Le patrimoine de Concarneau Cornouaille Agglomération

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Saint-Ivy - Barrière
BARRIERE 4 monts interm. + 2 traverses interm.

Par : Dastum

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Robe blanche et cravate rouge
Extrait du film de Victoria Llanso et Jean Barral. La communion solennelle de Noella Gouriou est l'occasion de partager la vie quotidienne d'une famille ouvrière du Sud-Finistère, entre les communes de Trégunc et Concarneau.

Par : INA

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Moulin à papier, Kermentec (Pont-Aven)
Le moulin à papier devient une minoterie vers 1840, sous l'appellation "moulin David". Le moulin à farine a fonctionné jusque dans les années 1960. Aujourd'hui, c'est une maison d'habitation.Le moulin n'a plus sa roue (roue verticale). Son bief est toujours visible. Une pile à maillets est visible dans la cour du moulin. La pile à maillets est un élément identitaire des moulins à papier : des maillets en bois cloutés actionnés par l'arbre à cames viennent frapper les chiffons et l'eau dans des auges en granit creusées de plusieurs trous afin de fabriquer la pâte à papier. La pile du moulin de Kermentec mesure 2,20 x 0,45 x 0,30 mètres. Les 3 trous creusés n'ont pas des dimensions identiques : 0,65 x 0,30 m ; 0,60 x 0,30 m ; 0,30 x 0,25 m.Le Moulin à papier de Kermentec, nommé ensuite Moulin David, est situé dans la ville-port de Pont-Aven. En amont de ce moulin, l’Aven est divisée en deux parties par une série de petits ilots qui sont devenus l’«Ile», la branche droite nourrissant le bief du moulin.Ce moulin est l’un des seuls de Pont-Aven qui n’existait pas avant la Révolution. Il est construit par Joseph Marie Alexis Nicolas Affichard sur un terrain acheté à la famille de la Villemarqué. L'Etat des papeteries de l'arrondissement de Quimper (12 mai 1829) indiquel'existence de deux papeteries employant chacune 6 ouvriers et fabriquant chacune 7 800 rames de papier. Le 2ème moulin n'a pas été localisé. En 1840, le moulin de Kermentec est saisi et adjugé par le Tribunal de Quimperlé. L'acquéreur le revend à Amédée David qui en fait une minoterie. Il est appelé à cette époque le Moulin David. Paul Gauguin a immortalisé, en 1894, le Moulin David dans un tableau qui est actuellement propriété du Musée d'Orsay. Daucho a également peint ce moulin en 1943.
Auteur(s) du descriptif : Leroy-Déniel Caroline

Par : L'inventaire du patrimoine

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A la fontaine - Jeune fille de Trégunc aux environ
Jeune fille tenant une jarre

Par : Dastum

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War-lerc'h ar gorventenn e Melven ha Kernevel [Apr
Marvet eo un den hag ur bern traoù a zo bet distrujet e Mêlwenn hag e Kernevel gant ar gorventenn spontus a zo bet. Fromet-tre eo an dud eno. [Les dégâts sont très nombreux après les tempêtes qui ont sévi à Melgven et à Kernevel, et un mort est à déplorer. Il va falloir beaucoup de temps et d'argent pour réparer tous les dégâts.]

Par : INA

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Château de Landanet (Elliant)
Edifice de plan massé symétrique, le corps central étant encadré de deux pavillons symétriques en légère saillie ; élévation ordonnancée.Château 19e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Lauranceau Elise

Par : L'inventaire du patrimoine

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Boued fardet evit an dud kozh [Livraison de repas
E Eliant e vez servijet boued fardet d'an dud kozh a sav ar goulenn. Un digarez mat eo evito evit kenderc'hel da zebriñ a bep seurt traoù. [A Elliant, les personnes âgées se font livrer plusieurs repas par semaine, en liaison froide. Une bonne manière pour eux de continuer à manger varié, chez soi, quitte à payer un peu plus cher.]

Par : INA

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Pont Aven : Une jeune mariee

Par : Dastum

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Bateau de liaison Archipel (Archipel des Glénan)
Bateau de service de l’école de voile assurant les liaisons entre Concarneau et les îles de l’Archipel des Glénan. Le cahier des charges prévoit qu’il soit insubmersible, qu’il puisse transporter 50 passagers ou 6 tonnes de charge et remorquer 5 ou 6 bateaux.Il est conçu comme léger et rapide, navigant bien dans une mer formée. C'est une construction classique en bordé sur membrures. Il a des échantillonnages supérieurs aux constructions classiques afin de supporter ragages et heurts. L’insubmersibilité est assurée par 3 cloisons étanches divisant la coque en 3 compartiments et 4 m2 de matériaux expansés. Il est toujours en service en 2014. Aujourd’hui il est perçu comme un bateau lourd (13 tonnes sans chargement), avec beaucoup d’inertie en comparaison aux bateaux modernes (l’Archipel parcourt 100 à 150 mètres sur son erre une fois le moteur arrêté). Il est franc, offrant une bonne réponse aux commandes. La coque est peinte en vert, jaune et blanc, du liston à la ligne de flottaison. Les dimensions de l’Archipel furent déterminées par la surface du pont devant accueillir 50 passagers. Le maître bau a été déterminé en fonction de la taille du pont, et reste quasiment identique du tableau au gaillard avant. La taille maximum de l’Archipel fut contrainte par les dimensions de l’atelier. Le moteur détermine la taille de l’hélice qui elle-même détermine le tirant-d’eau. Les formes de la carène ont été dessinées ensuite, plaçant les volumes des cales : formes avant maigres, œuvres mortes évasées afin d’éviter d’avoir un bateau mouillant.L’hélice (60 cm de diamètre environ) et le safran compensé sont avancés au maximum afin de gagner en maniabilité.A l’origine une propulsion mixte était prévue : un moteur diesel pour diminuer les risques d’incendie, robuste, simple, nécessitant un minimum d’entretien (résiste à l’eau de mer), un moteur Baudoin, 2 cylindres, 50CV, démarrage à l’air comprimé. Il s’est avéré être un peu faible et sera changé rapidement.Voilure sur le mât de charge : grand-voile à livarde et foc, permettant de mieux manœuvrer, de marcher mieux au vent de travers et de remédier à une panne de moteur.En 1962-63, le moteur est changé pour un plus puissant : moteur Baudoin, 3 cylindres, 75 CV, 2 tonnes.Depuis 2002-2003 : Moteur Volvo de 150 CV, 6 cylindres, 900 Kg. La puissance ne change pas car l’hélice est la même.Démarrage sans préchauffage, plus simple mais plus fragile : il ne résiste pas une immersion dans l’eau de mer, contrairement au moteur Baudoin.Le bateau Archipel est lancé le 21 juin 1959 à Concarneau où son baptême est célébré. Son parrain est Corentin Le Roy et sa marraine, madame Jean Laurent, femme du constructeur. Philippe HARLE (1931-1991), célèbre architecte naval français dessine l’Archipel en 1958. Philippe Harlé arrive au Centre nautique des Glénans en 1952, comme stagiaire, et devient vite moniteur, fort de son expérience de régatier sur Caneton. Salarié permanent de l’association, il est chargé de l’organisation des croisières, de la mise au point des règles de sécurité, des choix et de l’invention du matériel nautique. En 1955, il est directeur technique de l’école de voile. Il conçoit Archipel et un autre bateau de liaison, Pen a Men. Archipel est le premier bateau construit par l’atelier des Glénans, sous la direction et par Jean-Louis Goldschmid et Jean Laurent, l’un des charpentiers constructeurs de Sereine, devenu permanent de l’association. C'est un bateau de service dit « de liaison », à moteur.Les bateaux de liaison ont une place très importante dès les débuts de l’installation de l’école de voile sur le site de l’archipel des Glénan (Le Rebelle, La Chimère, Le Berceau du marin, La Diligence, La Perle, Archipel, Pen A Men, etc.).
Auteur(s) du descriptif : Brulé-Josso Stéphanie

Par : L'inventaire du patrimoine

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Canot de sauvetage, Commandant Garreau (Archipel d
Canot pointu aux extrémités, un peu plus fin de l’arrière que de l’avant. Les extrémités sont fortement relevées et protégées par des tambours en dos d’âne, qui forment deux caisses à air.Le canot de sauvetage est insubmersible, se redresse spontanément et se vidange automatiquement.Redressement spontané après chavirage : 5 secondesEvacuation de l’eau après redressement : 23 secondesAvec 880 kg à 0m85 de l’axe : inclinaison de 20°L’équipage est de 12 hommes.Le gréement : les 2 mâts, de misaine à l’avant et le grand mât à l’arrière, sont positionnés pour ne pas gêner les manœuvres des canotiers et de la barre. L’inconvénient est un centre de voilure très avancé, rendant le bateau mou à la barre. La dimension des mâts : mât de misaine : 4m69, grand mât : 4m56. Le gréement de type « flambart », courant en Manche : 2 voiles au tiers et un foc. La grand-voile, ou « taillevent », est située à l’arrière, d’une surface plus faible que la misaine, à l’avant.Surface de voilure de 15 m² 42, foc : 2m² 07, 2 voiles au tiers : Misaine de 7m²52, Grand voile de 5m²83.10 avirons de nage (5 couples) : verts à tribord et blancs à bâbord d'une longueur de 3m80.La coque est en bois à double bordé croisé en teck (et non plus en acajou comme dans les canots précédents).Les deux couches de bois sont superposées et croisées à 45°, séparées par une toile imprégnée de glu marine ou de peinture. Les coutures ne sont pas calfatées mais garnies de coton retenu par un masticage et la peinture.La coque est maintenue sur la quille par une carlingue. Le tout est traversé par des boulons à écrous.Il n’y a pas de membrures intérieures au-dessus des varangues.La coque est peinte en vert au-dessus de la ligne de flottaison et en blanc en-dessous.Dans les années 1950, l'école de voile des Glénans acquiert quatre anciens canots de sauvetage, propulsés à la voile et à l’aviron, la Société Centrale de Sauvetage des naufragés les remplaçant par des vedettes à moteur.Au centre nautique, ces canots de sauvetages destinés à l’apprentissage de la navigation sont appelés « Choses ». Ils sont également désignés comme des «baleinières», du fait de leur nouveau gréement.Dates d’arrivée des Choses aux Glénans : 1951 - Le Petit Chose (Ex Eline et Sophie) de la station du Cap Lévi (N° 43) - 1956 - Le Flying Chose ( Ex Benoît Champy) de la station de Cayeux (N° série 79) - 1958 - Le Grand Chose (Ex Commandant Garreau) de la station de Grandcamp (N° série 61) - 1958 - Le Marie Chose (Ex Gabiou Charron) N° 1 de la station La Cotinière, île d’Oléron. A la même période, l’école de voile acquiert un autre ancien canot de sauvetage de la station de Lesconil lancé en 1911, l’Amiral de Maigret. Issu d’une série de canots postérieure construite par les chantiers Augustin Normand, il est plus court (9m80) et plus large (2m60) que les Choses. Gréé en goélette et motorisé (25 CV), et rebaptisé la Diligence, il sert de bateau de liaison entre Concarneau et les îles, jusqu’en 1960.Les Choses des Glénans appartiennent à la série des canots de 10m10 dessinés par Jacques-Augustin Normand (1839-1906) et construits au chantier Augustin Normand, situé au Havre, entre 1878 et 1907. Cette série est inspirée des canots précédents (aspect général avec dômes avant et arrière ; qualités d’insubmersibilité, de redressement spontané, de vidange automatique de l’eau embarquée) mais avec des lignes d’eau améliorées.1887 – Petit Chose (Eline et Sophie, N°série 43), 1894 – Grand-chose (Commandant Garreau, N°série 61) 1901– Flying Chose (Benoît Champy, N° série79) 1902– Marie Chose (Gabiou Charon N°1).
Auteur(s) du descriptif : Brulé-Josso Stéphanie

Par : L'inventaire du patrimoine

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Complexe sportif du Porzou, allée Pierre de Couber
La halle de tennis construite en 1993 réunit deux courts couverts sous une charpente en lamellé-collé. On lui a adjoint en 2004 un équipement sportif de 3 907 m² répondant à des besoins scolaires et pouvant accueillir des compétitions de sports collectifs au niveau national (principalement hand-ball et volley-ball). Le plateau sportif se compose d’une salle omnisports de 44 x 40 m avec tribunes latérales, capable d’accueillir 1 terrain de hand-ball, ou 2 terrains de volley-ball, ou 9 terrains de badminton ; d’une salle de tennis de table de 578 m² capable d’accueillir également de la gymnastique de type GRS scolaire ou associative, de la danse scolaire ou associative, ou encore de l’escrime ; et enfin une salle d’arts martiaux de 330 m². La charpente de l'édifice est en bois lamellé-collé, de forme cintrée pour la salle principale. Le parement extérieur de l'impressionnant volume allie béton apparent et bardage métallique, de teinte bleue.Outre le stade et la salle omnisports construite en 1969 pour les besoins du lycée, le complexe sportif du Porzou comprend aujourd'hui une salle spécifique de tennis mise en service en 1993 et une halle de sports inaugurée le 3 septembre 2004. La première, due à l'architecte quimpérois J. Bodereau, a fait l'objet de permis de construire le 14 octobre 1991 (modifié le 2 décembre 1992) et le 5 octobre 1994 pour une extension. La seconde, conçue par les architectes Liès Laïdi et Bernard Chateigner. a remplacé un précédent équipement démoli en 1999.
Auteur(s) du descriptif : Vely Simon ; Bonnet Philippe

Par : L'inventaire du patrimoine

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Plan de Concarneau

Par : Gallica

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Entrée de la ville de Conquerneau
Ancien possesseur : Argenson, Antoine-René de Voyer (1722-1787 ; marquis de Paulmy d'). Ancien possesseur

Par : Gallica

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Pesketa gwechall

Par : Dastum

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Evit eizh kwenneg 'peus ur plac'h/Waet 'eo ma yari

Par : Dastum

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Concarneau

Par : Dastum

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Ouragan dans le Finistère sud
Le 15 octobre 1987, une violente tempête a touché la Bretagne. Les dégâts sont considérables, notamment dans le Finistère Sud, à Concarneau. Des toitures se sont envolées et le port de plaisance est dévasté.

Par : INA

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A Concarneau
La ville de Concarneau, fondée au Moyen Age, est située dans le Finistère Sud. Sa ville close accueille les touristes. Mais la principale activité économique de la ville est son port de pêche.

Par : INA

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Bord de mer

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Les Glénans ; port et bateaux

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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