Patrimoine culturel de Quimper

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Palmarès du Petit séminaire de Pont-Croix 1872-188

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Gavotte pourlette ?

Par : Dastum

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Une rue de Quimper

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Le portail de la cathédrale de Quimper

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Bal gavotte montagne

Par : Dastum

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Allocution du général de Gaulle à Quimper
Le général de Gaulle prononce à Quimper un discours resté célèbre, dans lequel il évoque la régionalisation. Il annonce le référendum pour la réforme du Sénat et achève son discours en chantant la Marseillaise, accompagné par la foule.

Par : INA

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Le tour au pied

Par : Dastum

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C'est dans dix ans je m'en irai

Par : Dastum

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Témoignage d'une ouvrière travaillant dans une con
Gabrielle travaille dans une conserverie de poissons : des sardines et des maquereaux. Elle parle de la difficulté physique du métier à la chaîne, l'impossibilité de se parler, l'évaluation du travail en fin de journée, la fatigue engendrée par le bruit.

Par : INA

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Quimper, la cathédrale : [photographie de presse]

Par : Gallica

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4J Quimper /83

Par : Archives départementales d

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Abrege Deus ar varn general pe ar jugeamant diveza
Feuille volante dont le titre peut être traduit comme suit : Abrégé du jugement dernier

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Quimper. - Ty Man Doué : chapelle.
Date : 1976. Fonds : Gwyn Meirion Jones

Par : Archives départementales d

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Album de cartes postales de Quimper (4 Fi 851-4 Fi
Les numéros de pages devant la cote et la description de la carte postale correspondent aux numéros de pages de la visionneusepage 1 : 4 Fi 851 le Likès page 2 : 4 Fi 852 école normale d'institutrices page 3 : 4 Fi 853 infirmerie du Likès page 4 : 4 Fi 854 revue du 118ème page 5 : 4 Fi 855 cérémonie des anciens combattants page 6 : 4 Fi 856 atelier de peinture de la faïencerie page 7 : 4 Fi 857 musée des faïenceries page 8 : 4 Fi 858 Saint Jean Discalceat page 9 : 4 Fi 859 chapelle de la retraite du sacré cœur page 10 : 4 Fi 860 monseigneur Duparc page 11 : 4 Fi 861 le château du Marhallach page 12 : 4 Fi 862 tombola à Quimper page 13 : 4 Fi 863 cavalcade à Nantes char de Quimper en 1910 page 14 : 4 Fi 864 expo philatélique de Quimper en 1946 page 15 : 4 Fi 865 le port à Locmaria page 16 : 4 Fi 866 au confluent page 17 : 4 Fi 867 l'autorail partant de Quimper page 18 : 4 Fi 868 le jardin des remparts en 1959 page 19 : 4 Fi 869 le pont Sainte Catherine et la cathédrale page 20 : 4 Fi 870 les passerelles sur l'Odet page 21 : 4 Fi 871 le musée départemental et la société générale page 22 : 4 Fi 872 la rue du Parc page 23 : 4 Fi 873 Au petit Paris page 24 : 4 Fi 874 la rue Kéréon page 25 : 4 Fi 875 la crêperie du Bon vieux temps page 26 : 4 Fi 876 pose de la quille du Lougre en 1990 page 27 : 4 Fi 877 vue avant du bateau bordé en 1990 page 28 : 4 Fi 878 le chantier du lougre sous la neige en 1990 page 29 : 4 Fi 879 vue panoramique de Quimper en 1908 page 30 : 4 Fi 880 vue générale de Quimper page 31 : 4 Fi 881 le confluent et le kiosque page 32 : 4 Fi 882 le cirque à Quimper page 33 : 4 Fi 883 vue générale de l'Odet et du boulevard page 34 : 4 Fi 884 vue aérienne de la cathédrale et du marché page 35 : 4 Fi 885 les rails et la vallée du Steïr page 36 : 4 Fi 886 vue aérienne de la cathédrale et du marché page 37 : 4 Fi 887 la préfecture en construction en 1904 page 38 : 4 Fi 888 Quimper vue du mont Frugy en 1921 page 39 : 4 Fi 889 Ploneïs page 40 : 4 Fi 890 chapelle Sainte Anne à Ploneïs page 41 : 4 Fi 891 chapelle de la Boissière à Ploneïs page 42 : 4 Fi 892 pont pissette page 43 : 4 Fi 893 le jardin des remparts ou des vieux page 44 : 4 Fi 894 inondations de 1928 page 45 : 4 Fi 895 rue du parc page 46 : 4 Fi 896 autocar Romain à Combrit page 47 : 4 Fi 897 vue panoramique de Quimper page 48 : 4 Fi 898 le gymnase page 49 : 4 Fi 899 place Terre au Duc en 1960 page 50 : 4 Fi 900 manifestations de Plogoff, le procès de Quimper en 1980

Par : Archives municipales de Qu

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Procession de la fête Dieu
Procession de la fête Dieu à Landerneau en 1925 ; cours de gymnastique à jeunes filles sur la plage avec un professeur ; Landerneau sous la neige ; Morgat les grottes ; course cycliste : le Circuit Atlantide 1925 ; famille dans le jardin à Quimper 1925 : jeux parents/enfants, partie de rigolade, mini saynètes par les adultes, couple d’amoureux dans les buissons, jeune femme puis jeune homme prenant la pose devant la caméra ; les Pyrénées : Cotteret, Gavarnie puis Lourdes ; Biarritz - Bayonne - Quimper (femme et son enfant dans la cour de la maison) ; "Lesneven/Landerneau" (match de football) ; arrivée de deux autobus sur la place du village (à identifier), descente des passagers ; match de football ; course automobile (Florio ?) ; parade militaire avec des avions et des bateaux (en rade de Brest ?). Sortie en autobus à Sizun.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Le barbier de village
Sujet représenté : scène (discussion ; homme ; barbier ; poule ; cour ; maison ; rasage, Quimper, vêtement : Breton) - N° d'inventaire : 16

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Arrondissements de Quimper. , Débarquement à l'île
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Bourg de Lanvéoc
Le bourg de Lanvéoc s'est développé le long la route royale Quimper-Brest via le port de Lanvéoc. La chaussée étant empruntée par des cavaliers, des colonnes de troupes, des convois, des charrettes et des diligences, la voie principale du bourg est très large. Sa largeur répond aux normes des routes royales : 42 pieds de large, soit 13 mètres. Mais alors que l´activité économique est essentiellement maritime, le bourg s´est, étonnamment, construit en hauteur. Les axes nouveaux de communication sont créés en 1871 (route de la grève) et la Route du Poulmic-ancien chemin- suite à la création de la base aéronavale. En 1830 le bourg de Lanvéoc comptait 328 habitants, 394 en 1862 et 400 en 1871.Lieu de passage, il existe plusieurs descriptions du bourg :En 1786, Jean-Marie Bachelot de la Pylaie décrit les maisons de la grand'rue : "On y trouve une rue large, d'une certaine longueur, droite, bordée sans interruption de maisons couvertes en ardoise qui ont presque toutes un premier étage au dessus d'un rez-de-chaussée. On en remarque même qui ont une certaine apparence nobiliaire et paraissent remonter au 15e ou 16e siècle." Il ajoute que les 350 individus qui y vivent sont marins, pêcheurs, cultivateurs et artisans. "Les 3/4 ne savent encore ni lire, ni écrire" et "c'est du reste une population docile, pleine de confiance en ses chefs et qui se prête bien volontiers à ce qu'ils en exigent."En 1828, Gilbert Villeneuve parle d´un « village très mal entretenu au milieu d´une campagne aride et déserte ».Jean-François Brousmiche vers 1830 n´est pas plus élogieux : « Lanvéoc est un village qui se compose de cinquante à soixante maisons qui toutes sont édifiées sur les bords de la grande route qui conduit à Quimper. Ici, tout est misérable, maisons et habitants. Autrefois quand cette route était fréquentée par la population brestoise, parce qu´elle raccourcissait de 8 lieues la distance entre Brest et Quimper, le commerce de consommation y était actif. Mais aujourd´hui que les voitures publiques roulent avec rapidité, qu´un bateau à vapeur conduit jusqu´à Châteaulin, que les prix de transport sont modérés, le promeneur seul dirige ses pas vers Lanvéoc. Jadis encore on trouvait à Lanvéoc, [...] ce qu´on appelait des chevaux quittes ou poste aux matelots. Des bidets forts et vigoureux, quoique peu élégants de formes, vous étaient livrés et avec eux vous franchissiez en trois heures les 10 lieues de poste séparant Lanvéoc de Quimper. Alors toutes les maisons de ce village étaient des auberges et dans toutes on trouvait des chevaux de louage. A Lanvéoc où l´on trouvait des voitures comme des chevaux, des bateaux toujours prêts pour le transport des voyageurs à Brest, on ne voit plus qu´une population hâve, maigre, chétive ; sur la place de ce village, on ne rencontre plus que des mendiants tendant la main pour recevoir une misérable charité qu´ils sollicitent avec une insistance fatigante. » La raison en est une situation de paix depuis 1815, le développement du trajet Quimper-Brest via Landerneau (plus rapide, moins inconfortable) ; L´activité de location de chevaux perdure cependant : l'annuaire de Brest et du Finistère (1835) mentionne une diligence au départ de Recouvrance pour Quimper, place de la cathédrale, via Lanvéoc pour 8,50 francs.A. Riou écrit en 1874 dans le bulletin de la société académique de Brest, promenades dans le Finistère : « La route départementale de Lanvéoc à Quimper était jadis très fréquentée. Nous nous figurions donc que le village où nous arrivions pouvait garder quelques vestiges d´une ancienne prospérité. Il n´en est rien, et Lanvéoc ne mérite en aucune façon d´arrêter le touriste".
Auteur(s) du descriptif : L'Haridon Erwana

Par : L'inventaire du patrimoine

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IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

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Abbaye de Daoulas, actuellement église paroissiale
L´église abbatiale se trouvait au sud de l´ensemble monastique qui s´organisait autour du cloître. Le choeur de l´abbatiale devait communiquer avec le bâtiment fermant le cloître à l´est.L´aile Est, datée de la période de construction de l´église, peut-être même légèrement antérieure comme le laisserait supposer la façade de la salle capitulaire, comprenait du Nord au Sud : la sacristie, le chapitre et le chartrier. En retour avec l´aile Est s´est développée l´aile Nord dont l´existence remonterait au milieu du 13e siècle. Ce bâtiment abritait les cuisines à l´Est et le réfectoire à l´Ouest. Un foyer central fonctionnant comme brasero a été mis au jour lors des fouilles et correspondrait donc à une partie des cuisines aménagées dès le 12e siècle. Par la suite l´aile Ouest fut remaniée, probablement au 14e siècle, elle contenait le logis de l´abbé ainsi que des salles d´hôtes. Les fouilles ont permis la mise au jour de structures artisanales telles que foyers, four de verrier, moule à cloche mais aussi des fosses à eaux, puits, bassin et citerne qui s´articulaient autour du lavabo situé dans l´angle Nord-Ouest du cloître. La fouille des galeries à mis en évidence l´existence de nombreuses sépultures dans le cloître. Ce dernier servit donc d´emplacement au chantier de construction de l´abbaye du 12e siècle avant d´être remblayé mais il fut également employé comme lieu d´inhumation.L´abbaye est la seule, parmi les neuf monastères de l´ordre de Saint-Augustin en Bretagne à s´être établie dans cette extrémité occidentale de la région. Elle est édifiée dans l´estuaire de la rivière de Daoulas, en rade de Brest, à la limite entre les diocèses de Léon et de Cornouaille (Quimper).Selon la Vie légendaire de saint Joua, celui-ci aurait été le premier abbé d´un monastère fondé sur le site de Daoulas au cours du 6e siècle. Cette fondation serait due à un seigneur du Faou, désireux d´expier ainsi un double meurtre commis sur deux moines du nom de Tudec et Judulus. Il s´agit d´une légende peu vraisemblable, les fouilles archéologiques menées sur le site n´ont pu mettre en évidence une occupation du site antérieure au 12e siècle.La fondation de l´abbaye au 12e siècle s´est faite à l´initiative de Guyomarc´h, vicomte de Léon et de sa femme, Nobile. La date pose plusieurs problèmes et ne peut-être clairement définie. Il semble que dès 1101 l´ordre de Saint-Augustin est introduit à Daoulas, mais ce dont on est certain c´est que la construction de l´église abbatiale débute en 1167 pour s'achever en 1173 et sa consécration a lieu en 1232. Au 12 et 13e siècles l´abbaye connaît une période de grande prospérité avec la multiplication de donations, faites d´une part par les seigneurs de Léon, d´autre part par les évêques de Quimper.Au 14e siècle la guerre de Cent ans cause des dégâts sur les bâtiments, restaurés sous l´abbatiat de Jean Guerault (1350-1398). C´est vers 1600 que l´abbaye est mise en commende, le premier abbé commendataire est un certain René de Rieux.En 1692, le roi décide d´unir l´abbaye au séminaire royal des aumôniers de la marine de Brest, dirigé par les jésuites. Certains moines s´y opposent, ce qui est la cause d´un long procès. A la Révolution les moines doivent quitter le monastère. En 1790, l´église devient paroissiale et en 1792 les bâtiments sont vendus. Dans les années 1800 plusieurs pierres du cloître sont dispersées et certains des bâtiments détruits. A partir de 1880 débute la restauration menée par l´architecte Bigot. Cinq familles de propriétaires différentes se succèdent jusqu´en 1947 où l´abbaye est achetée par la Congrégation des soeurs franciscaines de Blois qui y installent une école puis une maison de repos dès 1960. En 1984 elles vendent ces bâtiments, dont le Conseil général du Finistère se porte acquéreur.Suite aux fouilles archéologiques menées sur le site de l´ancienne abbaye de Daoulas au début des années 90, nous connaissons mieux aujourd´hui l´organisation spatiale du monastère, la disposition des salles et les différentes périodes de construction des bâtiments conventuels.Précisons dans un premier temps que les fouilles conduites sur le site n´ont pas permis d´identifier une période d´occupation antérieure au 12e siècle. Philippe Guigon le soulignait d´ailleurs : "La fouille menée à partir de 1990 dans le cloître confirme que les plus anciens niveaux de l´installation monastique ne sont guère antérieurs au milieu du 12e siècle". Pourtant M. Bailleu soulignait en 1990 que "la salle capitulaire, quant à elle, fournit d´importants résultats permettant de confirmer l´existence de constructions antérieures à l´édification de l´abbaye".
Auteur(s) du descriptif : Cros Mélanie

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ligne de chemin de fer Châteaulin-Landerneau (Hanv
La portion de ligne qui traverse Hanvec comprend cinq ponts ferroviaire et un ponceau, 2 maisons de garde-barrière, un château d'eau, une gare. Celle-ci est conçue selon les normes nationales en vigueur par la Compagnie de chemin de fer de Paris-Orléans. Elle présente un plan rectangulaire à étage carré, comble à surcroît, élévation ordonnancée et toit débordant en ardoise. La mise en oeuvre en brique et calcaire à assises alternées repose sur un soubassement en pierre de taille de granite. Pilastres aux angles et bandeau en relief au premier étage ponctuent les élévations.A quelques mètres au sud de la gare, se trouvent la maison de garde-barrière et le réservoir d'eau de plan octogonal, orné d'arcades en arc segmentaire.Le relief relativement accusé d'Hanvec a imposé la construction de ponts et ponceau (Bodrézal, Kerguan, Kernellac'h, Kervézennec, Le Cranou) pour rétablir les liaisons coupées par la voie ferrée : ponts à arche unique construits en moellons hexagonaux et pierre de taille de granite dont la portée diffère selon l'importance de la voie à franchir.Gare de plan rectangulaire à étage carré, comble à surcroît et élévation ordonnancée. Soubassement en pierre de taille de granite, mise en oeuvre en brique et calcaire à assises alternées, pilastres aux angles, bandeau en relief au premier étage. Toit débordant en ardoise. A quelques mètres au sud de la gare, maison de garde-barrière et réservoir d'eau cylindrique orné d'arcades en arc segmentaire sur piliers à assises alternées de brique et calcaire. La commune est traversée par la ligne ferroviaire à voie unique reliant Brest à Quimper via Landerneau. La ligne est construite en 1863 par la Compagnie du chemin de fer de Paris-Orléans. Le tronçon concernant Hanvec, allant de Châteaulin à Landerneau est le dernier à être mis en service (16/12/1863) en raison du relief tourmenté qui a donné lieu à l'établissement de nombreux ouvrages d'art (viaduc de Port Launay sur l'Aulne, viaduc près de Pont de Buis sur la Doufine, viaduc de Daoulas sur la Mignone...).Avec Quimerc'h et Daoulas, la gare d'Hanvec fait partie des trois stations intermédiaires qui desservent la ligne entre Châteaulin et Landerneau. Le bâtiment des voyageurs, le réservoir d'eau et la maison de garde-barrière sont en place. La halle et le quai découvert ont disparu, ainsi que l'abri des voyageurs.
Auteur(s) du descriptif : Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

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