Patrimoine de Paimpol

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Vies d'ouvrières
Il y a dix ans, paraissant "le voyage à Paimpol", qui racontait l'histoire de Maryvonne, ouvrière de Saint Brieuc qui, un jour d'extrême lassitude, fait une fugue et se paye le voyage en autocar pour Paimpol. Dix ans après, l'auteure du roman, elle même ancienne ouvrière, Dorothée Letessier a fait le voyage en autocar entre Saint Brieuc et Paimpol. Entretiens et montage d'entretiens avec Dorothée Letessier, ses anciens collègues d'usine de Chaffoteaux, revues après dix ans d'absence : le travail à l'usine, le manque d'alternative surtout pour les femmes, l'évolution professionnelle de certains collègues

Par : INA

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Dañsoù Chef ha Mari-Job / Rapports Pierre Bourdonn

Par : Dastum

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Mélodie (accordéon)

Par : Dastum

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O kofesaat

Par : Dastum

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Photographie de l'équipage du "Pourquoi-Pas"
Photographie en noir et blanc de l'équipage du navire océanographique le "Pourquoi-Pas", quittant Saint-Servan pour une croisière dans les mers polaires.Le naufrage du « Pourquoi-Pas »Le navire océanographique le « Pourquoi-Pas », commandé par le commandant Joseph Le Conniat de Plouézec, portant la mission d'exploration océanographique que dirigeait le docteur Charcot, s'est perdu corps et biens dans la nuit du 16 septembre 1936, au cours d'une violente tempête sur la côte Ouest de l'Islande. Tous les passagers et les hommes d'équipage ont péri, soit 40 victimes, à l'exception du maître timonier Le Gonidec, qui a pu atteindre le rivage à la nage.Le navire "Pourquoi-Pas" est un trois-mâts, construit au chantier Gautier de Saint-Malo en 1907, long de 45 mètres et lourd de 450 tonnes, avec une machine auxiliaire à vapeur de 125 cv. C'est avec ce navire que Charcot explora en 1908 et 1910 les côtes de l'Antarctique. En 1936, il appartenait au Ministère de l´Education nationale. Il avait pour mission pour le Service hydrographique, la « confirmation de l´exploration de la côte orientale du Groenland ainsi que celle de l´Océan arctique, de l´Atlantique Nord et du plateau continental ». Il devait aussi rapatrier la mission de Paul Emile Victor. Les causes du naufrage sont dues au manque de puissance de la machine dans des conditions de tempête et de mauvaise visibilité.Les documents photographiques qui illustrent ce texte sont extraits du journal "L'Illustration" du 26 septembre 1936, rédacteur Hector Ghilini.Le Cdt. Le Conniat de PlouézecHomme du Goëlo, Guillaume Le Conniat est né à Plouézec en 1884 ; ses parents étaient fermiers au « Petit Saint-Loup ». Cadet de trois garçons, il fréquenta l´école communale de Lanloup, où disait-il plus tard, « il avait fait ses humanités ».A 15 ans, il quitte la ferme natale et devient mousse sur une gabarre du Trieux. A 16 ans, il part pour l´Islande sur une goélette paimpolaise. A 17 ans, il s´engage dans la Marine de l´Etat, dans la spécialité de manoeuvrier. Ayant gravi les échelons de la hiérarchie, il devient officier des équipages en 1929.Après s´être marié et avoir eu trois enfants, le Cdt Le Conniat participera aux dernières expéditions du « Pourquoi-Pas », auprès de Charcot, en 1935 et 1936, où le navire fera naufrage.Le Commandant Le Conniat fut comme l´a dit Monseigneur Kerlévéo « le dernier des islandais du pays paimpolais, celui qui fut appelé à clore le funèbre cortège de quelque 2000 compatriotes que la mer d´Islande a gardés ».
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ferme
Ferme construite en moellons de granite sur un plan d'ensemble en U. Elle présente un logis de type ternaire et des dépendances en retour d'équerre. Le linteau de la porte d'entrée présente le millésime 1803 (lecture incertaine).Ferme datant du 1er quart du 19ème siècle (1803 : probable datation inscrite sur le logis).
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Environs de Paimpol : La chapelle de Perros Hamon

Par : Dastum

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Ploubazlanec ; chapelle de Perros-Hamon ; intérieu

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Ancienne ferme, Kervic (Paimpol)
Ancienne ferme datant de la 2ème moitié du 19ème siècle. Le logis principal est daté de l'année 1884 (datation portée).
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ancienne ferme, impasse de la Halte, Leskernec (Pa
Ancienne ferme datant de la 2ème moitié du 19ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Aqueduc et pont du Quinic, place de Verdun (Paimpo
Construit à l'origine en moellons et pierre de taille, le pont du Quinic a été rénové et transformé, puis déplacé. Aujourd'hui, plusieurs ponts et passerelles (en béton et en métal) traversent le Quinic. Le cours du Quinic mesure environ 5 km et descend des hauteurs de Plourivo avant de se jeter dans le port.Le cours d'eau du Quinic se déversait traditionnellement dans le port d'échouage de Paimpol. Le projet d'aménagement d'un bassin à flot a nécessité de réaliser une dérivation de ces eaux, qui pouvaient se déverser lors des grandes crues dans le bassin. Cependant, de nature privée, le Quinic appartenait à la famille Guët et ses berges aux riverains, avant que ceux-ci soient expropriés. En 1882-83, un aqueduc de vidange avec un canal de chasse été réalisé à cet effet dans le bassin, au niveau du quai Ouest et de son retour. Le pont sur le Quinic est daté de 1870.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Construction navale : chantiers navals sur la comm
Les chantiers navals paimpolaisEn 1860, il existait à Paimpol plusieurs chantiers de construction navale : Julien et Yves Pilvin et Tanguy, associés, et Laboureur. Ces chantiers construisaient des bateaux tant de pêche que de plaisance, comme le yacht-bisquine 'L'Hirondelle', sorti du chantier Laboureur en 1889 et le cotre 'Illico' de 3,10 tonneaux, long de 11 mètres et lancé en 1888 par le chantier Laboureur, qui remporta le premier prix des régates de Tréguier. Louis Laboureur (1812-1888), charpentier, fut l'un des premiers constructeurs de bateaux installés à Paimpol au 19ème siècle. Louis (dit "Louis aîné" était "pouleyeur" c’est à dire fabricant de poulies pour cordages de navires comme l'était son père Yves. Mais il a aussi construit quelques bateaux de travail.Il avait installé deux chantiers dans le quartier de Kernoa à Paimpol, au Four à Chaux. Son fils Louis-Pierre-Marie Laboureur (1836-1892), maître constructeur, diplômé de l´arsenal de Cherbourg en 1854, reprit le chantier familial en 1860. Situé sur les cales du Four-à-Chaux, ce chantier est à l´origine de la naissance de la goélette paimpolaise.1 Laboureur fut honoré par de nombreux diplômes et médailles, non seulement pour ses morutiers, mais aussi pour ses caboteurs et ses yachts. Ces derniers sont les enseignes du chantier et, par leurs résultats en régates, lui assurent une formidable publicité. À la mort de Laboureur en 1892, son entreprise est si florissante que, faute de place, elle avait dû ouvrir deux autres chantiers à La Richardais. Entre 1894 et 1898, les chantiers Laboureur auront construit 37 navires ! Léon-Pierre-Marie Laboureur (1878-1941) prendra la suite de cette lignée de constructeurs. D’autres chantiers navals vont s’installer à Poulafret, Goasdoué, Perrot, comme Bonne qui allait étendre le potentiel industriel paimpolais jusqu’à la crise des années 1930. En 1902 et 1903, les chantiers paimpolais ne livrent pas moins de 85 navires aux armateurs.2 En 1877, les constructeurs demandèrent la construction d'une passerelle mobile à Kernoa, aux abords des chantiers, afin de faciliter les déplacements. L'absence de cale sèche impliqua d'édifier un platier de carénage entre le môle de Kernoa et le bassin à l'intérieur du port, ce qui permettait de poursuivre la construction de navires lorsque les chantiers étaient encombrés. Ce platier, approuvé en 1890, fut réalisé et accueille encore aujourd'hui plusieurs ateliers de mécanique et de construction navale. Il servit surtout aux constructeurs qui ne disposaient pas d’installations portuaires, mais aussi au débarquement des engrais marins et pour les entrepôts Dauphin. Au début du 20ème siècle, les chantiers navals étaient à leur apogée, bien que les travaux du nouveau bassin et de la nouvelle jetée gênassent leurs ateliers. Le chantier Bonne, en particulier, ne put satisfaire toutes les commandes en 1903. Bonne installa une première scie à vapeur pour accélérer le travail et la livraison. Cette année 1903, 51 navires étaient mis à l'eau, à la faveur notamment de la prime à la construction. En 1909, plus de 200 ouvriers travaillaient dans les chantiers navals paimpolais.Avant 1922, Laboureur construisait des goélettes au Four à Chaux, à la place du chantier actuel Pierre-Louis Dauphin, dont Bonne fut le contremaître avant de s'installer à son compte à Kernoa. Le chantier Goasdoué construisait des bateaux de pêche et de plaisance, dont le 'Bois Dormant' en 1913. En 1930-35, Antoine Kerbiguet était installé près des abattoirs (Kerpalud). Jean Huon, son ouvrier, prit plus tard la suite du chantier et s'installa sur le quai Loti, près de l'ancienne école hydrographique. Il vendit son affaire à Raynaud. Kerbiguet et Chevert construisaient des navires de moindre importance en plein air. Chevert fut l'un des derniers grands constructeurs paimpolais, pendant la seconde guerre mondiale, quai de Kernoa, après qu'il eut quitté Binic en raison de la fin de la grande pêche. Ses ouvriers travaillaient encore à l'herminette. L'un de ses derniers canots de 8 mètres fut 'La Pensée'. Les chantiers navals Huon et Le Chevert vont connaître une activité considérable en 1940-42 du fait de la construction de petites unités pour la pêche côtière (5-8 tonneaux). Jean Huon fit construire nombre de langoustiers et de petits chalutiers dont le '17 Août' (chalutier) mais aussi des voiliers de plaisance, dont la série des 'Mordicus'. Chevert était installé rue Labenne. Il existait aussi avant guerre le chantier naval et d'accastillage François Dauphin et après guerre, le chantier de Louis Marie et de Guillememon Henri, associés. Les Chantiers navals Yves Daniel et Louis Marie représentent les derniers constructeurs traditionnels. La relève a été prise aujourd'hui par le chantier naval Gilles Conrath et le charpentier de marine Klass Stelman. Le chantier naval Bonne (aujourd'hui disparu) a été étudié.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Croix de chemin dite croix aux outils, Kergiquel (
Croix en bois de section carrée dressée sur un soubassement appareillé en maçonnerie. Éléments de décor : os croisés, lances, épées, échelle, coq, titulus (INRI), tenailles, éponge, marteau, soleil, lune, clous, coeur, ostensoir, crâne, Vierge, couronne d'épines.Croix de chemin dite croix aux outils, reconstituée par Robert Hellou en 1981-1982 (inscription), d'après un modèle en place au début du 20ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Paimpol : Depart de bateaux de peche a la sortie d

Par : Dastum

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Souvenirs de bistrot à Paimpol
A Paimpol, la "Cité des Islandais" où la pêche à la morue et le départ des hommes, chaque hiver, pour six mois, ont rythmé la vie entre 1852 et 1935, rencontre avec Jean-Paul Cadic. Il a grandit dans le bistrot que tenait sa mère, le café des caboteurs et nous raconte, ses souvenirs des conversations des marins et anciens capitaines.

Par : INA

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Chapelle de Lancerf près Paimpol

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Lancerf ; tombeau du comte de Labenne

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Lancerf ; tombeau du comte de Labenne

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Lancerf ; tombeau du comte de Labenne

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Abbaye de Beauport à Paimpol

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Abbaye de Beauport

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Saint-Michel

Par : Dastum

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L'Ile de Bréhat
A l'occasion des vacances de printemps, les îles bretonnes, et notamment l'Ile de Bréhat, sont une destination pour de nombreux touristes. Bréhat offre aux vacanciers charme et tranquillité.

Par : INA

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