L'automne sur Bretania

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Baptême, train de troupes...
Bobinot A : baptême le 24 novembre 1945. Bobinot B : automne 1939, bateaux vues du calvaire. Un train de troupe passe en gare de Basse-Indre (44).

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Belle rose en automne

Par : Dastum

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HUELGOAT - Matinée d'automne dans la Forêt
Huelgoat.- Rayons de soleil sur la forêt.. Date : 1951. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Le Scorff, Brizeux et Marie
Sujet représenté : paysage (Scorff ; forêt ; automne ; rocher ; homme ; femme ; effet de soleil ; repos ; arbre ; rivière) - N° d'inventaire : 77

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Belle rose en automne

Par : Dastum

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Brumes d'Automne. - Gorges de la Laita à Saint-Mau
Clohars-Carnoët.- Les gorges de la Laïta à Saint-Maurice.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Automne
son légèrement saturé

Par : Dastum

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Correspondance de Jean-Julien Lemordant à Jean-Eti
Correspondance de Jean-Julien Lemordant à Jean-Etienne Martin, vers 1905-1906. Ensemble de 63 documents comprenant : 8 cartes postales, 1 reçu du salon d’automne et 54 lettres majoritairement manuscrites, dont 2 illustrées. Nombreux courriers sont écrits depuis Penmarc'h (Finistère).

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Qui-vive - Un environnement interactif de Samuel B
Spécialement créée pour la galerie Art et Essai, l’installation interactive Qui-vive découle d’une résidence de l’artiste réalisée au département Arts Plastiques de l’Université Rennes 2 au cours de l’automne 2010. Samuel Bianchini a souhaité poursuivre ce travail de recherche engagé avec un groupe d’étudiants de Rennes 1 et Rennes 2, autour de l’utilisation artistique de la domotique. La présence des visiteurs dans la galerie, ainsi que les bruits provenant de la bibliothèque située au-dessus de la salle d’exposition, agissent sur l’installation, proposant une mise en scène inquiétante, animée d’une force mystérieuse.

Par : L'aire d'u

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Son Little aux Rencontres Trans Musicales de Renne
Quand on l’a entendu chanter pour la première fois, il s’appelait encore aaron Livingston et collaborait aux côtés de The Roots et de RJD2. Depuis, l’homme a définitivement pris confiance en lui et vole de ses propres ailes sous le nom de Son Little. Sur fond d’accents gospel ou soul, d’intonations reggae et hip-hop, il pose sa voix douce et enchanteresse pour raconter des histoires d’une simplicité et d’une honnêteté absolues. après le EP Things I Forgot (2014), Son Little réalise cet automne son premier album, qui pourrait bien le consacrer en un Marvin Gaye des temps modernes.

Par : Association Trans Musicale

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Yann-Bêr Piriou évoque Anjela Duval
Anjela - Pennad-kaoz gant Yann-Bêr Piriou En 2011, à l'occasion de l'installation de la stèle à la mémoire d'Anjela Duval à Vieux Marché, et 30 ans après la disparition de la poétesse, Yann-Bêr Piriou, poète et écrivain né Lannion (Côtes-d'Armor), spécialiste de la littérature bretonne, est interviewé par TV-Trégor à propos de sa consœur qu'il a bien connue. Anjela Duval, fille unique d'une modeste famille de cultivateurs, a connu le destin improbable de devenir une des poétesses les plus réputées en langue bretonne. C'est ce parcours incroyable que Yann-Bêr Piriou raconte en cet automne 2011 devant la caméra de TV-Trégor.

Par : TV Trégor

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Backpack Jax aux Rencontres Trans Musicales de Ren
Boogie Monsta vient de Nantes. Mauikai, de Miami. Ces rejetons du hip-hop le plus chaleureux (A Tribe Called Quest, The Fugees) et de la soul la plus classieuse (Al Green, Stevie Wonder) auraient pu ne jamais se rencontrer. Mais il n’est pas de hasard, il est des rendez-vous… Aujourd’hui, le tandem métissé (des origines irakiennes pour lui, cubaines pour elle) dessine un rap syncrétique, mariant un chant onctueux à un rap nerveux. Des accointances avec Hocus Pocus, de nombreuses dates aux États-Unis et surtout, un premier album paru cet automne (Remember The Future) placent définitivement Backpack Jax au rang des valeurs sûres du hip-hop international.

Par : Association Trans Musicale

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Images et travaux d'automne
Route bordée de pommiers avec pommes, prise de vue la voiture en marche. Panorama sur le bocage, arbres, champs, étang, habitations. Étang et moulin (à eau) du Champ Pinel (commune de Saint-Brice-en-Coglès) Coglès vu de la route, puis panorama des champs alentours avec petit cours d'eau. Panorama sur campagne. Maison avec vigne vierge. Arbres sur talus avec vent dans les feuilles qui les font bouger. Champ labouré. Vache dans un champ en bord de route. Brume sur les champs. Caméra filme à travers un carreau avec inscription "images et travaux". Champ bordé d'arbres avec belle lumière et clocher au fond (Coglès). Camion et GS Citroën passent sur une route bordée d'arbres. Vaches près d'un cours d'eau, paissent sur une pente parmi les arbres. Champ avec gelée et givre. Châtaigniers perdant ses feuilles à l'automne. Coucher de soleil. Titre en surimpression "travaux et images d'automne". Gros plan sur calendrier à la date du samedi 23 septembre avec une image de vache. Vue sur champ avec herbe et de nombreuses grosses pierres et moutons. Au loin troupeau de vaches avancent. Un champ de maïs, une ensileuse rouge arrive sur la route, travail de l'ensileuse prise de la cabine, un tracteur avec remorque suit l'ensileuse. Ensileuse avec un tracteur dans un champ de maïs pour la récolte. Contenu de la benne de l'ensileuse de marque Field Queen versée dans un remorque avec un tracteur. Camion arrivant dans une cour de ferme pour déversement. Tracteur déversant des particules vertes (fourrage), hommes avec des fourches. Route bordée de pommiers avec pommes filmée de la voiture, homme dans un pommier fait tomber les pommes par terre, d'autres hommes utilisent des gaules, les femmes récoltent les pommes au sol. Dans une cidrerie, lavage des pommes en extérieur, alambic avec bouilleur de cru sur le bord d'une route, homme apporte des buches de bois. Homme monte sur une échelle pour récolter des pommes. Champ de betteraves récoltées visibles sur le sol dans le champ, un couple d'agriculteurs coupent les feuilles, l'agriculteur jette les betteraves dans une remorque attelée à un tracteur. Betteraves transportées à la coopérative, silos en arrière-plan, lavage des betteraves. Dans un hangar, pommé qui a été fabriqué dans une grande bassine en cuivre. Le pommé est disposé dans des barquettes en plastique. Les barquettes sont ensuite soigneusement recouvertes d'un papier aluminium. Travaux des champs, charruage avec tracteur, puis passage de la herse, vaches broutent des feuilles dans un champ. Traces de neige avec vaches qui mangent dans un champ. Pêcheurs et pêcheuse le long d'un cours d'eau.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Les phares en mer, mobilisés dans la Grande Guerre
Avec ses 1 100 kilomètres de côtes et ses îles, la Bretagne est au premier rang du front de mer. Dans un conflit armé, tout ce qui peut entraver l’action de l’ennemi doit-être entrepris. A l’automne 1916, à cause de l’efficacité des sous-marins contre la navigation commerciale sur les côtes de la Bretagne, les ministères de la Marine et de la Guerre en coopération avec celui des Travaux-Publics, dont dépendent les Ponts et Chaussées et la Direction des Phares et balises, décident de l’installation de Postes de Défense Contre les Sous-Marines (P.D.C.S.M.) dans plusieurs phares en mer. Les trois phares du Trégor sont concernés par cette mesure. La mise en place des matériels, des effectifs nécessaires au service des canons, le ravitaillement et les relèves sont détaillés dans les 8 pages de l’article.

Par : L'ARSSAT

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Base nautique, Toulboubou (Pontivy)
Outre une cale de mise à l'eau, la base nautique se compose de quatre bâtiments, un principal de 430 m² pour le rangement des bateaux, les douches et sanitaires et les bureaux, un second de 70 m² pour les bureaux, une salle de musculation de 60 m² et un atelier de réparation de 60 m² .Bâtiment à ossature boulonnée (poteaux, fermes, contreventements) en sapin du Nord fixée sur des dés en béton. Toiture terrasse en linex avec étanchéité multicouche.Le 26 février 1965, le conseil municipal approuve le projet de base nautique conçu par Y. Guillou. Les travaux pour le hangar à bateaux de la base de plein air sont adjugés le 3 mars 1966. La réception provisoire est prononcée le 25 janvier 1967. L'équipement fait l'objet de travaux importants réalisés entre février 2006 et l'automne 2007, dont l'inauguration a lieu le 23 novembre.
Auteur(s) du descriptif : Bonnet Philippe ; Robert Clément

Par : L'inventaire du patrimoine

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Spank Rock aux Rencontres Trans Musicales de Renne
Puissance de feu, samples lubriques et flow au diapason. Spank Rock a mis à sac plus d'une piste de danse avec Yoyoyoyoyo (2006), cocktail (molotov) de basses énormes, d'électro flinguée et de paroles salaces. Un album en forme d'avènement. En réussissant depuis Baltimore un mélange explosif de ghettotech, de crunk et de UK garage, le MC Naeem Juwan (Spank Rock, c’est lui), épaulé par le producteur XXXChange, a bâti un empire à la gloire du luxe et de la luxure, de la violence et du stupre. Cet automne, déboule enfin un deuxième brûlot, Everything Is Boring And Everyone Is A Fucking Liar, réunissant pléthore d’invités (Santigold, Big Freedia) et produit entre autres par le Berlinois Boys Noize (omniprésent), Mark Ronson ou Pharrell Williams. Fini de rire. Spank Rock revient. Il est l'heure de régler les comptes.

Par : Association Trans Musicale

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Piscine de Kerlan Vian, 47 avenue des Oiseaux (Qui
« Elle [la 1ère tranche] comporte, groupés sous un seul bâtiment élégant, à deux niveaux, deux bassins chauffés, l’un de 25 x 15, de profondeur normale, l’autre de 15 x 10 pour l’initiation à la natation. Des plages spacieuses sont prévues autour des bassins ainsi que des gradins pour 250 spectateurs. De nombreuses cabines de déshabillage (120), des douches, des vestiaires, des locaux pour le personnel et un logement pour le gardien complètent cet ensemble qui, sans être luxueux, sera confortable et surtout bien adapté à sa fonction. » (Quimper Réalités, n° 3, automne 1968)Une salle d'escrime a été aménagée au niveau inférieur.Le 30 décembre 1965, le conseil municipal adopte le programme de construction d’un stade nautique complet et ouvre un concours de conception-construction. Le 22 juillet 1966, il retient le projet de Péron & Weisbein. Le projet bénéficie d'un arrêté d’approbation technique le 15 décembre 1966 et d'un arrêté de subvention de 2 898 000 F au taux de 52% le 26 janvier 1967. Le permis de construire est délivré le 23 septembre 1968 et la réception provisoire prononcée le 29 juillet 1970. L'équipement a fait l'objet de travaux réguliers : réfection de la façade vitrée (1992), remplacement de la couverture (2003).
Auteur(s) du descriptif : Bonnet Philippe

Par : L'inventaire du patrimoine

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Édifices logistiques de la Marine, devenus Auberge
Il s´agit d´un ensemble de 5 belles bâtisses en pierres possédant un étage. La première maison, plus proche de la grève, est particulièrement vaste (7 ouvertures à l´étage). Elle possède également des combles. Elle est contiguë à 3 autres maisons possédant chacune 2 ouvertures encadrées de granite et deux lucarnes à l'étage. La dernière maison possèdent 3 ouvertures avec encadrement de granite, 3 lucarnes et granite apparent aux jonctions de murs.Cet ensemble de bâtiments construits au 17e siècle a subi de nombreuses modifications au cours des siècles. Il servit en premier lieu d´édifice logistique pour la Marine et de caserne, puis les services communaux sont venus s´y installer au siècle suivant. A compter de 1872, on y installa une école de filles et en 1890 le bureau de poste, avant d´accueillir, en 1945, la nouvelle Auberge de Jeunesse. En effet, précédemment installée dans une venelle du bourg, l´auberge des Lecoeur, L´Amitié, déménage en 1945 et s´installe dans ces locaux. Quelques mois après l´automne 1948, faute de relève, les Lecoeur ferment définitivement les portes de L´Amitié après 14 années. Cet ensemble de bâtiments est aujourd´hui divisé en maisons particulières.
Auteur(s) du descriptif : L'Aot Lénaïg

Par : L'inventaire du patrimoine

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Cale de Quélern, Beg ar Grogn (Roscanvel)
Cette cale toutes eaux mesure 112 m de longueur pour 7 m de largeur dans la partie supérieure. Le chemin d´accès est très large pour permettre le débarquement des canons et le passage des fûts et affûts dans des chariots tirés par des chevaux. Le désengagement des Ponts et Chaussées qui remirent la gestion de la cale à la commune de Roscanvel faillit sonner le glas de l´ouvrage. Des travaux de sauvegarde furent néanmoins entrepris par la municipalité en 1998. Une perche signale le musoir de la cale.La cale de Quélern est un haut lieu de l´histoire locale. Gênés par le faible tirant d´eau de la cale du bourg, les transports militaires et les vapeurs brestois devaient attendre au mouillage la marée montante. De plus, l´activité du port dans le tournant du siècle mettait en concurrence civils et militaires ; la cale du bourg montra ses limites quand on commença à réarmer les forts de la côte. La Marine jugea impossible le débarquement au bourg de grosses pièces d´artillerie et envisagea la construction d´une nouvelle cale à usage militaire. Le projet fut soutenu par la Société des Vapeurs Brestois dont les bateaux talonnaient parfois lors de l´accostage. C´est Aristide Vincent, familier de Roscanvel et exploitant d´une petite compagnie de vapeurs, qui est à l´origine du choix de Beg ar Grogn pour l´implantation d´une nouvelle cale à Quélern, afin d´échapper à la vétusté de la cale, sous la caserne Sourdis et aux limites de celle du bourg.En 1896, il est décidé de construire une nouvelle cale plus fonctionnelle. Les travaux débutent en février 1900 et c´est dès la fin de l´année 1901 que la nouvelle infrastructure est inaugurée. Elle accueille les vapeurs brestois et les canonnières qui assurent le service des forts. Ce mouvement qui donnait une grande animation à Quélern ne prendra fin qu´en 1963. Le 15 août 1918, le président de la République Raymond Poincaré y débarque pour inspecter les défenses côtières du goulet. Entre les deux guerres, chaque dimanche ramenait à Quélern les participants aux piques niques organisés par les patronages ou les associations brestoises qui gagnaient les sous bois ou la plage de Trez-Rouz (Crozon). Pendant la décennie 1950-60, la cale de Quélern était le rendez-vous des pêcheurs à la ligne chaque soir de printemps et des Plougastellen venus vendre le produit de leur pêche et les premières fraises de l´année. Des Sénans ont également débarqué à la cale de Quélern pour fuir la misère de leur île. Ils venaient pêcher la coquille en rade de Brest en automne. En 1963, la cale de Quélern cesse de desservir Roscanvel, changeant ainsi le destin de cet ancien « quartier de Brest » qui retourne à son isolement. Aujourd´hui, la cale de Quélern accueille les pêcheurs plaisanciers.
Auteur(s) du descriptif : L'Aot Lénaïg

Par : L'inventaire du patrimoine

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Arcouest 1939
Régate de Launay. François Labour, le marin de la famille, est à la barre de la Gaby, le cotre de Frédéric Joliot. Le bateau dépasse une balise et un voilier (peut être un bateau de pêche). La régate et des autres bateaux en navigation. Un groupe se trouve sur la plage de la baie de Launay-mal-nommé, dont François Labour en pleine discussion. La baie depuis la terre. Sur la terrasse de la maison de l'Arcouest en plein été. Pierre Joliot, 7 ans, coiffé d'un bonnet de marin à pompon et habillé d'un maillot tricoté, teste des jumelles de tranchée. Ces lunettes proviennent du matériel restant des collectes de la communauté arcouestienne pour la guerre d'Espagne, collecte commencée en 1937 qui n'a jamais pu être envoyée aux combattants. Irène Joliot-Curie se tient sur la pas de la porte. Elle rejoint Pierre qui est toujours sur ses jumelles de tranchée. Hélène Langevin-Joliot, 12 ans, apparaît sur le pas de la porte de la maison et rejoint sa mère et son frère. Moment de complicité entre Frédéric Joliot, Pierre Joliot et Hélène Langevin-Joliot autour des jumelles. Fin septembre 1939. Vue panoramique depuis la terrasse de la maison de l'Arcouest. Série de plans de Frédéric Joliot et Irène Joliot-Curie avec Hélène et Pierre tournées juste avant le départ des parents pour Paris à la suite de la déclaration de guerre (les enfants, eux, restent à l'Arcouest). Pierre est assis sur le pas de la porte, bras croisés. Irène Joliot-Curie est avec Hélène Langevin-Joliot et Madeleine Gangloff (une cousine alsacienne de Frédéric Joliot, en charge des enfants et de la maison), et Léontine Thellier, cuisinière chez les Joliot, venue avec ses oiseaux en cage. Madeleine Gangloff, Irène Joliot-Curie et ses deux enfants et Léontine Thellier devant le panorama de la terrasse. Moment de tendresse entre Irène Joliot-Curie et ses enfants. Frédéric Joliot, en épais manteau et chapeau foncé, est assis sur le muret avec Hélène Langevin-Joliot. Il retire son chapeau, prend une cigarette et son mouchoir et se mouche. Pierre Joliot regarde les oiseaux dans la cage. Irène Joliot-Curie, Hélène Langevin-Joliot et Pierre Joliot s'enlacent dans le jardin. Très court plan de Frédéric Joliot enlaçant ses enfants. Automne 1939. Émilie Roederer-Joliot et sa fille Marguerite Joliot, lors d'une visite de Frédéric Joliot à sa mère Émilie Roederer-Joliot à Collioure. Panoramique du port sud de Collioure, ses barques alignées sur le sable. Marguerite Joliot, la sœur de Frédéric Joliot, se tient dans l'encadrement d'une porte. Elle tient ensuite son chat sur ses épaules. Marguerite Joliot est avec Émilie Roederer-Joliot, qui est appelé "mémé" par les Joliot-Curie. Elles se déplacent devant la maison. Septembre 1944 au retour de Suisse, ou octobre 1945. Jardin de la maison de la famille Joliot-Curie à Antony. Un chat noir est allongé dans l'herbe. Pierre Joliot, 12 ans, joue dans le jardin avec le chat. Irène Joliot-Curie et Hélène Langevin-Joliot, 17 ans le rejoignent. Irène Joliot-Curie et son fils jouent avec le chat. Plans du jardin et de la maison, faite construire par Irène Joliot-Curie et Frédéric Joliot en 1935. Hélène Langevin-Joliot, Irène Joliot-Curie et Pierre Joliot sont devant la maison, ils avancent dans l'allée jusqu'à la caméra. Frédéric Joliot danse avec sa fille et montre à ses enfants des gestes de danse. Moment de tendresse entre Irène Joliot-Curie et Frédéric Joliot, enlacés, qui s'embrassent brièvement. Irène Joliot-Curie et son fils, de dos, marchent dans le jardin et se prennent par le bras. Ils sont assis sur les marches de la maison. Pierre Joliot joue au tennis pieds nus. Visite de Léon Combrisson, mari de Marguerite Chavannes (la fille du linguiste Edouard Chavannes), et sa fille Alice.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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