Le patrimoine de Landerneau

vignette
picto
Claude
Claude à Brignogan Kerlouan 1er pas prend son bain met son bateau à l'eau - Course Guilcher (marchand de cycles à Landerneau) mars 25 (cyclisme) - Tour de France à Landerneau en 1929 (long) - en forêt près du Huelgoat 28 - Foot : En avant de Guingamp contre Landerneau

Par : Cinémathèque de Bretagne

vignette
picto
Du bruit dans Landerneau : à propos de chansons (
"Du bruit dans Landerneau" par l'abbé Antoine Favé

Par : Médiathèques de Quimper Br

vignette
picto
À la plage
Famille à la plage - Cathédrale, façade lors d'un enterrement, défilé avec drapeau de la JOC (court) - Concarneau, Quimper, mariage à Landerneau, pointe du Raz avec le guide, Douarnenez et le port Rhu, fanfare en canotier à Landerneau.

Par : Cinémathèque de Bretagne

vignette
picto
Processions à Landerneau : (deux incidents en 1748
Relation de deux incidents lors de processions à Landerneau par l'abbé Antoine Favé

Par : Médiathèques de Quimper Br

vignette
picto
Episodes et anecdotes : Landerneau et Morlaix au
Landerneau et Morlaix au XVIIIe siècle, épisodes et anecdotes

Par : Médiathèques de Quimper Br

vignette
picto
Questions de Préminences et droits honnorifiques :
Mémoires pour l'Église paroissiale de Saint Hoüardon de Landerneau, faits à Rennes le 13 février 1750, à Paris le 10 mars 1752 et à Rennes le 11 août 1750. Questions de droit concernant la possession et l'usage des bancs, sépultures et armoiries existant dans l’église paroissiale de Saint Hoüardon de Landerneau, Évêché de Saint-Pol-de-Léon.

Par : Médiathèques de Quimper Br

vignette
picto
Bréviaire de Landerneau
Manuscrit sur vélin, texte en deux colonnes, lettrines rouges, bleues, noires. Petit in 8° : 11,5 x 15 cm. Date approximative.

Bibliographie :

Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille et Vilaine, tome XXV, Rennes 1906, p. 141-144, n°55 : "Bréviaire de Landerneau du XVè siècle", par M. l'Abbé F. Duine.

François-Marie Duine, Inventaire liturgique de l'hagiographie bretonne, Paris, librairie ancienne Honoré Champion, 1922, 291 p. (La Bretagne et les pays celtiques, n° XVI) .
Extrait du Bulletin de la Société archéologique d'Ille-et-Vilaine, T. XLIX. Cf. p. 211 : CCXCIV, "Bréviaire manuscrit de Landerneau".

Bernard Merdrignac, « L'Espace et le Sacré dans les leçons de bréviaires de l'Ouest armoricain consacrées aux saints bretons (XVe-XVIe siècles) », dans Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, vol. 90, 1983, p. 273-293.

Dossier constitué par M. le Chanoine Peyron, aux archives de l'évêché à Quimper à la cote 2 Z 401 (partiellement numérisé).
Transcription de la partie "Propre des saints" du Bréviaire de Landerneau par M. le Chanoine Jean-François Falc'hun, Dirinon, 1987, aux archives de l'évêché à Quimper à la cote 83 Z 28 .

Par : Diocèse de Quimper et Léon

vignette
picto
Observations des députés du pays de Léon et de la

Par : Gallica

vignette
picto
Motards...
Motos, motards à Landerneau.

Par : Cinémathèque de Bretagne

vignette
picto
Août 1948, Amédé
Août 1948, Amédé. Pique nique dans les rochers à Trébeurden. Une canne à pêche de professionnel. Repas en famille. Courses cyclistes sur piste à Landerneau (N/B puis couleur).

Par : Cinémathèque de Bretagne

vignette
picto
Gymnase de Mescoat, allée de Mescoat (Landerneau)
Halle de sports composée d’une aire de jeux de 40 m x 20 m avec locaux annexes, vestiaires, sanitaires et local technique. Structure extérieure en agglomérés cimentés destinés à recevoir une peinture. Charpente lamellé avec revêtement toiture en bardeaux d’asphalte.Le 27 février 1979, le conseil municipal retient le projet des établissements Joncquez "qui ont déjà édifié plusieurs salles de sport dans la région, dont une à Lesneven". Il approuve le montant de la dépense estimé à 1,4 MF et donne mandat au maire de passer le marché. L'arrêté d'approbation technique est signé le 19 juin 1979 et le permis de construire le 27 juillet. Le projet bénéficie d'une subvention de 500 000 F au taux de 34,86%. Le chantier démarre le 7 septembre 1979. La réception des travaux est prononcée le 15 avril 1981 avec effet au 31 octobre 1980.
Auteur(s) du descriptif : Bonnet Philippe

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
La Société Linière du Finistère
La Société Linière du Finistère s'étendait sur environ 16 hectares à la sortie est de la ville. Le site comprenait des bâtiments et un étang de retenue (environ 6 ha).Le mémoire établi lors de la liquidation des biens de la Société, en date du 25 janvier 1892, nous en donne une description précise. Le site comporte plusieurs bâtiments, dont les descriptifs et dimensions sont indiqués en annexe dans la transcription du document, conservé aux archives départementales du Finistère sous la cote 7 M 247.Trois ensembles de bâtiments sont encore visibles actuellement sur le site, chacun étant dans un état plus ou moins bien préservé. Ces ensembles architecturaux sont partagés entre deux types de matériaux : la pierre et la brique.La Peignerie et le scutcher. La Peignerie est un bâtiment de forme rectangulaire et longitudinale (n°33 sur le plan). Il est constitué de pierres ainsi que de briques pour l’encadrement de la porte. L’élévation se fait sur deux niveaux, avec un rez-de-chaussée et un premier étage, et un toit en éverite. Le long du rez-de-chaussée de la Peignerie se trouve, complètement accolé, le bâtiment nommé « scutcher » (n°34 sur le plan) qui n’a qu’un niveau et dont le toit est manquant. Le nom de ce bâtiment provient de l'anglais scutching-machine (teilleuse) et qui était aussi appelé "moulin irlandais" ; la mention "scotcher" se retrouve aussi, cependant ce n'est qu'une déformation du mot d'origine. L’ensemble général des bâtiments est délabré, la végétation est plutôt dominante. Côté rivière, des latrines en brique et un accès par un escalier qui donne directement sur la rivière sont à noter. De plus, des vestiges d’une passerelle qui passait par-dessus l’Elorn sont encore visibles. Ajoutons à cela, que deux "roues" ou "meules à chanvre" ont été retrouvées sur le site, dans une propriété privée. Toutes deux en granite, elles mesurent 2 mètres de diamètre pour 50 centimètres d'épaisseur, et elles pèsent dans les 4 tonnes.Les magasins liniers. Le deuxième ensemble de bâtiments encore préservé est celui qui est en bordure de route, dans la rue des Écossais. Sur l’ensemble actuel, ce sont au moins deux bâtiments d’origine qui sont accolés, chacun s’élevant sur deux niveaux : l’habitation-bureaux pour le premier (n°20 sur le plan) et les magasins de lins et fils au rez-de-chaussée du second du bâtiment (n°21 sur le plan), avec au premier étage les marchands et les outils. Ils forment ainsi un ensemble longitudinal à multiples travées. L’encadrement est de pierre pour la porte principale et de brique pour la secondaire, et les fenêtres sont encadrées de béton.La blanchisserie. Enfin, construite le long de l’Elorn, se trouve l’ancienne blanchisserie (n°2A sur le plan). L’état actuel de ce bâtiment laisse voir deux affectations différentes qui se sont succédées dans le temps et qui se retrouvent dans le choix des matériaux encore visibles dans la structure en ruine. En effet, dans un premier temps se trouvait la blanchisserie qui était constituée de pierre et s’élevait sur deux niveaux : la blanchisserie en elle-même au rez-de-chaussée et le séchoir à l’air libre au premier étage. Aujourd’hui, les parties architecturales de la blanchisserie ne sont qu’apparentes par le matériau (la pierre) et par l’élévation marquée par les huit piliers qui subsistent, tandis que le toit, lui, a disparu. La blanchisserie reste visible de loin grâce aux trois pignons restants côté ouest et qui devaient marquer les trois vaisseaux composants de la structure (voir ill. « Ancienne filature » pour visualiser une comparaison). Et dans un second temps, la briqueterie a investit les lieux de l’ancienne blanchisserie. Les vestiges que nous pouvons observer imbriquent alors à la fois celles de la blanchisserie et celles de la briqueterie, distinguables par leur principal matériau de construction (respectivement la pierre et la brique).La manufacture du Léon qui fabriquait les Crées, ces toiles de lin qui étaient exportées par les ports de Landerneau et Morlaix, était « gérée » par les négociants (Heuzé, Radiguet, Homon, Goury, Le Roux), souvent également armateurs de ces deux villes.Dans un premier temps (début du XXe siècle) ils ont organisé le tissage en ateliers, comme celui installé au couvent des Capucins, où, en 1820, 160 métiers environ tissaient le lin, le coton, les siamoises de couleur, le linge de table mais principalement des toiles à carreaux, fil bleu d’épreuve, façon de Bruges et de Lille.Si les premières étapes de la transformation de la fibre ne pouvaient se faire que manuellement, ils ont souhaité prendre modèle sur les Anglo-saxons, en avance sur la mécanisation, pour le filage et le tissage. C’est ainsi que peu à peu ils ont opté pour l’installation d’une usine pour produire de la toile en quantité et en qualité capable de répondre au cahier des charges de la Marine. Le lieu d’implantation a été choisi en fonction de l’énergie nécessaire au fonctionnement des machines, en l’occurrence, à l’est de la ville sur les bords de l’Elorn afin de profiter de la force hydraulique de la rivière.Ils déposent les statuts de la Société Linière le 22 août 1845 (voir en annexe), avec comme associés (qui seront, pour certains, suivit par leur fils) René Poisson (1768-1854) ; Joseph et Charles Goury (1779-1869/1815-1885) ; Jean-Isidore Radiguet (1792-1862) ; François et Gustave Heuzé (1789-1852/1821-1898) ; Guillaume et Albert Le Roux (1794-1868/1836-1912).Les machines sont achetées pour la plupart en Irlande. Le personnel est recruté sur place mais la Société Linière attire également des ouvriers d'autres communes finistériennes (Plounéour-Ménez, Commana...) et d’autres pays de tisserands, tel que les Côtes d’Armor. Afin de former et d'encadrer les ouvriers bretons, les négociants pré-cités font venir des contre-maîtres et ouvriers spécialisés Écossais.Ceux-ci forment alors une véritable communauté, ont leur pasteur, leur école dans le « quartier des Écossais ». Les bâtiments d'habitation des contre-maîtres sont toujours visibles près de la voie ferrée.L'apport des actionnaires dans la société est constitué principalement de blanchisseries ou d'ateliers de tissage répartis sur un territoire qui va de Landerneau à Ploudiry, Landivisiau, Saint-Sauveur, Commana, Plourin. D'autres ateliers de tissage ont été construits et mis en œuvre ultérieurement (Guimillau).Le principal client de la Société sont la Marine Royale qui passe commande pour des toiles à voile, vareuses, chemises, pantalons et manches à eau, et I‘Administration de la Guerre pour laquelle elle fabrique des toiles « à tentes de soldats et d’officiers », ainsi que pour les sacs de campement.Le lin n’est pas acheté sur pied, l'ensemble des essais de rouissage industriel ayant échoué, la Société achète le lin roui qu’elle stocke au couvent des Capucins, stockage qui devient le rôle principal de la communauté après la construction des nouveaux bâtiments de la filature à I‘entrée de la ville (1847). C’est aussi au couvent des Capucins que se font I'emballage et I‘empaquetage des fils et toiles, le marquage, la couture ; pour cela, la Société emploie une soixantaine d’ouvriers.L'arrivée de la Marine à vapeur entraînant la perte du marché de la Marine et la difficulté d'un approvisionnement homogène, vont, entre autres, conduire à la fermeture de la Société Linière du Finistère en 1891. Après la liquidation, les bâtiments sont repris par la Grande Briqueterie.Aujourd'hui, ils sont encore partiellement visibles, certains dans un état de délabrement avancé car situés en zone inondable.
Auteur(s) du descriptif : Le Gall-Sanquer Andrée

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Eglise de Beuzit-Conogan (Landerneau)

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Maison du 17e siècle, place Toul-Coq (Landerneau)

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Ancien couvent des Capucins, 2, 4 rue des Capucins

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Petit gymnase du lycée de l'Elorn, 10 place de l'é
Gymnase de type A (20 m x 11,50 m). En 1994, les châssis de la façade ouest ont été remplacés par des châssis vitrés en aluminium laqué.Le 3 mai 1955, le général des Bâtiments de France examine le projet d’aménagement de la caserne Taylor en internat de garçons et de jeunes filles et note que « les plans de la salle de gymnastique ne figurent pas au dossier. Le service technique de l’équipement sportif devra être consulté sur cette construction. » Toutefois, la salle d’éducation physique est réalisée au cours des années suivantes puisqu'elle figure sur le plan de masse dressé par J.-B. Mathon en mars 1961 parmi les bâtiments déjà construits. Le gymnase fait l'objet de travaux en 1994 (modification de la façade ouest).
Auteur(s) du descriptif : Vely Simon ; Bonnet Philippe

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Al labour-douar biologik [La culture biologique]
Mont a ra doareoù al labour-douar biolojik, war ziorroiñ e Breizh, a-enep krenn da voazioù modern al labour-douar. [Les méthodes de l'agriculture biologique, minoritaire mais en développement, vont à l'encontre des réalités de l'agriculture moderne et productiviste.]

Par : INA

vignette
picto
Film de l'O.C.
1/ Année 1953 Titrage « Un montage de films tournés de manifestations agricoles organisées par ses sociétés. Ces métrages n’ont aucune prétention, ils requièrent par avance votre bienveillante, indulgence. Merci » Titrage « Brest - la foire exposition » Exposition de matériels agricoles sur différents stands dont celui de l’Office Central Agricole du Finistère et des Côtes du Nord. Stand présentant des barattes, stand des Eaux et forêts, de la BP, exposition de herses, batteuses… Stand de la Station de recherche de Milizac, du Centre d’insémination artificielle du Finistère et des Côtes du Nord et de ses stations. Présentation de taureaux. Panneau « Assemblées générales des caisses mutuelles de réassurance agricole du Finistère, des Côtes du Nord et d’Ile et Vilaine ». Foule rassemblée devant le bâtiment du Vox, défilé, en début du cortège, une personne porte une gerbe de fleurs, arrêt du défilé devant une statue cassée (en bas de la place de la Mairie non loin de la Poste), dépôt de gerbe, les participants font une minute de silence. Titrage « Le congrès national des coopératives agricoles et reconstruction » Façade du cinéma Comoedia. Assistance nombreuse des congressistes, apéritif au champagne. Les congressistes descendent d’un car. Visite des services administratifs de l’Office Central (appelés La Mécano), femmes au travail dans le bureau de la comptabilité. Les congressistes posent sur les marches de la Maison Carrée siège de l'Office Central de Landerneau. Visite d’une ferme puis embarquement sur un bateau pour une promenade en mer. Titrage « Le 26 juin 1953, la fête de l’amitié. L’Office Central honore son président » Médaille destinée à Hervé de Guébriant filmée recto verso. Discours officiels devant les adhérents très nombreux. Remises de médailles. Spectacle avec des danses folkloriques du Sud puis duo de chanteurs. Collation dans la cour de l’OC. Les serveuses portent des tabliers blancs. Discours, apéritif, médaillés. Titrage « Le Tour de l’Ouest » 1953. Passage du Tour de l’Ouest devant le bâtiment de l’Office Central des Associations agricoles du Finistère et des Côtes du Nord. Titrage « Dinan – Assemblées générales des coopératives agricoles » Construction du hangar qui va accueillir les participants à l’AG. Arrivée des nombreux bus qui amènent les représentants des coopératives agricoles. Les participants émargent la feuille de présence. Publicité Sanders. Des cuisiniers et des serveuses femmes s’activent à la préparation du repas. Rangées de tables disposées pour le repas. Dépôt de gerbes au monument aux morts. Arrivée des officiels. 2/ Année 1954 Titrage « Assemblées générales des caisses mutuelles de réassurance agricole du Finistère et des Côtes du Nord ». Arrivée des participants en cars à Guingamp. Préparation de la salle du banquet. Rassemblement pour aller déposer une gerbe au monument aux morts. Stand de tissus et de rubans. Ballet des serveurs pendant le service du repas. Salle pendant le banquet. Discours. Titrage « Un conseil d’administration » Porte d’entrée de la salle du conseil d’administration appelée "le sous-marin". A gauche, H. Belbéoc'h, ingénieur agro, Lareur de Plouzané avec le chapeau, Morvan de Saint Ségal. Les administrateurs entrent dans la salle. Séance du conseil puis les administrateurs posent sur les marches de la Maison Carrée, siège de l'OC de Landerneau. On y voit : Mrs de Guébriant, Belbéoc'h à gauche, Mr Priser au dessus du monsieur qui a un bonnet rond, Mr du Buit au premier rang qui n'a pas enfilé la manche de son manteau. Titrage « Landerneau – Assemblées générales des coopératives agricoles » Défilé pour aller déposer une gerbe devant une plaque en hommage aux « Morts pour la France ». Quai de Léon. Titrage « Les plus de 20 ans » Un groupe pose sur les marches de l’OC (présence du docteur Le Bras). Titrage « La sortie du personnel » Cour intérieure de l’OC, sortie du personnel au son de la sirène. Victor Derrien tout seul. Manu Kerbaul, Louis Marrec, le deuxième à droite est Jean Kerdraon. Monsieur Vincent part tout seul avec son journal. Mr et Mme Brihan, les concierges. Mme Urvoas. Titrage « Charles Houdet reçoit la légion d’honneur » Médaille (1 plan en couleur). Remise de la médaille à Charles Houdet, directeur général jusqu'en 1958, par Mr de Guébriant, accolade, applaudissements, on perçoit le maire de Saint Thonan, discours et bouquet remis à Mme Houdet. A droite, Mr de Guébriant. Mr Le Berre, maire de Saint Thonan. FIN

Par : Cinémathèque de Bretagne

vignette
picto
Gabare de Brest
Une gabare de la rade de Brest : Le "Fleurs de mai" -port d'attache : Lampaul Plouarzel - chargements et transport de sables et déchargements à Landerneau puis à Lanvéoc.

Par : Cinémathèque de Bretagne

vignette
picto
Clocher Saint-Houardon à Landerneau : [dessin]

Par : Gallica

vignette
picto
Brasparts, années 50
Brasparts 1947 / N&B / Muet / Format d'origine : film 9,5 mm / Genre : documentaire amateur / réalisateur : M.LECOCQ M. Lecoq, ancien pharmacien, revenait régulièrement à Brasparts pour filmer les habitants dans leurs activités quotidiennes. Il filmait surtout dans la rue principale du bourg les jours de foire aux bestiaux, de fêtes religieuses, ou les sorties de messe. (nombreuses images de marché dont un plan avec un bonimenteur), mais aussi des gens qui se promènent ou font leurs courses. Fête à Landerneau. Séquence montrant la campagne autour de Brasparts avant le remembrement.

Par : Cinémathèque de Bretagne

Afficher le widget sur mon site Voir tous les documents
X

Afficher le widget sur mon site

Vous pouvez afficher le ce widget sur votre site en insérant le code suivant :

<iframe src="https://www.breizhapp.net/widgetbretania/index.php?set=wgt_landerneau"></iframe>

Vous pouvez également voir la liste de tous les widgets à l'adresse suivante Liste des widgets