Patrimoine culturel de Quimper

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Église paroissiale Saint-Gunthiern
Plan en croix latine à trois vaisseaux et à cinq travées. Choeur peu profond à chevet plat flanqué de deux sacristies au sud et au nord. Clocher à chambre de cloche à galerie ajourée de soufflets surmontée d´une flèche flanquée de quatre gâbles et cantonnée de pinacles. Petite chapelle des fonts baptismaux au nord, au niveau de la troisième travée. Gros oeuvre en pierre de taille, couvert partiellement d´un enduit crème. Les pierres de construction proviennent d´édifices en ruines de la commune et les ardoises d´une carrière de Saint-Goazec.Nef de type obscure couverte d´un lambris peint en bleu avec nervures en ocre et en rouge, entraits décorés à engoulants et sablières à écussons. Arcades en arc brisé reposant sur les chapiteaux toscans soutenus par les colonnes. Sol couvert de dalles de granite.L´église de Langolen conserve des éléments du 15e siècle (le porche sud), du 16e siècle (la façade occidentale, clocher). Elle a été reconstruite d´après les plans de l´architecte diocésain Joseph Bigot en 1844 par les entrepreneurs Pierre Le Quéo et Jean-Louis Le Naour pour le clocher. On ajoute un transept, deux sacristies à l´est et une chapelle des fonds baptismaux au nord de la nef. Bigot est intervenu une seconde fois en 1864 lors de la reconstruction du clocher endommagé par la foudre en 1826.
Auteur(s) du descriptif : Fauchille Gwénaël

Par : L'inventaire du patrimoine

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Le lech du musée breton à Quimper

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Hag en tu all da Bariz

Par : Dastum

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An Imitation Jesus-Christ hon salver biniguet . Le

Par : Gallica

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Manoir de Kernisy, 3 allée de Kernisy (Quimper)
Le manoir de Kernisy, aujourd'hui inclus dans le tissu urbain de Penhars, a été réhabilité en maison de retraite. Il reste du manoir deux ailes, en retour d'équerre, une du XVe siècle et une du XVIIIe siècle. Le corps principal de bâtiment est maçonné en pierre de taille et s'élève sur trois niveaux : un rez-de-chaussée, un étage et un niveau de combles. Cet édifice a été construit au XVe siècle et remanié au XVIIe siècle, nous offrant une façade ordonnancée. Elle est rythmée par cinq travées. La travée centrale comporte d'entrée principale, couverte par un arc en anse de panier dont la voussure présente une série de moulures, se poursuivant et se terminant en piédroits sculptés. Cette entrée est de plus ornée par une archivolte, prenant la forme d'un arc en talon ornementé de crossettes feuillagées, encadrée par deux pinacles sculptés, reposant sur deux colonnes à bases et à chapiteaux simples. La naissance des pinacles est ornée de deux figures animales, des lions ou des loups, tenant dans leurs membres postérieurs une tête humaine. A gauche de la porte se trouvent deux ouvertures, simples, munies d'un chanfrein à angle droit. La baie à l'extrémité ouest de la façade a été transformée en porte. La partie est de la façade est percée par une baie à demi croisée comportant pour décor un simple chanfrein à angle droit sur son encadrement, ainsi que deux autres baies, plus larges, dont les linteaux comportent une série des moulures. Elles sont chanfreinées de la même manière que les baies précédentes. A l'étage, cinq baies semblables sont alignées avec celles du rez-de-chaussée. Au niveau des combles, une maçonnerie de moellons marque le niveau de combles à surcroît. Ce niveau est éclairé par cinq lucarnes à fronton, alternant frontons cintrés et frontons triangulaires. Le lien entre la façade en pierre de taille et le surcroît maçonné en moellons est également marqué par une corniche à moulure convexe, supportant une gouttière. A l'intérieur, des éléments caractéristiques sont encore présents, notamment la salle avec une cheminée monumentale, et la cage de l'escalier en vis, qui est demi hors œuvre. A l'arrière de ce bâtiment se trouve une adjonction contemporaine, réalisée pour la réhabilitation de l'édifice en maison de retraite. En retour d'équerre du côté ouest du bâtiment apparaît une aile édifiée au XVIIIe siècle. Maçonné en pierre de taille, cet édifice est également ordonnancé en travées, et s'élève sur trois niveaux, du rez-de-chaussée aux combles. Il est divisé en plusieurs volumes, dont le premier de deux travées est surmonté d'une lucarne à fronton cintré. Un deuxième volume, comprenant quatre travées et marqué par deux arcades au rez-de-chaussée, est surmonté d'une lucarne à fronton triangulaire dont les piédroits se terminent en ailerons sculptés. Sur cette section se trouve un blason non identifié. Le bâtiment se poursuit sur plusieurs travées, surmontées de deux lucarnes à fronton. A l'extrémité sud de cette aile a été ajouté un pavillon. A l'est de cet ensemble s'élève une chapelle, construite dans le dernier quart du XIXe siècle. L'entrée du manoir est matérialisée par un portail d'entrée, constituée d'une porte cochère du XVIIIe siècle, en pierre de taille et traité en bossage. Le portail est couvert par un arc en plein cintre dont la clé, pendante, est sculptée. Le portail est flanqué de deux pilastres semi engagés traités en bossage, soutenant un fronton triangulaire. Le tout est flanqué, de part et d'autre de deux autre pilastres engagés plus modeste, comportant des chapiteaux moulures, sur lesquels viennent s'appuyer deux consoles sculptés.Possédé à la fin du XVIe siècle par Guillaume Le Baud, Sénéchal de Penhars, le manoir appartient en 1678 à François de Kerguern, puis passe aux main de la famille Haffont de Lestrédiagat. En 1776, par contrat d'acquêt, il est vendu pour 34 360 livres à Jean de Rospiec. Les Rospiec fuient en 1792, leurs biens sont confisqués. Le manoir de Kernisy devient une maison d'arrêt, pour femmes, dites "suspectes" dans un premier temps, puis pour homme en raison du manque de place dans les autres prisons. Le 29 novembre 1793, vingt-quatre femmes y étaient détenues, d'origine aristocratique ou roturière, sous prétexte qu'elles étaient parentes d'émigré, de fanatique, d'aristocrate, etc. Le 6 février 1794, des hommes furent emprisonnés à Kernisy, en raison de l'encombrement des autres prisons de la ville. Le 18 juin 1974, le manoir est vendu à Bernard Auguste Gelin comme bien national. Les derniers détenus ont été transférés au collège. Etienne Détaille, Ingénieur des Ponts et chaussées. Les dépendances du manoir par la famille Le Bescond Coatpont aux Religieuses de l'Oeuvre de la Miséricorde le 24 septembre 1857. L'établissement a vocation de réinsérer les jeunes filles en difficulté. Actuellement, le manoir et ses extensions sont réhabilités en maison de retraite, l'établissement est toujours tenu par les Religieuses de l'Oeuvre de la Miséricorde. La chapelle de la Miséricorde a été construite à proximité du manoir en 1866.
Auteur(s) du descriptif : Mottay Louise ; Belzic Céline

Par : L'inventaire du patrimoine

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4J Quimper /73

Par : Archives départementales d

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Instructionou hac oraesonou devot evit assista en
Feuille volante dont le titre peut être traduit comme suit : Instructions et prières pour assister à la messe avec grand profit, extraits de livres en breton.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Bannielou Lambaol 1962
Bulletin ronéoté de la paroisse de Lampaul-Guimiliau : numéros de janvier, avril, mai, octobre, décembre 1962.

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Eglise de Locronan

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Le barbier de village
Sujet représenté : scène (discussion ; homme ; barbier ; poule ; cour ; maison ; rasage, Quimper, vêtement : Breton) - N° d'inventaire : 16

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Ar c'herneveg-03

Par : Dastum

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L'abandon de l'activité agricole

Par : Dastum

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Recit composet a nevez Var un Tol Vaillantis errue
Feuille volante dont le titre peut être traduit comme suit : Récit nouvellement composé sur un coup de vaillance, près de Paris le 3 mars dernier [suivi de] Récit sur les Malheurs arrivés dans le département du Var du fait de l’orage les 14 et 15 juin dernier.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Deux ordonnances de police à Quimper (1404-1719)
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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Arrondissements de Quimper. , Barques de pêche : [
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Arrondissements de Quimper. , L'avant port : [Plaq
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Cultivateur de St-EVARZEC (Finistère), près Quimpe
Saint-Evarzec.- Un cultivateur pose près d'un boeuf. Reproduction d'un dessin.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

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Actualités vues par E. Gaudu
Un programme de petits films : des vues touristiques (le Phare d'Armen à la pointe du Raz, Quimper), la famille Gaudu en promenade, une consultation du Dr Gaudu, un ami marin en permission, des scènes de kermesse, une scène de boxe au ralenti, deux comédies jouées par Emile Gaudu : « Mor'hiss détective. Méthode personnelle » et « Cacaouète n'est pas veinard ».

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Maître-autel et retable
Tombeau droit.Table supportée par quatre colonnettes circulaires. Quatre bas-reliefs encadrent le tabernacle surmonté d'un baldaquin ceint de quatre colonnettes..L'oeuvre, datée 1938, a été commandée par le recteur de Lopérec, Le Tiec, au marbrier et sculpteur Augustin Beggi de Quimper qui est également l'auteur du projet. Après Paris et Landerneau, les frères Odilo et Augustin Beggi, originaires de Carrare en Ita.
Auteur(s) du descriptif : Douard Christel

Par : L'inventaire du patrimoine

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Place
L´origine de la place remonte sans doute à l´époque médiévale ; en 1539, elle jouxte le « port de mer » accessible depuis l´ancienne route royale 170 entre Quimper et Landerneau. Elle a toujours associé lieu de culte et espace à vocation maritime et administrative. Avant la création de la commune en 1840, la partie nord de la place se situait sur le territoire de Saint-Segal, la partie sud sur celui de Châteaulin.Située au coeur de l´agglomération, elle est bordée de constructions formant un dégagement devant l´église paroissiale et la mairie, à la manière d´une place-parvis. Elle est aussi, depuis l´achèvement du canal de Nantes à Brest, au coeur d´un système de voiries permettant d´accéder aux quais, à Châteaulin (au sud) et à Saint-Segal (au nord).La documentation iconographique ancienne permet d´entrevoir l´évolution de cet espace urbain dont la structure est restée pérenne. 1812 (dessin) : la partie jouxtant l´Aulne est utilisée pour le chargement et déchargement des marchandises (bois, tonneaux de vin) ; des immeubles à un étage bordent la place, à l´exception d´un bâtiment à deux étages jouxtant la chapelle Saint-Nicolas qui sera remplacée par l´église actuelle en 1856. 1847 (plan cadastral) : état des maisons avant leur reconstructions dans la seconde moitié du 19e siècle. 1855 (dessin) : projet de plantations d´arbres de part et d´autre du passage diagonal de la route nationale ; le « bureau de la douane » existe.Vers 1875 (dessin) : emplacement de la fontaine publique érigée en 1866 et tracé de la route nationale ; le bureau de la douane est désigné comme « corps de garde ». 1924 (dessin) : appelée « grande place », avec emplacement d´origine du monument aux morts.
Auteur(s) du descriptif : Douard Christel

Par : L'inventaire du patrimoine

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