Les documents du Golfe du Morbihan

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Vannes
D'une image de ville tranquille, Vannes se transforme en ville dynamique. Sa proximité avec le Golfe du Morbihan attire une population souvent jeune, qui s'intéresse notamment à l'activité économique liée aux nouvelles technologies.

Par : INA

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Chapelle de Penmern en Baden

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Menhirs immergés à mi-hauteur de l’enceinte Nord d

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Menhirs de l’enceinte Nord d’Er Lannic

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Couverture de dolmen avec entailles et cupules au

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Penmern et lech tumulé

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Dansez la polka mesdames

Par : Dastum

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Me 'm eus-me ur brav a vaouez ur bravañ nend eus k

Par : Dastum

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Hôtel dit hôtel de Jérusalem, 12 rue des Vierges (
Maison construite en alignement de rue. Elle se compose de deux corps successifs associés, le second contenant essentiellement l'escalier. Le premier corps sur rue est en pan de bois, le corps donnant sur la courtine des remparts étant en moellon, avec un petit corps de latrines en hors-oeuvre en surplomb. Dans le corps sur rue a été conservée la grande cheminée sur mur gouttereau ouest à hotte oblique, piédroits en pilastres, avec bases et consoles moulurées, moulure reprise à la base du linteau. Une fenêtre en partie bouchée (donnant aujourd'hui dans la cage d'escalier) éclairait l'espace près de la cheminée. De cette partie subsiste encore l'emplacement de l'escalier en vis dans le couloir latéral d'accès au corps postérieur. Les deux tiers de ce corps est occupé par l'escalier. Il se développe au tour d'un vaste jour central, et comporte trois volées en bois, une rampe à balustres. Le large palier dessert par une porte le corps sur rue, et par une autre porte la pièce latérale du corps postérieur. Celle du 1er étage qui a conservé sa cheminée du 17e siècle, dessert le corps en appentis servant sans doute de garde-robe. En demi-étage, l'escalier donne accès au jardin sur la courtine. Le corps sur rue est couvert d'un toit brisé tandis que le corps postérieur, très visible par-dessus le rempart est coiffé d'un toit à l'impériale.La maison nommée hôtel de Jérusalem seulement à partir de 1769, date de sa fondation comme hôtel par Jacques Galland, est vraisemblablement lors de sa construction au 15e siècle le logement de Guillaume Le Roux, trésorier général de Bretagne, d'après le rentier ducal de 1455-1458. Cet important personnage possède aussi d'autres maisons rue des Vierges et place de Maine Guievre, actuellement place Henri IV. Au 18e siècle, l'édifice avec la tour Poudrière devient l'auberge de Jérusalem qui fonctionne jusque vers 1870.Le logis sur rue est doublée d'un corps donnant sur la courtine au cours du 17e siècle, peut-être pour Jean Bunetier, procureur et notaire royal et propriétaire lors de la réformation en 1677. C'est alors qu'est ouverte la porte sur rue et supprimé l'escalier en vis latéral, remplacé par le grand escalier placé dans le corps postérieur. A cette époque, la maison est liée à la tour Poudrière voisine et comprend une partie de la courtine afféagée. Les fenêtres sur rue dites à menues croisées sont remplacées par de grandes fenêtres au 17e ou au 18e siècle. La maison a été surélevée d'un étage de comble avec toit brisé à la même époque. Au milieu du 20e siècle, la façade est transformée pour la vitrine de la boutique ; c'est aussi vers cette époque que la façade postérieure est modifiée : suppression d'un corps de latrines en saillie vers l'est, visible sur la carte postale des années 1900 et fermeture d'une fenêtre en demi-étage éclairant l'escalier. Cette fenêtre est ré-ouverte vers 1950 avec réfection de l'encadrement et les lucarnes en calcaire sont refaites en granite, tandis que le pan de bois de la façade est du corps de latrines est repris.
Auteur(s) du descriptif : Lainé Claire ; Toscer Catherine ; Mauvais Marion ; Danielo Julien

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison, 6 rue du Port (Vannes)
A deux travées, elle possède deux étages carrés surmontés d'un étage en surcroît. Caractérisée par son cloisonnement, sa façade très soignée, dominée par une lucarne en pierre de taille, elle est représentative d'un type apparu dès la fin du 16e siècle dans l'architecture civile, que l'on retrouve à Vannes rue Saint-Vincent, rue Saint-Nicolas, sur une maison de la rue du Port, sur l'hôtel proche dit du Moulin du Roy ou encore dans la rue du Château à Auray. L'étage est distribué par un escalier à retours à balustres transversal situé au fond du corps sur rue ; il distribue les deux corps, antérieur et postérieur. Le corps postérieur est constitué d'un corps de passage sur la rue du Drézen associé à un cellier surmonté d'une habitation, à façade sur cour à pan de bois essenté.Maison dont le corps sur rue est reconstruit pour Grégoire Guillo Dubodan, avocat au Présidial, en 1696 d'après la date portée, sur une parcelle médiévale. Il subsiste de l'ancienne maison le corps postérieur, ainsi que le puits en pierre de taille dans la cour, datant du 17e siècle. D'après les aveux du 17e siècle, les n° 6 et 8 appartenaient au même propriétaire : ils ont d'ailleurs toujours une cour commune. Le partage des deux maisons entre le sieur de Larmor, famille alliée, et le sieur de Guillo Dubodan se fait en 1695. Le N°8 a été reconstruit vers 1950 : une carte postale ancienne montre cette maison d'époque classique à trois travées et deux étages carrés. Le rez-de-chaussée du n°6 est modifié au 19e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison, 27 rue de Cliscouët (Vannes)
Maison mitoyenne sur un côté (mais isolée à l'origine), construite en retrait de la voie avec jardin environnant. C'est une maison enduite de plan massé double en profondeur. L'élévation enduite est ordonnancée à trois travées.La maison est construite en 1935 d'après la date de construction mentionnée par le cadastre numérisé, ce qui est plausible : elle appartient au lotissement de Keravelo, créé en 1927.
Auteur(s) du descriptif : Lainé Claire ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bulletin paroissial de Vannes - paroisse de Saint
mai 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Vannes - paroisse de Saint
septembre 1914. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Vannes - paroisse de Saint
janvier 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Église paroissiale Saint-Pie X
L'ensemble des bâtiments : église, presbytère, sacristies, salles paroissiales, s'organise autour d'un cloître ouvert sur 3 côtés qui assure la liaison des différents bâtiments entre eux et la liturgie de plein air pour les grandes réunions de fidèles. L'église à l'ouest de ce centre comprend les fonts baptismaux, la salle des exorcismes, une chapelle d'hiver facilement chauffable pour les petits offices. La nef unique est étudiée par l'architecte pour assurer une belle visibilité de l'autel et permettre un éclairage en hauteur par des baies étroites resserrées, plus accusé pour le choeur et l'autel. La notice descriptive indique une construction en maçonnerie et non en béton armé, des couvertures d'ardoises. L'édifice comprend d'importantes parties de pierres apparentes dans les façades et l'utilisation d'un granit de teinte uniforme dans les différentes parties de l'édifice.La construction de l'église placée sous le vocable de Saint-Pie X est confiée en 1955-1956 à l'architecte Guy Caubert de Cléry pour desservir le quartier de la Madeleine dont elle constitue le centre religieux. Le 13 mars 1955, l'abbé René Moisan, vicaire à la cathédrale de Vannes est chargé par l'association diocésaine de fonder une nouvelle paroisse dans la partie occidentale de la ville qui devait être détachée de la paroisse Saint-Pierre, lorsqu'elle serait constituée. Le 10 septembre de la même année, une délégation lui était donnée par l'association pour agir à son nom dans les démarches à faire pour la réalisation du projet de la nouvelle cité paroissiale : église, presbytère, salle d'oeuvre et de catéchisme, auprès du Ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme et du Crédit Foncier. La paroisse Saint-Pie X est érigée le 22 décembre 1959 par l'ordonnance de l'évêque Eugène Joseph Marie Le Bellec qui en définit les limites (cf annexe de la fiche). Le choix du vocable de l'église de la Madeleine est lié à la canonisation de Pie X par Pie XII le 29 mai 1954. L'église s'élève sur un terrain donné par la famille Taslé à l'Association diocésaine. Elle s'inspire de l'église de Riese, ville natale du pape Pie X et répond ainsi au souhait de l'abbé Moisan qui de retour d'un voyage d'Italie désirait emprunter aux modèles italiens le programme de la future église. Le permis de construire est délivré malgré les observations faites par l'architecte-conseil de la reconstruction et de la construction, Mr Tourry, concernant son lieu d'implantation et son architecture, et sous réserve que soit donné plus de solidité aux parties basses de l'édifice, que soit unifiée l'échelle des différentes façades et uniformisées les pentes des toitures. En outre, la commission départementale du permis de construire incitait l'architecte à se rapprocher de Mr Hourlier, architecte-urbaniste chargé à l'époque du projet d'aménagement pour la ville, pour mettre au point le projet définitif. La décoration a fait l'objet d'un concours entre les artistes régionaux, qui selon l'architecte devait "donner à cette oeuvre le caractère à la fois régional et actuel qui convient à un église neuve dans une paroisse qui se fonde".
Auteur(s) du descriptif : Lainé Claire ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison
Maison en alignement sur la rue avec jardin en façade postérieure. Elle est dotée d'un simple rez-de-chaussée sur sous-sol. La maison est enduite avec soubassement en appareil polygonal.La maison fait partie du lotissement de Poignant-gare. Elle est construite vers 1930-1935 (le cadastre donne la date de 1933, ce qui en fait une des premières maisons du lotissement). Elle apparaît sur le plan de la Reconstruction de 1952. La façade sur rue a subi des modifications : création de la petite ouverture centrale, modification des entourages des ouvertures. Ce qui la ferait peut-être correspondre à un plan récupéré dans les dossiers sanitaires des Archives municipales qui indique monsieur Grives comme propriétaire et Morin de Grandchamps comme entrepreneur en 1929. Garage légèrement postérieur.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Lainé Claire

Par : L'inventaire du patrimoine

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Avenue Victor Hugo, anciennement avenue de la gare
Large avenue rectiligne, reliant le quartier de la gare à la rue du Mené, en traversant une partie du quartier de la gare, la prairie Saint-Symphorien et l'ancien faubourg du Mené. Une partie de son tracé dans la partie basse de la prairie, est construit en remblais. Un pont permet d'enjamber la rue de la Coutume.Cette rue est une voie principale, traversante, destinée à acheminer les voyageurs de la gare vers le centre ville. Dessinée par l'architecte Marius Charier en 1862 en surcharge sur les plans d'alignement de 1841, elle est achevée en 1864. C'est le préfet Poriquet, très inspiré par la pensée Hausmanienne qui fait étudier, dès 1860, ce projet ambitieux. En effet, l'étroitesse des rues de la Fontaine et de Napoléonville (actuellement avenue Saint-Symphorien) par laquelle se faisait la circulation entre la gare et le centre intra-muros (à travers le faubourg Saint-Patern et l'étroite rue Saint-Nicolas) impose la construction d'un axe plus large et de ce fait la déviation de la route impériale 167 (de Vannes à Lannion) qui passait par ces rues. La démolition de l'ancienne préfecture installée dans le château de Motte au même moment était une opportunité. Il suffisait de dévier la route 167 pour créer un axe rectiligne reliant la gare à la nouvelle rue ouverte sur les jardins de l'ancienne préfecture. Le projet est approuvé en 1862. Un pont fut construit sous le passage de la nouvelle voie afin de relier la rue de l'Amitié (actuellement la rue de la Coutume) desservant l'abattoir et le bas-quartier de la boucherie au quartier Saint-Patern où transitait l'essentiel du trafic de la ville. La nouvelle avenue reste pendant longtemps une simple voie de communication dépourvue de toute construction et bordée par des champs et des marécages. Elle est plantée en 1865 de marronniers à partir de la rue du Mené (actuellement place Joseph Le Brix) jusqu'à la place où se trouve l'octroi. Jusqu'à l'aube du XXe siècle, elle reste peu urbanisée mise à part l'implantation de la Banque de France et de quelques rares immeubles particuliers.Initialement dénommée avenue de la Gare ou parfois avenue Billault car prolongeant cette dernière, elle est rebaptisée par un décret de 1885 par la municipalité républicaine de l'époque 'avenue Victor Hugo'.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Colloque conte

Par : Dastum

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Colloque conte

Par : Dastum

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Colloque conte

Par : Dastum

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L'élection présidentielle en Bretagne [Muet]
Les élections présidentielles se déroulent dans les différentes communes bretonnes et notamment à Vannes. De nombreuses femmes en coiffe, et vêtues du costume traditionnel, se sont déplacées pour voter.

Par : INA

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Dir Ha Tan [Le groupe vannetais Dir Ha Tan]
Gant o gitaroù ha binvioù-all ha doareoù da ganañ deuet eus ar folk song e ijin ar strollad Dir ha Tan ur sonerezh eus e mare, met sanket don e gwrizioù en hengoun. [Avec des guitares et d'autres instruments de la musique folk, les jeunes Morbihannais de Dir ha Tan inventent une musique ancrée dans la tradition, mais très contemporaine.]

Par : INA

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Fontaine de la chapelle du Rohic

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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