Patrimoine de Paimpol

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Vies d'ouvrières
Il y a dix ans, paraissant "le voyage à Paimpol", qui racontait l'histoire de Maryvonne, ouvrière de Saint Brieuc qui, un jour d'extrême lassitude, fait une fugue et se paye le voyage en autocar pour Paimpol. Dix ans après, l'auteure du roman, elle même ancienne ouvrière, Dorothée Letessier a fait le voyage en autocar entre Saint Brieuc et Paimpol. Entretiens et montage d'entretiens avec Dorothée Letessier, ses anciens collègues d'usine de Chaffoteaux, revues après dix ans d'absence : le travail à l'usine, le manque d'alternative surtout pour les femmes, l'évolution professionnelle de certains collègues

Par : INA

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Mamm an avaloù

Par : Dastum

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Joueur de biniou en Bretagne

Par : Dastum

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Mairie, postes, écoles, lavoirs et puits sur la co
La chronologie des oeuvres recensées s'étend de la 1ère moitié du 19e siècle au 1er quart 20e siècle. Les dates répertoriées sont les suivantes : 1850, 1887 et 1912. Les noms d'auteurs réperés sont les suivants : Cosson Louis, architecte à saint-Brieuc, Guillou Yves, entrepreneur, Perrot F., entrepreneur.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Les moulins sur la commune de Ploubazlanec
Ces trois moulins sont à l'état plus ou moins de ruines, en particulier les moulins de Loguivy et de Kerarzic. Le moulin de Gopérecq a conservé ses murs maçonnés et représente le seul bâtiment que la végétation n'a pas complètement envahi. Ces trois édifices ont perdu leur charpente et leur couverture. Ces moulins sont construits sur le même modèle : tour ronde en pierre de taille, 'à grosse tête et petit pied'. Les moulins de Lannevez et de Kerarzic mesurent 5, 40 mètres de diamètre extérieur avec des murs de 0, 95 mètre d'épaisseur et une hauteur d'environ 10 mètres. Ils ont un encorbellement avec corbeaux alternés. Le moulin à vent de Loguivy est plus trapu et plus petit : 4, 90 mètres de diamètre hors tout des murs plus épais (1, 10 mètre), avec un encorbellement continu. Ces moulins ont tous perdu leur charpente et les tours sont évidées, sauf le moulin de Loguivy qui a conservé quelques marches de son escalier.La datation des oeuvres repérées est comprise entre le 17ème siècle et le 18ème siècle. 3 oeuvres ont été repérées, parmi lesquelles le moulin à vent de Goperec daté de l'année 1762 et celui de Crech-Baellan de l'année 1767 (datation par travaux historiques : dates portées sur les édifices d'après Gordon Carter). Ces édifices sont tous privés et désaffectés. Trois moulins ont été étudiés : Gopérecq, Loguivy et Kerarzic. Le moulin à vent de Lannevez (ou de Gopérecq) est daté de 1762. Il est en mauvais état aujourd'hui. Le moulin à vent de Crec'h Baëlan ou de Loguivy porte la date de 1767 et l'inscription 'M.Q.' Il était déjà 'ruiné' en 1832. Le moulin de Kerarzic, encore appelé moulin de Kerpalud, est du type 'petit pied' comme les autres moulins de la commune (Gopérecq). Il est daté au moins de la fin du 18ème siècle. Il est peu visible, caché par la végétation et en ruine. Il existait davantage de moulins à vent sur le territoire de la commune entre le 17ème et le 18ème siècle. La carte de l'Isle de Bréhat réalisée par Collin en 1666, relève trois moulins à vent alignés le long de la côte Nord des anciennes paroisses de Lannevez et de Perros Hamon en Ploubazlanec, servant d'amers pour la navigation. Le 'Petit Atlas' de Belin de 1764, situe seulement deux moulins à Lannevez et à Kerlo'ch-Du. La carte de Cassini de 1815, en montre quatre (à vent) et un seul à eau (en limite de Plounez), que nous retrouvons sur le cadastre de 1832. Il ne reste plus que quelques pierres du moulin Neuf de Kerlo'ch-Du ('Pontryvon' ou 'Pontirou'), sur la parcelle de 'Park Vilin. Le moulin de Perros Hamon ', dit 'moulin à vent de la Pitance', se trouvait en flanc de coteau de Pors Even, disparu aujourd'hui 1794). Le moulin à vent de l'Arcouest, situé au-dessus de la chapelle de la Trinité ('Crec'h Guy') a été démoli en 1885.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Perros Hamon : Notre Dame de Perros devant qui les

Par : Dastum

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Environs de Paimpol : Portail de la chapelle de Pe

Par : Dastum

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Ploubazlanec ; chapelle de Perros-Hamon ; chapelle

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Ferme, Kergoff (Paimpol)
Ferme datant du milieu du 19ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Paimpol - La Rue de Ploubazlanec
Personnage sur le seuil d'une bijouterie - quincaillerie (commerce) - un homme et un chien dans la rue

Par : Dastum

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Paimpol. - Procession de la Fête-Dieu

Par : Dastum

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Chapelle de Lancerf près Paimpol

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Lancerf ; tombeau du comte de Labenne

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Lancerf près Paimpol ; le clocher

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Lancerf près Paimpol

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Vierge près de Beauport (Paimpol)

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Lancerf ; choeur

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Quais et cales du Port-Clos (île de Bréhat)
A la fin du 19ème siècle, les quatre cales en service présentaient les caractéristiques suivantes :- la première cale mesurait 70 mètres de longueur, 3 mètres de largeur et 2, 20 mètres de hauteur, construite en pierres sèches, avec un musoir de 8, 50 mètres et 3, 50 mètres en contrebas, la cale pour les marchandises- la 2ème cale du 'Pont du milieu', chaussée en pierre, mesurait 54 mètres de longueur- la 3ème cale 'Min Ru' ou du 'Grand Pont', longue de 44, 80 mètres, large de 4, 80 mètres, hors tout, avec un retour en angle droit de 12 mètres, terminé par un escalier, construite en matériaux bruts, peu solide et difficile d'échouage.- la cale du Goaréva mesurait 38 mètres de longueur et 3 mètres de largeur.La 1ère cale mesure aujourd'hui 87 mètres de longueur avec une plateforme large de 12 et 7, 65 mètres. La jetée a 5 mètres de largeur et 4 mètres de hauteur et se termine par un escalier en aval. Elle est prolongée à sa base un terre-plein. Elle est équipée d'anneaux d'amarrage. Les murs ont peu de fruit. Son élargissement et son exhaussement ont été réalisés en pierre de taille avec un revêtement en moellons de granite. Elle est utilisée à mi-marée et en basse mer de morte-eau. La 2ème cale, 'Min Ru', construite en moellons de granite a une hauteur variable entre 1 mètre et 3, 50 mètres de hauteur. Elle présente une plateforme de 7, 10 mètres de longueur, orientée Est-Ouest, avec un retour vers le Nord de 12 mètres. Elle est utilisée à mi marée. Elle est bien balisée (perche) et éclairée de nuit. La 3ème cale du Goaréva est construite en béton et ciment, à son origine, elle présentait une plateforme de 3 mètres de largeur et de 15, 50 mètres de longueur en amont. Il fut nécessaire de relever sa cote à plus de 4 mètres, d'exhausser la plateforme d'au moins 1 mètre et de rallonger la cale de plusieurs mètres. Cependant, la commission nautique locale estima que ces mesures étaient insuffisantes en raison du niveau de la basse mer en vive-eau. La petite cale, dite des armateurs, a été reconstruite en moellons et en pierre de taille (granite), sans liant. Le passe-pied, recouvert de ciment, élargi en certains endroits de 2 à 4 mètres pour le passage des tracteurs, longe la micro-falaise et circule depuis la 1ère cale jusque la pointe du Goaréva pour desservir ces cales.20ème siècle s'échelonnèrent au cours de la seconde moitié du 20ème siècle.Les premières cales de Bréhat on été construites entre la Révolution et Napoléon III. Dans le même temps, les tailleurs de pierre de Bréhat (1845), Auguste Daigre, René Heurtaut, Jean Pierre André et Pierre Richard construisait la 1ère jetée de l'Arcouest pour favoriser le trafic entre l'île et le continent. Les deux premières cales de Bréhat ont été construites par des marins de l'Etat en station avec leurs navires. En 1850, les trois cales du Port-Clos, submersibles, étaient couvertes en marée de vive eau. La première cale était appelée 'Cale d'en haut' ou jetée de la grande cale, construite en 1850.Plusieurs projets furent présentés par l'Etat en 1892 : - prolonger la cale inférieure ('Grand Pont') de 25 mètres avec une chaussée pavée, prolonger la cale 'd'en haut' avec un escalier- aménager un débarcadère à l'Ouest en maçonnerie sèche, bordé de talus inclinés, sur une longueur totale de deux fois 187 mètres, avec une hauteur et une largeur de 2 mètres, en contournant 'Roc'h ar Gazec et enfin prolonger les voies d'accès sur une longueur totale de 562 mètres (entre la cale d'en haut et le Goaréva).Selon la conférence mixte de 1905, quatre cales existaient au Port-Clos à la fin du 19ème siècle :- la cale du grand port, (1850) submersible, à exhausser- la cale du 'Pont du milieu' (construite en 1802), amas informe de pierres, peu élevé, à supprimer, pour dégager l'anse servant d'échouage aux bateaux de pêche- la cale de Min Ru, construite en 1795- la cale du Gaoréva (non datée)Entre 19O0 et 1924, plusieurs projets furent élaborés, dont le prolongement sur 10 mètres de la 1ère cale, alors que la petite cale était en partie démolie par la houle. Un premier projet de terre-plein pour le dépôt des marchandises, à l'origine de la grande cale, côté Est, avec un mur de soutènement, fut dessiné. Il fut aussi proposé de refaire le chemin d'accès aux différentes cales, semblable à une petite plateforme, large de 2 mètres et haut de 0, 40 mètres (avec un revêtement en béton).En 1920, la petite cale était rallongée. Elle servait aux voiliers pour culer lorsque le vent était de secteur Ouest. C'est à cet endroit que se trouvai la cabane pour livrer l'essence.En 1924, le plan de la cale du Goaréva prévoyait un élargissement de la cale à la cote comprise entre 5, 15 mètres et 6, 22 mètres et son prolongement à la cote de 13, 50 mètres, pour l'accostage simultanée de plusieurs vedettes. Le nouveau plan de la cale de Min Ru prévoyait un rallongement de 28, 30 mètres.En 1930, Les cales s'avéraient néanmoins toutes trop courtes et peu accessibles, parfois encombrées de rochers comme celle du Goaréva. L'amélioration de ce kilomètre de cales et leur consolidation s'avèrait indispensable. Ce projet devait pouvoir être en partie financé par une taxe prélevée sur le tourisme. Cependant, en 1936 et en 1948, les demandes d'exhaussement et de rallongement de la cale du Goaréva sont de nouveaux formulés, mais n'eurent pas de suite. Tous ces projets aboutirent tardivement. En 1921, la 1ère cale de vive eau était prolongée de 10 mètres et en 1973, elle était élargie. Les travaux programmés au cours de la 1ère moitié du 20ème siècle s'échelonnèrent au cours de la seconde moitié du 20ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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L'Ile de Bréhat
A l'occasion des vacances de printemps, les îles bretonnes, et notamment l'Ile de Bréhat, sont une destination pour de nombreux touristes. Bréhat offre aux vacanciers charme et tranquillité.

Par : INA

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