Nos documents sur la toponymie

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Ville de Saint-Brieuc
Saint-Brieuc agglomération 1942. Trois plans d'ensemble similaires couleur. Emplacement des bâtiments publics et religieux, indications des rues, places, lieux-dits, hameaux. Tracé des courbes de niveaux.

Par : Archives municipales de Sa

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Saint-Brieuc
Baie de Saint-Brieuc et agglomération. Détaillés pour voies de circulation, lieux dits, hameaux. (définition de l'aire de représentation à Lamballe, Trebry, Moncontour). Linéaire de couleur rouge déterminant une étude en zone côtière. Précisions pour la gravure : le trait par Pierron, la lettre par Arnoult, les eaux par Routier, le figuré du terrain par Lestoquoy. Cachets : imprimerie - librairie Caffini paris et entreprise Lebon 26 rue de Londres à Paris.

Par : Archives municipales de Sa

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Croix de chemin (rue des Croix)
Fichée dans un socle de circonstance, cette croix taillée en granite est ornée d´un Christ en croix et d´une Vierge à l´enfant au revers, sculptés en bas-relief. L´un des bras de la croix est brisé.Seconde croix également taillée dans du granite. Elle est composée d'un soubassement maçonné à table moulurée, d'un socle mouluré, d'un fût hexagonal et d'une croix terminale ornée d'un Christ en croix.Ces deux croix de chemin, sises au lieu-dit "les Croix" ou "Croajou" en breton, sont respectivement datées du 17e siècle (il s´agit de l´ancienne croix de Glaezran) et de 1782 (date portée sur le socle). Cette dernière, surnommée originellement "la croix du Salut", porte l´inscription suivante : "F : F : P : Mathieu Le lamer". Elle provient du carrefour de Brozoul.
Auteur(s) du descriptif : Lécuillier Guillaume

Par : L'inventaire du patrimoine

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Croix de Chemin, le Chauchix (Plouasne)
Implantée proche du hameau de Chauchis dont elle reprend le nom, en bordure d´un chemin de communication qui mène au bourg, la croix en granite monolithique surprend par sa grande hauteur et sa forme à double traverse. Elle est fichée sur un socle cubique aux angles abattus.Le toponyme du chauchis en latin « calciata via », chemin empierré indique une voie très ancienne. La croix d´origine médiévale se rapproche de celle de Guenroc élevée suite à l´épidémie de peste bubonique de 1638-1639 et de celles de Calorguen assemblées sur un socle unique.
Auteur(s) du descriptif : Rioult Jean-Jacques ; Orain Véronique

Par : L'inventaire du patrimoine

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Quelques mots sur le lieu-dit Trez-Goarem en Esqui

Par : Gallica

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[Environs de Quimper] / [Antoine de la Hubaudière]
Carte des environs de Quimper, figurant les reliefs et tous les lieux-dits ainsi que les constructions existantes.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Finistère. , Hermitage Saint Hervé : [Plaque de ve
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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L’écriture des noms de lieux bretons
Les travaux de l'ARSSAT sur les noms de lieux de plusieurs communes du Trégor ont mis en évidence le maintien d'une orthographe remontant au moyen-breton dans les notations des noms de lieux-dits ; au 19e siècle une évolution se fait lentement vers des règles d'écriture plus modernes ; les différences d'évolution phonétique entre breton et français ont entraîné des incohérences d'écriture et des mauvaises prononciations à la lecture ; l'évolution des dictionnaires bretons jusqu'à l'époque moderne permet d'espérer une amélioration.

Par : L'ARSSAT

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Finistère. , Le petit bois : [Plaque de verascope]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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De Gaulle à Douarnenez...
1/ De Gaulle à Douarnenez le 22 juillet 1945 (3 minutes). 2/ Le club de natation de Douarnenez en compétition à la piscine en rivière au lieu dit "Kérisole" à Quimperlé en 1945.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Etre borh Bubri ha borh Mêlrant
Donatien Laurent interprète ? Avec qui ? Le lieu-dit Talnay est mentionné sur la bande mais la commune reste imprécise.

Par : Dastum

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[Carte des environs de l'Île Tudy et de Sainte-Mar
Echelle de deux centimètres par mètre. Plan, manuscrit sans titre, de coupe transversal de la levée située au lieu-dit Le Treustel sur la commune de Combrit, de Jean-Marie de Silguy, en 1816 (à rapprocher du plan général Fi 48).

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Fête des mères, 1962
Titre en surimpression « fête des Mères », repas, langoustines dans appartement de Saint Nazaire 70 avenue Général de Gaulle. Au Pont de Sainte Claire à Guenrouet (son père est né à la Bussonay paroisse Notre dame), grands-parents, péniche passe sur canal de Nantes à Brest, pont provisoire en bois (pont détruit pendant la guerre), 2Cv, traction avant. « Les mimis de Paris » (fille aînée, à Noel, magasins décorés au Printemps Boulevard Hausmann, jouets de Noel, automates, train électrique. Saint Nazaire, appartement 70 avenue de Gaulle, intérieur, Papy, fillette lit. « les pommes à Pépé » à Blain au lieu dit Pont Piétin, ramassage des pommes dans le verger, poules, cheval, chat, Dauphine, près d’un étang enfants et maman mangent des mûres, à Saint Omer de Blain à La Loge chez tante Gendron, Cotineau, Guenrouet Notre dame, oncle Donatien avec cheval, écluse de Barel (n°14), canal de Nantes à Brest, promenade avec Mamie et Papy, maison natale du grand-père (autrefois ferme du manoir de Careil), visite au lapin et aux cochons avec les enfants, calèche, ramassage de l’herbe pour lapin, chien, écluse de Bougard (n°13) au lieu dit Ladrai.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Bréviaire dit de saint Jean Discalcéat
incomplet. Chaine de cuivre rivetée à la couverture. Bréviaire imprimé, illustré de vignettes gravées sur bois, de la fin du XVe ou du début du XVIe siècle. L’ouvrage étant lacunaire, on ne connait ni le lieu ni la date de son édition, en tout cas bien postérieure à Jean Discalcéat, autrement dit Jean le déchaussé, moine franciscain breton mort en 1349 et connu à Quimper sous le nom de Santig Du, le petit saint noir. Il vécut au couvent des Cordeliers de Quimper, où il fut également inhumé.Enchaîné dans l’église à proximité de la statue du saint homme, l’ouvrage est associé à son nom. Durant la Révolution, il est dissimulé dans le reliquaire et n’en sort que vers 1890, lors du transfert des reliques.Le bréviaire est depuis 1926 conservé à la bibliothèque de Quimper, dans les archives de Jean-Marie Abgrall, chanoine de la cathédrale et membre de la commission de la bibliothèque. Il a été restauré en 2014 dans l’atelier de reliure la médiathèque des Ursulines.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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16èmes Rencontres Trans Musicales
EDITONe pas parler à tort et à travers.Ne pas croire à tout ce qu'on voit et tout ce qui est apparent.Ne pas croire à tout ce qui est dit.Voici la symbolique tirée de la philosophie de Confucius.Comme ces trois singes posés sur le bord de la Bretagne.Trois singes, trois jours et trois nuits. Pour des Rencontres Trans Musicales fondées cette année sur la tolérance, l’harmonie et l'anti-fanatisme.Rennes devenant ville mosaïque. Ville archipel de lieux vivants.Des couleurs musicales dans chaque salle, dans chaque quartier dans chaque bar.Une jungle de labels innovateurs, d'artistes et de performers vont nous entourer de guirlandes illuminées.Pour finir dans un croisement étoile d'une dernière nuit Ethniks 2 Techniks.Avec cette envie folle, à l’aube de chaque matin, de devenir nomade.L’EQUIPE DES TRANS MUSICALES

Par : Association Trans Musicale

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Janvier - mars 1944
Sortie en groupe d'un restaurant "chez Maurice" puis balade dans la forêt de Rennes à Liffré au lieu dit "Mi-forêt", en hiver 1944, hommes et femmes en costumes du dimanche se baladent, un homme fait des grimaces, reçoit des boules de neige, les hommes montent sur un vieil alambic. Bataille de boules de neige entre adultes, jeux et amusements en groupe. Départ en camion : tout le petit groupe embarque à l'arrière d'un camion. Portrait de femmes. La Vilaine, promenade en bord de Vilaine, arbres bourgeonnent, pont à identifier, promenade en barque, chevaux sur le bord de la rivière, un homme monte un cheval de trait, ricochets sur l'eau. Passage du train au passage à niveau. Café le "Rendez-vous des pêcheurs". Un homme fume une pipe. Oies.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Ferme (Pont Louars)
Edifice de plan rectangulaire, orienté vers le sud-ouest, construit en moellon et en pierre de taille de granite (uniquement pour l´élévation antérieure) avec dépendance à usage d´étable en retour d´équerre vers le nord-est. Il s´agit d´un logis de type ternaire composé d´un rez-de-chaussée, d´un étage carré et d´un étage de comble. Accès antérieur central et ouvertures rectangulaires à linteau en arc segmentaire. Porte et fenêtres en façade arrière moulurées en cavet. Logis mitoyen à pièce unique au rez-de-chaussée à l´est, de même nature mais à une seule travée de fenêtre. L´édifice est couvert d´un toit à longs pans et pignons découverts à rampants et crossettes ; trois souches de cheminée moulurées. Dépendance ruinée située au nord-ouest à usage de remise et soues à cochon ; hangar agricole en vis-à-vis du corps de logis.Cet ensemble bâti ancien à vocation agricole situé à l'extrême sud du territoire communal, est composé d´une ancienne ferme datée 1794 et d´un logis mitoyen à l´est datable des années 1800 ce que corrobore l´utilisation de linteaux en arc segmentaire caractéristiques des années 1770-1820. Selon des sources orales, jusqu'en 1914 l'édifice était couvert en chaume. A l´occasion du changement du matériau de couverture et de la nécessité de disposer d´une pente de toit moins importante, les murs ont été légèrement surélevés. Lors du pré inventaire de 1972, le logis est est surnommé "Ti Kozh" ("Ti Koz"), littéralement "la vieille maison, le vieux local", il sert alors de débarras. Les toponymes "Pont Louarc´h" (sur la carte d'État-Major établie au 19e siècle) et "Pont Louars" sont attachés au lieu.
Auteur(s) du descriptif : Lécuillier Guillaume

Par : L'inventaire du patrimoine

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La bergerette et le cavalier

Donatien Laurent interprète , avec qui ? Le lieu-dit Talnay est mentionné sur la bande mais la commune reste imprécise.

La version de cette chanson est étonnante : le dernier vers (la chevelure clouée à la porte de l'église, à partir de 2'50)  se trouve habituellement dans une autre chanson (Coirault 09715 - L'infanticide qu'on s'apprête à pendre), dont une version incomplète a été chantée juste avant, sur un autre air (cf fichier son n°b05440).

A partir de 3'35 : fragment d'une autre chanson : Coirault 09902 - Le meurtrier pour plaire à sa mère III (démasqué par ses beaux-frères)

Par : Dastum

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Carte peinte : les Conseils
Dom Michel nous montre les Amériques dans la carte des Conseils. Divers navires sont représentés sur cette carte. Les premiers, pilotés par le Christ lui-même, « portent des chrétiens vertueux, et sont chargés de précieuses marchandises, c’est-à-dire de la grâce sanctifiante, des dons du Saint-Esprit, et des vertus infuses qu’on reçoit avec le baptême, aussi bien que des grands mérites que ces âmes ont acquis depuis par leurs bonnes œuvres. Le port et le royaume où elles tendent tous, c’est le séjour des bienheureux » (Verjus, livre VIII, chap. 4). D’autres bateaux ont fait naufrage ; ils embarquaient des chrétiens qui ont perdu par leurs péchés mortels la grâce du baptême. D’autres encore voguent sans cap : ceux des païens, hérétiques et schismatiques. Certains navires veulent faire le tour de la terre en passant « par le détroit de Magellan, où il arrive de fréquents naufrages ». C’est pourquoi il serait bien plus sage de percer un passage à travers l’isthme de Panama. D’où deux petits personnages s’affairant sur la carte à ouvrir cette bande de terre, large de « trois lieues », croit savoir dom Michel, ce qui lui permet d’en donner un sens symbolique. Ces trois lieux signifient trois sortes de vices : concupiscence de l’honneur mondain, de la volupté des corps, et des richesses transitoires... De nombreux détails permettent également de donner toute une catéchèse sur la vie chrétienne, les commandements à observer, les vertus à pratiquer, afin de parvenir à l’Île fortunée ou « séjour des Bienheureux ». Celle-ci comporte trois promontoires. La voie la plus exigeante conduit vers le bourg dit Altum consilium. Elle est périlleuse pour ceux qui ont présumé de leurs forces et se sont engagés imprudemment dans la vie religieuse. Ils risquent de faire naufrage. La seconde voie, plus réaliste, vise la pointe du Petit Conseil (Minus Consilium). Il suffit de suivre avec persévérance les conseils de l’Evangile pour arriver à bon port, et au pire, si la marée et le vent sont contraires, le chrétien parviendra non pas « où il voulait, mais bien où il fallait et suffisait pour le sauver ». Le troisième cap est celui des commandements de Dieu et de l’Eglise : mais « si l’on ne prend son fil, comme pour arriver à la seconde pointe, il y a un courant d’eau si rapide qu’on n’arrive pas même à la troisième pointe » (Verjus, livre VIII, chap. 4).

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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43èmes Rencontres Trans Musicales de Rennes
43ES RENCONTRES TRANS MUSICALESINTENSITÉS MAXIMALES ! Chaque fin d’année, les Trans Musicales sont cette parenthèse miraculeuse, cette sorte d’utopie réalisée où la rencontre entre les musicien·ne·s du monde entier et les personnes venues les découvrir donne lieu à une célébration joyeuse de la découverte artistique et des émotions si particulières qu’elle véhicule. C’est pourquoi nous sommes tellement impatient·e·s de vous y retrouver. Préparer une édition des Trans Musicales, cela revient pour nous à imaginer un espace-temps où les personnes pourront se sentir aussi vivantes, aussi libres, aussi pensantes, aussi sensibles, aussi dansantes, aussi ensemble, aussi... déconfinées que possible ! Il s’agit aussi de faire notre maximum pour que, une fois encore, l’attention que nous accordons aux personnes sur scène et à celles qui les écoutent et les regardent (souvent pour la toute première fois) nourrisse l’incomparable énergie qui portera la rencontre artistes-publics au plus haut point d’incandescence. Face à l’expression des artistes, à leurs créations dont chacune et chacun d’entre nous devient la vibrante caisse de résonance, nous voilà collectivement visité·e·s par leurs univers, traversé·e·s par leurs émotions, interpellé·e·s par leurs revendications, enthousiasmé·e·s par leurs prestations. Aux Trans Musicales, au-delà de se divertir, on va aussi ressentir, réfléchir, partager, mélanger, voyager. On va entrer de plain-pied dans le monde pour mieux laisser le monde entrer en nous. Un monde dont les frontières sont temporairement dépassées pour venir percuter en profondeur ce qu’on a en commun. Les Trans Musicales, c’est l’humain augmenté, bonifié, intensifié !
Et de tout cela, nous avons été bien privé·e·s. Pour notre plus grand bonheur, la 43e édition du festival sera bientôt l’occasion d’en faire à nouveau l’expérience. Impatience, on vous dit... L'équipe des Trans

Par : Association Trans Musicale

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Le village de Saint-Etienne-en-Coglès
Le village de Saint-Etienne-en-Coglès a conservé sa disposition ancienne ; il s'agit d'un village dit ecclésial car toutes les constructions qui le constituent se concentrent autour de l'église. L'enclos paroissial occupait primitivement une surface importante autour de l'église et englobait le cimetière jusqu'à la fin du 19e siècle. Le bourg contient encore quelques vieux logis remontant au 17e siècle. En 1766, l'abbé François Richer, alors prieur-recteur de Saint-Étienne, fait bâtir le presbytère. Pour des raisons de commodité, les piliers actuels ont été déplacés pour élargir l'entrée. Ceux-ci témoignent de la richesse architecturale des prieurés de l'époque qui se composaient d'une maison d'habitation avec cour, jardin, dépendances et pièces de terre. Sur le cintre de la porte d'entrée du presbytère, une pierre porte une inscription en relief : « RIC. P. 1766 », RIC pour Richer et P pour prêtre. François Richer, qui a fui la Révolution, est mort en exil à Jersey.Le village a évolué depuis 1832, date de réalisation du premier cadastre communal. Ainsi, la quasi totalité des constructions qui existe aujourd'hui date du 19e siècle. Les premiers équipements n'apparaissent que dans la deuxième moitié du 19e siècle, époque où des travaux d'aménagement ont lieu dans la commune. L´église et les écoles sont construites à cette époque. Le bourg de Saint-Étienne-en-Coglès possède de nombreuses maisons ayant gardé leurs anciennes devantures de magasin. La porte d'entrée d´une boutique est toujours étroite ; on donne alors plus d'importance à la pierre qui sert d'étal. Le linteau de porte d´une maison du bourg, située rue Charles de Gaulle, est sculpté d'un blason soutenu par deux léopards, probablement martelé pendant la Révolution. Il s'agit d'une ancienne maison de marchand. Les photographies prises dans les années 70 dans le bourg de Saint-Etienne-en-Coglès montrent une enseigne de sabotier. Des sabots de différentes tailles et couleurs étaient disposées sur un panneau qui faisait office de présentoir. Les gens pouvaient ainsi juger de la diversité des articles fabriqués et du travail d'artiste du sabotier. Tous les objets présentés sont travaillés en bois. Les sculptures sont exécutées au couteau. La bride du sabot est normalement en cuir, ainsi que les sandalettes, mais ici tout est en bois. L'enseigne portait l'inscription « R. Touchefeu-Sabotier à Saint-Étienne-en-Coglès ». Autrefois, dans le bourg, il y avait quatre artisans sabotiers.
Auteur(s) du descriptif : Bardel Stéphanie

Par : L'inventaire du patrimoine

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Manoir, la Vallée Martin (Trévron)
La configuration actuelle des bâtiments est semblable à celle dessinée sur les plans des cadastres de 1811 et de 1843. Une entrée unique permet d’accéder à la fois au logis noble et à la métairie. La division des espaces se ressent davantage dans l'organisation des parcelles et desjardins. Le manoir dont la façade sur la cour a été remaniée se distingue par sa haute toiture en pavillon. Une lucarne en pierre de taille des Faluns subsiste du côté du chemin. L'intérieur est en cours de rénovation et la partition du rez-de-chaussée n'est plus tout à fait celle d'origine. Aujourd'hui on rentre dans une grande salle munie de deux cheminées, l'une adossée, l'autre engagée dans les murs. A l'arrière de part et d'autre de l'escalier se situent deux pièces annexes, celle de droite a conservé dans son mur nord est, un évier et un vaisselier mural. L'autre petite pièce à gauche de l'escalier est éclairé par une petite fenêtre percée au pignon sud ouest. Ce plan est dit à« à faux plan double en profondeur » en raison des dimensions plus petites des pièces arrière. En façade postérieure figure une bouche à feu accessiblede l'escalier intérieur en vis.La métairieLe manoir est accolé d'une dépendance au nord est qui fait face à une autre aile de dépendances. De l'autre côté de la cour se situe le fournil. Le logis du métayer se développe en longueur et regroupe sous une toiture unique des pièces à vivre et des pièces d'exploitation. Ce logis appelé en raison de cette distinction « logis mixte » ou « logis à fonctions multiples » est composé de quatre pièces en rez-de-chaussée dont une seule : la salle est chauffée par une grande cheminée. Les portes hautes indiquent la présence de greniers. Une travée récente de fenêtre a été ajoutée lors de la récente rénovation. La façade est datée àdeux reprises de 1812. Les linteaux des baies en arc segmentaires sont significatifs de cette période. Le manoir de La Vallée Martin appartient en 1448 à Bertrand Sevestre, mentionné dans la liste des nobles de la commune. En 1690 une partie du domaine, qualifié de métairie de la Ville-Martin, est la propriété de Jean Lambert, syndic à Dinan, époux de Laurence Lesieu. En 1811, le registre des états de section consigne Julien Carriguel, notaire à Dinan comme propriétaire des lieux.Du manoir mentionné au 15e siècle, il n'en subsiste aucun vestige, le logis en place a été reconstruit au 17e siècle et transformé en façade au19e siècle. Quant à la métairie, elle est également rebâtie en 1812 ( date portée deux fois).
Auteur(s) du descriptif : Orain Véronique

Par : L'inventaire du patrimoine

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Portraits de famille
Bobinots assemblés: 12, La Rochelle, Joué sur Erdre 1957. Nombreux portraits. 13 Vayres couleur. 14 Foire du trône, Molitor 1958. 15 Auvergne 1958. 16 Royan, Joué sur Erdre 1958. 17 jardin, Annecy, Italie 1959. 18 Italie. barbe a papa. La Rochelle (Charente Maritime Poitou Charentes), images en noir et blanc, le Vieux port, face maisons du quai, clocher de l'église Saint Sauveur, bateaux de pêche LR 200, bateau de pêche Marie Elisabeth, bateau de pêche ?ardenia, phare, entrée du port (00'33''), Tour Saint Nicolas, canoé descente puis montée sur cale, tour de la Lanterne, canoé avec trois jeunes hommes autour, bateau promenade rentre au port. La porte de la grosse horloge (01'06'') plogeurs près de la cale, maillot de bain, canoé, vue sur tour de La lanterne et Tour Saint Nicolas, arrivée bateau de plaisance. Centre ville (01'42'') avec maisons à porches. Joué sur Erdre, images en noir et blanc, fillette donnant un biberon à chaton (1'45''), clocher église Saint Léger, fillette fait du vélo devant l'église. Homme pêche à la ligne près d'un marais (2'26''), images en noir et blanc, pêche à la grenouille, homme enlève l'hameçon, homme assis sur pliant fait lecture à une petite fille puis avec une dame, dame tricote avec lunette. Deux enfants jouent dans un jardin avec chien, jouets, autre fillette (3'31''), images en noir et blanc. Couffé, à la maison du Pas, Mme Malherbe (images en noir et blanc, 3'54''), dans la cuisine, faisant de la couture sur table en coupant tissu. Dame jardine et s'agenouille (3'58''), Mme Malherbe prépare le linge pour la lessive (4'14''), façade de la maison, les deux femmes sortent draps de la lessiveuse pour les tordre. Vayres (? Gironde), images en couleurs, sur bord de rivière, régates, préparation des bateaux, voiliers, club nautique, compte-tour, vauriens?, canetons (06'03''), canoé, 505, péniche (6'22''), Mousse (6'26'' architecte Eugène Cornu), 505 (6'33''). Bateau à moteur, régates, pont au fond, homme fait noeud devant une jeune fille, godille, canoé, dame boit, jeune femme mange cerise, Foire du Trône 1958, Paris, images en couleurs, (8'47''), manèges (chevaux, avions...), voiture de Karting adulte, décors en l'air, montée d'adultes dans manèges, grande roue, publicité "la plus ancienne , la plus moderne la foire au pain d'épices Place de la Nation du 28 mars au 27 avril", jeune femme avec un pain d'épice en forme de cochon, manège, balancelle, montagnes russes, petit train (10'52''), limonaire (10'46''), auto-tamponneuse, pain d'épice cochon (11'321''), tir à la carabine, vendeuse de crêpes, vendeuses en costumes avec coiffes, vendeuse de pain d'épice en GP avec inscription "c'est toi mon homme", loterie Pif-Pouf-Paf (11'34''), avec roue de la fortune, stands, marchand de barbe à papa, stands, jeune femme danse sur un stand, magiciens, homme portant une pancarte "les variétés parisiens présentent les supers champions cyclistes de Vancrayenest", "les variétés parisiennes présentent le cirque miniature théâtre des...", chimpanzé, Mme Malherbe caresse une chèvre, vendeuse de barbe à papa (12'28''), stand "promettre de l'amour", vente de ballons,. Mont Pilat crête de l'Oeillon, Auvergne (13'03''), Auvergne 1958, émetteur télévision installé en 1955, route en construction. Dans un jardin public avec colonnades, rosiers dans ville d'eau, dames boivent de l'eau, dame avec bonnet distribuant de l'eau (13'22''). Baignade, pédalo, lac (13'34''), clocher à pan pointu et couvert d'ardoise à base carrée, chevet en hémicycle, garçon fait un château de sable, hommes avec un cochon le ramène à l'étable. Sur place du village (14'35''), fontaine de Besse en Chandesse (place Gayne, 33, Gironde), homme parle avec Mme Malherbe, clocher beffroi de Besse en Chandessse, entrée de la ville. Promenade sur barque (14'44'), sur lac, puis dans sous bois, couple Malherbe. Château de Murol (63, Puy de Dôme, 15'00''), vu d'en bas, visite des ruines. Cascade, téléphérique (15'04''), belvédère, Le Sancy (?, Puy de Dôme, Mont Dore, table d'orientation en haut du Sancy. Oradour sur Glane (15'47''), église, autel abimé, visite du village, maisons, panneau "ici lieu de supplice un groupe d'hommes fut massacré et brûlé par les allemands recueillez vous", cimetière, plaque "à la mémoire de nos chers martyrs", monument dans le cimetière. Royan (16'35'', Charente maritime), plage, enfants, balancelle, mur de remblai, cerf-volant, au fond église Notre-Dame, enfant jouant avec sable, jeu de ballon, gros ballon avec marque Nestlé, barres parallèles, tente de plage, balançoire, toboggan, parasol, vélo cheval pour enfant, vélo-cyclomoteur, immeuble. Port, (18'00''), déchargement de sable, bateau "Saint Jacques", bateau de pêche (immatriculé M, Marennes Oléron?), jetée. Fillette avec bonnet se baigne (18'33''), dans un bassin, toboggan, jardin public, balancelle. Joué sur Erdre (19'00''), images en couleurs, fillette dans une rue avec tutu, Couffé (?) homme avec tracteur bleu relié à une moissonneuse batteuse, battages, hommes portent sacs de grain sur dos, derrière tas de branches d'arbres, cabanon, foin. Paris, le long de la Seine (20'00''), images en couleurs, pont, Louvre, péniche, place de la Concorde, pont Alexandre III. Annecy (20'20''), bord du lac d'Annecy 1959, trois dames sur une balancelle. Lac Majeur et Iles Borromées, Isola Bella, jet d'eau avec statue sur bassin quadrilobé du jardin des azalées, flore dans jardin, nénuphars dans bassin, dame assis sur un pont, bassin avec jet d'eau, Hôtel derrière (20'48''), parterre, flore, bassin de nénuphars, zinias. Ile d'Isola Bella (21'37'') sur la Lac Majeur. Sur bateau promenade, foule, le belvédère du Palais d'Isola Bella (21'49''), statues, jardin du Palais, paon bleu, portrait du couple Malherbe, Isola dei Pescatiri (22'39'') ou île des pêcheurs (22'39''). Dame assise sur un bateau, vue sur ïle Isola Bella, ruelles, images sombre de pêcheur avec filet. Voiture Panhardt (23'00'') qui démarre. Cygne à qui on donne à manger (23'03'')., canaux dans une ville, pont (23'14''), entrée de ville, vélo, cheval pour enfants sur une pelouse. Lac d'Annecy (23'32''), beau bateau de plaisance motorisé, casino, bateau-promenade, pédalo, parterre de fleurs, pont, château d'Annecy (24'02''), pancarte bar des orangers, canal avec pont. Italie 1959 (24'13''), Mme Malherbe done à manger aux pigeons, panorama sur façade d'immeuble (Cora, Cinzano, carta Carbone), statue équestre vue en contre plongée sur la place (statue de Vittorio Emmanuele II), pinacles de la cathédrale de Milan, façade de la cathédrale, arc de triomphe ou arc du Simplon (ou arc de la Paix (1807-1838) par l'architecte Luigi Cagnola, tour du Castello Sforzesco (24'55''). sur plage, matelas pneumatique, maillot, baignade, dame écope un bateau, bouée. Vérone (25'23''), arènes de Vérone (extérieur et intérieur). Vérone, Vénétie, porte de la ville Piazza Bra 25'39'''), ruelle, escalier du Pallazo delle Ragione (XIV), porte de la place Piazza Bra (25'39''), dit Palais de la Commune, statue de Dante Piazza dei Signori, façade église à identifier ('26'12''), monuments avec gisant dont tombeau des Scaligeri (mausolée, 26'23''), rues avec façades anciennes, pont Scaligero qui franchit l'Adige, partie du Castel Vecchio (26'30''), arc de triomphe dit Arco dei Gair (26'33''). Vicence, façade du Palazzo Porto Bregance (26'42''), 1571, inachevé avec trois demi colonnes géantes corinthiennes dû à Palladio. Basilique paladienne (26'45'') et son campanile, place devant la ,basilique, deux statues sur deux colonnes (dont une avec un lion de Venise, Piaza dei Signori). Venise (27'08''), canal, ponts, gondole, façade, églises à dômes, façade de palais, pont du Rialto (27'36''), place saint marc et basilique (27'45''), pigeons, photographe assis qui attend le client.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Fort central (Hoedic)
Le fort central d'Hoedic est situé sur une hauteur au sud-est du village. Il s'inscrit dans un trapèze dont les deux côtés parallèles mesurent 105 et 135 mètres, les deux autres côtés 107 mètres. Il est légèrement moins large que le fort d'Houat (côtés parallèles du trapèze : 116 et 148 mètres). Il est flanqué par un petit bastion (dit "bastionnet") à chaque angle. La caserne à l'épreuve occupe le centre de la courtine de gorge. Un fossé sec entoure entièrement le fort. Il n'y a pas de chemin couvert, mais un ravelin triangulaire terrassé couvre la gorge. Ce tracé trapézoïdal à bastionnets et caserne de gorge est fréquent dans la fortification française du milieu du 19e siècle. Son choix correspond plutôt à des ouvrages faisant partie d'une ceinture fortifiée, et non à un ouvrage isolé. Dans ce cas, la nécessité de se couvrir de tous les côtés fait adopter des casemates logées sous les courtines, comme à Chausey ou à l'île d'Yeu, dont les forts sont également des réduits insulaires. Dans le cas du fort d'Hoedic, le Comité des fortifications a considéré que le front ouest du fort était peu exposé à des tirs venant du large, ce qui autorisait cette configuration. Le risque de siège en règle est également faible dans un contexte littoral. Les escarpes ont 10 mètres de haut à l'origine et sont en maçonnerie, avec un léger fruit. Les contrescarpes sont taillées dans le roc. Les parapets des bastions et des courtines sont organisés pour le combat d'infanterie sous la forme de simples murs à bahut doublés d'une banquette en terre (dans les bastions) ou de gradins en maçonnerie (le long des courtines). Les pierres de couverture de ces parapets ont été victimes des prélèvements opérés dans le fort. L'intérieur du fort est occupé par les importants massifs terrassés du cavalier d'artillerie. Cette masse de terre disposée en U en retrait des courtines nord, est et sud du fort est destinée à accueillir une partie de l'artillerie du fort et à servir de crête d'infanterie. Elle supporte les emplacements pour pièces de côte. La communication entre le terre-plein du cavalier et le chemin de ronde se fait via un tunnel passant sous le parapet. Le magasin à poudre prend place au centre du fort, dans la cour. Il est censé être couvert par les terrassements du cavalier. Le granite local extrait des fossés a été utilisé pour les moellons. Les pierres de taille sont en granite de Trégunc ou en granite de Crac'h. Au cours des guerres de Succession d'Autriche, de Sept Ans et de la Révolution et de l'Empire, les îles d'Houat et d'Hoedic sont régulièrement occupées par les Anglais et leur servent de bases d'opération dans la région. Leurs deux tours à batteries basses construites à la fin du 17e siècle sont détruites en 1746, les forts relevés à leurs emplacements après 1756, en 1795. La réoccupation militaire d'Houat et d'Hoedic est donc envisagée dès le début du 19e siècle. Les commissions de défense et le Comité des fortifications réaffirment cette nécessité en 1818, 1825 et 1836, de même que les officiers du génie en charge des îles dans les années 1820 et 1830. La "Commission mixte d'armement des côtes de la France, de la Corse et des îles" de 1841 se place dans la continuité en demandant la construction dans chaque île d'une redoute-modèle leur servant de réduit. La commission attribue au fort d'Hoedic un armement de trois canons de 30 livres et trois obusiers de 22 cm pour l'action lointaine, augmenté de deux mortiers de 32 cm par la commission de défense des côtes de 1859. La défense rapprochée repose sur quatre canons de campagne et deux canons de montagne. Il est prévu une garnison de 200 hommes d'infanterie, plus les canonniers nécessaires au service des pièces. Dans le premier projet présenté fin 1845 pour 1846, le chef du génie propose un énorme fort carré flanqué par quatre grands bastions très saillants, entouré d'une enveloppe bastionnée en terre, placé sur la hauteur au nord-ouest du bourg, à la place de l'église. Dans son avis du 29 avril 1846, le Comité des fortifications rejette ce projet très ambitieux et revient à un emplacement plus central comme demandé par la Commission de défense des côtes, sur le plateau au sud-est du bourg. Il adopte le même tracé que pour le fort d'Houat, en plus petit. Les travaux commencent en 1847. A la fin de 1854 il reste à finir de masser le cavalier d'artillerie, à organiser les extérieurs, ravelin d'entrée et glacis, et à construire le magasin à poudre. L'achèvement des travaux a lieu au cours de l'exercice budgétaire 1855-1856. L'aménagement des plates-formes pour l'artillerie lourde est réalisé en 1863. Les nouvelles conditions crées dans la défense des côtes par les progrès de l'artillerie au cours des années 1860 condamnent les fortifications des îles d'Houat et d'Hoedic. Au début des années 1870, le coût de leur nécessaire réorganisation n'est plus en relation avec les services qu'elle peuvent rendre. Le fort central d'Hoedic est désarmé en 1875 et confié en 1876 au recteur de l'île agissant comme représentant de la section d'Hoedic de la commune de Palais. Le fort accueille un temps l'école publique après 1881. Il est déclassé par la loi du 27 mai 1889 et remis aux Domaines le 25 juin 1890. La clause de démolition aux frais de l'acquéreur imposée par le génie rend difficile la vente des forts d'Houat et d'Hoedic. Le maire de Saint-Pierre-Quiberon, qui possède une entreprise de transformation du goémon, achète le fort en 1893 pour l'utiliser comme entrepôt. Pas plus que la commune d'Houat il ne respecte son obligation de déraser l'ouvrage sous trois ans. Comme celui d'Houat, le fort d'Hoedic sert ponctuellement de carrière de pierres de taille. Pendant la Première Guerre mondiale, un poste de défense contre les sous-marins (PDCSM) armé de deux canons de 90 mm sur affûts de campagne est installé au fort d'Hoedic. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands y installent des pièces antiaériennes. Le fort est inscrit au titre des Monuments historiques en 2000. Propriété du Conservatoire du littoral depuis 1979, il accueille divers locaux associatifs ainsi qu'un gîte d'étape. Comme le fort d'Houat, il fait l'objet d'un regain d'intérêt récent en tant qu'élément du patrimoine fortifié (2017).
Auteur(s) du descriptif : Jadé Patrick ; Duigou Lionel

Par : L'inventaire du patrimoine

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