Les documents de l'ARSSAT

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Les phares en mer, mobilisés dans la Grande Guerre
Avec ses 1 100 kilomètres de côtes et ses îles, la Bretagne est au premier rang du front de mer. Dans un conflit armé, tout ce qui peut entraver l’action de l’ennemi doit-être entrepris. A l’automne 1916, à cause de l’efficacité des sous-marins contre la navigation commerciale sur les côtes de la Bretagne, les ministères de la Marine et de la Guerre en coopération avec celui des Travaux-Publics, dont dépendent les Ponts et Chaussées et la Direction des Phares et balises, décident de l’installation de Postes de Défense Contre les Sous-Marines (P.D.C.S.M.) dans plusieurs phares en mer. Les trois phares du Trégor sont concernés par cette mesure. La mise en place des matériels, des effectifs nécessaires au service des canons, le ravitaillement et les relèves sont détaillés dans les 8 pages de l’article.

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Promenade héraldique au pays de Lamballe
Lors d'une visite au pays de Lamballe, descriptions et photos d'armoiries vues au cours de cette visite.

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Dom Alexis Presse, Abbé de Boquen : 26/12/1883 – 1
Né en 1883 à Plouguenast, Mathurin Presse, prononce ses vœux en 1908, sous le nom de Frère Alexis, à l’abbaye cistercienne de Timadeuc. Souhaitant renouer avec l’authenticité de la vie monastique, après onze ans comme Père Abbé à Tamié en Savoie, il va s’employer à restaurer l’abbaye en ruine de Boquen. Il repose dans l’église abbatiale achevée deux mois avant sa mort le 1er novembre 1965.

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L’Hôtel des Postes, quai d’Aiguillon à Lannion
Avant son installation sur le quai d'Aiguillon le 11 septembre 1910, l'Hôtel des Postes de Lannion aura connu différentes implantations dans la ville durant la fin du XIXe siècle. Il succède à l'Auberge de la Porte de France, ancien relais de poste situé rue des Capucins. Au début du XXe siècle, les élus décident de construire le Bureau des "Postes, Téléphones et Télégraphes" sur le quai planté, après de vifs échanges sur le choix de l'emplacement. Le bâtiment sera agrandi en 1936, puis en 1970 avec un accueil pour le public.

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L’église de St-Jean-du-Baly de ses débuts au XXe s
Initialement simple chapelle du château de Lannion, cet édifice est devenu église paroissiale de la ville de Lannion sous le vocable Notre Dame vers 1444. Dans son architecture la partie la plus visible est sa tour qui porte la date de 1519. La nef et le chœur ont été agrandis à diverses époques jusqu’à 1902. Cette église a pris le vocable Saint-Jean vers 1622 et bénéficié d’importants travaux de rénovation de sa voute entre 2008 et 2011 pour l’émerveillement des visiteurs.

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L’entreprise Kerambrun - Une dynastie de bâtisseur
En 1909, Charles et son cousin Jean créent l’entreprise générale de bâtiment « KERAMBRUN » au pied des escaliers de Brélévenez. Durant le XXe siècle, cette dynastie, de pères en fils, construira, outre des maisons individuelles, des bâtiments publics et privés ; à Lannion : les halles, l’abattoir, la poste, les haras, l’Institution Saint-Joseph et en 1935, la chapelle Saint–Joseph de style art-déco, en béton armé, sous la direction de l’architecte James Bouillé.

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La chapelle St-Dourien en Servel
La chapelle Saint-Dourien est un petit édifice religieux situé sur l’ancienne paroisse de Servel à la frontière de Lannion avec Trébeurden. Elle est proche de la Baie de Lannion à l’écart des routes fréquentées par les automobiles. Son originalité est d’être dédiée à saint Thuriau archevêque légendaire de la Métropole de Dol. Aujourd’hui cette chapelle, en dehors de son pardon, est une halte pour les marcheurs lors de visites organisées de ce littoral de Lannion.

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Les anciens haras de Lannion
Rue des Haras à Lannion, se cachent derrière de grands murs, une belle cour pavée à l'ancienne et une longère en pierre et brique avec 12 boxes pour chevaux. C'est en 1905 que la Ville de Lannion avait signé un compromis de vente pour un terrain destiné à la construction de la station de monte, mais l'acte de vente définitif ne sera jamais signé. En 2004, un notaire recevait une demande de mise en vente de ces bâtiments émanant des Haras Nationaux. La Ville de Lannion se revendiquant toujours propriétaire pour les avoir construits en 1907, et depuis cette date, occupés et entretenus sans interruption, elle devra en justifier.

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Jean Savidan (1872-1941)
Une des rues principales du centre ville de Lannion, connue depuis le XVIIe siècle, sous le nom "des Capucins", deviendra en 1941 la rue Jean Savidan. Qui était ce personnage pour laisser son nom dans la ville qui l'a vu naître le 13 juillet 1872 ? Procureur de la République à Guingamp et à Saint-Malo, il revient à Lannion en 1929 pour sa retraite. Elu conseiller municipal en 1935, puis adjoint au maire, il s'intéresse plus particulièrement à l'enfance malheureuse. Il décède à Lannion le 31 janvier 1941. Célibataire, sans enfant, il a institué la Ville de Lannion légataire de tous ses biens.

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Les religieuses Augustines de Lannion de la Contre
Après un dépouillement minutieux des archives de la communauté des Sœurs Augustines de Lannion et des recherches aux archives départementales des Côtes-d’Armor, Annie Blanc nous livre l’histoire de ces Religieuses venues s’installer à Lannion. L’histoire de France en est la toile de fond, depuis la Contre-Réforme Catholique jusqu’en 1805. Celle de la politique locale y apporte le rôle d’influentes personnalités dans des épisodes aux aspects, parfois romanesques, mais toujours captivants et émouvants.

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A la découverte des peintures du XVIIe et XVIIIe s
Faisant suite à une conférence de Mme M Hamoury, (autrice de 'La peinture religieuse en Bretagne au XVIIe et XVIIIe siècles, Presse Universitaire de Rennes), Mme Agata Le Goff fait découvrir des exemples de cet art dans les églises de St-Pierre de Prat, St-Médéric de Mantallot et St-Hervé de Quemperven.

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Eglise catholique et gens de mer du Trégor et du L
Le conférencier s'intéresse aux relations entre le monde maritime et l'Eglise catholique. Pour approcher ces paroissiens originaux par leur rythme de vie, L'Eglise proposera, après la première guerre mondiale, différentes œuvres, un mouvement (la Jeunesse Maritime Catholique) et, grâce à des précurseurs comme le Père LJ Lebret, des aumôniers et prêtres-marins. Le dernier d'entre eux est décédé en 2009 et la JMC n'existe plus depuis 2002.

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Voies romaines en Trégor et marine militaire romai
Présentation détaillée des voies romaines, de leur construction et de leur maillage en Bretagne puis en Trégor. Une seconde partie décrit la marine romaine, les types de navires et les ports de "relâche" dans le Trégor.

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La défense de l’embouchure du Trieux et du port de
Ce texte présente succinctement l’usage tactique par les militaires des mouillages en eau profonde du port de Lézardrieux et de Coatmer. Il appréhende la fortification de ces sites du XVIIème au XXème siècles, jusqu’à l’occupation allemande de 1940 à 1944. Ce propos est étendu à l’escadrille de patrouilleurs de surface utilisée de 1916 à 1919, dans la protection du cabotage à voile contre les sous-marins ennemis.

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Quelques notes concernant le mur de la Vierge au Y
L’exploitation d’une documentation se trouvant aux Archives départementales permet d’affirmer qu’en 1738, l’évêque de Tréguier ordonne des travaux sur le mur de pêcherie abandonnée, situé dans l’anse de Vierge, au Yaudet en Ploulec’h. Y a-t-il une relation entre cette opération et la rénovation des quais de Lannion sur le Léguer en amont ? Cette nouvelle documentation ainsi que l’observation des vestiges de ce mur et de celui du Petit-Taureau, sur la rive opposée, en Servel, permettent d’étayer cette hypothèse et de montrer que des structures remontant pour partie au XIIe siècle (Cités dans la Vie de Saint-Efflam), ont pu voir leur usage évoluer au cours de l’histoire.

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Un Évêché imaginaire au Yaudet
Le Yaudet, source de fantasmes et de contre-vérités au cours du temps ; la liste est longue, depuis la création d'un évêché par Joseph d'Arimathie, une liste d'évêques improbables débutant en 75 après J.C., une orientation du nord fautive sur de nombreuses cartes, un prétendu culte solaire sur un repère géodésique pour cartographes, une vierge couchée qui ne l'était pas autrefois, une étymologie erronée pour créer un peuple imaginaire des Yadètes, etc.

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La série des Apôtres du porche de l’église St-Téné
Comment identifier les apôtres qui ornent de nombreux porches de nos églises ? Outre les noms parfois placés sur les socles des statues, il existe d’autres clés d’identification de ces personnages. Cette petite étude menée en observant la suite apostolique de l’église Saint-Ténénan de Guerlesquin dans le Nord-Finistère, tente d’apporter quelques éléments de réponse à cette légitime interrogation.

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Château de Tonquédec - Trente trois ans de travaux
En 2010, à la demande des propriétaires, l'ARSSAT leur remettait définitivement les clés du château de Tonquédec. C'est en 1977 que l'ARSSAT leur avait proposé de déblayer bénévolement les éboulis de cette forteresse médiévale laissée à l'abandon. Nous retraçons en détail, par ordre chronologique, ses 33 ans de travaux ininterrompus, menés sous le contrôle des archéologues de la DRAC, par des bénévoles passionnés par la sauvegarde du patrimoine et qui n'auront pas ménagé leur peine durant toutes ces années.

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Généalogie et Héraldique : I – La maison de Coëtme
La visite de la chapelle Saint-Jacques de Tréméven et du manoir de la Noë-Verte à Lanloup, a été l’occasion pour l’auteur d’établir les généalogies des fondateurs de la chapelle dont les armoiries figurent encore dans les vitraux : familles d’Avaugour-Penthièvre ; de Coëtmen ; du Perrier ; Rolland ; Hingant et celles des familles propriétaires de la Noë-Verte au cours des siècles.

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Regard sur les épis de faîtage
Les épis de faîtage en poterie sont très présents sur les toits en Bretagne. Ils apparaissaient déjà sur la tapisserie de Bayeux ou sur les enluminures du Moyen âge. De formes anthropomorphes, zoomorphes, florales ou simples à crochets ou à boutons .... ils sont répandus dans le voisinage des ateliers de production, en particulier autour de Pabu (Guingamp) et La Poterie (Lamballe). Aujourd’hui, les épis en poterie fragilisés par leur vétusté sont rarement remontés lors des réfections de couvertures. En tant qu’objets d’Art populaire, ils rentrent dans des collections privées ou celles des musées. L'auteur décrits des exemples caractéristiques et leurs lieux de présence.

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Les origines du Christianisme en Trégor et les par
Ici commence une série de documents relatant l’Histoire de l’Evangélisation de l’Europe du Nord-Ouest, pendant les siècles 1 à 8. Sont concernés les actuels pays de France, Belgique, Pays-Bas, Rhénanie, Grande-Bretagne, Irlande. Ce premier texte débute dès la première année de notre ère chrétienne et se termine en 337, à la mort de l’empereur Constantin, le créateur du christianisme d’Etat.

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Un épisode de chouannerie en Trégor pendant les Ce
Pour ceux qui avaient pâti de la Révolution et de l’Empire, l’abdication de Napoléon à Fontainebleau en 1814 fut un moment de liesse. Mais leur allégresse fut de courte durée car, un an plus tard, Napoléon quittait l’île d’Elbe pour reconquérir la France. Dans le camp royaliste, certains n’entendirent pas accepter sans broncher le retour du tyran. Sous la direction d’un hobereau belliqueux et brouillon, quelques Trégorrois lancèrent une riposte et, de Tréguier à Lannion, tentèrent de s’opposer à la conscription. Leur brève épopée fut surtout marquée par l’assassinat du maire de Pommerit-Jaudy, Jean-Marie Le Caër.

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L’arrivée du chemin de fer en Bretagne
Les déplacements des hommes et les transports des marchandises ont toujours existé. Les moyens utilisés : l'homme, l'animal puis les différentes énergies. Au XIXème siècle apparaît un autre moyen de transport : Le chemin de fer. C'était pour l'époque un gros progrès par rapport aux autres moyens existant. Dès le commencement, les transports se sont réalisés par les chemins ou les voies d'eau. Au XIXème siècle apparaît un autre moyen de transport: Le chemin de fer. C'était pour l'époque un gros progrès par rapport aux autres moyens existant

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Visite de manoirs à Plougrescant
Une visite d'une partie du patrimoine de Plougrescant. Exposé d'un historique avec les diverses familles plus ou moins longuement propriétaires. Des vies où émergent des noms au cours des siècles : de Goesbriand, de Roquefeuil-Cahuzac, du Halgoüet, Henry, Chancerelle, Robida, etc. Les commentaires en architecture sont ceux de Christian KULIG, auteur d'un ouvrage sur les Châteaux et Manoirs du Trégor.

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Les manoirs autour du Vieux-Marché
Découverte des manoirs de Kergoz, Guernahan et sa chapelle, la Maison de François-Marie ainsi que la chapelle de la Trinité en haut du tertre dominant la vallée du Léguer.

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Théâtre et Musée, Morlaix
En 2014, l’association des Amis du Musée de Morlaix, nous accueillait pour visiter deux édifices patrimoniaux : le théâtre dit « à l’italienne » construit en 1888 au cœur de la cité, il a été entièrement restauré en 2002, après sept années de fermeture. Le musée, ouvert en 1887, occupe l’ancien couvent des Jacobins (édifice du XIIe siècle). Sa collection s’est constituée d’œuvres achetées par l’Etat, de dons de particuliers, d’un fonds Russel et de tableaux de Maurice Denis.

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Bourbriac
Village trégorrois de l’intérieur des terres au très riche patrimoine depuis le Néolithique jusqu’à la Renaissance : tumulus, église et chapelles ainsi que des manoirs

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Découverte de Loguivy-Plougras
En 2013, l'ARSSAT organisait la visite de Loguivy-Plougras, commune rurale du Trégor, à la découverte de son riche patrimoine, dont : le château-manoir de Kerroué, restauré en 1993 ; la première église paroissiale consacré à saint Ivy ; la chapelle Notre-Dame du Dresnay ; la petite chapelle dédiée à saint Yves ; l’église Saint-Emilion, devenue église paroissiale en 1876 qui a conservé ses magnifiques sablières.

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Les lieux fondateurs de Trégastel de la révolution
Trégastel ("la trève du château") a toujours porté ce nom depuis les temps immémoriaux. On y trouve des lieux fondateurs anciens, comme une forteresse dès l'époque romaine qui a d'ailleurs laissé quelques vestiges. Ensuite il semble que ce village ait eu au cours des siècles une croissance pérenne immortalisée par des traces de motte castrale, de palacret, de chapelles, puis d'église et de maisons nobles, dès le XIIIème siècle.

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Plufur / Trémel Le style Beaumanoir en Trégor
Dans les années 1485-1535, un atelier de maîtres d’œuvre de Morlaix marque fortement le paysage architectural du Trégor par sa production d’édifices religieux, avec trois constantes : la tour-clocher, le chevet, l’ornementation. La chapelle Saint-Nicolas de Plufur, construite de 1488 à 1499, est considérée comme le prototype du « style Beaumanoir ». On retrouve les mêmes caractéristiques à l’église Notre-Dame de la Merci à Trémel, édifiée vers 1500-1520.

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