Les documents du Golfe du Morbihan

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L'industrialisation de la Bretagne
Région traditionnellement agricole, la Bretagne débute son industrialisation en 1960. La priorité est dès lors mise sur l'électronique. Des industries automobiles et chimiques vont également s'implanter. Plus de 15 000 emplois vont être ainsi créés.

Par : INA

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Calvaire de la chapelle du Rohic

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Maison, 3 rue Saint-Guénael (Vannes)
Maison à pignon sur rue, de plan allongé en profondeur, établie sur une parcelle étroite et profonde avec petite cour postérieure. Elle est construite en pan de bois pour la façade nord sur rue, en pierre enduite pour la façade postérieure, les abouts des gouttereaux sur la rue étant en pierre de taille. La maison montre un rez-de-chaussée surélevé en raison de la déclivité du terrain, compensée sur la rue par quelques marches d'accès rendant possible un sous-sol vouté et contrebuté pour l'assise de la maison par un massif de moellons.A plan double en profondeur, elle montre une élévation à deux travées avec façade droite sans encorbellement ; elle possède deux étages carrés et un étage de comble rendu possible par un petit exhaussement visible. Le soubassement en pierre de taille moderne a remplacé l'ancienne assise enduite. Le pan de bois correspond à toute la hauteur de chaque étage avec une décharge à chaque extrémité d'étage et une croix de Saint-André sous chaque fenêtre ; il se caractérise par des poteaux régulièrement disposés. A chaque niveau, la sablière de plancher est séparée par les abouts de solives du plafond de la sablière de chambrée.La maison est à deux pièces en profondeur, celle sur rue plus étroite car la partie droite est dévolue à la cage d'escalier ; chacune des pièces est distribuée à partir de la cage d'escalier. Les pièces délimitées par des cloisons en pan de bois sont pourvues de cheminées adossées au mur gouttereau ouest pour la pièce sud et est pour la pièce nord. Les plafonds de ces deux pièces ont deux fortes poutres encadrant la cheminée et solives de taille différente. La plupart des pièces conservent encore une partie des lambris d'origine, sauf la pièce sud au 1er étage, divisée par une cloison en pan de bois, délimitant un espace qui pourrait être une garde-robe. Au second étage, la pièce sud est pourvue d'une pierre placée sous la fenêtre avec évacuation extérieure (évier ?). L'étage de comble, aménagé plus tardivement, a conservé le cloisonnement des pièces : les deux chambres nord et sud sont séparées par un espace médian, qui distribue à l'est une troisème petite pièce, à l'ouest un petit escalier en vis en bois au revers de marches délardés, desservant le grenier.On sait par le rentier du domaine ducal dressé en 1455-1458 que l'emplacement est occupé à cette date par une maison.Lors de la réformation du domaine en 1677, cette maison appartient aux héritiers de Jacques Racouët, notaire royal et procureur qui l'avait acquise en 1648 auprès de deux propriétaires : il est probable qu'il reconstruit la maison peu après cette date, ce qui correspond à ses caractéristiques architecturales, ainsi qu'à une partie de ses lambris ; le décor de certaines pièces est renouvelé au cours du 18e siècle. Le comble est légèrement surélevé à la fin du 18e siècle (?) afin de créer un nouvel étage habitable dont les lambris sont également conservés.En 1844, d'après les matrices cadastrales, l'ensemble de la propriété (maison, sol, cour et bâtiment) appartient à la famille Hervieu-Paquelau. Vendue à Jacques Combes, marchand drapier peu avant 1857, ce dernier qui possède aussi la maison voisine (sur parcelle 1723 en 1844) procède à une démolition partielle, réalisée en 1857 d´après les matrices cadastrales : peut-être s´agit-il d'un corps de latrines en retour au sud-est auquel on accédait par une porte dans la façade sud aujourd'hui bouchée.Vers 1950-1960, intervient une refonte du système de distribution : le départ d'origine de l'escalier localisé face à la porte latérale à droite a été supprimé et remplacé, pour donner accès au 1er étage, par un petit escalier en vis en bois situé dans l'angle sud-est de la boutique. Les autres étages restent desservis par la cage d'escalier d'origine, mais l'escalier est remplacé. Les plans dressés pour l'agrandissement des ouvertures en 1948 pour Madame Le Guillanton nous montre l'ancienne distribution du rez-de-chaussée et la place du départ de l'escalier. Plus tard, la cloison séparant au premier étage la pièce sud de la cage d'escalier a été en partie changée, tandis que la cheminée de cette pièce était bouchée.La descente de cave visible depuis la rue n'est plus en service ; seul subsiste le second accès qui prend son départ à partir de la cour postérieure.
Auteur(s) du descriptif : Lainé Claire ; Toscer Catherine ; Mauvais Marion ; Danielo Julien

Par : L'inventaire du patrimoine

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Lech-bénitier

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Enceinte Nord d’Er Lannic prise côté Port Navalo

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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L’enceinte Nord d’Er Lannic côté île Berder

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Cairn de Gavrinis vue d’Er Lannic

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Dolmen de Gavrinis, détail d’une stèle côté droit

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Cheminau iouank gosté Pondi

Par : Dastum

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Bulletin paroissial de Vannes paroisse de Saint-Pa
novembre 1916. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Vannes paroisse de Saint-Pa
février 1919. 20ème siècle

Par : Gallica

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Maison, 60 avenue 4 août 1944 (Vannes)
Etablie sur une parcelle d'angle, cette maison isolée, enduite à l'origine, est construite en léger retrait sur l'avenue avec jardin postérieur et latéral. C'est une maison à pignon sur rue double en profondeur avec une entrée latérale. Elle est dotée d'un rez-de-chaussée surélevé sur sous-sol comprenant un ancien garage avec un étage de comble. Les baies sont soulignées de ciment. Celle de l'étage de comble montre une jardinière en ciment.La maison est datée 1935 par le cadastre numérisé, ce qui est plausible. Elle appartient au lotissement Lahoulle et Lanco créé en 1922. La façade a été désenduite. La maison a fait l'objet d'une extension postérieure. Le garage situé au sous-sol a été bouché postérieurement.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Lainé Claire

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison
Petite maison isolée en alignement sur rue, simple en profondeur.Totalement enduite, elle présente en façade antérieure un balcon avec de la ferronerie.Maison des années avant 1932 construite pour monsieur Jabaud : le plan non daté mentionne que la maison est établie dans une rue non classée ; elle couvre tout le délaissé de parcelle sur lequel elle a été bâtie. La cour en arrière de la maison est aujoud'hui couverte par une véranda construite en mitoyenneté avec la maison n°18. A l'origine, on accédait à l'étage de la maison par un escalier extérieur qui maintenant est englobé dans la véranda.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Lainé Claire

Par : L'inventaire du patrimoine

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Hôtel de Kersauson, 15 rue de Kerozen (étudié)
Hôtel de qualité, double en profondeur, à façade principale sur rue à 5 travées et corps central en ressaut. Façade sur jardin à élévation ordonnancée sans travées. Escalier dans-oeuvre en charpente à gros balustres tournés. Le travail de menuiserie (portes, escalier, cheminée de la salle à manger, trumeaux de cheminée) et de ferronnerie (balcon, serrures) est particulièrement soigné.Hôtel érigé en 1900 (date portée dans la salle à manger) pour Charles de Tinguy et Berthe de Méhérenc de Saint-Pierre dont les initiales entrelacées, T et S, figurent sur le balcon de l'étage côté nord et sur la mosaïque de l'entrée. Les terrains environnants leur appartenaient également, en particulier la parcelle 361 sur laquelle est construit un tennis. Sur le reste des terrains, sont créés en 1949 puis en 1959, deux lotissements, dits lotissements de Kersauson, du nom de l'héritier direct des Tinguy et Saint-Pierre. Acquis en 1953 par l'administration d'Etat à usage de bureau des Affaires maritimes, son intérieur a été fortement modifié par la construction de cloisons pour faire des bureaux. Sur l'emplacement du tennis, une maison est construite entre 1960 et 1970.La revue "Béton armé" de 1899 indique Joseph Caubert de Cléry comme architecte de l'édifice.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Immeuble
Petit immeuble implanté en alignement sur la rue sur une parcelle en profondeur. L'accès axial en façade antérieure est aujourd'hui condamné par l'ouverture d'une boutique occupant la totalité du rez-de-chaussée. L'immeuble est en moellon de granite entièrement enduit. La travée axiale est marquée par un balcon au 1er étage, par un appui jardinière au 2d étage. L'escalier dans-oeuvre est axial postérieur, en bois.Cet immeuble est probablement l'une des premières constructions faites dans la rue après l'ouverture de cette dernière vers 1935 (le cadastre numérisé donne la date de 1937) sur un terrain appartenant à la société Bernheim. Les ouvertures latérales du rez-de-chaussée ont été modifiées.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Lainé Claire

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bulletin paroissial de Vannes - paroisse de Saint
mai 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Vannes - paroisse de Saint
juillet 1914. 20ème siècle

Par : Gallica

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Maison
Maison de qualité alignée sur rue, à deux travées dont porte d'entrée à deux battants, de plan double en profondeur. Maison soignée présentant des bandeaux d'étage, des ouvertures en granite saillant et un soubassement à appareil polygonal. Les lucarnes passantes sont en bois, l'une légèrement décalée. Sur la façade latérale sud, la fenêtre en demi étage qui éclaire l'escalier latéral reproduit le modèle des entourages de façade mais en brique et granite.Maison du lotissement Guyot-Jomard, qui n'apparaît pas sur le plan Léchard de 1897. Maison augmentée d'une extension type salle d'eau au Sud, vers 1950. Le garage remplace d'anciennes écuries.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison, 22, 24 rue du Drézen
Maison enduite à plan allongé à étage habitable, avec deux portes en rez-de-chaussée.Maison datant peut-être du 18e siècle. Rehaussée d'un étage habiatble à la fin du 19e siècle, son rez-de-chaussée a été ouvert de deux fenêtres en béton sur rue au 4e quart du 20e siècle. Aujourd'hui liée au n°26 dont elle partage le jardin, elle l'était peut-être dès l'origine.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Avenue Victor Hugo, anciennement avenue de la gare
Large avenue rectiligne, reliant le quartier de la gare à la rue du Mené, en traversant une partie du quartier de la gare, la prairie Saint-Symphorien et l'ancien faubourg du Mené. Une partie de son tracé dans la partie basse de la prairie, est construit en remblais. Un pont permet d'enjamber la rue de la Coutume.Cette rue est une voie principale, traversante, destinée à acheminer les voyageurs de la gare vers le centre ville. Dessinée par l'architecte Marius Charier en 1862 en surcharge sur les plans d'alignement de 1841, elle est achevée en 1864. C'est le préfet Poriquet, très inspiré par la pensée Hausmanienne qui fait étudier, dès 1860, ce projet ambitieux. En effet, l'étroitesse des rues de la Fontaine et de Napoléonville (actuellement avenue Saint-Symphorien) par laquelle se faisait la circulation entre la gare et le centre intra-muros (à travers le faubourg Saint-Patern et l'étroite rue Saint-Nicolas) impose la construction d'un axe plus large et de ce fait la déviation de la route impériale 167 (de Vannes à Lannion) qui passait par ces rues. La démolition de l'ancienne préfecture installée dans le château de Motte au même moment était une opportunité. Il suffisait de dévier la route 167 pour créer un axe rectiligne reliant la gare à la nouvelle rue ouverte sur les jardins de l'ancienne préfecture. Le projet est approuvé en 1862. Un pont fut construit sous le passage de la nouvelle voie afin de relier la rue de l'Amitié (actuellement la rue de la Coutume) desservant l'abattoir et le bas-quartier de la boucherie au quartier Saint-Patern où transitait l'essentiel du trafic de la ville. La nouvelle avenue reste pendant longtemps une simple voie de communication dépourvue de toute construction et bordée par des champs et des marécages. Elle est plantée en 1865 de marronniers à partir de la rue du Mené (actuellement place Joseph Le Brix) jusqu'à la place où se trouve l'octroi. Jusqu'à l'aube du XXe siècle, elle reste peu urbanisée mise à part l'implantation de la Banque de France et de quelques rares immeubles particuliers.Initialement dénommée avenue de la Gare ou parfois avenue Billault car prolongeant cette dernière, elle est rebaptisée par un décret de 1885 par la municipalité républicaine de l'époque 'avenue Victor Hugo'.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Rue des Tribunaux, anciennement rue du Four du Cha
Passage de l'ancienne route romaine de Vannes à Locmariaquer, cet axe devient le départ de la route de Vannes à Arradon, et l'artère principale du faubourg Saint-Salomon, desservant l'église Saint-Salomon. Le four du chapître du fief Saint-Salomon, situé à son départ sur la place du Marché au Seigle lui donne son nom. Pendant la période révolutionnaire, elle devient rue de la Constitution. Au début du 19e siècle, elle prend le nom de rue desTribunaux auxquels elle aboutit. En 1812, la ville entreprend sur l'emplacement de l'église paroissiale Saint-Salomon, détruite pendant la période révolutionnaire, la réalisation d'une place dite du même nom par l'architecte-voyer Philippe Brunet-Debaines qui en dresse les plans. Celle-ci a fait place en 1912 à la Bourse du Travail, construite à son emplacement.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Lainé Claire

Par : L'inventaire du patrimoine

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Colloque conte

Par : Dastum

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Colloque conte

Par : Dastum

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L'élection présidentielle en Bretagne [Muet]
Les élections présidentielles se déroulent dans les différentes communes bretonnes et notamment à Vannes. De nombreuses femmes en coiffe, et vêtues du costume traditionnel, se sont déplacées pour voter.

Par : INA

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Les dix ans de l'Université de Bretagne Sud
La plus jeune université de France, l'UBS, Université de Bretagne Sud, fête ses dix ans. Implantée à Pontivy, Vannes et Lorient, elle a pour mission de développer les filières professionnelles et d'offrir un accueil de proximité aux étudiants.

Par : INA

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La réélection de Francois Goulard
Au lendemain du deuxième tour des élections municipales, retour sur la réélection du maire de Vannes, François Goulard. Dans une ville traditionnellement à droite, cela avait été une surprise de le voir en ballottage à l'issue du premier tour. Il est finalement passé, mais avec seulement 675 voix d'avance.

Par : INA

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La Porte-Prison

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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