Le patrimoine de Concarneau Cornouaille Agglomération

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Église paroissiale Saint-Marc
Plan en croix latine de trois vaisseaux. Chevet plat flanqué de deux sacristies : l´une au nord de plan octogonal avec toit en pavillon, l´autre au sud de plan rectangulaire et à toit en appentis en zinc. Au niveau de la troisième travée, porches nord et sud hors-oeuvre. Tour-porche occidentale hors-oeuvre, chambre de cloches de plan carré cernée de balustres et surmontée d'une flèche en maçonnerie ajourée ornée de crochets et encadrée de quatre gâbles et quatre pinacles. Gros oeuvre à l´extérieur en grand appareil de pierre de taille de granite et à l´intérieur en moellon de granite enduit partiellement de ciment, à l'exception des encadrements de baies et des chaînages d´angle, en pierre de taille de granite. Nef aveugle à cinq travées couverte d'un lambris avec entraits verts à engoulants rouges et poinçons. Arcades en arc brisé pénétrant directement dans les colonnes. Choeur à deux travées avec bas-côtés. Sol couvert de dalles de granite.L´église est construite en 1866 d´après les plans de l´architecte diocésain Joseph Bigot par Martineau et Bonduel (entrepreneurs de Concarneau) et par Jean-Louis Le Naour pour les travaux d'art, sur l´emplacement d´un édifice plus ancien.
Auteur(s) du descriptif : Fauchille Gwénaël

Par : L'inventaire du patrimoine

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Église paroissiale Saint-Joseph
Plan en croix latine à trois vaisseaux. Chevet à pans coupés. Sacristie au nord au niveau de la cinquième travée. Porche sud hors-oeuvre dans l´alignement de la troisième travée. Porte occidentale en arc brisé inscrite dans un avant-corps coiffée d'un clocher à chambre de cloches ajourée, amortie d´une flèche hexagonale à crochets. Gros oeuvre en moellon enduit à l´exception de l´élévation occidentale et des encadrements des baies et des chaînages d´angle, en pierre de taille. Deux chapelles latérales, l´une au nord, l´autre au sud, au niveau de la septième travée, formant un faux-transept. Nef à sept travées couverte d'un lambris peint en bleu avec entraits à engoulants. Arcades en arc brisé pénétrant directement dans les piliers carrés chanfreinés. Sol couvert de dalles de granite.Eglise construite d'après les plans de l´architecte diocésain Joseph Bigot entre 1874 et 1875, par Louis Bergé entrepreneur de Pont-Aven et par Jean-Louis Le Naour pour le clocher. L´étroitesse du terrain acquis par la commune pour la construction de cet édifice a guidé le plan et notamment la réalisation d´un faux-transept.
Auteur(s) du descriptif : Fauchille Gwénaël

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bateau de compétition, voilier, dit "Sereine" (Arc
Cotre bermudien de 12,50 m hors tout (9,40m à la flottaison) pour un maître bau de 3, 40m.Construction en bois à franc bord. La quille, l'étrave, l'étambot, l'allonge de voute, le tableau arrière, les membrures et le barrotage (50 mm) sont en chêne, les bordés de 33 mm sont en acajou et rivets en cuivre. Les bordés de pont sont en avodiré de 40 mm. Le voilier est de 12 tonnes dont la quille est de 3 tonnes de fonte et 2 tonnes de gueuses à l'origine.Le gréement du cotre bermudien ou marconi est composé de : Grand-voile triangulaire qui se hisse le long d’un mât dit marconi, d'une trinquette sur le bas-étai, de focs (Yankee et « Nao ») sur l’étai. Le Jeu de voile d’origine comprenait : grand-voile (34,60 m²), voile « suédoise » (28 m²), génois (50,70 m²), plusieurs yankee 1 (24,50 m²) yankee 2 (15,20 m²), foc Nao (15,40 m²), trinquette de route (15,10m²), trinquette génoise (25,20 m²), tourmentin (8m²), spinnaker (120 m²). Le mât en spruce de 14 m 50, avec deux hauteurs de barres de flèche, a été fabriqué par une menuiserie de Castelnaudary. Le renvoi des manœuvres se fait au pied de mât. Il existe deux bastaques et tangons de spi avec cloches de fixation sur le mât. A été motorisé.1947/1948- Philippe Viannay, à l’origine de la création du Centre Nautique des Glénans, découvre dans le magazine Le Yacht des plans d’un voilier correspondant à son projet de navigation circumterrestre.L’architecte contacté, Henri Dervin, lui conseille d’autres plans, qu’il a dessinés en 1944 et lui propose de découvrir un exemplaire du bateau, en construction à Meulan.En 1948, conquis, Philippe Viannay décide de lancer la construction du voilier en Bretagne, à Pont-Aven. Cependant, par manque de moyens financiers, la construction de Sereine est ajournée. Le bateau est alors racheté par des quirataires, anciens stagiaires de l’association devenus moniteurs : la construction de Sereine est reprise en 1950. En 1951 le voilier est lancé à Pont Aven. En 1952 les premières croisières ont lieu avec Henri Desjoyeaux comme 1er chef de bord. En 1954 : Croisière Brixham-Belle-île, 1955-Croisières : Espagne - Plymouth/La Rochelle – La Rochelle/Bénodet. De 1955 à 1958 – Rachat des parts de propriété par le Centre Nautique des Glénans.Les courses en haute mer (1956-1977) :1956 – Participation à la course des Grands voiliers Torbay-Lisbonne, organisée par la Sail training association : 3ème place 1958 : Course des Grands voiliers, Brest-Les Canaries, sous le commandement de Philippe Harlé puis de Jean-Louis Goldshmid au retour : 2ème place1960 : Course des grands voiliers, Oslo-Ostende : 3ème place 1962 : Course des grands voiliers, Torbay-Rotterdam : 2ème place 1964 : Intégration de la flotte du CICG (Groupe International de Croisière des Glénans) 1965 : Participation course du Fastnet1966 : Course des Grands voiliers Falmouth-Skagen : 1ère place1968 : Course des Grands voiliers : remonte la Tamise jusqu’à Londres 1977 : Arrêt des navigations au sein du CICG 2006 : 50ème anniversaire de la Course des grands voiliers, St Malo-Torquay-Lisbonne : prix du voilier vétéran, 10ème dans sa catégorieFormation des moniteurs :1964 – Affirmation d’un rôle central dans la formation des chefs de bord et des chefs de centre. 1977 à 1998 – Suite à l’arrêt des courses en haute mer : réaffirmation du rôle de formation des chefs de bord et moniteurs entre La Rochelle et le sud de l’Angleterre1998 à 2005 – Arrêt des navigations 2005 – Formation juniors et adultes sur stages niveaux 3 et 4 voiles, 1998 : Arrêt des navigations1999 : L’école de voile des Glénans fait un appel aux dons pour la réfection de Sereine et entreprend une démarche de classement au titre des Monuments Historiques. Une souscription est lancée.2001 : La Sereine est classée au titre des Monuments Historiques sous condition de continuer à assurer la formation des moniteurs. Elle fait alors partie des 114 bateaux classés Monuments Historiques en France.La fiche d’inventaire décrit un mauvais état : membrures cassées ; parties du pont et du bordé à remplacer ; pourriture du rouf, des barrots et des aménagements intérieurs.2003 : Un groupe de pilotage assure le suivi de la rénovation. Le financement du projet est assuré par une collecte de dons des adhérents et l’attribution de subventions du Ministère de la Culture, de la DRAC de Bretagne, du Conseil régional de Bretagne, du Conseil Général du Finistère et de la Mairie de Concarneau.2004 : Début de la restauration par le chantier du Guip, à Brest. Relance de la formation des chefs de bord capables de diriger le bateau. Appel aux mécènes : le Crédit Coopératif et Volvo Penta s’engagent.2005 : Mise à l’eau de la Sereine restaurée, qui rejoint Concarneau, son port d’attache. Reprise des stages de formation.Les rassemblements de voiliers anciens :1986 et 1988 – Course des vieilles coques à Concarneau : 1ère place1999 – Concours « Une semaine sans moteur », association des vieux gréements Granvillais : 1ère place1996 – Brest 96 et Course des Vieilles coques à Concarneau2004 – Brest 2004 : ouverture du chantier de restauration au public 2005 – Coupe des 2 phares2006 - Course des Grands voiliers (50ème anniversaire)L'architecte de Sereine, Henri Dervin, a construit d'autres bateaux mythiques comme "Les 4 vents" de Marcel Bardiaux et "Kurun" de J.-Y. Le Toumelin classé en 1993.
Auteur(s) du descriptif : Le Moigne Clémentine ; L'Haridon Erwana

Par : L'inventaire du patrimoine

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Robe blanche et cravate rouge
Extrait du film de Victoria Llanso et Jean Barral. La communion solennelle de Noella Gouriou est l'occasion de partager la vie quotidienne d'une famille ouvrière du Sud-Finistère, entre les communes de Trégunc et Concarneau.

Par : INA

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Château de Kerminaouët (Trégunc)
Edifice de plan allongé comportant un corps de logis rectangulaire accosté d'une tour hors-oeuvre. Maçonnerie de moellon avec encadrements de baies, lucarnes et fronton en pierre de taille.Château construit autour de 1900 par Charles Chaussepied, architecte à Quimper, sur le site d'un ancien manoir transformé en communs et partiellement détruit. Chapelle du 18e siècle restaurée. En 1870, un projet de restauration avait été étudié par l'architecte rennais Arthur Regnault et abandonné.
Auteur(s) du descriptif : Lauranceau Elise

Par : L'inventaire du patrimoine

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War-lerc'h ar gorventenn e Melven ha Kernevel [Apr
Marvet eo un den hag ur bern traoù a zo bet distrujet e Mêlwenn hag e Kernevel gant ar gorventenn spontus a zo bet. Fromet-tre eo an dud eno. [Les dégâts sont très nombreux après les tempêtes qui ont sévi à Melgven et à Kernevel, et un mort est à déplorer. Il va falloir beaucoup de temps et d'argent pour réparer tous les dégâts.]

Par : INA

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Pont Aven : La chaumiere du Moulin Neuf

Par : Dastum

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Bateau de liaison Archipel (Archipel des Glénan)
Bateau de service de l’école de voile assurant les liaisons entre Concarneau et les îles de l’Archipel des Glénan. Le cahier des charges prévoit qu’il soit insubmersible, qu’il puisse transporter 50 passagers ou 6 tonnes de charge et remorquer 5 ou 6 bateaux.Il est conçu comme léger et rapide, navigant bien dans une mer formée. C'est une construction classique en bordé sur membrures. Il a des échantillonnages supérieurs aux constructions classiques afin de supporter ragages et heurts. L’insubmersibilité est assurée par 3 cloisons étanches divisant la coque en 3 compartiments et 4 m2 de matériaux expansés. Il est toujours en service en 2014. Aujourd’hui il est perçu comme un bateau lourd (13 tonnes sans chargement), avec beaucoup d’inertie en comparaison aux bateaux modernes (l’Archipel parcourt 100 à 150 mètres sur son erre une fois le moteur arrêté). Il est franc, offrant une bonne réponse aux commandes. La coque est peinte en vert, jaune et blanc, du liston à la ligne de flottaison. Les dimensions de l’Archipel furent déterminées par la surface du pont devant accueillir 50 passagers. Le maître bau a été déterminé en fonction de la taille du pont, et reste quasiment identique du tableau au gaillard avant. La taille maximum de l’Archipel fut contrainte par les dimensions de l’atelier. Le moteur détermine la taille de l’hélice qui elle-même détermine le tirant-d’eau. Les formes de la carène ont été dessinées ensuite, plaçant les volumes des cales : formes avant maigres, œuvres mortes évasées afin d’éviter d’avoir un bateau mouillant.L’hélice (60 cm de diamètre environ) et le safran compensé sont avancés au maximum afin de gagner en maniabilité.A l’origine une propulsion mixte était prévue : un moteur diesel pour diminuer les risques d’incendie, robuste, simple, nécessitant un minimum d’entretien (résiste à l’eau de mer), un moteur Baudoin, 2 cylindres, 50CV, démarrage à l’air comprimé. Il s’est avéré être un peu faible et sera changé rapidement.Voilure sur le mât de charge : grand-voile à livarde et foc, permettant de mieux manœuvrer, de marcher mieux au vent de travers et de remédier à une panne de moteur.En 1962-63, le moteur est changé pour un plus puissant : moteur Baudoin, 3 cylindres, 75 CV, 2 tonnes.Depuis 2002-2003 : Moteur Volvo de 150 CV, 6 cylindres, 900 Kg. La puissance ne change pas car l’hélice est la même.Démarrage sans préchauffage, plus simple mais plus fragile : il ne résiste pas une immersion dans l’eau de mer, contrairement au moteur Baudoin.Le bateau Archipel est lancé le 21 juin 1959 à Concarneau où son baptême est célébré. Son parrain est Corentin Le Roy et sa marraine, madame Jean Laurent, femme du constructeur. Philippe HARLE (1931-1991), célèbre architecte naval français dessine l’Archipel en 1958. Philippe Harlé arrive au Centre nautique des Glénans en 1952, comme stagiaire, et devient vite moniteur, fort de son expérience de régatier sur Caneton. Salarié permanent de l’association, il est chargé de l’organisation des croisières, de la mise au point des règles de sécurité, des choix et de l’invention du matériel nautique. En 1955, il est directeur technique de l’école de voile. Il conçoit Archipel et un autre bateau de liaison, Pen a Men. Archipel est le premier bateau construit par l’atelier des Glénans, sous la direction et par Jean-Louis Goldschmid et Jean Laurent, l’un des charpentiers constructeurs de Sereine, devenu permanent de l’association. C'est un bateau de service dit « de liaison », à moteur.Les bateaux de liaison ont une place très importante dès les débuts de l’installation de l’école de voile sur le site de l’archipel des Glénan (Le Rebelle, La Chimère, Le Berceau du marin, La Diligence, La Perle, Archipel, Pen A Men, etc.).
Auteur(s) du descriptif : Brulé-Josso Stéphanie

Par : L'inventaire du patrimoine

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Canot de sauvetage, Commandant Garreau (Archipel d
Canot pointu aux extrémités, un peu plus fin de l’arrière que de l’avant. Les extrémités sont fortement relevées et protégées par des tambours en dos d’âne, qui forment deux caisses à air.Le canot de sauvetage est insubmersible, se redresse spontanément et se vidange automatiquement.Redressement spontané après chavirage : 5 secondesEvacuation de l’eau après redressement : 23 secondesAvec 880 kg à 0m85 de l’axe : inclinaison de 20°L’équipage est de 12 hommes.Le gréement : les 2 mâts, de misaine à l’avant et le grand mât à l’arrière, sont positionnés pour ne pas gêner les manœuvres des canotiers et de la barre. L’inconvénient est un centre de voilure très avancé, rendant le bateau mou à la barre. La dimension des mâts : mât de misaine : 4m69, grand mât : 4m56. Le gréement de type « flambart », courant en Manche : 2 voiles au tiers et un foc. La grand-voile, ou « taillevent », est située à l’arrière, d’une surface plus faible que la misaine, à l’avant.Surface de voilure de 15 m² 42, foc : 2m² 07, 2 voiles au tiers : Misaine de 7m²52, Grand voile de 5m²83.10 avirons de nage (5 couples) : verts à tribord et blancs à bâbord d'une longueur de 3m80.La coque est en bois à double bordé croisé en teck (et non plus en acajou comme dans les canots précédents).Les deux couches de bois sont superposées et croisées à 45°, séparées par une toile imprégnée de glu marine ou de peinture. Les coutures ne sont pas calfatées mais garnies de coton retenu par un masticage et la peinture.La coque est maintenue sur la quille par une carlingue. Le tout est traversé par des boulons à écrous.Il n’y a pas de membrures intérieures au-dessus des varangues.La coque est peinte en vert au-dessus de la ligne de flottaison et en blanc en-dessous.Dans les années 1950, l'école de voile des Glénans acquiert quatre anciens canots de sauvetage, propulsés à la voile et à l’aviron, la Société Centrale de Sauvetage des naufragés les remplaçant par des vedettes à moteur.Au centre nautique, ces canots de sauvetages destinés à l’apprentissage de la navigation sont appelés « Choses ». Ils sont également désignés comme des «baleinières», du fait de leur nouveau gréement.Dates d’arrivée des Choses aux Glénans : 1951 - Le Petit Chose (Ex Eline et Sophie) de la station du Cap Lévi (N° 43) - 1956 - Le Flying Chose ( Ex Benoît Champy) de la station de Cayeux (N° série 79) - 1958 - Le Grand Chose (Ex Commandant Garreau) de la station de Grandcamp (N° série 61) - 1958 - Le Marie Chose (Ex Gabiou Charron) N° 1 de la station La Cotinière, île d’Oléron. A la même période, l’école de voile acquiert un autre ancien canot de sauvetage de la station de Lesconil lancé en 1911, l’Amiral de Maigret. Issu d’une série de canots postérieure construite par les chantiers Augustin Normand, il est plus court (9m80) et plus large (2m60) que les Choses. Gréé en goélette et motorisé (25 CV), et rebaptisé la Diligence, il sert de bateau de liaison entre Concarneau et les îles, jusqu’en 1960.Les Choses des Glénans appartiennent à la série des canots de 10m10 dessinés par Jacques-Augustin Normand (1839-1906) et construits au chantier Augustin Normand, situé au Havre, entre 1878 et 1907. Cette série est inspirée des canots précédents (aspect général avec dômes avant et arrière ; qualités d’insubmersibilité, de redressement spontané, de vidange automatique de l’eau embarquée) mais avec des lignes d’eau améliorées.1887 – Petit Chose (Eline et Sophie, N°série 43), 1894 – Grand-chose (Commandant Garreau, N°série 61) 1901– Flying Chose (Benoît Champy, N° série79) 1902– Marie Chose (Gabiou Charon N°1).
Auteur(s) du descriptif : Brulé-Josso Stéphanie

Par : L'inventaire du patrimoine

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Salle de l'Hermine, 2 rue des Ecoles (Concarneau)
Le permis de construire d'un local d'éducation physique est signé le 11 mai 1955 à la demande d'Eugène Rochedreux, président de l'association d'éducation populaire "L'Hermine concarnoise". A. Aubert, inspecteur régional de l'équipement sportif, avait toutefois noté, le 20 mars 1953 : "Le projet présenté ne peut être que celui d'une salle de culture physique. Les dimensions ne permettront pas d'y pratiquer certains sports comme le basket ou même le volley. Cette salle rendra cependant service aux jeunes gens parce qu'ils pourront y faire de la culture physique et de la gymnastique." le chanoine Philippe, curé-doyen, bénit l'équipement le 6 novembre 1955. Le certificat de conformité est délivré le 4 novembre 1959.
Auteur(s) du descriptif : Bonnet Philippe

Par : L'inventaire du patrimoine

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Fortifications d'agglomération dite ville close (C

Par : L'inventaire du patrimoine

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Plan de Concarneau

Par : Gallica

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Entrée de la ville de Conquerneau
Ancien possesseur : Argenson, Antoine-René de Voyer (1722-1787 ; marquis de Paulmy d'). Ancien possesseur

Par : Gallica

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Pesketa gwechall

Par : Dastum

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Kontadenn Blev Rodellek

Par : Dastum

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Le laboratoire océanographique de Concarneau
En 1856, MM. Coste et Guillou fondent à Concarneau le laboratoire de biologie marine. Ce laboratoire est le plus ancien d'Europe. Il accueille des chercheurs en océanographie, en biologie des pêches, en biochimie et en biologie cellulaire.

Par : INA

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La ville close à Concarneau ; côté nord marée haut

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Les Glénans ; ile Saint-Nicolas ; au fond ile de P

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Corisandre dans le port

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Concarneau ; port

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Bord de mer

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Bord de mer avec baigneurs et pêcheurs

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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