Patrimoine culturel de Quimper

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Arrondissements de Quimper. , Pont Croix à l'ombre
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Enquête à Quimper - 1963-01-02 (ATP 62-43)

Par : Dastum

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Le portail de la cathédrale de Quimper

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chanson Kemener
Yann Fanch Kemener interprète Koat-houarn (composé par Jean-Michel Veillon) et Fañchig bihan (air traditionnel breton). Spectacle donné au Théâtre de Quimper.

Par : INA

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La faïencerie de Quimper
Quimper a su conserver un savoir-faire artisanal : la faïencerie. Un retour sur les pièces de céramiques issues de la collection du musée de l'entreprise Henriot est l'occasion d'un bref historique de cette technique. Cela permet aussi de découvrir l'origine et le succès du style "breton". Nous assistons ensuite à la méthode de fabrication de cette faïencerie de Quimper. Les installations se sont modernisées mais de nombreuses étapes restent manuelles.

Par : INA

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Les quinze ans de RBO
Depuis le 3 août 1982, RBO, Radio France Bretagne Ouest ou Radio Breiz Izel, émet à Quimper. Station locale de service public, RBO est une radio bilingue Français-Breton.

Par : INA

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Maison de Monsieur Frochen, 38 quai de l'Odet (Qui
La maison se trouve alignée sur le quai de l’Odet, elle est mitoyenne avec deux bâtiments. Cette maison est bâtie sur une parcelle étroite d’une largeur de 5,75 mètres. Le plan de 1842 montre la présence d’un renfoncement semi-circulaire qui correspond à la présence d’un escalier à vis d’une construction antérieure. Elle s’organise en trois travées ordonnancées et comprend un rez-de-chaussée, deux étages et un niveau de combles aménagés. La façade principale est entièrement en pierre de taille de granit. Des bandeaux séparent les différents étages. Au rez-de-chaussée sont percées deux fenêtres et une porte étroite. Le premier étage est éclairé par trois portes fenêtres couvertes d’un arc en plein cintre. Toutes trois sont précédées d’un balcon filant avec un garde-corps ouvragé en fer forgé reposant sur six consoles. Chaque arc en est souligné par un bandeau décoratif épousant sa forme, et un bandeau horizontal logé entre les travées, rythme la façade. Trois fenêtres à encadrement mouluré et dotées d’un garde-corps en fer forgé éclairent le deuxième étage. Au niveau des combles une unique lucarne en bois avec un tympan à denticules laisse pénétrer la lumière. La façade sur le quai est couronnée d’une corniche et la maison est couverte d’un toit à deux pans.En se référant aux plans de 1842, la façade sud était à l’origine percée au rez-de-chaussée, d’une large porte qui servait aussi bien de porte cochère que de porte piétonne. Dans le prolongement du vestibule d’entrée se trouvait la remise où on laissait le fiacre, et un étroit couloir à côté permettait de mener les chevaux jusqu’à l’écurie. A gauche de l’entrée se trouvait le bureau de Monsieur Frochen éclairé par une unique fenêtre, et à l’arrière du bureau se logeait l’escalier. Le rez-de-chaussée avait été pensé par Joseph Bigot dans un souci de rationalisation de l’espace. Aujourd’hui l’ensemble des dépendances en fond de parcelle on était supprimé et un bâtiment moderne est venu les remplacer. L’organisation du rez-de-chaussée a été complétement changée, à la place du bureau et de l’escalier ont été réalisées deux pièces servant de locaux. L’escalier actuel se trouve à l’emplacement de la remise. En outre, en façade la porte cochère a été remplacée par une porte uniquement piétonne selon les usages modernes et deux fenêtres éclairent un des locaux donnant sur la rue. Au premier étage, l’escalier desservait un salon et un cabinet au sud. En outre, il permettait d’accéder à la cuisine et à la salle à manger au nord. De la salle à manger on pouvait se rendre dans l’office placé dans la partie semi-circulaire de la maison. Étant donné que l’escalier a changé de place au cours du XXème siècle, la partie nord est moderne. Cependant, le salon a englobé le cabinet pour pouvoir bénéficier d’une vaste pièce donnant sur l’Odet. En outre, les fenêtres d’origine ont été conservées. Ces portes fenêtres à deux vantaux et à grands carreaux, possèdent un châssis de tympan en éventail. Le deuxième étage a été largement modifié. Les plans de la maison sur le quai de l’Odet pour Monsieur Frochen, à Quimper ont été dressés en 1842 par l’architecte Joseph Bigot. Monsieur Frochen était banquier, commissaire et négociant à Quimper.
Auteur(s) du descriptif : Gueguen Jeanne

Par : L'inventaire du patrimoine

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Hôtel de ville de Quimper, vue des élévations et c

Par : Archives municipales de Qu

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Recueil. Album d'estampes. / Nicolas Toussaint ch
Source: Derennes, bibliothécaire de Quimper. Recueil contenant 40 lithographies tirées des dessins de Charlet. Toutes sont gravées par Villain

Par : Médiathèques de Quimper Br

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An Ankou dimezet / Y. L. M.
Contes sous forme de feuille volante dont le titre peut être traduit comme suit : le mariage de l'Ankoù.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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4J Quimper /50

Par : Archives départementales d

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QUIMPER. L'Evêché
Quimper.- La tour Rohan, dans l'ancien palais épiscopal et actuel musée départemental breton. Cette tour d'escalier est la plus ancienne partie du bâtiment.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Ar hent en hadour = Sur les pas du semeur : mystèr

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Réponse à une lettre d'un curé du diocèse de Quimp

Par : Gallica

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Le barbier de village
Sujet représenté : scène (discussion ; homme ; barbier ; poule ; cour ; maison ; rasage, Quimper, vêtement : Breton) - N° d'inventaire : 16

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Histoire du Comité révolutionnaire de Quimper
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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Deux ordonnances de police à Quimper (1404-1719)
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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Arrondissements de Quimper. , Eglise Saint Corneli
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

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Hommage à Saint Yves, Patron des avocats
Le traditionnel Pardon de Saint-Yves s'est déroulé le 22 mai à Tréguier. Cette manifestation reçoit chaque année des milliers de pélerins pour la célébration du Saint Patron des avocats. Cette année le Pardon a été présidé par Monseigneur Laurent Dognin, évêque de Quimper, entouré de nombreux dignitaires venus du grand Ouest, dont Monseigneur Denis Moutel, évêque de St Brieuc et Tréguier, et l'Abbé Caous, Curé de Tréguier. Après la cérémonie à la Cathédrale de Tréguier, procession des bannières en direction de Minihy-Tréguier, paroisse d'origine de Yves Hélory de Kermartin (1253-1303), qui a été canonisé par le Pape Clément VI en 1347.

Par : TV Trégor

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Conserverie dite confiturerie Lucas, puis distille
Le site, établi entre la Vilaine et la ligne de chemin de fer reliant Paris à Quimper, s'organise en trois groupes de bâtiments en béton armé répartis de part et d'autre de la rue. L'atelier de fabrication enduit, dit atelier de brassage, une partie des cuvages également enduits et le magasin industriel couvert de sheds, sont situés dans le même alignement. Ils présentent tous une charpente soit métallique, soit en béton armé. A l'arrière subsiste le bâtiment de la colonne de distillation construit en béton armé. De l'autre côté de la rue, établis selon un axe perpendiculaire, prennent place les bureaux, les cuvages couverts d'un toit à longs pans et les silos ouverts. Le bâtiment des bureaux, entièrement enduit, comprend un étage carré couvert d'un toit en terrasse. L'ancien logis patronal occupait alors le premier étage.Une confiturerie, dite Lucas, du nom de son fondateur, semble avoir été édifiée à cet emplacement dans le premier quart du XXe siècle. Mentionnée en 1924, elle était destinée tant à la fabrication de gâteaux, qu'à celle de confitures, de pulpes de fruits, de pommes séchées et de conserves diverses. C'est en 1930 qu'Alphonse Vallais, agissant au nom de la coopérative agricole La Fermière, est autorisé à y installer une distillerie de cidre. En 1942, La Fermière, devenue société à responsabilité limitée, prend la succession de la coopérative agricole, avec à sa tête un ingénieur des Cidreries du Calvados. Le mot d'ordre est alors de développer la fabrication de jus de pomme. A cette époque, 40 000 kg de pommes sont quotidiennement traités. En 1968, construction de l'atelier de brassage et des cuvages situés à l'arrière des bureaux. En 1971, l'activité principale est la fabrication et la vente de jus de pomme, de cidre et de concentré ; l'activité annexe est la fabrication et la vente de jus de fruits. La même année, la distillerie traite 12 à 16000 t de pommes et produit 10 à 15000 hl de jus de raisin qu'elle exporte en Allemagne, en Italie et en Angleterre. En 1993, l'établissement fusionne avec les Cidreries du Calvados. La cheminée d'usine est abattue vers 1993-1994. Les Cidreries du Calvados la Fermière sont toujours en activité.En 1971, le matériel de production comprend deux presses Laufer, un concentrateur Unipectine, une chaudière Seum, quatre compresseurs frigorifiques (trois Sulzer et un Quiri), et une chaîne d'empaquetage exceptionnelle (il en existe alors deux en France) 3000 paquets par heure, toujours en place.En 1942, l'usine emploie une quinzaine d'ouvriers, quarante-neuf en 1971. Aujourd'hui, la cidrerie occupe quarante-six personnes.
Auteur(s) du descriptif : Gasnier Marina

Par : L'inventaire du patrimoine

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