Patrimoine culturel de Quimper

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Intérieur de l'église, Descente de Croix : [carte
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Chapelle Saint-Exupère, Loguispar (Dinéault)
Edifice de plan allongé à vaisseau unique éclairé par six fenêtres et un oculus. Sacristie au nord. Clocher hors-oeuvre en pierre de taille de granite et de kersantite. Baie surmontée d´une chambre de cloches ajourée à galerie amortie d´un lanternon à crossettes. Nef couverte d'un toit à croupe à l'ouest, sans lien avec la tour-clocher. Gros oeuvre en moellon équarri de granite et de schiste, à l'exception des chaînages d´angle et des encadrement de baies, en pierre de taille de granite. Lambris de couvrement peint en bleu pâle et nervures en rouge. Sol couvert de dalles d´ardoise. Murs enduits de ciment à l´intérieur.D´une chapelle dédiée à saint Exupère de Bayeux (Ispar en breton) construite par les Kersauson, seigneurs de Rozarnou, dans la première moitié du 16e siècle, ne subsistent pas de vestiges, sauf une verrière (vers 1535) conservée au musée départemental breton à Quimper. La tour ouest porte la date de 1669 ainsi que l´inscription E. SALAUN MA FAICT (nom du maître-maçon ?). A cette période correspond la totalité de l´élévation ouest, à l´exception des crossettes sculptées et de la flèche, sans doute des remplois de l´édifice du 16e siècle qui a du être remanié ou rebâti entre 1648 et 1669 ; de plan en croix latine, il figure sur le cadastre de 1848. A la fin du 19e siècle, on relevait la date de 1648 sur les sablières de la nef. En mauvais état, l´édifice, sauf l´élévation ouest, a été reconstruit en 1893, un financement partiel étant assuré par la vente de la verrière ancienne à la Société archéologique du Finistère. La sacristie date de 1906. Des photographies de 1972 montrent l'édifice entourés de grands arbres. Placée à l'ouest de l'enclos, une statue de Christ souffrant, sans doute le vestige d'un calvaire (17e siècle ?), provient du jardin du presbytère de Dinéaut où elle se trouvait en 1978.L'inventaire complet des objets mobiliers (fiches descriptives, photographies) conservés dans ces édifices, non reconduit dans le cadre de l'enquête de 2009, avait été réalisé en 1972 ; il est disponible au centre de documentation du patrimoine (Région Bretagne).
Auteur(s) du descriptif : Fauchille Gwénaël ; Douard Christel

Par : L'inventaire du patrimoine

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La cathédrale et la ville de Quimper

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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La cathédrale de Quimper ; vue prise rue de Brizeu

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chanson Kemener
Yann Fanch Kemener interprète Koat-houarn (composé par Jean-Michel Veillon) et Fañchig bihan (air traditionnel breton). Spectacle donné au Théâtre de Quimper.

Par : INA

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La décentralisation de l'orchestre régional de Bre
L'orchestre de Bretagne ouvre sa saison dans le nouveau théâtre de Cornouaille à Quimper. Cette formation, à vocation régionale, se produit dans les différents théâtres de la région, et débutera sa saison par un cycle Beethoven.

Par : INA

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An Templ consacret dar Passion Jesus-Christ, batis

Par : Gallica

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Aux champs

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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QUIMPER - Vieilles Maisons de la Rue Royale.
Quimper.- Vieilles maisons rue Royale. Sur la gauche, une maison avec une porte sculptée.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Appel à la population du Finistère

Par : Archives municipales de Qu

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4J Quimper /125

Par : Archives départementales d

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4J Quimper /2

Par : Archives départementales d

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Tro-Breiz : (Tour de Bretagne) / A. Loüard et G. B
Ce Tro Breizh n'est pas vraiment le chemin de pèlerinage passant par les capitales des anciens évêchés, mais plutôt un tour de Bretagne et plus particulièrement de la Basse-Bretagne. Commencé à Vannes il se termine à Saint-Brieuc.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Réactions des Bretons au discours du Général de Ga
Suite au discours du Général de Gaulle, les Bretons de la rue et les personnalités politiques et économiques de la région réagissent. Les préoccupations des Bretons sont liées au développement économique de la Bretagne et à la régionalisation.

Par : INA

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Lettre à M. l'Abbé Lecoz, principal du collège de

Par : Gallica

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Le barbier de village
Sujet représenté : scène (discussion ; homme ; barbier ; poule ; cour ; maison ; rasage, Quimper, vêtement : Breton) - N° d'inventaire : 16

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Études géologiques faites aux environs de Quimper

Par : Gallica

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Vieille maison de la place à Locronan

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Arrondissements de Quimper. , Eglise, cimetiere :
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Deux ordonnances de police à Quimper (1404-1719)
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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Ensemble de cinq verrières
Ensemble de cinq verrières exécutées par le maître verrier Saluden de Brest d'après le dessin du peintre Ch. Grall entre 1932 et 1933. La verrière 5 (sainte Thérèse) a été restaurée en 1991 par le maître verrier Jean-Pierre Le Bihan de Quimper.
Auteur(s) du descriptif : Douard Christel ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

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Hommage à Saint Yves, Patron des avocats
Le traditionnel Pardon de Saint-Yves s'est déroulé le 22 mai à Tréguier. Cette manifestation reçoit chaque année des milliers de pélerins pour la célébration du Saint Patron des avocats. Cette année le Pardon a été présidé par Monseigneur Laurent Dognin, évêque de Quimper, entouré de nombreux dignitaires venus du grand Ouest, dont Monseigneur Denis Moutel, évêque de St Brieuc et Tréguier, et l'Abbé Caous, Curé de Tréguier. Après la cérémonie à la Cathédrale de Tréguier, procession des bannières en direction de Minihy-Tréguier, paroisse d'origine de Yves Hélory de Kermartin (1253-1303), qui a été canonisé par le Pape Clément VI en 1347.

Par : TV Trégor

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Chapelle Sainte-Anne
Plan rectangulaire à vaisseau unique. Chevet plat flanqué d´une sacristie au sud. Clocher-mur avec clocheton. Loggia à l´ouest. Gros oeuvre en moellon de granite enduit de ciment à l´exception des encadrements des baies et des chaînages d´angle en pierre de taille de granite. Lambris de couvrement peint en bleu et nervures en marron. Sol couvert de dalles de granite.Edifice construit en 1879 d´après les plans du chanoine et maître d'oeuvre Jean-Marie Abgrall, en remplacement de l´ancienne chapelle de Pratanras détruite en 1793 ; fontaine datée 1671. Restaurations extérieures de 2003 à 2004 (mise hors-eau et réfection de l'enduit).
Auteur(s) du descriptif : Fauchille Gwénaël

Par : L'inventaire du patrimoine

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Lycée Kerneuzec, 15 boulevard de Kerneuzec (Quimpe
Partie(s) constituante(s) :Bâtiment principal : entrée, hall d'accueil, amphithéâtre, administration, externat, CDI, foyer ; 4 bâtiments d'internat ; un bâtiment cuisine, plonge et réfectoire, foyer des internes ; externat de type Pailleron (largement désaffecté), gymnase, logements de fonction.Organisation :L'entrée ouvre sur un vaste hall qui dessert, au rez-de-chaussée, l'accueil, le CDI, l'administration. L'enveloppe du CDI et l'escalier qui mène au premier étage de classes sont des éléments marquants cette composition. Le volume de l'entrée se développe sur deux étages, largement vitrés. Les bâtiments qui hébergent les autres fonctions du lycées (gymnase, internats, restauration), sont répartis sur la parcelle. Derrière les internats se situe une rangée de maisons mitoyennes qui abritent les logements de fonction. Les internats et la structure dédiée à la restauration scolaire sont également utilisés par les élèves du lycée professionnel Roz Glaz, qui y accèdent à pied, en empruntant un sous-terrain aménagé sous la rue de Quimper.Contexte urbain :Le lycée est implanté dans le quartier de Maison rouge, en périphérie nord de la ville, dans un environnement de maisons individuelles et de champs. Il est desservi par deux grands axes, le boulevard Kerneuzec et la rue de Quimper, ainsi que par les transports publics. De l'autre côté de la rue de Quimper est adressé l'autre lycée public de Quimperlé, le lycée professionnel Roz Glaz.Contexte paysager :Les bâtiments d'enseignement sont implantés en périphérie sud de la parcelle, en bord de boulevard. Les autres bâtiments sont répartis dans un vaste campus de 5ha, comprenant 3ha d'espaces verts : un parc plantés d'arbres d'essences locales, de tailles différentes.Œuvre du 1% artistiqueLe lycée possède, dans le parc des sculptures formant deux rangées de panneaux en béton moulés très probablement liée à la construction de 1967. Le tableau national du 1% artistique indique que deux œuvres ont été réalisées pour la cité scolaire, en 1970, par Roger Joncourt et Edgard Pillet.Collections pédagogiquesLe lycée possède quelques collections, de zoologie essentiellement.Un lycée de centre ville, remplacé par un lycée de type Pailleron démolis et reconstruitLe lycée Kerneuzec est issu de deux écoles primaires supérieures de garçons et de filles créées en 1889. Elles sont devenues collèges modernes, en 1941, lycées, en 1961, puis lycée mixte polyvalent, en 1965.Ces établissements sont d'abord implantés en centre ville, place des écoles (il reste un bâtiment de cet ensemble). Le lycée s'implante ensuite, en 1967, boulevard Kerneuzec. Des bâtiments de type "Pailleron" y sont construits. La cité scolaire comporte alors un lycée et un collège d'enseignement technique. Son plan est publié dans le numéro spécial "CEG - CES - CET, essais d'industrialisation des constructions scolaires" de la revue Techniques et architecture, daté de décembre 1965 - janvier 1966.Les sections professionnelles "déménagent" de l'autre côté de la rue de Quimper, en 1986, lors de la création du lycée professionnel Roz Glaz. Malgré ce départ, les effectifs progressent et atteignent 900 élèves, en 1990.Le recours à des bâtiments préfabriqués demeure ainsi nécessaire. Les bâtiments de type "Pailleron" sont, de surcroît, réputés dangereux. La Région décide donc d'en démolir la plupart et de reconstruire un lycée neuf, en conservant un des anciens externats, l'actuel gymnase (anciens ateliers) et les internats dont la structure est en béton et non métallique.Le lycée compte en 2017-2018, 987 élèves dont 69 internes. Il prépare au baccalauréats généraux, à certains baccalauréats technologiques et à un BTS.Architectes des différents bâtiments : - Roger Dhuit, architecte, bâtiments du lycée construits en 1967 (les externats ont, pour la plupart, été démolis ; les internats sont en cours de réhabilitation thermique).- Philippe Brulé et Marc Quéré, architectes (bâtiment livré en 1997)- Alain Letenneur, réfectoire, 2006 (PC)- Compère et Cie, rénovation couvertures et façades des internats, 2014 (PC) 2018 (rénovation des deux derniers internats, en cours).
Auteur(s) du descriptif : Goyet Thierry

Par : L'inventaire du patrimoine

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Complexe Salvador Allende, rue de La Villemarqué (
Le complexe polyvalent abrite une salle socio-culturelle de 400 m² (25 m x 16 m), jouxtée d’un local traiteur, une salle de sports de 1 100 m² (44 m x 26 m), une mezzanine, des locaux de rangement, sanitaires et vestiaires et, depuis 2005, une salle de 300 m² dédiée aux arts martiaux et sports acrobatiques.Le 16 octobre 1987, le conseil municipal décide de retenir la candidature de J.-P. Chouzenoux pour la construction d'une salle de sports et d'une salle socio-culturelle, J.-P. Le Carrer étant architecte d'opération. Le permis de construire est délivré le 8 février 1988 et le chantier s'ouvre le 19 septembre suivant. Les travaux sont réceptionnés le 7 juillet 1989. En 2003 est mis à l'étude un projet d’extension de l’ensemble sportif et socio-culturel avec la réalisation d’un espace réservé aux activités judo et aïkido, qui est confié au seul J.-P. Le Carrer. Le marché de travaux est signé le 2 juillet 2004 et l'équipement est inauguré le 10 décembre 2005.
Auteur(s) du descriptif : Bonnet Philippe

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ancien couvent de capucins
A la suite à l´autorisation de l´évêque de Quimper, d´une ordonnance royale et de lettres patentes enregistrées au parlement de Bretagne, les capucins sont autorisés à s´installer à Quimperlé en 1653. Ils font l´acquisition de terrains à la périphérie de la haute ville qui seront progressivement cernés de murs. Les travaux de construction des bâtiments conventuels, réalisés par le maître maçon Mathurin Grellepoix originaire de la ville proche de Hennebont (Morbihan), débutent en 1656 et se terminent en 1667. Conçus suivant un plan allongé avec des pavillons d'angle dont un abritant une chapelle, entourés de jardins clos, ils figurent sur le dessin exécuté par Robien vers 1737, l´unique représentation du couvent dans son état d´origine. En 1748, on signale des travaux secondaires dirigés par l´ingénieur Honoré Aubert, de Lorient. L´"enclos des capucins" qui couvre une surface d´environ un hectare, est vendu comme bien national en 1793. Les bâtiments, peu entretenus depuis la Révolution, figurent sur le cadastre de 1824. La ville en devient propriétaire en 1832. Entre 1832 et 1853, un collège d´enseignement religieux occupe les bâtiments qui avaient connu des transformations importantes et qui serviront d'école primaire supérieure publique de garçons à partir de 1889. On signale les vestiges de la chapelle et les ruines du cloître en 1881. Un projet ambitieux de reconstruction proposé en 1882 par l´architecte Gustave Bigot, n´a pas été réalisé. Une carte postale des années 1900 montre l´état de l´établissement avec, notamment, un corps de bâtiment en équerre au nord et une clôture au sud, tous deux disparus. L´ensemble figure, peu modifié, sur le plan de la ville que l´ingénieur Troalen dresse en 1925. L´établissement s´agrandit considérablement en 1937 par la construction, d´après le projet de l´architecte Lecourt, d´un grand bâtiment en retour d´équerre à trois étages qui entoure les bâtiments existants au nord et à l´est. Ces constructions ont, à leur tour, disparu dans les années 1960. Le bâtiment abrite aujourd´hui des services administratifs de la ville (Centre Jean Guéhenno).
Auteur(s) du descriptif : Douard Christel

Par : L'inventaire du patrimoine

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