L'automne sur Bretania

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Les blockhaus sur la commune d'Etables-sur-Mer
Blockhaus en béton armé, situé en flan de falaise, avec une seule ouverture côté mer (l'autre ouverture a été bouchée), près d'un mur de soutènement.Le 9 août 1940, la commune d'Etables est occupée par les troupes allemandes, entrées à Saint-Brieuc le 11 juin 1940. Jérôme Camard, maire d'Etables est incarcéré par la Gestapo le 29 septembre 1943 et libéré le 25 juin 1944. Plusieurs blockhaus sont construits sur les lieux stratégiques de défense du littoral tagarin, en particulier à la Ville-Main (1 oeuvre repérée) à Pors es Leu (2 oeuvres repérées, 1 étudiée). Les plages en particulier sont aménagées par les Allemands avec des mines, des pieux et des tétraèdres, comme la plage des Godelins.Trois choses survécurent à la guerre : la Villa Persévéranza, villa appelée communément "Château Legris", le calvaire offert par la famille Legris en 1922 qui se trouvait alors sur la route qui descend aux Godelins (il est aujourd'hui un peu plus bas dans le premier parking de la plage) et les jolies villas qui, identiques et rectilignes, donnent un aspect coquet à l'avenue baptisée "Avenue Victoria" en 1930, par reconnaissance envers Madame Legris.Sur le cliché pris à l'automne 1944 (fig. 5), on peut remarquer de gauche à droite les persoones suivantes : Jeanne Duchêne Heurtel, Pedron Gouezou, Annick Duchêne, Blanche et Jean-Yves Guillard, Gaby Piriou, Adèle Courcouse, Yvonne Pinel et Augustine Piriou.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Je suis né en automne

Par : Dastum

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Dictionnaire du patois de Blain-051 (L'automne)

Par : Dastum

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HUELGOAT - Matinée d'automne dans la Forêt
Huelgoat.- Rayons de soleil sur la forêt.. Date : 1951. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Arbre en hiver (recto) ; Cotres : esquisse (verso)
Sujet représenté : représentation végétale (arbre ; automne ; oiseau ; bord de mer) ; représentation d'objet (bateau à voiles) - N° d'inventaire : 2001.7.9

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Floralies 12
Préparation mairie. Automne, ville, complément, vallées - dimanche

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Brumes d'Automne. - Gorges de la Laita à Saint-Mau
Clohars-Carnoët.- Les gorges de la Laïta à Saint-Maurice.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Quand je suis né, je suis né en automne

Par : Dastum

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Kermesse à Locmaria
1954, Groix : kermesse, famille, Kerrohet, Locmaria ; Paris à l'automne. 1955, Groix : Inauguration de la mairie ; Paris : hiver, premiers pas de Jean-Michel, square du Ranelagh (Laure Poisson) ; Groix à Pâques, Port Mélite.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Correspondance de Jean-Julien Lemordant à Jean-Eti
Correspondance de Jean-Julien Lemordant à Jean-Etienne Martin, vers 1905-1906. Ensemble de 63 documents comprenant : 8 cartes postales, 1 reçu du salon d’automne et 54 lettres majoritairement manuscrites, dont 2 illustrées. Nombreux courriers sont écrits depuis Penmarc'h (Finistère).

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Ecole communale
Cette école est construite en grès. Les linteaux des ouvertures sont en brique et en granite. La façade est décorée de bandeaux de brique et de motifs floraux en céramique.A l'automne 1908 est édifié ce bâtiment assez imposant qui réunit l'ensemble des classes, le logement des instituteurs et la mairie, par l'architecte rennais Laloy.
Auteur(s) du descriptif : Ménard Stéphanie ; Dalibard Sabrina

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison dite Fleur d'Automne, 6 boulevard Lhotelier
Maison de plan massé avec porche dans oeuvre, angle à pans coupés, bow-window sur l'angle. Balcons en bois. Toiture débordante à aisseliers décoratifs. Lucarne de toiture à pans coupés donnant une meilleure clarté.Maison construite en 1923 pour M.Garnier, commerçant à Rennes, qui rachète également les villas voisines plus anciennes situées au 6 bis et 8 boulevard Lhotelier. Aménagement en 1934 d'un garage isolé du logis.
Auteur(s) du descriptif : Orain Véronique

Par : L'inventaire du patrimoine

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Monographie d'Ecole Normale promotion (1963-1967)

Cette monographie est le fruit du travail de Gilbert Davalan, alors élève instituteur, qui a enquêté entre l'automne 1967 et l'hiver 1967-1968 auprès de personnes de son entourage pour réaliser une monographie de fin d'étude à l'Ecole Normale d'Instituteurs.

Par : Dastum

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Qui-vive - Un environnement interactif de Samuel B
Spécialement créée pour la galerie Art et Essai, l’installation interactive Qui-vive découle d’une résidence de l’artiste réalisée au département Arts Plastiques de l’Université Rennes 2 au cours de l’automne 2010. Samuel Bianchini a souhaité poursuivre ce travail de recherche engagé avec un groupe d’étudiants de Rennes 1 et Rennes 2, autour de l’utilisation artistique de la domotique. La présence des visiteurs dans la galerie, ainsi que les bruits provenant de la bibliothèque située au-dessus de la salle d’exposition, agissent sur l’installation, proposant une mise en scène inquiétante, animée d’une force mystérieuse.

Par : L'aire d'u

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Mountaineers aux Rencontres Trans Musicales de Ren
Ces montagnards viennent du pays gallois, qu'ils ont quitté pour s'installer à Liverpool. Trois enfants de la balle, dont l'un d'origine tzigano-tchèque, nourris de cirque et de musique depuis le plus jeune âge. Résultat : un son rock lo-fi empruntant à la technologie du collage hip-hop, à la ferveur punk ou à l'ambiance vocoder de la French Touch. Un EP les a signalés à l'attention des critiques britanniques, un premier album est sorti cet automne sur Mute. Le retour du Mersey Beat ?

Par : Association Trans Musicale

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Yann-Bêr Piriou évoque Anjela Duval
Anjela - Pennad-kaoz gant Yann-Bêr Piriou En 2011, à l'occasion de l'installation de la stèle à la mémoire d'Anjela Duval à Vieux Marché, et 30 ans après la disparition de la poétesse, Yann-Bêr Piriou, poète et écrivain né Lannion (Côtes-d'Armor), spécialiste de la littérature bretonne, est interviewé par TV-Trégor à propos de sa consœur qu'il a bien connue. Anjela Duval, fille unique d'une modeste famille de cultivateurs, a connu le destin improbable de devenir une des poétesses les plus réputées en langue bretonne. C'est ce parcours incroyable que Yann-Bêr Piriou raconte en cet automne 2011 devant la caméra de TV-Trégor.

Par : TV Trégor

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Images et travaux d'automne
Route bordée de pommiers avec pommes, prise de vue la voiture en marche. Panorama sur le bocage, arbres, champs, étang, habitations. Étang et moulin (à eau) du Champ Pinel (commune de Saint-Brice-en-Coglès) Coglès vu de la route, puis panorama des champs alentours avec petit cours d'eau. Panorama sur campagne. Maison avec vigne vierge. Arbres sur talus avec vent dans les feuilles qui les font bouger. Champ labouré. Vache dans un champ en bord de route. Brume sur les champs. Caméra filme à travers un carreau avec inscription "images et travaux". Champ bordé d'arbres avec belle lumière et clocher au fond (Coglès). Camion et GS Citroën passent sur une route bordée d'arbres. Vaches près d'un cours d'eau, paissent sur une pente parmi les arbres. Champ avec gelée et givre. Châtaigniers perdant ses feuilles à l'automne. Coucher de soleil. Titre en surimpression "travaux et images d'automne". Gros plan sur calendrier à la date du samedi 23 septembre avec une image de vache. Vue sur champ avec herbe et de nombreuses grosses pierres et moutons. Au loin troupeau de vaches avancent. Un champ de maïs, une ensileuse rouge arrive sur la route, travail de l'ensileuse prise de la cabine, un tracteur avec remorque suit l'ensileuse. Ensileuse avec un tracteur dans un champ de maïs pour la récolte. Contenu de la benne de l'ensileuse de marque Field Queen versée dans un remorque avec un tracteur. Camion arrivant dans une cour de ferme pour déversement. Tracteur déversant des particules vertes (fourrage), hommes avec des fourches. Route bordée de pommiers avec pommes filmée de la voiture, homme dans un pommier fait tomber les pommes par terre, d'autres hommes utilisent des gaules, les femmes récoltent les pommes au sol. Dans une cidrerie, lavage des pommes en extérieur, alambic avec bouilleur de cru sur le bord d'une route, homme apporte des buches de bois. Homme monte sur une échelle pour récolter des pommes. Champ de betteraves récoltées visibles sur le sol dans le champ, un couple d'agriculteurs coupent les feuilles, l'agriculteur jette les betteraves dans une remorque attelée à un tracteur. Betteraves transportées à la coopérative, silos en arrière-plan, lavage des betteraves. Dans un hangar, pommé qui a été fabriqué dans une grande bassine en cuivre. Le pommé est disposé dans des barquettes en plastique. Les barquettes sont ensuite soigneusement recouvertes d'un papier aluminium. Travaux des champs, charruage avec tracteur, puis passage de la herse, vaches broutent des feuilles dans un champ. Traces de neige avec vaches qui mangent dans un champ. Pêcheurs et pêcheuse le long d'un cours d'eau.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Les phares en mer, mobilisés dans la Grande Guerre
Avec ses 1 100 kilomètres de côtes et ses îles, la Bretagne est au premier rang du front de mer. Dans un conflit armé, tout ce qui peut entraver l’action de l’ennemi doit-être entrepris. A l’automne 1916, à cause de l’efficacité des sous-marins contre la navigation commerciale sur les côtes de la Bretagne, les ministères de la Marine et de la Guerre en coopération avec celui des Travaux-Publics, dont dépendent les Ponts et Chaussées et la Direction des Phares et balises, décident de l’installation de Postes de Défense Contre les Sous-Marines (P.D.C.S.M.) dans plusieurs phares en mer. Les trois phares du Trégor sont concernés par cette mesure. La mise en place des matériels, des effectifs nécessaires au service des canons, le ravitaillement et les relèves sont détaillés dans les 8 pages de l’article.

Par : L'ARSSAT

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Bateau de pêche aux lignes : trois-mâts "Glaneur"
Le "Glaneur", est un trois-mâts goélette long de 37 mètres, de 155 tonneaux de jauge nette, non motorisé, plus lourd que les goélettes islandaises.Le "Glaneur", trois-mâts de l'armement Léon Carfantan de Dahouët, fut construit pendant l'hiver 1907-1908 à Paimpol et francisé à Dahouët le 8 février 1908. Il naviguera au cabotage pendant l´automne-hiver et le printemps à la pêche en mer d´Islande. Le 10 février 1910, il quitte de nouveau Dahouët pour une troisième campagne en mer d´Islande. Son équipage recruté à Pléneuf, Erquy et Saint-Alban par Mme Carfantan se composait de Jean-Marie Poilvet, maître au cabotage, de deux lieutenants et de 23 matelots, enfin d´un novice, d´une mousse âgé de quinze ans et d´un cuisinier. Deux matelots étaient originaires du quartier de Paimpol. Cependant, le Glaneur n´allai pas venir au rendez-vous fixé au début du mois de mai en rade de Patricksfjord (Islande) afin de remettre sa première pêche au chasseur « Mouette » (armement Kerjégu). Il s´était perdu corps et biens dans la traversée de Dahouët à Islande, en même temps que le navire « Hygie » de Paimpol. Un memoriam sera élevé au cimetière de Pléneuf avec les noms des marins péris en mer gravés sur une plaque de marbre.Son histoire est racontée par l'Atelier du Patrimoine de Dahouët.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Quartier du Notic (Camaret-sur-Mer)
Ensemble de bâtiments relativement hétérogènes d'époques différentes.Le quartier du Notic concentrait autrefois les activités portuaires de Camaret. Le terme Notic provient du breton Aod et signifie « le petit rivage ». La place St Thomas, qui tient son nom d´une ancienne chapelle démolie en 1741, donnait autrefois sur le front de mer et constituait le coeur du village. Jusqu´au 17e siècle, le front de mer correspond d´ailleurs aux actuelles rue de Reims et rue de la Marne, les maisons se trouvant en bordure de grève. Des escaliers, faisant office de cale à marée haute, permettent aux bateaux d´arriver pratiquement à la porte de chaque maison. La pêche se développant, le front de mer est avancé et une nouvelle rue, la rue de Dixmude, est créée avec des maisons plus imposantes, principalement pour les armateurs et négociants. Quelques ouvrages portuaires privés sont construits le long du front de mer qui suit le tracé crénelé des bâtisses nouvellement construites.En 1831, le Notic comprend 80 maisons d´habitations dont 66 possédant des magasins servant de remises pour la presse et la vente des sardines au rez-de-chaussée. A cette période, la municipalité décide également de paver les rues, envahies par l´eau à la fin de l´été et en automne et dans lesquelles s´entassent les résidus de pressage (écailles, sel, huile) dégageant une odeur pestilentielle. Les dimensions des rues les plus étroites étaient telles que l'on devait pouvoir rouler un fut de vin ou de rogue (appât pour la pêche). En 1842, le front portuaire Toudouze est construit en avant du quartier du Notic.
Auteur(s) du descriptif : Marie Guillaume

Par : L'inventaire du patrimoine

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Fort et camp retranché de Penthièvre (Saint-Pierre
Le fort du 18e siècle est constitué d'un bastion flanqué de deux ailerons, un tracé désapprouvé en 1747 par le Directeur des Fortifications de Bretagne Frézier et jugé "bizarre" par les ingénieurs postérieurs. Ses escarpes sont en maçonnerie de pierres sèches, il n'y a pas de véritable fossé. De ce fort, seul le magasin à poudre a subsisté. Le fort actuel, qui doit son emplacement et sa forme générale au 18e siècle, ne garde cependant que la trace des travaux du 19e siècle. Le fossé est profond de sept mètres et large de huit, et précédé d'un chemin couvert. Il est flanqué depuis l'escarpe et par des casemates de tir établies sous la contrescarpe. L'entrée se fait via un pont-levis. La caserne défensive est adossée à l'escarpement rocheux à la gorge du fort. Elle sert de réduit au reste de l'ouvrage et en est séparée par deux coupures, l'une d'elles franchissable par un pont-levis. L'intérieur du bastion principal est actuellement occupé par les casemates et les massifs terrassés des emplacements de tir aménagés dans les années 1880. Un autre emplacement de tir avec traverse situé dans la partie nord du fort a disparu. Le magasin à poudre de 1885 subsiste sous le front nord-ouest. Les constructions allemandes et celles liées au centre d'entraînement actuel s'intègrent dans les espaces du 19e siècle. La redoute, séparée du fort par la voie ferrée et la route d'accès à la presqu'île, est un ouvrage en maçonnerie de pierres sèches. Sa gorge est occupée par un bâtiment autrefois logement du Chef du Génie. Les retranchements et les glacis du camp retranché sont très effacés. Les bâtiments qui s'y trouvaient au 19e siècle (magasins du Génie et de l'Artillerie) n'existent plus. Le monument aux résistants exécutés en 1944 se trouve sur le haut du glacis du fort. La galerie de mine où les corps ont été retrouvés est aménagée en crypte. A l'automne 1746, les Anglais débarquent dans la presqu'île de Quiberon, la pillent et se retranchent dans l'isthme sur la hauteur de La Palice (ou La Palisse). L'année suivante, le duc de Penthièvre, gouverneur de Bretagne, fait construire un fort par l'ingénieur de Marolles pour occuper cette hauteur. L'ouvrage est laissé inachevé à la fin de la guerre de Succession d'Autriche (1740-1748). Les travaux reprennent à l'occasion de la guerre de Sept Ans (1756-1763). En 1761, l'ingénieur Fourcroy complète le fort de Penthièvre par trois redoutes établies au sud-est, le long de la côte, et ferme la gorge du fort par un mur crénelé. Au début des guerres de la Révolution, un camp retranché est créé en reliant la redoute la plus proche du fort à celui-ci par deux retranchements. Le 3 juillet 1795, le fort se rend aux Émigrés débarqués par la flotte anglaise. Ceux-ci établissent de nouveaux retranchements au nord du camp retranché, pour barrer l'isthme. Le fort est repris le 20 juillet par les troupes républicaines du général Hoche qui ont su exploiter la faiblesse de la gorge côté falaise. Des projets pour améliorer la fermeture du fort et le doter d'un réduit défensif du côté de la mer à l'ouest sont proposés dès 1795-1796. Ils aboutissent en 1803 à l'entreprise de la construction d'une caserne défensive casematée. Laissée inachevée à la fin de l'Empire, cette caserne est terminée dans les années 1820 et 1830. L'enceinte du fort fait également l'objet de projets : sous l'Empire, le fossé commence à être approfondi et muni de casemates de tir dans la contrescarpe. Des galeries de mine sont creusées sous le glacis. Ces travaux sont repris et achevés dans les années 1830 et 1840, durant lesquelles l'enceinte du fort est entièrement reconstruite. Peu de choses sont faites pour le camp retranché et la redoute, malgré des projets. Un projet de nouveau magasin à poudre à la fin des années 1840 n'aboutit pas, le fort conserve celui du 18e siècle. En 1847 l'armement attribué au fort, au camp retranché et à la redoute est de 6 canons de 30 livres, deux de 24, un de 12, quatre de 8, deux obusiers de 22 cm en bronze, un de 22 cm en fonte, deux de 12 cm, deux mortiers de 32 cm, dix de 27 cm et cinq de 15 cm. Le décret du 10 août 1853 le classe comme poste dans la deuxième série des places de guerre. Bien que perdant sa fonction de réduit de la presqu'île de Quiberon avec la construction du fort de Saint-Julien en 1885-1886, le fort de Penthièvre est toutefois conservé avec un armement de six canons de 120 mm de Bange et trois canons de 5 De Reffye. Leurs emplacements de tir avec traverses-abris sont construits au milieu des années 1880, ainsi qu'un nouveau magasin à poudre adapté aux progrès de l'artillerie. Comme d'autres forts du littoral, il sert de camp de prisonniers pendant la Première Guerre mondiale. Il est inscrit au titre des Monuments historiques en 1933. L'armée allemande occupe le fort pendant la Seconde Guerre mondiale et y construit quelques ouvrages pour canons légers et mitrailleuses. En juillet 1944, plusieurs dizaines de résistants y sont massacrés et enterrés dans une des galeries de mine. Un monument à leur mémoire est érigé après-guerre. Le fort sert actuellement de centre d'entraînement dépendant du 3e régiment d'infanterie de marine de Vannes.
Auteur(s) du descriptif : Jadé Patrick ; Duigou Lionel

Par : L'inventaire du patrimoine

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