Patrimoine de Paimpol

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Vies d'ouvrières
Il y a dix ans, paraissant "le voyage à Paimpol", qui racontait l'histoire de Maryvonne, ouvrière de Saint Brieuc qui, un jour d'extrême lassitude, fait une fugue et se paye le voyage en autocar pour Paimpol. Dix ans après, l'auteure du roman, elle même ancienne ouvrière, Dorothée Letessier a fait le voyage en autocar entre Saint Brieuc et Paimpol. Entretiens et montage d'entretiens avec Dorothée Letessier, ses anciens collègues d'usine de Chaffoteaux, revues après dix ans d'absence : le travail à l'usine, le manque d'alternative surtout pour les femmes, l'évolution professionnelle de certains collègues

Par : INA

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Manoir de Goas Froment
L´entrée sud du manoir est signalée par les vestiges d´un portail d´entrée formant autrefois une arcade en plein cintre (claveaux de départ de l´arcade accostés aux piliers de granite). Le manoir ce présente sous la forme d'un corps de logis principal à cinq travées flanqué de deux avant-corps à pan de bois construit en granite. Porte d'entrée architecturée. Les faces des avant-corps sont rythmées de potelets traités en colonnes avec chapiteaux à feuillage stylisé et base torsadée. L'étage de ces avant-corps repose en surplomb sur des corniches à denticules et modillons. Un escalier intérieur appareillé en maçonnerie, tournant à droite, à retour avec jour, occupe la partie centrale du manoir. Au rez-de-chaussée, à la rencontre des arcs qui supportent le limon de l´escalier, sont visibles les armes d'Olivier du Fresne et de son épouse Jeanne de Lezildry.Manoir datant du 17e siècle et de la 1ère moitié du 18e siècle. La seigneurie de Goasfroment appartenait à la vicomté de Pléhédel au 13e siècle. Propriété des Roquel au 16e siècle, puis de la famille du Breil de 1612 jusque vers 1670, le manoir de Goasfroment passe dans la famille du Fresne à la fin du 17e siècle. Une partie de la construction et d'importants remaniements à l'intérieur sont dus à Olivier du Fresne et Jeanne de Lezildry. Leurs armes figurent sur les clés de voute du très bel escalier central, ainsi que celles de la famille du Breil.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Fontaine et lavoir de Saint-Riom
Bassin rectangulaire en plein air. Fontaine adossée, appareillée en maçonnerie sur un plan rectangulaire, couverte d'une épaisse dalle de granite. Niche à l'intérieur de la fontaine.Fontaine et lavoir datant de la 1ère moitié du 19e siècle. Le lavoir a été restauré au cours du 20e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ploubazlanec ; chapelle de Perros-Hamon ; petit po

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Ploubazlanec ; chapelle de Perros-Hamon ; chapelle

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Ploubazlanec ; chapelle de Perros-Hamon ; petit po

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Ploubazlanec ; chapelle de Perros-Hamon ; intérieu

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Réservoirs : pêcheries sur la commune de Paimpol
Les pêcheries repérées sont peu visibles aujourd'hui, en raison de l'évolution géomorphologique de l'estran et de son appropriation par les parcs à huîtres. Ces pêcheries sont formées par des arcs de cercle en pierres ou des lignes de rochers qui font un barrage sur un chenal, avec un pertuis au jusant de la marée. Ces barrages ont des mesures variées : entre 25 et 115 mètres de longueur et environ 1, 80 mètres de largeur. Une autre pêcherie, formant un barrage en pierre, long de 32 mètres a été repérée sur le site de Kergrist en Plounez.Les pêcheries de la baie de Beauport, encore appelées, bouchots ou 'parcs de clayonnage' sont formées de trois alignements quasi parallèles de pieux plantés dans la vase, à l'extrême Est de l'anse de Beauport.La plus ancienne pêcherie repérée est datée au moins de 1545 : la 'Pêcherie de Lostron', en aval de l'estuaire du Trieux, près du site de Coz Castel. Cette pêcherie a été étudiée. Les cinq autres pêcheries repérées sont situées dans la baie de Paimpol entre la Pointe de Guilben, les îlots de la baie et les rivages de Kerity-Poulafret (non datées). Une pêcherie a été repérée sur le site de Kergrist en Plounez. Cette pêcherie est mentionnée dans un texte daté de 1731 : 'la pêcherie de Kerraoul sise sur la rivière de Pontrieux et près du passage du Goëllo, dans la paroisse de Plounez' (AD 22, E2180). Les anciennes pêcheries sur l'estran, devant l'Abbaye de Beauport, au Nord de la Pointe de Kerazic, sont datées au moins du 1er quart du 18ème siècle, d'après l'enquête de Le Masson du Parc.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Souvenirs de bistrot à Paimpol
A Paimpol, la "Cité des Islandais" où la pêche à la morue et le départ des hommes, chaque hiver, pour six mois, ont rythmé la vie entre 1852 et 1935, rencontre avec Jean-Paul Cadic. Il a grandit dans le bistrot que tenait sa mère, le café des caboteurs et nous raconte, ses souvenirs des conversations des marins et anciens capitaines.

Par : INA

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Abbaye de Beauport à Paimpol

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Lancerf près Paimpol

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Lancerf ; tombeau du comte de Labenne

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Lancerf près Paimpol

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Vierge près de Beauport (Paimpol)

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Abbaye de Beauport à Paimpol

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Lancerf ; choeur

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Monument aux morts pour la Patrie
Monument aux morts constitué de quatre stèles rapportées sur la face intérieure des murs latéraux du porche sud de l'église paroissiale. Trois stèles honorant la mémoire des victimes de la Première guerre mondiale ont été rapportées sur le mur ouest, une stèle à la gloire des victimes de la Seconde guerre mondiale sur le mur est. A l'ouest, la stèle centrale, qui porte la signature de l'auteur dans l'angle inférieur gauche, est ornée d'un bas-relief présentant, au pied de la croix de Saint-Maudez dont le socle porte pour la circonstance le millésime 1914, une bréhatine en position d'orante et en costume de deuil traditionnel. Les stèles de droite et de gauche portent des inscriptions commémoratives (Ils ont été le salut et l'honneur de la patrie morts au champ d'honneur morts sous les drapeaux), les noms des soldats morts au champ d'honneur, les noms des principales batailles et les dates 1914 et 1918. A l'est, la stèle située au centre porte également une inscripiton commémorative, les noms des victimes de la Seconde guerre mondiale, les dates 1939 et 1945 ainsi qu'une croix de Lorraine.Monument aux morts pour la Patrie du sculpteur André-César Vermare (1869-1960) rapporté sur les murs latéraux du porche sud de l'église paroissiale en 1920.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Écart de Kervilon (île de Bréhat)

Par : L'inventaire du patrimoine

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Moulin à vent de Crec'h-Tarec (île de Bréhat)
Situé sur une hauteur, le moulin à vent de Crec'h-Tarec est un moulin appelé 'moulin à petit-pied', dont la partie supérieure est plus large que la partie inférieure. Ouvert de deux portes en vis-à-vis au rez-de-chaussée et pourvu autrefois d'un toit mobile permettant de positionner les ailes faces au vent, il est construit en gros blocs et moellons de granite, comme son homologue au Nord de l'Ile. L'étage carré est signalé par un ressaut sur modillons. Son accès est difficile et sa tour en ruine est menaçante et dangereuse.L'emplacement du moulin de Crec'h Tarec, sur le tertre du 'Cresterel', fut afféagé à Ecuyer Pierre du Vieux Chatel par la duchesse de Penthièvre le 22 juillet 1597. Ce document d'archive rappelle qu'une permission fut accordée en 1601, par madame de Martignes 'de construire un moulin à l'emplacement de Crec'h Carpont, au sieur Dorléans, capitaine en ladite île'. Cependant, aucun autre document d'archive ne peut permettre d'attester la date réelle de construction du moulin. Un procès-verbal, daté du 16 novembre 1602, à la requête du fermier, précise l'état du moulin à vent du Carpont. On peut y lire 'chapelle et amposture'. Cependant, la date de 1682 est gravée sur le pied droit de la porte.Le moulin à vent de Crec'h Tarek ou 'Crec'h Tarec' est daté au moins du 2ème quart du 17ème siècle. En 1632, il est cité pour réparations au lieu dit Crec'h Tarec. Le 10 août 1632, la sénéchaussée royale de Saint-Brieuc cite un 'chemin conduisant de la chapelle Saint-Michel au moulin de Crec' Tarec'. Le 7 avril 1690, il est encore cité avec les deux autres moulins, dans un aveu d'Ecuyer Jan Couffon. Le 29 septembre 1632, le moulin à vent nécessitait des réparations. La carte de Colin, datée de 1666, montre les deux moulins à vent de l'Île de Bréhat. Le rentier de Bréhat de 1744 cite les deux moulins à vent et le moulin à mer du Birlot. Le moulin était dit 'en ruine' en 1810, c'est à dire, qu'il ne fonctionnait plus mais que le bâti existait encore.En 1873, le moulin servant d'amer (blanchi comme amer vers 1829), n'était plus en service (plus d'ailes). Il était encore la propriété du meunier Le Chevanton, qui souhaitait le vendre aux Ponts-et-Chaussées. Le moulin fut en effet vendu à l'administration en 1874.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick ; Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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