jardin potager appelé localement "liorh".La ferme de Pen Pont est construite au 17e siècle, le long de la route de Mendon à Locoal, à l'entrée de la chaussée qui relie l'île de Locoal à la paroisse de Mendon. Le bâtiment principal est homogène : ses grandes proportions et sa qualité posent la question de la position sociale de son constructeur à une époque où les fermes sont de taille réduite. La ferme et le fournil figurent sur le cadastre ancien de 1810 ainsi qu'une dépendance perpendiculaire au corps principal venant fermer la cour à l'ouest, disparue sur le cadastre de 1845 et remplacée dans la seconde moitié du 19e siècle par une autre dépendance. Une remise à charette est édifiée contre le pignon est au début du 20e siècle. Le jardin potager créé sur une petite terrasse agricole aménagée sur l'étang face à la ferme, de l'autre côté de la route, est figuré sur le cadastre ancien de 1845 (parcelle n° 65) : il est toujours en usage.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Tanguy Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ferme, Kerbotspern (Locoal-Mendon)
Kerbotspern possède une cour limitée au nord par un corps principal abritant un logis de type ternaire et une étable construite en alignement. Une entrée à piliers et un cellier ferment la cour à l'ouest. Celui-ci possède une tour d'escalier postérieure en demi hors oeuvre abritant un escalier en vis en bois. Une petite remise à façade ouverte est construite en appentis contre le pignon. Le puits est placé entre le logis et le cellier. La cour est partiellement limitée à l'est par un logis secondaire de type logis-étable à porte unique tandis qu'une grange en pierre de taille est construite plus à l'ouest, en dehors de la cour, donnant peut-être à l'origine sur une aire à battre. Pour des raisons de sécurité, le fournil se trouve un peu à l'écart, de l'autre côté de la route.La ferme de Kerbotspern a conservé sa disposition d'origine telle qu'on peut la voir figurée en 1810 sur le premier cadastre napoléonien. Cependant, le corps principal, regroupant le logis et l'étable, a été reconstruit en 1916 (date porté sur le logis) à l' emplacement du précédent bâtiment. Le cellier construit à l'est de la cour date du 18e siècle mais la remise construite en appentis est rajoutée après 1810 et avant 1845, dates des deux cadastres anciens. Le second cellier édifié à l'écart de la cour, à l'ouest, semble être contemporain du premier. Le logis-étable qui borde la cour à l'ouest date du début du 19e siècle avec remploi d'une porte du 17e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Tanguy Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

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Plouharnel - Chapelle
CHAPELLE clocheton + lucarne

Par : Dastum

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Chapelle Sainte-Brigitte (Landévant)
La chapelle est située dans un vallon ombragé en contrebas de l'ancienne route royale (puis nationale) de Vannes à Hennebont, remblayée par rapport au niveau d'origine du terrain. Elle est accompagnée de sa fontaine, très proche. Construite en moellon de granite enduit, elle présente une élévation occidentale en pierre de taille couronnée d'un clocheton en pierre. La chapelle est de plan allongé à vaisseau unique, la nef éclairée d'un oculus dans le mur sud et d'une grande fenêtre dans le chevet. Le clocher est d'un type particulier orné de petits frontons sur les quatre faces.La fontaine à couvrement en bâtière et ouverte d'une niche en plein cintre est construite en pierre de taille.La chapelle parait avoir été construite à la fin du 17e siècle ou au début du 18e siècle, peut-être sur les bases d'un édifice plus ancien, dont témoignerait l'ancienne baie du chevet en remploi : la chapelle Notre-Dame des Vertus signalée dans les textes anciens se confond en effet avec Sainte-Brigitte. Elle a subi des modifications à la fin du 18e siècle (clocher) et sans doute au 19e siècle : le chevet en particulier avec ses pierres d'angle irrégulières et la forme de sa baie, semble reconstruit à cette époque. La fontaine peut remonter au 18e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Pa vo ma soñj-me dimeziñ

Par : Dastum

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Marche

Par : Dastum

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Bal jeu

Par : Dastum

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Maison, Pont-du-Sach, 3 rue du Moulin (Etel)
Maison construite au centre d'une parcelle avec jardin environnant clos de murs.Plan complexe double en profondeur, couverture en triple bâtière formant deux pignons à toit brisé et demi-croupes en façade antérieure.Elévation sur cave et comble à haut surcroît. Portes fenêtres à balcons en béton armé.Façade enduite, modénature de style Art Déco, avec alternance d'enduits projetés et lisses.Maison des années 1930.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison, 14 rue de la Libération (Etel)
Maison construite en retrait d'une grande parcelle, orientée perpendiculairement à la rue. Jardin antérieur et cour postérieure où se trouvent, au nord, les dépendances : écuries et remise en alignement.Grande maison de type ternaire, à rez-de-chaussée surélevé sur caves. Accès par un perron à doubles rampes tournantes. Niche à chien à l'origine en dessous, ferronneries refaites vers 1970. Comble à surcroît éclairé par trois lucarnes à fronton triangulaire, en fonte, peintes.Baies du rez-de-chaussée élargies et balcon à l'étage, également refaits vers 1970, enduit de la façade antérieure disparu.Dépendances dans la cour de plan allongé et symétrique : porte cochère et lucarne gerbière dans l'axe, portes et fenêtres des écuries diposées latéralement.Maison construite vers 1870, d'après la propriétaire (70 ans) dont le grand père était entrepreneur d'une compagnie de diligences et de transports.Façade remaniée dans les années 1970.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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La plage et notre cabine vues de la mer

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Bulletin paroissial de Quiberon - février 1915
février 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - octobre 1914
octobre 1914. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - juin 1917
juin 1917. 20ème siècle

Par : Gallica

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Foule

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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L'île de Houat
L'île morbihannaise de Houat, isolée du continent de 20 kilomètres, est en marge de la modernisation. Privés d'eau potable et d'électricité, les Houatais qui sont traditionnellement pêcheurs mènent une vie rude et pauvre, avec peu de distractions.

Par : INA

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Manoir, puis château de Kercadio (Erdeven)
Situé à l'est du bourg, sur la route de Ploëmel et Auray, le manoir et château de Kercadio est construit dans un enclos dont il occupe la partie sud-est.Logis, communs, ancien logis composent un plan d'ensemble en U autour d'une cour (plan masse). Le corps de logis principal est orienté au sud. Les communs sont en retour à l'est et à l'ouest. Le logis-tour ancien est situé à l'extrémité sud des communs est (sous dossier). Le mur fermant la cour au sud, s'apparente à un saut de loup avec portail à deux piliers en bossage au centre.L'ensemble de ces bâtiments fermant la cour, s'inscrit dans un grand enclos quadrangulaire, avec chapelle (ruine) dans l'angle nord-ouest et orangerie (ruine) dans l'angle nord-est.L'ancien logis, logis-tour construit à l'angle sud-est de la cour du manoir, est aspecté à l'ouest et aveugle vers l'extérieur, y compris sa façade nord, contre laquelle sont venus s'adosser des communs au 17e siècle.Edifice de plan carré avec tour d'escalier hors oeuvre dans l'angle sud-ouest, échauguette en encorbellement dans la partie supérieure de l'angle sud-est et tourelle très peu saillante à l'angle nord-est, intégrant des latrines.Les parements extérieurs, aux assises régulières, sont réalisés en moellons équarris, mêlés de pierres de taille de moyen et grand appareil (remplois).Planchers et charpente de toit n'existent plus. L'ensemble s'apparente à une tour-logis, réminiscence des anciens donjons.La façade principale ouvre à l'ouest sur la cour. L'élévation et à deux étages carrés avec une seule pièce par niveau de faible hauteur.La salle du rez-de-chaussée présente une cheminée en pignon nord, dont les piédroits aux larges chanfreins se terminent en consoles superposées profilées en doucine. Une petite crédence cintrée et à feuillure est aménagée dans le mur sud. Le sol est dallé et la fenêtre à arc en anse de panier également à large chanfrein, conserve des coussièges. La porte d'entrée présente un linteau à double accolade au milieu desquelles figure un blason sculpté, non identifiable.La cheminée de la salle du premier étage est sur le mur sud. Ses consoles sont en quart de rond. A droite, une petite crédence intégrée à la maçonnerie, en anse de panier et à feuillure, conserve l'attache de sa charnière et un enduit intérieur. Dans l'angle nord-est une porte à linteau droit orné d'une accolade, ouvre vers les latrines et/ou poste de guet intégrés à la tourelle d'angle. Dans le mur est subsiste l'ébrasement d'une ancienne meurtrière (bouchée). La grande fenêtre du mur ouest, est à linteau à arc segmentaire et palâtre ou arrière voussure en bois (18e siècle). La salle du 2e étage présente une petite cheminée sur le mur est, sans décor. Comme au niveau inférieur, l'angle nord-est est ouvert d'une porte, cette fois à linteau cintré donnant vers les latrines. Dans l'angle sud-est une autre porte ouvre sur l'échauguette d'angle surveillant l'ancien chemin. La grande fenêtre du mur ouest, est à linteau à arc segmentaire et palâtre en bois (18e siècle). La tour d'escalier de l'angle sud-ouest, renferme une vis en pierre de grande qualité. La terrasse qui lui servait encore de couverture au début du 20e siècle est probablement une rénovation du 19e siècle. Pour y accéder il fallait passer par le comble du logis. L'escalier distribue chacune des salles des trois niveaux par une porte cintrée.Les ouvertures éclairant l'escalier sont à ébrasement intérieur. A l'exception d'un jour orné d'une accolade dans la partie basse de la tour, et d'un oculus éclairant le dernier niveau de la tour, elles ont la forme de meurtrières ou bouches à feu pour armes légères (simples mousquets). Deux formes sont identifiables : simple carré ouvert dans une dalle monolithe posée de chant sans ou avec faible ébrasement extérieur ; double ouverture circulaire superposées, réunies au centre, taillée dans dalle monolithe posée de chant sans ébrasement extérieur.L'échauguette est en encorbellement sur l'angle sud-est, au niveau du second étage. Régulièrement appareillée en pierre de taille, elle présente dans sa partie supérieure les vestiges d'une corniche. Un jour, chanfreiné à l'extérieur est ouvert au sud et une meurtrière semble être orientée à l'est (inaccessible).Le logis procède de la rénovation au 18e siècle d'un logis ancien. De plan allongé, à onze travées côté sud, il est couvert d'une charpente à longs pans sur pignons découverts. Le comble est un simple grenier éclairé de quatre lucarnes à frontons triangulaires ou cintrés. La travée centrale à fronton triangulaire ouvre sur l'escalier d'honneur. En légère avancée elle est de style classique ornée de pilastres de granite et de pierre blanche en ressaut. La porte-fenêtre de l'étage ouvre sur un balcon en fer forgé. L'enduit a disparu.Sur la façade postérieure on décèle l'antériorité de la partie est du logis et la phase de remaniement du 18e siècle sur les huit travées ouest.Les pièces sont en enfilade avec corridor antérieur pour certaines (plan de distribution à RDC). A l'extrémité ouest était la cuisine avec four à pain et cheminée fin 15e siècle en remploi. Un escalier secondaire avec rampe en fer forgé jouxte cette pièce. La pièce à l'ouest de l'escalier d'honneur conserve lambris et meuble d'attache de la seconde moitié du 18e siècle. La travée centrale est réservée à l'escalier principal, tournant avec jour. Il est en charpente, avec rampe en fer forgé. A l'étage deux chambres conservent des boiseries des 18e et 19e siècles.Le commun ouest servait d'écurie et de charetterie, mais aussi d'ancien corps de passage cocher dans sa partie sud. Le grenier en surcroît est couvert d'une charpente brisée, à croupe, éclairée à l'est d'une lucarne à fronton triangulaire. Les ouvertures sont remaniées 20e siècle.Le commun est qui conserve ses ouvertures d'origine est également couvert d'une charpente brisée, à croupe, avec à l'ouest deux lucarnes à frontons triangulaires. Il est constitué d'une remise au sud et d'une dépendance au nord, avec cheminée sur gouttereau. Une rénovation récente a fait disparaître l'enduit.Au sud et de l'autre côté de la route, subsistent les vestiges de la métairie noble de Kercadio, et dans l'axe du portail, un troisième enclos cerné d'un muret au centre duquel se trouvait le colombier (détruit), représenté sur les plans cadastraux de 1811 et 1845.Siège d'une seigneurie qui apparaît dans les sources de la fin du Moyen Âge, Kercadio doit son nom à la famille de Kercadiou, dont Alain est nommé lors de la réformation du domaine ducal en 1427.A compter de 1466, ce sont les de Larlan qui deviennent seigneurs de Kercadio et de Coëtquintin en Ploëmel et le resteront jusqu'à la fin du 17e siècle. La chapelle est d'origine du 15e siècle, remaniée à l'époque moderne. L'ancien logis-tour, probablement construit sur les bases d'un édifice médiéval, remonte à la fin du 16e siècle, début 17e siècle. Cette partie de l'actuel château est la plus ancienne, en élévation, probable vestige du manoir de Kercadio, cité dès 1427 dans la paroisse d´Erdeven (Laigue, 1902).Cependant, bien qu'elle reprenne le plan d'un logis-tour de la fin du Moyen Âge, cette construction date de la fin du 16e début du 17e siècle, comme l'indiquent les cheminées des trois salles superposées, les ouvertures du rez-de-chaussée et les portes de la tour d'escalier, dont les meurtrières pour armes à feu légères sont sans doute des aménagements liés aux conséquences de la Ligue.A l'époque ce sont les de Larlan qui jouissent de la seigneurie de Kercadio. En 1595, le seigneur écuyer de Larlan a la garde de toute la côte de Quiberon jusqu'au bras de mer d'Etel (Danigo et Le Tallec, 1971). En 1625, Pierre de Larlan est conseiller au Parlement de Bretagne.La façade ouest de ce logis est remaniée par le percement de hautes fenêtres au 18e siècle, dans l'esprit de celles du château, rénové à l'époque des Gouyon de Vaudurant. Nommé le pavillon en raison de la forme de sa toiture, il sert de cuisine, de buanderie et de logis pour les domestiques (Textes d'archives réunis par S. Despas, 2000).Une carte postale du début du 20e siècle, montre qu'il était encore couvert d'une charpente vers 1910-1920.Cet ancien logis est actuellement très dégradé. Ces ruines sont protégées (ISMH) depuis 1998.Les communs est et ouest sont de la seconde moitié du 17e siècle.Au 18e siècle le domaine passe aux mains des Gouyon de Vaudurand, bâtisseurs du nouveau logis, dont Jean-Louis Gouyon de Vaudurant, évêque de Saint-Pol-de-Léon, qui y décède en 1780. La date 1780 d'une écriture malhabile portée sur le piédroit de la grande porte du logis ne peut correspondre à des travaux.A la Révolution le domaine appartient au marquis de Rougé.L'orangerie et le colombier (détruits partiellement ou en totalité) sont représentés sur les plans cadastraux de 1811 et 1845.L'édifice est inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques, en totalité, par arrêté du 8 juin 1998.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Berthou Marie ; Toscer Catherine ; Pierre L. et M.

Par : L'inventaire du patrimoine

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soldat devant les vitrines du musée

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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soldat devant les portes du musée

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Tumulus Saint-Michel, depuis la route des Aligneme

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Theatre populaire de Sainte Anne d'Auray. J. Le Ba

Par : Dastum

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