Patrimoine culturel de Quimper

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Eglise paroissiale Saint-Pierre
Eglise de plan en croix latine à trois vaisseaux ; chevet à pans coupés flanqué de deux sacristies de plan rectangulaire. Porche sud hors-oeuvre. Clocher en pierre de taille de granite à chambre de cloches ouverte et à galerie en encorbellement, base de la flèche octogonale à galerie à quatre gâbles ajourés. Gros oeuvre en moellon de schiste et de granite recouvert d'un léger enduit. Encadrement des baies en kersantite et microdiorite. Nef à cinq travées éclairée par des baies hautes, piliers octogonales, arcs brisés, lambris de couvrement peint en bleu sur fausses voûtes à croisées d'ogives reposant sur des culots à décor végétal situés entre les fenêtres hautes. Sol couvert de dalles de granite.Eglise construite à l'emplacement d'un édifice du 17e siècle dont seul le porche sud daté de 1625 est conservé. Reconstruction en 1868 d'après les plans de l'architecte diocésain Joseph Bigot en collaboration avec son fils Gustave ; travaux exécutés par l'entrepreneur en maçonnerie Guyomard de Morlaix. Le clocher date de 1879, réalisé par Jean-Louis Le Naour de Quimper.
Auteur(s) du descriptif : Fauchille Gwénaël

Par : L'inventaire du patrimoine

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Kantik ar Baradoz
Enlever le Fichier num : 46090645.mp3

Par : Dastum

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Hôtel de Broc, 41 rue Elie Fréron (Quimper)
Faute de document pouvant fournir des informations sur l’hôtel de Broc avant l’incendie de 1901, on peut penser que Charles Chaussepied étant architecte en chef des monuments historiques, il avait le souci de respecter l’architecture d’origine. Le choix de l’emplacement rue Elie Fréron est déterminent. En effet, le comte de Broc se trouvait dans le centre de Quimper, donc au cœur des mondanités et dans une rue qui depuis le XVème accueille siècle des hôtels nobles. L’hôtel de Broc est implanté sur une parcelle de grandes dimensions. Il est construit perpendiculairement à la rue et en biais. Cet hôtel particulier possède une cour centrale au nord et un jardin au sud. Le bâtiment moderne au nord, en faux pans de bois a été construit à la fin du XXème siècle. L’hôtel est séparé de la rue Elie Fréron par un mur bahut surmonté d’une grille ouvragée en fer forgé. Le mur bahut a été largement modifié au nord et au sud. L’entrée est marquée par deux piliers massifs en pierre de taille de granit dotés d’un chanfrein en partie inférieure pour laisser passer le fiacre. L’hôtel de Broc s’élève sur un rez-de-chaussée, un premier étage et un étage sous combles. Un bandeau d’étage délimite les différents niveaux. Cet hôtel est construit selon un plan en L. Il est composé d’un corps de bâtiment principal et d’une aile en retour d’équerre courte au nord. Dans l’angle entre l’aile et le corps de bâtiment principal se loge une tour d’escalier de plan carré et à demi hors œuvre. Les façades sont recouvertes d’un enduit, la pierre de taille de granit est employée pour les éléments décoratifs ou de couvrement ainsi que pour le soubassement. L’entrée se fait par la façade nord donnant sur la cour centrale et qui s’organise en trois travées. Au rez-de-chaussée sont percées une porte d’entrée et deux fenêtres. Ces ouvertures sont couvertes d’un arc surbaissé et les jambages sont harpés. Le premier étage est éclairé par trois ouvertures couvertes d’un linteau monolithe droit, et qui possèdent des appuis saillants moulurés. Au centre, ne ouverture composée de deux baies jumelées étroites et de part et d’autre, deux ouvertures dotées chacune d’une allège appareillée. Au niveau des combles, deux lucarnes gerbières avec un fronton cintré ainsi qu’un œil de bœuf ovale assurent une certaine luminosité. La tour d’escalier carrée postérieure dépasse les étages de combles du corps de bâtiment principal et de l’aile. Elle se caractérise par des jambages et des chaînages d’angle à harpage effleurant, à la différence du reste du bâtiment qui eux sont saillants. L’angle de la tour carrée est largement chanfreiné à la base et dans la partie supérieure il accueille le blason sculpté de la famille de Broc. Au rez-de-chaussée, à l’est est percée une petite porte et au nord une ouverture. L’escalier intérieur est éclairé par quatre ouvertures couvertes d’un arc en plein cintre et qui accueillent des vitraux décoratifs. La façade ouest donnant sur la rue comporte deux travées. Un chaînage d’angle au milieu de la façade traduit la présence d’un mur de refend longitudinal. Ce mur sépare les pièces situées au nord qui semblent plus étroites et celle situées au sud plus vastes. Les ouvertures sur chaque niveau sont identiques à celle de la façade sud. Un des lucarnes présente deux baies jumelées étroites et est couronnée par un fronton triangulaire. La façade sud donnant sur le jardin est rythmée par cinq travées et les ouvertures sont identiques à celles des façades nord et est. Les distantes parfois importantes qui séparent les différentes travées révèlent la présence de vastes pièces à chaque étage. L’aile en retour d’équerre est percée d’ouvertures se termine par un pignon à crossettes au nord. Le rez-de-chaussée n’était sûrement pas destiné à être un passage, et l’aile devait sûrement être plus longue. Le bâtiment en faux pans de bois situé au nord a probablement remplacé à la fin du XXème siècle des bâtiments plus anciens. L’hôtel de Broc appartenait au comte de Broc également propriétaire du château du Pérennou en Plomelin. Edgar de Broc arrive à Quimper dans les années 1890 lorsqu’il épouse Marie de Carné héritière du Pérennou. Monsieur Thomas, entrepreneur de maçonnerie au 12 rue de Brest demande en le 17 janvier 1900 "l'autorisation de reconstruire la maison de M. le comte de Broc récemment incendié dans la rue Royale au n°43". L'autorisation est autorisée le 28 janvier 1901. En 1926, l'hôtel appartient à M. de Combourg, qui demande l'autorisation d'ouvrir une baie pour portillon dans le mur de clôture de sa propriété. En 1946, le 41 rue Elie Fréron abrite la clinique Le Pape. L'oeuvre de Charles Chaussepied est exposée en 1903 au Salon des artistes français. Dans un article consacré à l'architecture au salon de 1903, Louis Charles Boileau relate "M. Chaussepied nous a donné le croquis d’un hôtel de campagne construit à Quimper, sans doute en granit, avec des enduits de mortier pour les maçonneries de remplissage et des toitures en ardoise. Le terrain comportait des biais dont notre confrère s'est servi heureusement pour de bonnes dispositions d’ensemble, et dont il a tiré des effets pittoresques réussis, cependant d’une tenue fort simple. Les distributions intérieures sont bien conçues, les aménagements d’un goût distingué. Je remarque surtout une construction très étudiée, des formes françaises sues et un soin tout particulier des détails. M. Chaussepied est un artiste de talent et un praticien distingué."En outre, la même année l'architecte finistérien Emile Rivoalen cite l'oeuvre de Charles Chaussepied dans un article intitulé "Société des Artistes français Architecture": "À Quimper-Corentin (« hôtel de M. le comte de B... »), M. Chaussepied fait de bonne architecture bretonne c'est-à-dire, cette sorte de Louis XIII un peu austère mais robuste et noble qu’autorise le granit, dur à la taille, et rendant peu d’effet au moulurage ou à la sculpture. L’auteur se rattrape, comme il convient en ce cas, par l’étude des bonnes masses de pavillon, par les lignes d’angle et de cordons plats, enfin par la ferronnerie que peuvent fournir de bons forgerons bretons."
Auteur(s) du descriptif : Gueguen Jeanne

Par : L'inventaire du patrimoine

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Hôtel de ville de Quimper, vue des élévations et c

Par : Archives municipales de Qu

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QUIMPER.- La Cathédrale, façade occidentale.
Quimper.- La cathédrale Saint-Corentin, façade occidentale.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Alanik al Louarn

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Eglise de Locronan

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Mémoire relatif à la Martinique : Envoyé à la cour
Mémoire de 38 pages manuscrites dont la signature est peu lisible sur l'île de la Martinique, rédigé en 1777 à l'occasion du retour en métropole du général, M. de la Varenne, et de l'intendant, M. Ricouart, alors en poste dans cette colonie.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Le barbier de village
Sujet représenté : scène (discussion ; homme ; barbier ; poule ; cour ; maison ; rasage, Quimper, vêtement : Breton) - N° d'inventaire : 16

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Chapelle et lavoir à Locronan

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Plogonnec (sans précision) - Entrée
ENTREE Eglise, Niche + pilastres, volute

Par : Dastum

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Arrondissements de Quimper. , Débarquement à l'île
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Histoire du Comité révolutionnaire de Quimper
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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Deux ordonnances de police à Quimper (1404-1719)
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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Ar merc'hed diwar ar maez [La vie des femmes à la
Un devezh gant ur vaouez war ar maez, etre buhez ar familh hag hini an atant. [La journée-type d'une femme à la campagne, entre gestion de la vie de famille et activités liées à l'exploitation agricole.]

Par : INA

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IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

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