Patrimoine culturel de Quimper

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Calvaire du cimetière à Locronan

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Bretagne (La)
Bretagne (La) 1947 - durée : 1 H 23 mn - muet - N&B - Réalisateur : R.MARECHAL - support original : film 9,5 mm - Genre documentaire amateur Promenade en Bretagne. Version muette. Promenade sur le littoral de la Roche Bernard. Traversée de la Vilaine sur le bac. Le Port de la Roche Bernard. Les maisons à pans de bois et la cathédrale à Vannes. Des femmes en coiffe faisant leur marché à Vannes. La Porte Saint Vincent à Vannes. La vente de poisson sur un bateau. La tour du Connétable, les murailles et le lavoir à Vannes. Le Bono et son port. Ascension d’un monument près d’Auray (à identifier). Vue sur Auray. Le quartier portuaire de Saint Goustan à Auray. Le pont à arcades près d’Auray. Carnac et ses alignements. La place du bourg à Carnac et des femmes en coiffe. La Presqu’île de Quiberon et le Fort de Penthièvre. Le Pont du Bonhomme à Lorient. Les ruines et la base sous marine. Le port et le déchargement d’un cargo. La ville close de Concarneau. Le marché à Pont Aven. Le phare d’Eckmühl, vagues et ressac sur les rochers à la Pointe de Penmarc’h. Une croisière sur l’Odet (de Quimper à Bénodet) : descente de la rivière, vues des différents châteaux qui bordent la rive, on croise un lougre et des voiliers, arrivée à Bénodet, touristes se promenant le long de l'Odet à Bénodet, bigoudène vendant ses dentelles, baignade à Bénodet. Bac de Sainte Marine (court) puis pique nique près de Sainte Marine. Le pardon de Saint Yves à Guengat. Des travaux aux champs et traite des vaches. L’église de Locronan. La baie de Douarnenez et le déchargement du poisson au port. La Pointe du Raz par mer calme. Le Pardon de Sainte Anne La Palud. Trés belle foire aux chevaux au Folgoët. Des calvaires, une vue sur le pont de Plougastel en reconstruction et les rues de Châteaulin. La façade de l’église et le calvaire de Pleyben. Donald Fait du camping. L’enclos paroissial de Pleyben. Le faou et Port LaunayPromenade en Pays Pagan. Un calvaire et une église. Morlaix, son viaduc, un de ses clochers et sa baie. Vues en Pays Pagan, Brignogan. La Pointe Saint Mathieu (à 01:29:54:00:00), son abbaye et le mémorial « aux marins ». CA 05/05/2009

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Une rue de Quimper

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Hôtel de Broc, 41 rue Elie Fréron (Quimper)
Faute de document pouvant fournir des informations sur l’hôtel de Broc avant l’incendie de 1901, on peut penser que Charles Chaussepied étant architecte en chef des monuments historiques, il avait le souci de respecter l’architecture d’origine. Le choix de l’emplacement rue Elie Fréron est déterminent. En effet, le comte de Broc se trouvait dans le centre de Quimper, donc au cœur des mondanités et dans une rue qui depuis le XVème accueille siècle des hôtels nobles. L’hôtel de Broc est implanté sur une parcelle de grandes dimensions. Il est construit perpendiculairement à la rue et en biais. Cet hôtel particulier possède une cour centrale au nord et un jardin au sud. Le bâtiment moderne au nord, en faux pans de bois a été construit à la fin du XXème siècle. L’hôtel est séparé de la rue Elie Fréron par un mur bahut surmonté d’une grille ouvragée en fer forgé. Le mur bahut a été largement modifié au nord et au sud. L’entrée est marquée par deux piliers massifs en pierre de taille de granit dotés d’un chanfrein en partie inférieure pour laisser passer le fiacre. L’hôtel de Broc s’élève sur un rez-de-chaussée, un premier étage et un étage sous combles. Un bandeau d’étage délimite les différents niveaux. Cet hôtel est construit selon un plan en L. Il est composé d’un corps de bâtiment principal et d’une aile en retour d’équerre courte au nord. Dans l’angle entre l’aile et le corps de bâtiment principal se loge une tour d’escalier de plan carré et à demi hors œuvre. Les façades sont recouvertes d’un enduit, la pierre de taille de granit est employée pour les éléments décoratifs ou de couvrement ainsi que pour le soubassement. L’entrée se fait par la façade nord donnant sur la cour centrale et qui s’organise en trois travées. Au rez-de-chaussée sont percées une porte d’entrée et deux fenêtres. Ces ouvertures sont couvertes d’un arc surbaissé et les jambages sont harpés. Le premier étage est éclairé par trois ouvertures couvertes d’un linteau monolithe droit, et qui possèdent des appuis saillants moulurés. Au centre, ne ouverture composée de deux baies jumelées étroites et de part et d’autre, deux ouvertures dotées chacune d’une allège appareillée. Au niveau des combles, deux lucarnes gerbières avec un fronton cintré ainsi qu’un œil de bœuf ovale assurent une certaine luminosité. La tour d’escalier carrée postérieure dépasse les étages de combles du corps de bâtiment principal et de l’aile. Elle se caractérise par des jambages et des chaînages d’angle à harpage effleurant, à la différence du reste du bâtiment qui eux sont saillants. L’angle de la tour carrée est largement chanfreiné à la base et dans la partie supérieure il accueille le blason sculpté de la famille de Broc. Au rez-de-chaussée, à l’est est percée une petite porte et au nord une ouverture. L’escalier intérieur est éclairé par quatre ouvertures couvertes d’un arc en plein cintre et qui accueillent des vitraux décoratifs. La façade ouest donnant sur la rue comporte deux travées. Un chaînage d’angle au milieu de la façade traduit la présence d’un mur de refend longitudinal. Ce mur sépare les pièces situées au nord qui semblent plus étroites et celle situées au sud plus vastes. Les ouvertures sur chaque niveau sont identiques à celle de la façade sud. Un des lucarnes présente deux baies jumelées étroites et est couronnée par un fronton triangulaire. La façade sud donnant sur le jardin est rythmée par cinq travées et les ouvertures sont identiques à celles des façades nord et est. Les distantes parfois importantes qui séparent les différentes travées révèlent la présence de vastes pièces à chaque étage. L’aile en retour d’équerre est percée d’ouvertures se termine par un pignon à crossettes au nord. Le rez-de-chaussée n’était sûrement pas destiné à être un passage, et l’aile devait sûrement être plus longue. Le bâtiment en faux pans de bois situé au nord a probablement remplacé à la fin du XXème siècle des bâtiments plus anciens. L’hôtel de Broc appartenait au comte de Broc également propriétaire du château du Pérennou en Plomelin. Edgar de Broc arrive à Quimper dans les années 1890 lorsqu’il épouse Marie de Carné héritière du Pérennou. Monsieur Thomas, entrepreneur de maçonnerie au 12 rue de Brest demande en le 17 janvier 1900 "l'autorisation de reconstruire la maison de M. le comte de Broc récemment incendié dans la rue Royale au n°43". L'autorisation est autorisée le 28 janvier 1901. En 1926, l'hôtel appartient à M. de Combourg, qui demande l'autorisation d'ouvrir une baie pour portillon dans le mur de clôture de sa propriété. En 1946, le 41 rue Elie Fréron abrite la clinique Le Pape. L'oeuvre de Charles Chaussepied est exposée en 1903 au Salon des artistes français. Dans un article consacré à l'architecture au salon de 1903, Louis Charles Boileau relate "M. Chaussepied nous a donné le croquis d’un hôtel de campagne construit à Quimper, sans doute en granit, avec des enduits de mortier pour les maçonneries de remplissage et des toitures en ardoise. Le terrain comportait des biais dont notre confrère s'est servi heureusement pour de bonnes dispositions d’ensemble, et dont il a tiré des effets pittoresques réussis, cependant d’une tenue fort simple. Les distributions intérieures sont bien conçues, les aménagements d’un goût distingué. Je remarque surtout une construction très étudiée, des formes françaises sues et un soin tout particulier des détails. M. Chaussepied est un artiste de talent et un praticien distingué."En outre, la même année l'architecte finistérien Emile Rivoalen cite l'oeuvre de Charles Chaussepied dans un article intitulé "Société des Artistes français Architecture": "À Quimper-Corentin (« hôtel de M. le comte de B... »), M. Chaussepied fait de bonne architecture bretonne c'est-à-dire, cette sorte de Louis XIII un peu austère mais robuste et noble qu’autorise le granit, dur à la taille, et rendant peu d’effet au moulurage ou à la sculpture. L’auteur se rattrape, comme il convient en ce cas, par l’étude des bonnes masses de pavillon, par les lignes d’angle et de cordons plats, enfin par la ferronnerie que peuvent fournir de bons forgerons bretons."
Auteur(s) du descriptif : Gueguen Jeanne

Par : L'inventaire du patrimoine

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Demeure de Stang Youenn, 41 allée de Stang Youenn
La demeure est implantée en hauteur, au milieu d’une large parcelle et clos par un mur d’enceinte en moellons de granit. L’accès se fait à l’ouest par un portail en fer forgé datant du XIXème siècle,ce portail était avant réservé au fiacre et à côté l’étroite porte en bois était destinée aux piétons. Une autre entrée se trouve au nord, elle donnait accès àun vaste parc. La demeure est accompagnée de diverses dépendances datant de la fin du XIXème et du début du XXème siècle dont une écurie, une porcherie, une étable ainsi que les ruines de l’ancienne maison des commis. L’étable et la porcherie ont été transformées en chambres d’hôtes. Cette demeure a été érigée sur les ruines d’un ancien manoir. Organisée en trois travées, elle comporte un rez-de-chaussée, un étage ainsi que des combles aménagés. Coiffée d’un toit à croupe et couronné d’épi de faîtage en zinc,elle possède un soubassement en pierres de taille granit alors que le reste de l’élévation est enduite. Un perron à double volée permet de pénétrer dans la demeure, et deux gratte-bottes sont situés aux extrémités pour une raison d’hygiène. La symétrie et la géométrie caractérisent cette demeure, au rez-de-chaussée et au premier étage se trouve quatre pièces de 20m². Les pièces sont séparées au centre de la demeure par un vestibule et l’escalier au rez-de-chaussée, et par couloir au premier étage. Les façades sont enduites, les éléments de couvrement et de décor sont en pierre de taille de granit. Les jambages et les linteaux des baies sont ornés d’un cavet.Sur la façade sud qui est la première à être vue, trois différents couvrements habillent les baies et animent la façade. Linteaux en arc surbaissé avec clé passante et pendante pour le rez-de-chaussée, linteaux monolithes droits au premier étage et lucarnes jacobines en pierres de taille de granit au niveau des combles. La façade nord est quant à elle assez sobre, elle ne comporte pas de lucarne et les baies du rez-de-chaussée ainsi que celles du premier étage sont couvertes d’un linteau monolithe droit. Par ailleurs, au niveau du mur pignon ouest, est percée une étroite baie ogivale dans laquelle est fixé un vitrail avec une gamme de couleur allant du jaune, bleu ou rouge. Sur le cadastre napoléonien de 1834 de la commune d’Ergué-Armel, un ensemble de bâtiments organisé autour d’une cour centrale semble être l’ancien complexe manorial de Stang Youenn. Aujourd’hui cet ensemble a disparu et il n’existe plus aucune trace. La demeure est entourée d’un jardin qui a été créé entièrement par les propriétaires actuels dans le respect du lieu. Au sud-est du bâtiment, il reste les ruines de la maison des commis ainsi que des écuries qui comprenaient deux boxes. Par ailleurs, au nord- est se trouvent une réserve d’eau qui devait servir d’abreuvoir et un puits. Et du côté ouest, l’ancienne étable et porcherie. La porte de l’ancienne porcherie est dotée d’un encadrement chanfreiné et est en moellons équarris de granit de grandes dimensions. Ces deux bâtiments ne sont pas présents sur le cadastre napoléonien de 1834, cet encadrement pourrait donc être un réemploi provenant d’un bâtiment de l’ancien manoir. Élevée sur les terres d’un ancien manoir, cette demeure a été construite en 1875 par Charles Hénon notaire à Quimper. Charles Hénon possédait son étude et sa résidence au12 quai du Steïr ainsi qu’une maison d’habitation rue du Frout. Ce notaire est décédé en 1885 en sa résidence principale sur le quai du Steïr, cette demeure étant sa demeure de campagne. En 1923, la demeure et les terrains ont été vendus à des agriculteurs. Ces agriculteurs l’ont exploité en tant que « petite ferme » jusqu’en 1958, et ils ont annexé à la propriété des dépendances (écurie, porcherie, étable). Les propriétaires actuels ont fait l’acquisition de la demeure et certains terrains dans les années 1990.
Auteur(s) du descriptif : Gueguen Jeanne

Par : L'inventaire du patrimoine

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Anciens Costumes de Mariage du Pays de Quimper
Quimper.- Portrait de deux jeunes femmes portant d'anciens costumes de mariage brodés.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Quimper, les halles : [photographie de presse]

Par : Gallica

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Entrée du lycée et de la chapelle

Par : Archives municipales de Qu

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4J Quimper /49

Par : Archives départementales d

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Cantique à saint Maudez / Aotrou sant Vaudez, hor

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Kerlaz, archives du chanoine Abgrall : église Sain
Ce recueil numérique comprend 4 photographies issues des archives de Jean-Marie Abgrall représentant l'église Saint-Germain (vues extérieures) et une statue de Saint-Hervé.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Le presbitère provisoire du diocèse de Quimper, au

Par : Gallica

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LE MARHALLACH - Environs de QUIMPER
Plonéis.- Le manoir du Marhallac'h.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Circulation de poussettes...
Quimper : cathédrale, passerelles au dessus de l’Odet, circulation sur les quais, un agent de police fait la circulation au carrefour de la Préfecture, jardin de l'évêché, cathédrale, Préfecture et quais vus depuis le haut des remparts, cathédrale (détails extérieur et vitraux filmés à l'intérieur), façade magasin de souvenirs, tourniquet des cartes postales. Brest : circulation, passants, boutiques, femmes promenant leurs enfants dans une poussette (séquence amusante). Deux enfants sur un tourniquet, enfants en promenade au jardin public où des personnes âgées discutent assises sur des chaises. VG ville de Brest (?). Façade immeubles neufs avec balcons. Façade Hôtel restaurant puis restaurant "Chez Madeleine". Sous bois. mer et vagues.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Locronan : Grand pardon de la Tromenie

Par : Dastum

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Histoire du Comité révolutionnaire de Quimper
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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Pardon de la Grande Troménie - Hutte Chapelle de S
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

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Hommage à Saint Yves, Patron des avocats
Le traditionnel Pardon de Saint-Yves s'est déroulé le 22 mai à Tréguier. Cette manifestation reçoit chaque année des milliers de pélerins pour la célébration du Saint Patron des avocats. Cette année le Pardon a été présidé par Monseigneur Laurent Dognin, évêque de Quimper, entouré de nombreux dignitaires venus du grand Ouest, dont Monseigneur Denis Moutel, évêque de St Brieuc et Tréguier, et l'Abbé Caous, Curé de Tréguier. Après la cérémonie à la Cathédrale de Tréguier, procession des bannières en direction de Minihy-Tréguier, paroisse d'origine de Yves Hélory de Kermartin (1253-1303), qui a été canonisé par le Pape Clément VI en 1347.

Par : TV Trégor

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Église paroissiale Notre-Dame-de-Lorette
Edifice de plan allongé avec nef flanquée d´un unique bas-côté au nord. Chevet plat. Massif occidental bâti contre le pignon de l´ancienne église, avec chambre des cloches de plan carré surmontée d´une flèche ajourée octogonale flanquée de quatre clochetons. Sacristie hors-oeuvre couverte d´un toit à croupe. Choeur s´ouvrant au sud vers l´ancienne chapelle seigneuriale séparée en deux parties par un arc diaphragme. Chapelle sud couverte d´un lambris de couvrement. Nef couverte d´une charpente apparente et lambrissée formant des voûtes d´ogives à lunettes. Ancien ossuaire hors-oeuvre transformé en chapelle des fonts.D´un édifice antérieur, dédiée à saint Pierre et attesté au 14e siècle, ne subsiste rien. Au 15e siècle, le culte de la Vierge supplante celui de Pierre. L´édifice est reconstruit dans la première moitié du 16e siècle ; le choeur à chevet plat, la chapelle sud, ancienne chapelle seigneuriale des seigneurs du Terre puis Joly de Rosgrand, les piliers de la nef ainsi que l´ossuaire datent de cette époque. Le bâtiment figure, avec un porche sud, sur le cadastre de 1811. La sacristie a été rajoutée dans la première moitié du 19e siècle, A la fin du 19e siècle, l´édifice est en mauvais état ; le clocher, refait sans doute peu avant 1850 et figurant sur des documents anciens, est démoli. La reconstruction est intervenue entre 1901 et 1905. Le clocher a été réalisé en 1901 d'après un dessin du chanoine Jean-Marie Abgrall. Les autres parties de l'édifice ont été modifiées suivant les plans de l´architecte Charles Chaussepied, de Quimper : conservation de l´emprise au sol de l´édifice ancien (chapelle sud incluse) et doublement de la hauteur de la nef et du choeur. Le projet d'un porche au sud ne sera pas réalisé.
Auteur(s) du descriptif : Douard Christel

Par : L'inventaire du patrimoine

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