Les documents de l'ARSSAT

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Les phares en mer, mobilisés dans la Grande Guerre
Avec ses 1 100 kilomètres de côtes et ses îles, la Bretagne est au premier rang du front de mer. Dans un conflit armé, tout ce qui peut entraver l’action de l’ennemi doit-être entrepris. A l’automne 1916, à cause de l’efficacité des sous-marins contre la navigation commerciale sur les côtes de la Bretagne, les ministères de la Marine et de la Guerre en coopération avec celui des Travaux-Publics, dont dépendent les Ponts et Chaussées et la Direction des Phares et balises, décident de l’installation de Postes de Défense Contre les Sous-Marines (P.D.C.S.M.) dans plusieurs phares en mer. Les trois phares du Trégor sont concernés par cette mesure. La mise en place des matériels, des effectifs nécessaires au service des canons, le ravitaillement et les relèves sont détaillés dans les 8 pages de l’article.

Par : L'ARSSAT

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Étude des noms de parcelles attenantes à une voie
Il s’agit de toponymie, issue du cadastre napoléonien breton de 1827, située près du site de Corseul, le long du tracé retenu de nos jours pour la voie romaine Corseul-Alet, datée du IIIème siècle. 600 Parcelles sont examinées. Leur regroupement en sections cadastrales n'est pas fortuit. Il traduit les limites des "villae" attenantes.

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L’écriture des noms de lieux bretons
Les travaux de l'ARSSAT sur les noms de lieux de plusieurs communes du Trégor ont mis en évidence le maintien d'une orthographe remontant au moyen-breton dans les notations des noms de lieux-dits ; au 19e siècle une évolution se fait lentement vers des règles d'écriture plus modernes ; les différences d'évolution phonétique entre breton et français ont entraîné des incohérences d'écriture et des mauvaises prononciations à la lecture ; l'évolution des dictionnaires bretons jusqu'à l'époque moderne permet d'espérer une amélioration.

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Voie ancienne de Perros-Guirec à Louargat
Il s’agit d’une partie de la liaison effectuée par les Romains, entre le port de Perros et la ville de Carhaix-Vorgium, vers la fin du premier siècle de notre ère. Il s’agit d’une partie de la liaison effectuée par les Romains, entre le port de Perros et la ville de Carhaix-Vorgium, vers la fin du premier siècle de notre ère.Elle rejoint la voie plus ancienne de Plougrescant à Carhaix au lieu-dit Pen ar Stang en Louargat, après une trentaine de kilomètres de parcours.

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La tour de l’église de Plouaret
La construction, commencée en 1554, est de style renaissance. La Tour, de section carrée à la base, comporte quatre niveaux. Un escalier à vis de pas à droite permet d’accéder aux différents étages. Dans l’ordre croissant on trouve l’horloge puis les quatre cloches ainsi que les deux chemins de ronde. Ces éléments ont longtemps rythmé la vie des Plouaretais.

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L’Hôtel des Postes, quai d’Aiguillon à Lannion
Avant son installation sur le quai d'Aiguillon le 11 septembre 1910, l'Hôtel des Postes de Lannion aura connu différentes implantations dans la ville durant la fin du XIXe siècle. Il succède à l'Auberge de la Porte de France, ancien relais de poste situé rue des Capucins. Au début du XXe siècle, les élus décident de construire le Bureau des "Postes, Téléphones et Télégraphes" sur le quai planté, après de vifs échanges sur le choix de l'emplacement. Le bâtiment sera agrandi en 1936, puis en 1970 avec un accueil pour le public.

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L’église de St-Jean-du-Baly de ses débuts au XXe s
Initialement simple chapelle du château de Lannion, cet édifice est devenu église paroissiale de la ville de Lannion sous le vocable Notre Dame vers 1444. Dans son architecture la partie la plus visible est sa tour qui porte la date de 1519. La nef et le chœur ont été agrandis à diverses époques jusqu’à 1902. Cette église a pris le vocable Saint-Jean vers 1622 et bénéficié d’importants travaux de rénovation de sa voute entre 2008 et 2011 pour l’émerveillement des visiteurs.

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Hommage à Pierre Delestre, mécène de nos chapelles
En 1980, Pierre Delestre créait une fondation portant son nom, pour la sauvegarde des chapelles du Trégor. Né à Paris en 1909, il doit son attachement au Trégor à son père René Delestre (1877-1941) et surtout à son grand-père Maurice Delestre (1848-1931) qui découvre la côte trégorroise l'été 1890 et construira plusieurs villas à Perros-Guirec. La famille s'investira pour transformer la commune en une ville balnéaire. Pierre Delestre décédé à Perros-Guirec en 2010, nous laisse plusieurs ouvrages sur cette ville et les chapelles du Trégor.

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Jean Savidan (1872-1941)
Une des rues principales du centre ville de Lannion, connue depuis le XVIIe siècle, sous le nom "des Capucins", deviendra en 1941 la rue Jean Savidan. Qui était ce personnage pour laisser son nom dans la ville qui l'a vu naître le 13 juillet 1872 ? Procureur de la République à Guingamp et à Saint-Malo, il revient à Lannion en 1929 pour sa retraite. Elu conseiller municipal en 1935, puis adjoint au maire, il s'intéresse plus particulièrement à l'enfance malheureuse. Il décède à Lannion le 31 janvier 1941. Célibataire, sans enfant, il a institué la Ville de Lannion légataire de tous ses biens.

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L’ancien étang de Penn-ar-Stang en Lannion-Bréléve
Entre l’église de Brélévénez et la ville de Lannion a existé un étang qui a donné son nom à la vallée du Stanco. Il existait à la fin du XVe siècle. L’article décrit son implantation.

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A la découverte des peintures du XVIIe et XVIIIe s
Faisant suite à une conférence de Mme M Hamoury, (autrice de 'La peinture religieuse en Bretagne au XVIIe et XVIIIe siècles, Presse Universitaire de Rennes), Mme Agata Le Goff fait découvrir des exemples de cet art dans les églises de St-Pierre de Prat, St-Médéric de Mantallot et St-Hervé de Quemperven.

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Lanvellec - Tréduder - Saint-Michel-en-Grève
Description d’une balade le long d’un ancien cheminement entre le village de Saint-Carré en Lanvellec, lieu de pèlerinage, passant par le village de Saint-Connay puis le bourg de Lanvellec, l’église de Tréduder, finissant à la Lieue-de-grève avec visite de l’église de Saint-Michel-en –Grève et son cimetière marin.

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Étude d’un parcellaire possible au long de la voie
Pour établir au mieux le parcours d’une voie romaine, une étude des cadastres napoléoniens s’impose. Composition en sections, noms des parcelles, conservent souvent, dans nos campagnes, la mémoire d’un trajet remontant au début de notre ère. Le trajet Plougrescant-Langoat - Bégard-Plougonver est ici détaillé. Une variante de Mantallot à Bégard est envisagée.

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Maen toull kar / Facelles / Pierres d’entrée de ch
En Bretagne, la pierre est partout présente, c’est donc tout naturellement que les anciens ont utilisé ce matériau pour leurs constructions. Les pierres d’entrée de champs, dites aussi « facelles », « maen toull kar » en breton, en font partie. L’auteur nous invite à découvrir tout un monde varié que constitue ce petit patrimoine, témoin de la vie passée de nos campagnes, qu’il faut préserver.

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Voie romaine Plougrescant-Carhaix. Parcellaire pos
Le cadastre napoléonien sert de base à cette étude portant sur une voie du premier siècle, parcourant Côtes d’Armor et Finistère. Le profil de la voie est joint.

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Voie romaine Le Yaudet – Nantes : Étude d’un parce
A partir des cadastres napoléoniens des Côtes d’Armor, un trajet reliant le site du Yaudet à l’amirauté romaine de Nantes est présenté dans sa partie costarmoricaine de Ploulec’h à La Trinité-Porhoët. 8 tronçons sont présentés, le 3ème de Bégard à Ploumagoar, reçoit à l’entrée de Guingamp, au Roudourou, la voie stratégique venant de Plougrescant.

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Voie romaine Le Yaudet - Corseul
Constituée de 8 tronçons de 15 km étudiés à partir des cadastres napoléoniens, elle relie Le Yaudet à Corseul en s’arrêtant à Rospez, Pontrieux, Goudelin, Trémuson, Langueux, Saint-Alban, Saint-Sauveur. Elle borde la Manche à une dizaine de kilomètres de distance et a pu servir à l’acheminement des troupes romaines de défense côtière, à partir de Corseul, dans les années 250.

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La tuile anglaise en Trégor
Au XIXème siècle les habitations du Trégor étaient en général couvertes de chaume. Les plus riches se permettaient l'ardoise. Finalement c'est le cabotage vers la Grande-Bretagne pour apporter poteaux de mine et pommes de terre qui va en contrepartie importer la tuile anglaise au retour sous ballast, joignant l'utile à la rentabilité. Ainsi le Trégor côtier va bientôt se doter de cette nouvelle couverture économique, encouragé par les compagnies d'assurances incendies et donnant au village cette particularité colorée qui perdurent encore aujourd'hui.

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Une ferme du Trégor dans le mur de l’Atlantique
L’État-major de la 7e Armée Allemande décide de l’établissement sur la commune de Trédarzec, sur les terres de la ferme de Mez crec’h, d’une position d’artillerie provisoire au profit de la 5e Batterie du Régiment d’Artillerie 266. Du mois de novembre 1942 au mois de mai 1944, les habitants de la ferme vont partager le quotidien de cette unité d’artillerie de l’armée d’occupation ; le temps nécessaire à l’édification de quatre casemates bétonnées, destinées à la protection des quatre canons de cette batterie d’artillerie, dont la mission est la défense de l’estuaire du Jaudy. Sans rentrer dans les détails cette coexistence, cet article décrit l’installation et le fonctionnement de cette unité installée à Mez Crec’h et de sa Direction de Tir en position sur la commune de Kerbors.

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La voie romaine Corseul-Carhaix.
Constituée de 8 tronçons de 15 km, étudiés à partir des cadastres napoléoniens, elle relie deux capitales régionales à partir de la fin du 1er siècle de notre ère. Guiguenoual, Saint-Alban, l’Urne,le Rillan, l’Oust, le Blavet, Kervenal, sont les points d’étape.

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L'histoire de Lanmérin
La commune de Lanmérin est une ancienne paroisse du Régaire de l’évêché de Tréguier située sur la rive de la rivière Le Guindy. Lanmérin est une commune rurale, entre Lannion et Tréguier, très irriguée qui attire les visiteurs par son église dédiée à un saint inconnu nommé Mérin et surtout par la chapelle de Saint-Jérome de La Salle admirablement restaurée en 2009-2010.

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Des voies romaines autour de Corseul
La fondation de la ville romaine de Corseul se situe au début de notre ère. Le pays des Coriosolites débouche sur la Manche et doit permettre à l’état-major de Nantes, d’entrer en contact avec sa flotte. Deux voies seront implantées à partir de Corseul, reliant la rive gauche de la Rance, puis la rive droite.

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Les Chrétientés celtiques au IVe siècle
Second document sur l’Evangélisation de l’Europe du N.O., il couvre le 4ème siècle de notre ère chrétienne, en Gaule transalpine, Grande Bretagne et Armorique. A partir des densités de population, une évaluation du nombre de chrétiens est effectuée, région par région. L’implantation des diocèses sous christianisme constantinien est donnée. Le monachisme naissant est évoqué.

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L’arrivée du chemin de fer en Bretagne
Les déplacements des hommes et les transports des marchandises ont toujours existé. Les moyens utilisés : l'homme, l'animal puis les différentes énergies. Au XIXème siècle apparaît un autre moyen de transport : Le chemin de fer. C'était pour l'époque un gros progrès par rapport aux autres moyens existant. Dès le commencement, les transports se sont réalisés par les chemins ou les voies d'eau. Au XIXème siècle apparaît un autre moyen de transport: Le chemin de fer. C'était pour l'époque un gros progrès par rapport aux autres moyens existant

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Les signes gravés sur la pierre
La conférence avait pour objet les marques lapidaires de tailleurs de pierre de Bretagne à l’occasion de la sortie de mon ouvrage. Celui-ci, concerne les 5 départements de la Bretagne historique. C’est un recensement des marques de tailleurs de pierre de toutes les époques afin de constituer un corpus et tenter d’expliquer l’usage et la finalité de telles glyphes. C’est aussi l’occasion de visiter les monuments de notre patrimoine et d’évoquer ceux qui ont réalisé ces ouvrages dont finalement on connait peu de choses.

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Ploumilliau
La visite de Ploumilliau commence par une conférence de M Yann Ber Piriou, qui relate dans le détail la vie d'Anatole le Bras, qui passa son enfance à Ploumilliau, son père y étant instituteur. Ensuite découverte de l'église (de l'atelier Beaumanoir, terminée en 1616) dont les extérieurs défient la monotonie et la symétrie. En intérieur, 2 exemples parmi la richesse de la statuaire : l'Ankou et une Piéta. Enfin l'église de Keraudy est un bel exemple du gothique flamboyant breton.

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L’âge d’or de Trégastel
L'arrivée du train à Lannion en 1881, amène sur la côte ses premiers baigneurs. C'est aussi le retour des célébrités locales comme Renan, Le Braz et Le Goffic qui entraineront leurs amis parisiens à découvrir leur improbable paysage. Les villégiateurs emboiteront leurs pas avec l'éclosion d'une architecture néogothique délirante au milieu des humbles chaumières trégorroises. Ce sera le premier âge d'or de Trégastel.

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Sur les pas de Charles Le Goffic
L'année 2013 marquait l'anniversaire des 150 ans de la naissance de Charles Le Goffic à Lannion. Trégastel sa ville d'adoption a voulu lui rendre hommage en rappelant son engagement pour la bretagne et la Côte de granit rose. Lors d'une sortie de l'ARSSAT après l'inauguration de son médaillon, nous avons revisité ses lieux de vie à Landrellec et Trégastel où il avait vécu et demandé d'être enterré.

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Plufur / Trémel Le style Beaumanoir en Trégor
Dans les années 1485-1535, un atelier de maîtres d’œuvre de Morlaix marque fortement le paysage architectural du Trégor par sa production d’édifices religieux, avec trois constantes : la tour-clocher, le chevet, l’ornementation. La chapelle Saint-Nicolas de Plufur, construite de 1488 à 1499, est considérée comme le prototype du « style Beaumanoir ». On retrouve les mêmes caractéristiques à l’église Notre-Dame de la Merci à Trémel, édifiée vers 1500-1520.

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