Le patrimoine de Concarneau Cornouaille Agglomération

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Tregunc : Croix de mission

Par : Dastum

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Chapelle Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle
Plan en croix latine, vaisseau unique, chevet plat auquel s'adosse une sacristie en moellon et à comble à surcroît au nord obturant une partie de la maîtresse-vitre. Façade ouest surmontée d'une chambre de cloches ouverte et coiffée d´une flèche hexagonale ajourée et encadrée de quatre pinacles à sa base. Gros oeuvre en grand appareil régulier en pierre de taille de granite et à l'intérieur en moellon de granite enduit à l'exception des encadrements des baies et des chaînages d´angle en pierre de taille apparente. Fausse voûte en berceau segmenté peinte en blanc. Sol couvert de dalles de granite.La chapelle passe pour être une fondation d'Antoine du Perrier, seigneur de Coatcanton en 1516 (blason sur le pignon est). Elle a été partiellement reconstruite entre 1749 et 1769 (transept et choeur), puis agrandie en 1825 (allongement de la nef et réparation du clocher). La date de 1749 apparaît au-dessus de la fenêtre du transept nord. Les travaux d'agrandissement sont réalisés en 1829 par l´entrepreneur Le Blanc de Quimperlé. La sacristie porte la date de 1827 sur le linteau de la porte. Une campagne de restauration a eu lieu entre 1998 et 2003.
Auteur(s) du descriptif : Fauchille Gwénaël

Par : L'inventaire du patrimoine

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Robe blanche et cravate rouge
Extrait du film de Victoria Llanso et Jean Barral. La communion solennelle de Noella Gouriou est l'occasion de partager la vie quotidienne d'une famille ouvrière du Sud-Finistère, entre les communes de Trégunc et Concarneau.

Par : INA

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Château de Kerminaouët (Trégunc)
Edifice de plan allongé comportant un corps de logis rectangulaire accosté d'une tour hors-oeuvre. Maçonnerie de moellon avec encadrements de baies, lucarnes et fronton en pierre de taille.Château construit autour de 1900 par Charles Chaussepied, architecte à Quimper, sur le site d'un ancien manoir transformé en communs et partiellement détruit. Chapelle du 18e siècle restaurée. En 1870, un projet de restauration avait été étudié par l'architecte rennais Arthur Regnault et abandonné.
Auteur(s) du descriptif : Lauranceau Elise

Par : L'inventaire du patrimoine

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Moulin à marée du Hénan, Moulin Mer (Névez)
Le moulin du Hénan se situe entre l'embouchure de la ria de l'Aven et l'étang du Hénant. Il est placé au milieu d'une courte digue rectiligne, qu'il flanque en aval. Selon Jean-Paul Leclerc, dont la notice datant de 1973 sur le moulin du Hénan est disponible dans le fonds documentaire conservé à la DRAC Bretagne, cette digue repose sur deux rangées de longues dalles de granites formant boutisses pour prévenir de l'enfoncement dans la vase. Deux pans de pierres de tailles semblables à celles utilisées pour le moulin maintiennent un remplissage de terre et de moellons. Les coursiers et la porte mer sont franchis par des dalles de granit et ont été restaurés respectivement en 1998 et 2011. Selon le rapport de la faculté de Droit et de Sciences économiques de Brest sur les micro-centrales marémotrices sur le littoral breton (1983), l'étang se remplit à partir d'un coefficient de 70. Tout laisse à penser que le moulin et la digue sont d'origine, les parapets sont quant à eux des éléments ajoutés plus récemment. A une cinquantaine de mètres se situe un magasin à blé qui date de la période révolutionnaire, accolé à la maison du meunier. L'aire à grain se trouvait au rez de chaussée. Sur le pignon nord, on remarque une fenêtre dont l'ébrasement du mur est réalisé en biais pour dégager une vue vers le moulin et la ria. Le bâtiment est aussi marqué par l'escalier extérieur qui constitue une disposition plutôt rare pour la région. Enfin, autre élément significatif, une fenêtre d'angle du pignon sud se dirige vers la route qui vient du manoir. Cette orientation particulière pourrait s'expliquer par un approvisionnement en grain par cette route. Le moulin de plan rectangulaire, comporte un rez-de-chaussée accessible depuis la digue et un sous-sol qui accueillait une partie du mécanisme de meunerie. Les solives du plancher du rez-de-chaussée étaient encastrées dans la maçonneries dans des réservations qui sont encore visibles.Le moulin est épaulé de quatre contreforts afin de prévenir de son enfoncement. Un de ces arc-boutants se trouve sur le pignon sud et est évidé pour permettre le bon écoulement du coursier, les trois autres sont présents sur la façade aval. Ils alternent avec des poternes qui permettent de diminuer la pression intérieure de l'eau sur les murs et qui permettent aussi probablement de faire passer des pièces pour entretenir les mécanismes. Les murs sont constitués de pierres de tailles de granit assez longues qui font écho au patrimoine de pierre debout de la région et à la concentration de carrières de pierre. Comme pour le moulin du Minaouët à Tregunc, des témoignages locaux et des éléments du bâtiments laissent penser que les planchers auraient été conçu comme des planchers « flottants » au sens premier du terme, c'est à dire qu'ils pouvaient se soulever avec la marée. Si Maurice Damas, pionnier des recherches dans ce domaine, donne crédit à cette hypothèse, J-L. Boithias et A. de La Verne, également spécialistes du sujet émettent certaines réserves. D'après eux, une « telle imprévoyance » de la part du meunier est « difficilement crédible quand on connaît la disposition d'esprit de ces « ouvriers de la mer » qu'étaient les meuniers veillant au « grain » ».Le bâtiment est surmonté d'un toit à croupe se terminant par un coyau (changement d'angle de la toiture) et qui présente une lucarne rampante au dessus de la porte d'entrée en façade amont. La charpente comporte encore d'anciennes pièces mais a beaucoup été remaniée et la structure initiale n'est plus visible.La façade amont compte également une corniche formée d'un cavet, dont une partie a disparu. La porte d'entrée assez basse (environ 1,60m) présente un linteau et des piédroits chanfreinés.La façade sud et la façade aval accueillent chacune un fenestron. On trouve la mention du moulin du Hénan pour la première fois en 1465 lors de son affermage pour la somme de sept livres cinq soulz. Il date sans doute de la même époque de construction que le manoir du Hénan, attribué à la famille de Cornouaille et qui remonte au moins à 1426. Il est très probable que les pierres qui le constituent proviennent de la carrière située à Kerrochet, un kilomètre en aval sur la rivière.Par la suite le moulin est mentionné dans divers documents, notamment dans un aveu au Roi datant du 15 septembre 1572 où il fait partie d'un héritage de la famille Guer qui succède à la famille de Cornouaille : « le manoir du Heznant avec les maisons, courtille, jardin, moullins à mer... ». Le moulin passe ensuite dans les mains de la famille de la Pierre avant d'être à nouveau mentionné le 4 novembre 1773 dans l'héritage de la famille Euznou de Kersalaün dans un aveu au Roi.Lors de la Révolution, les biens de M. Evenou de Kersalaun sont vendus comme biens nationaux. Ainsi, le 15 thermidor an IV (2 août 1796), Pierre Decourbe, commissaire du Directoire exécutif résidant à Pont-Aven achète « le moulin à mer, avec la maison dite le grenier située au midi du moulin, évalué à 284 Fr de revenu et 4218 Fr de capital »Le 30 août 1809, le moulin est vendu par la famille Decourbe à Madame de Bruillac, également propriétaire du manoir du Hénan. Enfin le 25 février 1972 la famille Deminuid Treuille de Beaulieu vend le moulin au Conseil Général du Finistère, et c'est la commune de Nevez qui se voit chargée de sa gestion. Suite à cette acquisition la toiture et la charpente sont rénovées dans les années 1980. En 1998 commence une série de travaux conséquents sous la direction de l'architecte Joëlle Furic : les maçonneries du moulin et les coursiers de la digues sont restaurés en 1998, la porte mer en 2011. Parallèlement à ces travaux, le chenal est désenvasé en 2010. Un mécanisme de meunerie est également installé et en 2016 le moulin produit de la farine au cours d'une fête locale. Aujourd'hui (2017), il est prévu un projet de rénovation de la toiture et de la charpente.
Auteur(s) du descriptif : Nadolski Claire

Par : L'inventaire du patrimoine

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War-lerc'h ar gorventenn e Melven ha Kernevel [Apr
Marvet eo un den hag ur bern traoù a zo bet distrujet e Mêlwenn hag e Kernevel gant ar gorventenn spontus a zo bet. Fromet-tre eo an dud eno. [Les dégâts sont très nombreux après les tempêtes qui ont sévi à Melgven et à Kernevel, et un mort est à déplorer. Il va falloir beaucoup de temps et d'argent pour réparer tous les dégâts.]

Par : INA

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Boued fardet evit an dud kozh [Livraison de repas
E Eliant e vez servijet boued fardet d'an dud kozh a sav ar goulenn. Un digarez mat eo evito evit kenderc'hel da zebriñ a bep seurt traoù. [A Elliant, les personnes âgées se font livrer plusieurs repas par semaine, en liaison froide. Une bonne manière pour eux de continuer à manger varié, chez soi, quitte à payer un peu plus cher.]

Par : INA

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Pont Aven : Jeff Vras cassant du bois

Par : Dastum

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Canot de sauvetage, Commandant Garreau (Archipel d
Canot pointu aux extrémités, un peu plus fin de l’arrière que de l’avant. Les extrémités sont fortement relevées et protégées par des tambours en dos d’âne, qui forment deux caisses à air.Le canot de sauvetage est insubmersible, se redresse spontanément et se vidange automatiquement.Redressement spontané après chavirage : 5 secondesEvacuation de l’eau après redressement : 23 secondesAvec 880 kg à 0m85 de l’axe : inclinaison de 20°L’équipage est de 12 hommes.Le gréement : les 2 mâts, de misaine à l’avant et le grand mât à l’arrière, sont positionnés pour ne pas gêner les manœuvres des canotiers et de la barre. L’inconvénient est un centre de voilure très avancé, rendant le bateau mou à la barre. La dimension des mâts : mât de misaine : 4m69, grand mât : 4m56. Le gréement de type « flambart », courant en Manche : 2 voiles au tiers et un foc. La grand-voile, ou « taillevent », est située à l’arrière, d’une surface plus faible que la misaine, à l’avant.Surface de voilure de 15 m² 42, foc : 2m² 07, 2 voiles au tiers : Misaine de 7m²52, Grand voile de 5m²83.10 avirons de nage (5 couples) : verts à tribord et blancs à bâbord d'une longueur de 3m80.La coque est en bois à double bordé croisé en teck (et non plus en acajou comme dans les canots précédents).Les deux couches de bois sont superposées et croisées à 45°, séparées par une toile imprégnée de glu marine ou de peinture. Les coutures ne sont pas calfatées mais garnies de coton retenu par un masticage et la peinture.La coque est maintenue sur la quille par une carlingue. Le tout est traversé par des boulons à écrous.Il n’y a pas de membrures intérieures au-dessus des varangues.La coque est peinte en vert au-dessus de la ligne de flottaison et en blanc en-dessous.Dans les années 1950, l'école de voile des Glénans acquiert quatre anciens canots de sauvetage, propulsés à la voile et à l’aviron, la Société Centrale de Sauvetage des naufragés les remplaçant par des vedettes à moteur.Au centre nautique, ces canots de sauvetages destinés à l’apprentissage de la navigation sont appelés « Choses ». Ils sont également désignés comme des «baleinières», du fait de leur nouveau gréement.Dates d’arrivée des Choses aux Glénans : 1951 - Le Petit Chose (Ex Eline et Sophie) de la station du Cap Lévi (N° 43) - 1956 - Le Flying Chose ( Ex Benoît Champy) de la station de Cayeux (N° série 79) - 1958 - Le Grand Chose (Ex Commandant Garreau) de la station de Grandcamp (N° série 61) - 1958 - Le Marie Chose (Ex Gabiou Charron) N° 1 de la station La Cotinière, île d’Oléron. A la même période, l’école de voile acquiert un autre ancien canot de sauvetage de la station de Lesconil lancé en 1911, l’Amiral de Maigret. Issu d’une série de canots postérieure construite par les chantiers Augustin Normand, il est plus court (9m80) et plus large (2m60) que les Choses. Gréé en goélette et motorisé (25 CV), et rebaptisé la Diligence, il sert de bateau de liaison entre Concarneau et les îles, jusqu’en 1960.Les Choses des Glénans appartiennent à la série des canots de 10m10 dessinés par Jacques-Augustin Normand (1839-1906) et construits au chantier Augustin Normand, situé au Havre, entre 1878 et 1907. Cette série est inspirée des canots précédents (aspect général avec dômes avant et arrière ; qualités d’insubmersibilité, de redressement spontané, de vidange automatique de l’eau embarquée) mais avec des lignes d’eau améliorées.1887 – Petit Chose (Eline et Sophie, N°série 43), 1894 – Grand-chose (Commandant Garreau, N°série 61) 1901– Flying Chose (Benoît Champy, N° série79) 1902– Marie Chose (Gabiou Charon N°1).
Auteur(s) du descriptif : Brulé-Josso Stéphanie

Par : L'inventaire du patrimoine

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Château de Kériolet (Concarneau)
Première campagne de travaux entre 1866 et 1869 : rénovation de l'ancien manoir et construction de l'aile ouest. Seconde campagne avec la construction de la chapelle et le hall entre 1880 et 1884. Entre les deux, Bigot réalise les dépendances et divers aménagements intérieurs.
Auteur(s) du descriptif : Lauranceau Elise

Par : L'inventaire du patrimoine

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Corps de garde et batterie en "fer à cheval" (Conc
Armement de la batterie en 1746 : 4 canons de 24 livres de balle.Armement de la batterie en 1794 : 4 canons de 36 livres de balle.Point d’appui lourd allemand de type Stützpunkt abrégé "Stp. 78" durant la Seconde Guerre mondiale.
Auteur(s) du descriptif : Lécuillier Guillaume

Par : L'inventaire du patrimoine

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Plan de Concarneau

Par : Gallica

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Entrée de la ville de Conquerneau
Ancien possesseur : Argenson, Antoine-René de Voyer (1722-1787 ; marquis de Paulmy d'). Ancien possesseur

Par : Gallica

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Concarneau : La ville close

Par : Dastum

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Istor al laboused

Par : Dastum

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Concarneau : Vue generale

Par : Dastum

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Le laboratoire océanographique de Concarneau
En 1856, MM. Coste et Guillou fondent à Concarneau le laboratoire de biologie marine. Ce laboratoire est le plus ancien d'Europe. Il accueille des chercheurs en océanographie, en biologie des pêches, en biochimie et en biologie cellulaire.

Par : INA

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Bâteaux en mer

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Le port sans bâteaux à Concarneau

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Entrée de la ville close à Concarneau

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Bord de mer

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Concarneau ; départ impossible, pagaille complète

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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