Patrimoine culturel de Quimper

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Le portail de la cathédrale de Quimper

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Les Grandes Fêtes Interceltiques et de Cornouaille
Les Fêtes de Cornouailles réunissent à Quimper les pays Celtes de Bretagne, d'Irlande, d'Ecosse, du Pays de Galles qui célèbrent leur amitié. Ils défilent dans les rues de la ville en costume folklorique, au son de la musique traditionnelle.

Par : INA

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Maison de Monsieur Le Theuff, 2 rue du Palais (Qui
La maison est située à l’angle de la rue du Palais et de la rue Louis Hémon. Elle a été bâtie sur une parcelle comportant un pan en biais rendant difficile la construction d’une maison large et profonde. L’architecte a privilégié une construction large et peu profonde, la facture de façade principale se révélant en remontant la rue du Palais. A l’arrière de la maison des extensions modernes ont été réalisées. Ce bâtiment comprend un niveau de caves, un rez-de-chaussée, un étage et un niveau de combles aménagés. Il est couvert d’une toiture à croupe, et conserve un épi de faîtage d’origine. Construite en béton, les façades sur la rue du Palais et la rue Louis Hémon sont revêtues d’un parement en ciment moulé. Les jambages, arcs, platebandes et chaînages d’angle sont en fausses pierre de taille.Au nord, une cour surélevée à pan coupé se loge au-devant de la maison. Cette cour est fermée par un mur en béton surmonté d’une balustrade à balustres ornés de triglyphes. Cette balustrade se prolonge à l’est par un haut mur décoré et dans lequel est percée une porte menant à la cour. La façade est, s’organise en trois travées. Un perron avec des marches en béton mène à la porte d’entrée principale située à l’ouest. Cette porte en bois avec imposte vitrée est placée dans œuvre. Elle présente un encadrement courbe ainsi qu’un arc en anse de panier courbe avec crossettes en escalier et couronné d’une clé saillante. Les ébrasements et la voussure arrière nettement marqués sont également en fausses pierres de taille. La travée centrale est occupée par une porte fenêtre couverte d’un arc courbe en anse de panier à crossettes en escalier avec clé. Elle est précédée d’un garde-corps ouvragé en fer forgé de style art décoratif. Un faux chaînage sépare cette ouverture d’une ouverture plus large de même forme, qui doit probablement éclairé un vaste salon ou une salle à manger. A l’étage supérieur sont percées trois fenêtres surmontées d’une platebande appareillée avec clé passante et intégrée dans un haut bandeau faisant le tour de la maison. Entre chaque platebande vient se loger un panneau orné de cannelures. La fenêtre la plus à l’ouest est de dimensions moyennes, elle possède un appui saillant à base moulurée. Les deux autres fenêtres mesurent 2, 89 mètres de hauteur. Elles possèdent un appui saillant à base moulurée et sont précédées d’un garde-corps ouvragé en fer forgé art déco différent de ceux du rez-de-chaussée. Le niveau de combles est éclairé par deux œil de bœuf en zinc ainsi que par une lucarne en pierre de taille granit à fronton cintré. La façade rue du Palais est organisée selon une unique travée. Le niveau de caves ne comporte pas de parement en ciment moulé, mais il est percé d’une entrée de garage et d’une petite porte en bois. Les ouvertures du rez-de-chaussée, du premier étage sont identiques à celles de la façade nord. Les combles sont éclairés par une lucarne en pierre de taille à fronton cintré. Sur le plan de Louis Mony datant de 1928, il était prévu au rez-de-chaussée un bow-window de style art déco. La maison possède trois souches de cheminée. Cette maison a été construite en 1928 pour Monsieur Le Theuff, propriétaire de l’hôtel de l’Epée situé rue du Parc. Les plans ont été réalisés en 1928 par Louis Mony, un architecte basé à Douarnenez.
Auteur(s) du descriptif : Gueguen Jeanne

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison de Mademoiselle Le Beoz, 8 rue de Missilien
La maison est implantée au milieu d’une grande parcelle. Le terrain est en pente et la maison est située en contrebas de la rue. Elle est de plan carré et possède une petite cour au nord, un passage à l’ouest et un jardin s’étendant au sud. En outre, elle est flanquée à l’est d’un garage et d’une remise. La façade nord présente un mur pignon et un mur gouttereau. Sur le mur gouttereau au rez-de-chaussée se trouve un porche dans œuvre couvert d’un plafond en béton, et dans lequel sont percés la porte d’entrée et une petite ouverture. Ce porche est couvert d’une toiture en appentis en ardoise. A l’étage deux ouvertures jumelées avec appui saillant filant et couvertes d’un linteau monolithe droit filant éclairent une salle de bain avec toilettes. Ce linteau filant sert d’entablement et est surmonté d’une corniche. Une fenêtre de toit à essentage en ardoise diffuse une faible lumière au niveau des combles. Le mur pignon est surélevé par rapport au surcroit du mur gouttereau. Le mur pignon est appareillé en pierre de taille de granit au sommet et au niveau du rez-de-chaussée. La partie médiane du mur est enduite en blanc. Il présente une chevronnière, des crossettes et est habillé de rampants placés de sorte qu’ils aient chacun une forme géométrique particulière. Ces formes géométriques sont soulignées par la présence de l’enduit blanc. Les membres du mouvement Seiz Breur souhaitent créer des lignes nouvelles et modernes. Le rez-de-chaussée présente au niveau de son appareillage, des pierres de formes et dimensions variées. Il est important de noter que certaines sont ornées d’un décor de feuille de fougère inspiré des motifs de broderies bretonnes. Ce rez-de-chaussée est percé d’une fenêtre éclairant une cuisine. L’escalier bénéficie d’un apport de lumière par la présence d’une ouverture verticale étroite allant du premier au deuxième étage. Elle est couverte d’un linteau décadré en arc surbaissé. Cette ouverture était à l’origine garnie de carreaux de verre. Au premier étage, l’escalier permet d’accéder à une chambre qui au sud est éclairée par une fenêtre. A l’est une porte fenêtre mène à une terrasse au-dessus du garage, qui auparavant était fermée par une balustrade. Au niveau des combles, deux baies jumelées ainsi qu’un œil de bœuf font pénétrer la lumière. Les murs pignon est et ouest sont identiques au pignon de la façade nord, et possèdent chacun une haute souche de cheminée. Tous les deux sont percés d’une petite ouverture couverte d’un linteau monolithe délardé en arc surbaissé permettant d’éclairer le deuxième étage. En outre, le mur pignon est, possède une porte fenêtre au rez-de-chaussée donnant accès au jardin. La façade sud est tournée vers le jardin et jouit d’un large ensoleillement, les ouvertures sont multiples. Le soubassement est en moellon de granit, alors que les niveaux supérieurs sont enduits. Le soubassement est occupé par le sous-sol, et est percé de trois ouvertures: deux fenêtres et une petite porte couverte d’un arc en plein cintre. Au rez-de-chaussée la pièce la mieux éclairée est la salle à manger qui ouvre sur le jardin par trois baies jumelées. La salle à manger était dotée d’une cheminée, les murs étaient recouverts de chaux et de plâtre, le plafond était en pin d’Oregon et le parquet en châtaignier. La salle à manger communiquait avec le bureau éclairé par une porte fenêtre précédée d’un garde-corps. Aujourd’hui il n’y a plus de cloison entre la salle à manger et le bureau, ce n’est plus qu’une seule pièce faisant office de salle à manger - salon. Au premier étage les deux fenêtres latérales éclairent des chambres et l’ouverture centrale composée de deux baies géminées les toilettes. Sur le plan de 1934, il est bien spécifié que les ouvertures latérales du rez-de-chaussée et du premier étage sont dotées de volets roulants. Deux lucarnes en chien couché permettent d’apporter une large luminosité aux combles. Sur la partie médiane de la façade sud se trouve une petite niche dans laquelle devait probablement siéger une statue. Cette maison a été bâtie pour Mademoiselle Le Beoz à Kerfeunteun dans les années 1930. Les plans ont été réalisés en 1934 par les associés, André Chaussepied et André Pineau. André Chaussepied est le fils de Charles Chaussepied, il était très proche du mouvement régionaliste breton et des Seiz Breur.
Auteur(s) du descriptif : Gueguen Jeanne

Par : L'inventaire du patrimoine

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Manoir de Kergoat Ar Lez, 26 rue François René de
Le manoir de Kergoat Ar Lez, aujourd'hui inclus dans le tissus urbain, a été transformé au cours du temps. Il est constitué d'un corps de logis quadrangulaire, comportant une tour à son angle sud-ouest. Il est flanqué de part et d'autre de deux corps annexes. Le corps occidental a été fortement remanié, comme le montre la comparaison entre une photographie de son état actuel et une photographie ancienne. Le second bâtiment semble moins transformé. On entre dans ce qui reste du domaine par deux portails, l'un au sud et l'autre au nord. Le logis, maçonné en moellons de pierre, a également vu quelques modifications sur sa façade, notamment au niveau des baies du rez-de-chaussée, qui ont été élargies pour faire des doubles portes-fenêtres. La carte postale ancienne et le dessin de Louis Le Guennec nous indiquent qu'à la place de celles-ci se trouvaient une fenêtre à meneau et une porte couverte d'un arc en anse de panier et ornée d'une accolade. La fenêtre de petites dimensions qui est proche de la tour n'a pas été modifiée, elle présente sur son linteau une série de moulures. De même, au premier étage, les deux fenêtres, qui ne sont pas d'origine présentent un chanfrein se terminant sur leur linteau par une accolade. Au niveau des combles, deux lucarnes à croupe ont été installées, probablement dans les années 1950. La tour à l'angle sud-ouest, qui est demi hors d’œuvre, a été peu transformée ; on note simplement la disparition d'une lucarne dans le toit en poivrière. Cette tour, maçonnée en pierre de taille et moellons équarris, est divisée en trois niveaux. Le niveau du rez-de-chaussée, qui abrite un autel, éclairé par deux baies dotées de vitraux et est percé par une archère canonnière orientée vers l'est. Au premier étage on trouve également une archère orientée vers le sud-ouest ainsi qu'une baie dont l'encadrement est travaillé : son linteau et son appui comportent une série de moulures, ses jambages, chanfreinés, font le lien entre les deux. Au dernier niveau, la tour abrite un colombier dans lequel les boulins subsistent. Sa charpente est un assemblage de voliges verticales. L'arrière du bâtiment a gardé ses dispositions d'origine sur sa moitié est. Des fenêtres avec un simple chanfrein éclairent la cage d'escalier. Sur la section ouest de la façade nord, une baie vitrée a été percée. Sur le toit deux lucarnes ont été ajoutées. La cage de l'escalier en vis, situé dans l'angle nord-est du logis, comporte des niches comprises dans la maçonnerie. En bas de l'escalier, au rez-de-chaussée, une figure anthropomorphe est sculptée dans l'angle nord-est. L'intérieur du logis présente une salle munie d'une cheminée. A l'est du bâtiment précité se dresse un édifice qui pourrait avoir servi soit de logis annexe, soit de corps de ferme. L'ensemble est très remanié. Le dessin de Louis Le Guennec nous informe qu'à l'époque il ne comportait qu'une porte simple et une petite fenêtre carrée, la toiture ne présentait aucune lucarne. Aujourd'hui les ouvertures de ce bâtiment présentent une mauvaise interprétation du style de l'époque de construction. En effet, la façade sud est éclairée par quatre baies. De gauche à droite,se trouvent une fenêtre large et basse, une porte-fenêtre très large, une porte et une porte transformée en fenêtre. Au niveau des combles trois larges lucarnes à croupe ont été ajoutées sur chacun des pans du toit, on en retrouve également trois sur l'autre pan de toit. A l'arrière de ce bâtiment une baie est dotée d'un vitrail où figurent un blason, représentant quatre animaux, chevaux ou loups, ainsi que la date de 1616. Le corps de bâtiment à l'est du logis, qui s'élève sur un rez-de-chaussée et un niveau sous comble, est également maçonné en moellons. Les ouvertures ont été remaniées de la même manière que le bâtiment précédent. Les combles sont éclairées par six lucarnes à croupes réparties sur les deux pans du toit. Jusque récemment, la chapelle du manoir était encore présente, comme l'atteste la carte postale ancienne. Elle a été détruite au début du XXIe siècle et ses pierres ont été vendue lors de la mise en vente de l'ensemble. Maçonnée en moellons et couverte d'ardoises, elle n'est pas documentée. Deux portails permettent l'accès au manoir. Le portail sud, le plus orné, est composé d'une porte cochère et d'une porte piétonne. Maçonné en pierre de taille, les deux arcades sont décorées d'archivoltes. La porte piétonne est couverte par un arc en anse de panier dont le voussoir présente plusieurs moulures se fondant dans le chanfrein de ses jambages. La base de ceux-ci est moulurée. L'archivolte, prenant la forme d'une accolade, présente des crossettes à motif végétal. Cette archivolte retombe par ailleurs sur deux crossettes sculptées, représentant des visages anthropomorphes. La porte cochère est couverte d'un arc en tiers-point, dont le voussoir présente une succession de moulures, venant se fondre dans le chanfrein de ses jambages, dont la base est également moulurée. L'archivolte au dessus de la voûte prend également la forme d'une accolade et présente les mêmes caractéristiques que la précédente. Sur une pierre, entre les deux archivoltes, un blason qui n'a pas été identifié est sculpté, représentant quatre figures animales. Le second portail, à l'arrière du manoir, est beaucoup moins décoré. Il s'agit une porte cochère, maçonnée en pierre de taille et moellons équarris. On y trouve une porte avec deux vantaux en bois sur lesquels sont fixés des ferronneries datant probablement du XVIIIe siècle. Le portail est couvert par un arc en plein cintre dont la clé de voûte est surmontée d'une pierre sur laquelle est sculpté un blason aujourd'hui illisible. Ce portail est flanqué de deux niches coiffées d'une accolade et chanfreinées : l'une, côté est, avec une pierre d'appui dotée de moulures, et l'autre, côté ouest, sur le mur de clôture en retour d'équerre. En 1540, Clémence Jouan, veuve de René Finamour, rend aveu au fief des Réguaires pour le manoir de Kerarzelez (variante de Kergoat Ar Lez). La construction pourrait être attribuée à Richard Finamour, qui est cité à la montre de 1562. En 1583, c'est Martin de Jauréguy qui acquiert le manoir.En 1674, rené de Lohéac est identifié comme sieur de Kergoadalez. Il était conseiller du Roi et maître Ordinaire à la chaire des Comptes de Nantes. Au XVIIIe siècle, la famille Gouyquet de Bocozel acquiert le manoir par voie de succession.
Auteur(s) du descriptif : Mottay Louise ; Belzic Céline

Par : L'inventaire du patrimoine

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Trilogie dramatique Corneille-Racine-Molière : La
Cahier manuscrit réunissant trois pièces de théâtre de Frédéric Le Guyader (1947-1926), écrivain, dramaturge, poète et bibliothécaire à Quimper. Cet ensemble de pièces a été publié en 1924 sous le titre "Théâtre complet : Trilogie dramatique du XVIIè siècle".

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Entrée du lycée et de la chapelle

Par : Archives municipales de Qu

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4J Quimper /81

Par : Archives départementales d

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4J Quimper /77

Par : Archives départementales d

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Quimper, le palais de justice : [photographie de p

Par : Gallica

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Manoir de Barach (côté sud) à Louannec (Recto) et

Par : Archives municipales de Qu

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Une martyre aux derniers jours de la Terreur : Vic

Par : Gallica

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Catalogue des tableaux exposés dans les galeries d

Par : Gallica

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Arrondissements de Quimper. , Chapelle Saint Vénec
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Trois jeunes filles de Pouldreuzic

Par : Dastum

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Façade de l'Eglise : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Histoire du Comité révolutionnaire de Quimper
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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Iconographie bretonne : ou liste de portraits dess

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

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Gymnase Hervé Mao, rocade de Parc Bihan (Châteaul
Gymnase de type C du même modèle que celui construit par les même architectes à Penmarc'h. Salle 44 x 22 m avec annexes et tribunes pouvant accueillir 450 personnes. Ossature et charpente métallique.Après l'abandon d'un premier projet élaboré par J.-H. Riedberger et La Salle sportive, le conseil municipal opte en 1965 pour un gymnase de type C, "identique au projet qu'ont présenté MM. Penther et Bévérina, architectes à Quimper, pour le compte de la commune de Penmarc'h". Le permis de construire est délivré le 14 octobre 1965. Les travaux, qui bénéficient d'une subvention de 600 000 F au taux de 66,66%, sont achevés le 13 février 1967. Une extension est réalisée en 1988 par Dominique Pellequer, et une importante campagne de modernisation en 2007.Construit par la commune, l'équipement est d'emblée mis à la disposition des élèves du collège et du lycée par une convention entre la ville et l'Education nationale, puis par des conventions séparées avec le département et la région après les lois de décentralisation.
Auteur(s) du descriptif : Vely Simon ; Bonnet Philippe

Par : L'inventaire du patrimoine

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