Patrimoine de Paimpol

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Vies d'ouvrières
Il y a dix ans, paraissant "le voyage à Paimpol", qui racontait l'histoire de Maryvonne, ouvrière de Saint Brieuc qui, un jour d'extrême lassitude, fait une fugue et se paye le voyage en autocar pour Paimpol. Dix ans après, l'auteure du roman, elle même ancienne ouvrière, Dorothée Letessier a fait le voyage en autocar entre Saint Brieuc et Paimpol. Entretiens et montage d'entretiens avec Dorothée Letessier, ses anciens collègues d'usine de Chaffoteaux, revues après dix ans d'absence : le travail à l'usine, le manque d'alternative surtout pour les femmes, l'évolution professionnelle de certains collègues

Par : INA

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Paotred Plouillio

Par : Dastum

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Service de baptême : coffret ; ampoule à saint chr
Coffret ovale contenant à l'origine deux ampoules, dont une seulement est conservée ainsi qu'une petite verseuse en forme de tasse droite.Nécessaire de baptême réalisé entre 1818 et 1838 par l'atelier Désury de Saint-Brieuc.
Auteur(s) du descriptif : L'Haridon Erwana ; Rioult Jean-Jacques

Par : L'inventaire du patrimoine

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Croix de chemin
Croix sur socle trapézoïdal et soubassement à deux degrés. Fût écoté, de section circulaire, bagué au sommet. Christ en ronde bosse. INRI.Croix de chemin des ateliers Yves Hernot érigée en 1874 par Jean ou Yves Morvan et son épouse sur leur propriété de Keriannou. La tradition orale indique qu'elle est devenue la propriété de la famille Le Conniat au début du 20e siècle. Elle a été foudroyée dans la 1ère moitié du 20e siècle et restaurée par le marbrier Le Meur à Paimpol vers 1945. Les travaux ont été financés en partie par le chirurgien paimpolais Monjarret, ami du commandant Le Conniat.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Les fontaines, puits et lavoirs sur la commune de
62 fontaines et puits, parfois associés à un ou à plusieurs lavoirs, ont été repérés sur la commune de Ploubazlanec. Trois fontaines, quatre puits, un lavoir et un routoir ont été particulièrement étudiés pour leurs caractéristiques d'ancienneté, leur bon état de conservation et leur intérêt documentaire. La chronologie de ces édifices est comprise entre le 1er quart du 18ème siècle et la seconde moitié du 19ème siècle : la fontaine de Traou Riou (1739), la fontaine votive sainte Anne (19ème siècle), la fontaine Gélard (19ème siècle), le puits du Placis à l'Arcouest (19ème siècle), le puits de Perros-Hamon, le puits de Kerroc'h (18ème siècle), le puits de Ker Marie (1709), le routoir de Gélard (19ème siècle) et le lavoir du port de Loguivy (19ème siècle), disparu aujourd'hui. Le lavoir du port, très souvent représenté dans les cartes postales, a été étudié en raison de sa situation particulière (liée à la présence de la mer) et pour sa valeur mémoriale (témoignages oraux).Ces édicules liés au circuit de l'eau, témoignent de la multitude des sources et des cours d'eau sur la commune et de leurs aménagements. Ils témoignent aussi de la richesse de ce patrimoine lié à l'eau, sur le plan pratique et symbolique (fontaines votives). L'usage en particulier des routoirs (pour le rouissage du lin), révèle l'importance au 19ème siècle de la culture du lin (134 ha de lin et 96 ha de chanvre au milieu du 19ème siècle), qui donnait du travail à de nombreux paysans, filandières et tisserands.Des petites mares au creux des champs, tels 'Poull Manu' à Kervodin et le réservoir de Losarguer, près de Lannevez, irriguées par des sources, alimentaient par infiltrations souterraines, fontaines, puits et lavoirs. L'entretien et la valorisation de ce patrimoine montrent l'intérêt de la commune pour la sauvegarde de ces édifices et la qualité de l'eau.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ferme
Ferme construite en moellons de granite. Elle comprend un logis de type ternaire flanqué à gauche d'un bâtiment abritant une pièce à feu au rez-de-chaussée et deux dépendances en retour d'équerre à l'arrière.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ploubazlanec ; chapelle de Perros-Hamon ; petit po

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Ploubazlanec ; chapelle de Perros-Hamon ; chapelle

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Construction navale : chantiers navals sur la comm
Les chantiers navals paimpolaisEn 1860, il existait à Paimpol plusieurs chantiers de construction navale : Julien et Yves Pilvin et Tanguy, associés, et Laboureur. Ces chantiers construisaient des bateaux tant de pêche que de plaisance, comme le yacht-bisquine 'L'Hirondelle', sorti du chantier Laboureur en 1889 et le cotre 'Illico' de 3,10 tonneaux, long de 11 mètres et lancé en 1888 par le chantier Laboureur, qui remporta le premier prix des régates de Tréguier. Louis Laboureur (1812-1888), charpentier, fut l'un des premiers constructeurs de bateaux installés à Paimpol au 19ème siècle. Louis (dit "Louis aîné" était "pouleyeur" c’est à dire fabricant de poulies pour cordages de navires comme l'était son père Yves. Mais il a aussi construit quelques bateaux de travail.Il avait installé deux chantiers dans le quartier de Kernoa à Paimpol, au Four à Chaux. Son fils Louis-Pierre-Marie Laboureur (1836-1892), maître constructeur, diplômé de l´arsenal de Cherbourg en 1854, reprit le chantier familial en 1860. Situé sur les cales du Four-à-Chaux, ce chantier est à l´origine de la naissance de la goélette paimpolaise.1 Laboureur fut honoré par de nombreux diplômes et médailles, non seulement pour ses morutiers, mais aussi pour ses caboteurs et ses yachts. Ces derniers sont les enseignes du chantier et, par leurs résultats en régates, lui assurent une formidable publicité. À la mort de Laboureur en 1892, son entreprise est si florissante que, faute de place, elle avait dû ouvrir deux autres chantiers à La Richardais. Entre 1894 et 1898, les chantiers Laboureur auront construit 37 navires ! Léon-Pierre-Marie Laboureur (1878-1941) prendra la suite de cette lignée de constructeurs. D’autres chantiers navals vont s’installer à Poulafret, Goasdoué, Perrot, comme Bonne qui allait étendre le potentiel industriel paimpolais jusqu’à la crise des années 1930. En 1902 et 1903, les chantiers paimpolais ne livrent pas moins de 85 navires aux armateurs.2 En 1877, les constructeurs demandèrent la construction d'une passerelle mobile à Kernoa, aux abords des chantiers, afin de faciliter les déplacements. L'absence de cale sèche impliqua d'édifier un platier de carénage entre le môle de Kernoa et le bassin à l'intérieur du port, ce qui permettait de poursuivre la construction de navires lorsque les chantiers étaient encombrés. Ce platier, approuvé en 1890, fut réalisé et accueille encore aujourd'hui plusieurs ateliers de mécanique et de construction navale. Il servit surtout aux constructeurs qui ne disposaient pas d’installations portuaires, mais aussi au débarquement des engrais marins et pour les entrepôts Dauphin. Au début du 20ème siècle, les chantiers navals étaient à leur apogée, bien que les travaux du nouveau bassin et de la nouvelle jetée gênassent leurs ateliers. Le chantier Bonne, en particulier, ne put satisfaire toutes les commandes en 1903. Bonne installa une première scie à vapeur pour accélérer le travail et la livraison. Cette année 1903, 51 navires étaient mis à l'eau, à la faveur notamment de la prime à la construction. En 1909, plus de 200 ouvriers travaillaient dans les chantiers navals paimpolais.Avant 1922, Laboureur construisait des goélettes au Four à Chaux, à la place du chantier actuel Pierre-Louis Dauphin, dont Bonne fut le contremaître avant de s'installer à son compte à Kernoa. Le chantier Goasdoué construisait des bateaux de pêche et de plaisance, dont le 'Bois Dormant' en 1913. En 1930-35, Antoine Kerbiguet était installé près des abattoirs (Kerpalud). Jean Huon, son ouvrier, prit plus tard la suite du chantier et s'installa sur le quai Loti, près de l'ancienne école hydrographique. Il vendit son affaire à Raynaud. Kerbiguet et Chevert construisaient des navires de moindre importance en plein air. Chevert fut l'un des derniers grands constructeurs paimpolais, pendant la seconde guerre mondiale, quai de Kernoa, après qu'il eut quitté Binic en raison de la fin de la grande pêche. Ses ouvriers travaillaient encore à l'herminette. L'un de ses derniers canots de 8 mètres fut 'La Pensée'. Les chantiers navals Huon et Le Chevert vont connaître une activité considérable en 1940-42 du fait de la construction de petites unités pour la pêche côtière (5-8 tonneaux). Jean Huon fit construire nombre de langoustiers et de petits chalutiers dont le '17 Août' (chalutier) mais aussi des voiliers de plaisance, dont la série des 'Mordicus'. Chevert était installé rue Labenne. Il existait aussi avant guerre le chantier naval et d'accastillage François Dauphin et après guerre, le chantier de Louis Marie et de Guillememon Henri, associés. Les Chantiers navals Yves Daniel et Louis Marie représentent les derniers constructeurs traditionnels. La relève a été prise aujourd'hui par le chantier naval Gilles Conrath et le charpentier de marine Klass Stelman. Le chantier naval Bonne (aujourd'hui disparu) a été étudié.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ancienne ferme, chemin de Kergoat, Plounez (Paimpo
Ancienne ferme datant probablement du 17ème siècle et de la 2ème moitié du 19ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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La ville de Paimpol
La ville de Paimpol, citée comme telle dans une lettre du duc Jean V datée de l'année 1421 (ville de Penpoul), était le siège d'une châtellenie comtale au 13ème siècle. Sa partie méridionale, au sud de la place du Martray et de la rue de l'Eglise, releva jusqu'en 1789 de la seigneurie de Kerraoul (son réprésentant, Alain, est cité comme écuyer 1292). En 1325, le cimetière de Notre-Dame fut établi sur une parcelle de terre appartenant à cette seigneurie. Le secteur urbain de Paimpol comprend également le territoire de Lanvignec qui fut, sous l'Ancien Régime, une petite paroisse relevant du diocèse de Dol enclavée dans celui de Saint-Brieuc. Mentionnée pour la première fois comme telle dès 1257 (par. de Lannviniec), son église (ecclesia de Languinech) était citée en 1198 dans une bulle du pape Innocent III au titre des biens de l'abbaye de Saint-Riom. A la veille de la Révolution, une instance était en cours auprès de l'évêque de Saint-Brieuc pour obtenir l'érection de Paimpol en paroisse de plein-exercice. Un commissaire-enquêteur fut ainsi nommé par ordonnance épiscopale du 28 juin 1788, mais la procédure n'aboutit pas au regard des événements survenus en 1789.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Paimpol. - Sur les Quais. Remise de décorations.

Par : Dastum

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Croix de carrefour, environs de Paimpol

Par : Dastum

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Paimpol. - Costumes Bretons Vieux Marin dans les c
Un marin tenant un cordage et un autre homme en arrière plan à la proue d'une goélette

Par : Dastum

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Paimpol : Paimpolaise porteuse de journaux

Par : Dastum

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Paimpol - La Bénédiction des Islandais
Cliché Torty - vue du Reposoir - procession - goélettes à quai

Par : Dastum

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Fileuse fumant la pipe

Par : Dastum

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Souvenirs de bistrot à Paimpol
A Paimpol, la "Cité des Islandais" où la pêche à la morue et le départ des hommes, chaque hiver, pour six mois, ont rythmé la vie entre 1852 et 1935, rencontre avec Jean-Paul Cadic. Il a grandit dans le bistrot que tenait sa mère, le café des caboteurs et nous raconte, ses souvenirs des conversations des marins et anciens capitaines.

Par : INA

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Chapelle de Lancerf près Paimpol ; le clocher

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Lancerf près Paimpol

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Abbaye de Beauport à Paimpol

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Puits, Crec'h-Simon (île de Bréhat)
Puits à mur de margelle circulaire construit en moellons de granite.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ile de Brehat (C.du N.) : L'embarcadere, "ar embar

Par : Dastum

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L'Ile de Bréhat
A l'occasion des vacances de printemps, les îles bretonnes, et notamment l'Ile de Bréhat, sont une destination pour de nombreux touristes. Bréhat offre aux vacanciers charme et tranquillité.

Par : INA

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