L'alcool et la Bretagne

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Souvenirs de bistrot à Paimpol
A Paimpol, la "Cité des Islandais" où la pêche à la morue et le départ des hommes, chaque hiver, pour six mois, ont rythmé la vie entre 1852 et 1935, rencontre avec Jean-Paul Cadic. Il a grandit dans le bistrot que tenait sa mère, le café des caboteurs et nous raconte, ses souvenirs des conversations des marins et anciens capitaines.

Par : INA

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Maison, les Rues Gaspais (Paimpont)
La maison du 19e siècle -non figurée sur le cadastre de 1823- a servi de bistrot et d'épicerie au 20e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Quillivic Claude

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ar Vezventi : tragédie contre l'alcoolisme

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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De l'usage immodéré de l'alcool et de ses résultat

Par : Gallica

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Jeudi soir dimanche matin
En une génération, l’alcool est devenu le moyen d’une défonce radicale pour une partie de la jeunesse. Dans le Grand Ouest « 60% des jeunes de 17 ans disent avoir consommé en une fois plus de cinq verres le mois précédent ». L’alcool comme un commutateur « off », abolit la réalité. Mais quel est ce réel dont il faut tourner le bouton ? Durant un an, une année cruciale pour ces jeunes, ils se sont filmés lors de ces soirées festives qui commencent le jeudi soir pour s’achever le dimanche matin. Puis, régulièrement, ils se sont retrouvés dans des ateliers audiovisuels sous le regard du réalisateur Philippe Lubliner pour exprimer leur rapport à l’alcool, mais aussi à leur environnement, famille et amis... Récits de l’intérieur d’une jeunesse par elle-même, ce documentaire propose une expérience partagée et dirigée. Une histoire de découverte et de rencontre avec soi-même.

Par : Bretagne et diversité

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Chanson ar Bonomic [suivi de] Chanson ar Vesventi
Feuille volante dont le titre peut être traduit comme suit : La chanson du petit bonhomme [suivi de] Chanson sur l’alcoolisme

Par : Médiathèques de Quimper Br

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A la gauche du père
" Chaque soir, je voyais mon père monter la rue en titubant. Il est mort, il y a 18 ans, des suites de son alcoolisme. Depuis, je cours après un fantôme. J’ai demandé à ma famille de m’aider à lui redonner chair pour m’en libérer. " (Nathalie Marcault).

Par : Bretagne et diversité

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Le Mag d’U de Février 2003
Le cinquième épisode de la troisième saison du Mag d’U, le magazine d’Université qui a pour vocation de parler des étudiants, qui représentent un tiers de la population rennaise, dispersés dans les différents campus et établissements d’études supérieurs de la ville de Rennes. Au sommaire : Un numéro consacré aux fêtes étudiantes. Reportage : le gala de l’agro de l’INSA. Les conseils de Monsieur d’U : les fêtes à l’étranger quand vous n’avez plus d’idée. Reportage : l’alcool et la drogue lors des fêtes. La fiction du mois : « Inouïe » des étudiants de DEUG 2 Arts du Spectacle. Les conseils de Monsieur d’U pour survivre aux lendemains de fête difficile. Live aux antipodes : le crépuscule des dinosaures.

Par : L'aire d'u

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Buez sant Theodot
Vie de saint Théodore, patron des aubergistes, par le P. Jean-Marie Guillou (1830-1887), recteur de Penmarc'h L'ouvrage fut publié trois fois, en 1871, 1913 et 1922. Dans la dernière édition on peut lire : "« Le récit de M. Guillou est lui-même, d’ailleurs, une véritable œuvre d’art. Un zèle ardent et louable contre l’alcool en inspira l’idée au recteur de Penmarc’h. Saint Théodore était aubergiste et mourut martyr de sa foi au pays des Galates — des Celtes authentiques, dit-on —, au cours de la persécution déchainée par Dioclétien. Beau cadre pour insérer quelques leçons à l’adresse des buveurs et des membres de l’intéressante corporation dont S. Théodore est le patron. » Semaine religieuse de Quimper, 16 mars 1923."

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Sallie Ford The Sound Outside aux Rencontres Trans
“Quand j’allume la radio, tout se ressemble. Qu’est-ce que ces gens ont fait à la musique ?”? C’est avec cette déclaration d’intention des plus explicites que s’ouvre Dirty Radio (2011), le premier album de Sallie Ford The Sound Outside, sorti sur l’excellent label Fargo. Avec son look improbable de secrétaire médicale, cette chanteuse débarque de Portland bien entourée (un trio de musiciens orfèvres) et décidée à sérieusement secouer le paysage musical. Férue de Bessie Smith et de Tom Waits, elle affiche à la fois une attitude résolument punk et possède le timbre imbibé de fumée et d’alcool des divas jazz d’antan. Une personnalité piquante qui donne une saveur particulière à ses chansons, où le ton résolument moderne des textes contraste avec un son brut et rétro, mélange de rockabilly et de blues que l’on croirait tout droit sorti des archives des studios Sun.

Par : Association Trans Musicale

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Buveur
Sujet représenté : portrait (homme ; table ; cruche ; verre ; ivresse ; pipe ; bonnet) - N° d'inventaire : 102

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Distillerie de L'Hermitage Savidan et Cie, puis Di
Site desservi par embranchement ferroviaire. L'ensemble des bâtiments liés à la production et au stockage est construit en parpaings de béton et en béton armé : ils sont couverts de toits à longs pans, de terrasses et d'appentis en matériau synthétique. Cheminée d'usine en briques. Le logement de contremaître est en rez-de-chaussée enduit et est surmonté d'un toit à longs pans en ardoises.GASNIER Marina (1998)“Le site est composé de plusieurs bâtiments. Il ne reste en 2017 qu’une partie des aménagements d’après-guerre à savoir un ancien transformateur, trois grands hangars désaffectés, la cuverie où sont encore présentes les cuves en béton, l’ancienne tour de distillation, la maison du gardien, les garages, le magasin aux alcools, les bassins. Les bâtiments se répondent afin de faciliter la circulation entre les espaces de distillation et les entrepôts. La maison du gardien se trouve à l’est, à l’entrée du site. Les entrepôts industriels ainsi que l’ancien magasin sont de plan rectangulaire avec des toits en longs pans. Les ossatures sont en métal et boulonnées.Les couvertures sont en tôle ondulée en fibro-ciment. Certains pans ont été remplacés par de la tôle ondulée galvanisée par le Service Départemental des Incendies. L’ensemble des bâtiments sont construits en béton armé, en ciment, en parpaing de ciment et en brique. L’ancien bâtiment servant comme cuverie - distillerie conserve encore huit cuves en ciment à l’air libre et six enterrées. Une ancienne pancarte est conservée : “Défense Absolue de descendre dans les cuves sans passer au fond une bougie Allumée…”. Trois cuves rivetées sont conservées en intérieur (deux rondes et une carrée). On retrouve un four à charbon dans l’ancien bâtiment “Distillerie” avec de part et d’autre deux fours en brique avec une armature métallique reliés par un conduit riveté en métal circulaire rotatif. Sur l’une des portes du four on retrouve l'inscription “Ets G. Vernon”.La tour de distillerie est de forme rectangulaire et s’élève sur trois niveaux d’élévation. Le premier étage carré est prolongé par un toit-terrasse où se trouvent encore deux conduits de cheminée circulaires anciennement reliés à deux chaudières rivetées enlevées par le Service Départemental des Incendies pour cause d’insalubrité en 2006.À l’extérieur on retrouve les cuves circulaires rivetées. La grande cheminée en brique située à l’Est du site a été désasemblée par le Service Départemental des Incendies pour cause d’instabilité en juin 2006. Elle culminait à 26 mètres de hauteur avec un socle formé de briques croisées à mi-hauteur et une deuxième partie en briques simples sur une dizaine de mètres.” de ROQUEFEUIL Cécile, 2017Distillerie constituée le 15 juin 1923 sous la forme d'une société en commandite au capital de 200 000 f et formée entre L. et J. Savidan, E. Gazagne et E. Lemoigne. Inscrite sous la raison sociale Distillerie de l'Hermitage Savidan et Cie, son exploitation semble antérieure. La société en commandite est dissoute en 1926. C'est en 1929 que l'établissement est racheté et devient Les Distilleries Réunies de Bretagne et de Normandie. Elle subit alors de nombreuses transformations. En 1971, l'usine traite 19 000 t de pommes par an. La distillerie cesse son activité autour de 1990. Ses bâtiments sont aujourd'hui utilisés comme centre d'entraînement par les sapeurs-pompiers.Deux chaudières à vapeur sont encore en place dont une a été épargnée par les exercices des sapeurs-pompiers. Il s'agit d'une chaudière Veillet-Lescur, semi-tubulaire à deux bouilleurs et à tubes de fumée, vraisemblablement datée des années 1910 (source orale).En 1971, la distillerie emploie dix sédentaires et quarante saisonniers.GASNIER Marina (1998) “La construction des bâtiments principaux débute en 1925 mais l’entreprise Savidan et Cie est dissoute en 1926 et rachetée en 1929 par Henri Leblanc. La distillerie devient par la suite “Les distilleries réunies de Bretagne et de Normandie Henrie Leblanc” composées en 1944 de plusieurs usines : La Madone (Puteaux), Cormeilles (Eure), Brécey (Manche), Orval (Manche). Le siège social se situe alors à Paris dans le 8e arrondissement. En 1980, elle change à nouveau de propriétaire et de nom puisqu'elle devient une filiale de la Société des Cidreries Distilleries Réunies appartenant au groupe Pernod Ricard. La distillerie de L’Hermitage accueille alors une nouvelle activité : l’entrepôt des jus de fruit Pampryl. L’usine a pour destination première la production de cidre. En effet, l’exploitation des pommiers est très répandue au début du XXe siècle dans la région. L’arrivée du chemin de fer sur la commune en 1863 dynamise la population et influe sur la création de la laiterie en 1911. Un embranchement ferroviaire est créé afin d’alimenter directement le site.L’implantation de la distillerie est également une aubaine pour la région, grande productrice de vergers. Elle commence par assurer la production d’alcool d'Etat à base de pommes. La compétitivité de l’alcool de synthèse et de betterave est telle, que la distillerie s’adapte et varie sa production en proposant la fabrication d’alcool et eau-de-vie de pommes, de poires et cidres ainsi que la production de marc sec. Le site de près de 14 000 m2 comporte un ensemble de bâtiments. Lors de la Seconde Guerre mondiale, le site est gravement atteint. Le dossier de demande de réparation au Commissariat à la Reconstitution permet d’établir un état des lieux des bâtiments avant et après les bombardements des 14-15 et 27 juin 1944 et les multiples mitraillades de mai, juin et juillet 1944. Vingt-sept bâtiments construits entre 1922 et 1929 sont recensés. Le site compte alors des bâtiments délégués au commerce et au transport comme la bascule et les bureaux ; des bâtiments techniques comme le bâtiment des pompes, le générateur, les garages, les ateliers, le transformateur, le magasin pour les pièces de rechange, la buanderie et d’autres attribués à la transformation du cidre comme les distilleries, la cuverie, la cidrerie, le magasin aux alcools et séchoirs, le magasin aux marcs secs ou encore le caveau. La distillerie comprend également des habitations dont une pour le directeur, une pour le gardien et des dortoirs pour les ouvriers. Des bassins sont présents à l’extrémité sud du site. La distillerie ferme définitivement ses portes en 1989. Elle est rachetée en 1996 par le Service Départemental des Incendies et devient un centre d'entraînement pour les sapeurs-pompiers du département. Le site subit plusieurs transformations pour devenir un plateau technique afin de convenir au mieux aux exercices des pompiers. Il n’y a plus d’électricité dans les bâtiments. L’ensemble des bâtiments est répertorié à l’inventaire du patrimoine Général Industriel en 1998.”de ROQUEFEUIL Cécile (2017)
Auteur(s) du descriptif : Gasnier Marina ; de Roquefeuil Cécile

Par : L'inventaire du patrimoine

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Unica 1974 Cologne
UNICA septembre 1974, Cologne, au camping de Rodenkirchen à 8km de Cologne sur les bords du Rhin, caravane, péniche qui passe sur rivière, clocher au fond, homme allongé sur le sable, château de Burg à Schlossburg (château médiéval), statue d'un chevalier en armure au milieu sur un cheval Engelbert II de Berg, cimetière, maison à pan de bois, rempart, panneau "besichtigen sie schloos burg mit clen bergix, eine der grobten wierhergestellten, fetsale kapelle mit beuhmten, 14 museumsraume mit wertvollen kunstwer", GP sur horloge, paysages alentours, couple assis sur mur (M et Mme Louis Le Meur), adolescent, Louis Le Meur dans une rue tenant dans une main une petite éolienne, cathédrale de Cologne, place avec chaises vides sur terrasse d'un café, pigeons sur place, porte médiévale dans la ville, visite des bâtiments modernes, tour avec toit en poivrière, pont, port, pont en fer sur pile en maçonnerie, train passe, les participants à l'UNICA, caméra, guide femme dans le car, building, intérieur d'un musée, rails avec train, campagne, groupe danse dans le train, bouteilles d'alcool, voyage en train jusqu'à Auberhalten, promenade à Kaube, dîner au château de Kaube.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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famille
Images en noir et blanc des années trente (copie de films de format 9,5mm); communion de Michel Bugnot avec brassard à Douai, sortie de la messe avec marguillier, les communiantes sortent, processions dans les rues, automobiles, autocar, byciclettes, chapeau, militaires passent sur une charette, enfant au jardin, sur la terrasse transat, intérieur de la maison, monsieur lisant le journal, dame assise, domestique apporte apéritif, dame sert alcool dans les verres. Mariage de Michel Bugnot et d'Huguette Moyse en 1953 (copie de film 9,5mm), "actualités régionales" mariée avec son père, sortie d'église à Saint-Nazaire, mariés, chapeaux, portraits, automobiles, restaurant à La Baule, au fond agence de l'Océan, chapeaux des dames (bibis et capelines), repas, intérieur du restaurant serveur, enfants. Saint Nazaire, opération Mme Moyse 19 janvier 1961 à la clinique intérieur de la chambre, infirmière qui prend le pouls. 1959, dans un sous bois avec des enfants, pique nique (pain, oeufs durs) transats, réchaud à alcool, poulet que l'on découpe, fillette joue avec boules, automobile, préparation du repas, sieste sur le transat, Michel avec une petite fille, Monsieur sur transat, repas. Intérieur prise d'un café dans salle à manger, pendule Napoléon III sur buffet bas avec glace, femmes fument, salle à manger néo-Empire, coupe de champagne, on trinque. Images en couleurs, au cimetière de Saint-Nazaire 1962, jour mort M Moyse, deux femmes en deuil, banderole sur la gerbe "à notre père, à notre époux, à mon frère" (roses, lilas, oeillets) gerbe du personnel des PTT. Noces d'or (50 ans) des parents Moyse, photographie de mariage années 1910, sortie d'église à Saint-Nazaire, chapeaux et gants, femme avec missel, homme fumant pipe, restaurant, repas, tout le monde lève son verre et trinque, achat de cigarettes à table, petite fille avec poupée, prise de photographie de groupe, promenade en bord de mer. Images en couleurs, mariage de Claudine Marot avec M Cottez (fils de sous préfet de Saint Nazaire) à Saint-Nazaire aout 1969, cortège, intérieur de l'église saint Gohard, bénédiction des anneaux, sortie de l'église, marié en jaquette et haut de forme, mariée avec chignon, chapeaux et dames, place du Grand café au fond, portraits, sous-préfet. Saint Nazaire années soixante aux années soixante dix, plan d'eau de l'Immaculée en 1970, chien (fox terrier), chien patauge et nage et ramène un bâton, clocher, pêcheur à la ligne. Pique-nique , charcuterie et pain. Chien Kim (fox terrier), sandwichs de salami. Saint Nazaire, promenade avec chien sur bord du remblai près de la sous préfecture, dame avec béret à pompon et manteau. Chien court dans un parc.Dans une ville d'eau (chez tante Marguerite), promenade panneau "propriété de la source du Dôme". Revue militaire, musiciens, drapeau français. Vichy, chaises vides.1976, émission "aujourd'hui Madame", dames parlent dont Huguette Bugnot, Nicole André, MMe Bisset, présentateur, carton assistant Robert Cappa, scripte Simone Defontaine.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Ar Basion
Interview d'Yvonnig Lavanant dans mon bistrot de Saint-Herbot (info de Gilles Pririou)

Par : Dastum

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Dames blanches (Les)
Carton avec dessin style Buffet (avec un vase de fleurs, barreaux) et titre "Barreaux sans prison, une œuvre méconnue, les Dames blanches". Les Sœurs de Notre Dame de Charité du Bon Pasteur (ordre fondée au XIXe siècle par Sainte Marie Euphrasie Pelletier 1796-1868), congrégation enracinée dans la spiritualité de Saint Jean Eudes) viennent en aide à des jeunes filles en difficulté, à des orphelines, des jeunes filles extraites d'un milieu où règne l'alcoolisme et la brutalité (placées par la Justice). Bâtiment des dames Blanches, rue de Gigant à Nantes (immeubles avec barreaux, religieuses se promènent dans le jardin, serre, prise d'habit d'une sœur, harmonium GP sur mains jouant), prêtre derrière un jubé de bois (grillage qui le sépare avec les sœurs). Portraits de religieuses. Lecture dans la salle du Chapitre, sœurs faisant de la couture, du tricot, réfectoire avec prière et lecture. Sœur donne un morceau de gâteau à une fillette, au fond deux fillettes lavent les carreaux, enfants jouant avec jouet (voiture miniature). Sœurs sur une échelle taille un arbre fruitier, porcherie (porcs), chien, poulailler, serre en réfection (verre enlevée, mastic retiré), vache, sœur abat un arbre à la hache. Cloître avec statue de la Vierge, lecture de revues, couture et tricot pour les jeunes filles (sur musique de tango argentin). Machine à coudre Singer, dé à coudre, broderie (GP sur initiale GP en broderie blanche), cours de sténographie, écriture à l'encre, cours de cuisine (épluchage des légumes, cuisinière, dressage de la table, sœurs devant un fourneau central, lavage des mains au lavabo, sport (sur portique, montée à la corde, anneaux, gymnastique...), ronde, ballon, passage du balai, robinet de baignoire. Dortoir, toilette au lavabo avant d'aller se coucher. Infirmerie, sœurs auxiliaires, Fête-Dieu (préparation du reposoir avec hermines de Bretagne, procession dais, ostensoir).

Par : Cinémathèque de Bretagne

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BRASPARTS An Eured Ven (mariage de Pierres), près
Brasparts.- L'alignement de An-Eured-Ven (La Noce de Pierre), dans la lande au pied du Mont Saint-Michel-de-Brasparts, avec deux couples de jeunes gens qui posent en costume traditionnel. La légende raconte qu'un prêtre portant le Viatique à un moribond, rencontra une noce ; cette noce un peu saoûle se mit à rire du curé.. Mille Malloz !... à l'instant elle fut changée en pierres, d'où le nom"Mariage de Pierres". Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Meï Teï Sho aux Rencontres Trans Musicales de Renn
Ce mot étrange désignerait la "fermentation du riz dans l'intestin, dont découle une ivresse incontrôlée et inattendue'. Inattendue. La musique de ce sextette originaire de Lyon l'est assurément. Car ces musiciens se moquent des catégories, passent outre les structures dites « classiques ». Entre afro beat, jungle ou dub, le répertoire de ces jeunes gens - qui n'hésitent pas à faire appel à des invités - est une véritable invitation au dépaysement, à la transe. Cocktail furieusement implacable, la musique de Meï Teï Sho se déguste sans modération.

Par : Association Trans Musicale

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Partie de Campagne - Portraits de quartier
« Partie de campagne » parle du quartier Saint-Martin, un morceau de campagne au milieu de la ville, un quartier de plus en plus vétuste qui se meurt. Rencontre avec un survivant qui a reprit l’affaire familiale.  A l’époque, le quartier Saint-Martin était un ancien jardin ouvrier, où tout le monde se connaissait, c’était un petit village. Aujourd’hui, sans point d’accès pour l’eau potable, et avec la fermeture progressive des commerces et bistrots, les habitant partent et le quartier se meurt. Pourtant, certains ont décidé de rester et nous raconte le passé de ce lieu qui a un jour regorgé de vie.

Par : L'aire d'u

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Powersolo aux Rencontres Trans Musicales de Rennes
Entre 1996 et 1998, le danois Kim «Kix» Jeppesen enregistre une cinquantaine de chansons, armé d'une guitare déglinguée, de maracas faites à la main, d'une boîte à rythmes et d'un micro en plastique. Inspiré par ses maîtres Johnny Cash, Bo Diddley, Link Wray et les Cramps, il s'amuse à mélanger rockabilly, country, blues, surf music et punk rock. PowerSolo est alors un one-man band taré qui ne joue que devant des auditoires aussi saouls que lui... Avec l'arrivée d'un batteur et d'un guitariste, le groupe devient un duo, puis un trio, et livre deux albums en 2001 et 2004 dans une veine toujours psychobilly. Leur musique s'appuie sur des textes à l'humour d'une rare immaturité, notamment centrés sur des fantasmes sexuels puérils mais tellement rock'n'roll !

Par : Association Trans Musicale

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Usine de chaussures (usine de talons) Humbert, Mac
Etablissement composé de plusieurs corps de bâtiment qui forment un plan sensiblement rectangulaire fermé par un enclos et qui s'organisent autour d'une cour fermée. Les différents ateliers de fabrication et bureaux consistent en une succession de six corps de bâtiment adossés, implantés perpendiculairement à la rue, avec pignon en façade et couverts de toits à longs pans en ardoises et ciment amiante. Percés de quelques verrières, ils s'enchaînent les uns aux autres. En rez-de-chaussée et construits en schiste, ces ateliers sont régulièrement percés de baies rectangulaires encadrées de briques ; certaines sont à arc surbaissé. L'ancien logis patronal, à un étage carré, est édifié dans les mêmes matériaux, également couvert d'un toit à longs pans. Quelques adjonctions postérieures, ateliers, entrepôts ou magasins industriels, sont construites en briques, en parpaings de béton et couvertes de sheds, de toits à longs pans en ardoises, en ciment amiante ou en tôle ondulée. La cheminée d'usine, en briques, jumelée à une cheminée en métal, s'élève au-dessus des ateliers de fabrication.Usine de chaussures fondée en 1884. Dès 1906, l'usine, dirigée par Humbert, Machet et Bouqueau, est spécialisée dans la fabrication de talons fraisés et estampés et de contreforts pour chaussures. En 1913, l'usine de talons Humbert, Le Bris et Nicoul est une des plus importantes de la ville et alimente une grande partie des fabriques de chaussures de Fougères. Le dépôt de marchandises est alors situé 4 rue Charles Malard. L'usine connaît plusieurs campagnes d'agrandissement, en 1918 et 1920 par l'architecte H. Pinel, puis en 1924 avec la construction d'une scierie mécanique. Le 15 janvier 1935, Le Bris et Nicoul installent un nouvel atelier mécanique pour le travail du bois, un dépôt d'alcool à brûler et d'acétone, un dépôt de celluloïd et un atelier de façonnage du celluloïd. En 1956, les établissements Nicoul produisent tous les articles de cuir ou de liège pour chaussures hommes et femmes sport, et tous les talons de bois Louis XV, ainsi que les semelles de caoutchouc, notamment microporeux, établis à la forme du client, et les intercalaires préfabriqués. L'usine de talons Nicoul est toujours en activité.L'usine Humbert, Machet, Bouqueau et Cie emploie cent cinquante ouvriers en 1911. Du 22 au 27 janvier 1913, grève des quatre-vingt-dix-sept ouvriers spécialisés dans la fabrication des talons cuirs : trente-six hommes, cinquante-deux femmes et neuf enfants, qui protestent contre le renvoi d'un mécanicien. En 1936, l'usine Le Bris et Nicoul emploie cent douze ouvriers et quatre-vingt-seize en 1940. En 1937, conflit social entre ouvriers et patrons, qui résulte de la différence du temps de travail entre les talonniers sur cuir qui font la semaine des 40 h, alors que la semaine des 48 h est imposée à leurs camarades qui travaillent le bois. En 1949, l'usine Nicoul père et fils emploie pour la fabrication de talons cuir : trois personnes au service mécanique, onze à la coupe, trois à la coupe machine, deux à l'agrafe, huit au collage, quatre au clouage, trois à l'estampe, trois au "bonboutage", quatre à la mise en hauteur, trois au "verrage" et six manoeuvres. La fabrication de talons en bois et de contreforts occupe vingt-deux personnes. En 1973, l'usine de chaussures Nicoul emploie soixante-dix salariés et soixante-cinq en 1983.
Auteur(s) du descriptif : Gasnier Marina

Par : L'inventaire du patrimoine

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Divers famille
Cartons "Saint-Quay-Portrieux" et "Pierre Cauquil présente..." Portraits en GP et grimaces devant la caméra. Travelling embarqué à bord d'une automobile. En août 1935, un groupe de promeneurs, de dos, arrive devant le porche de l'église paroissiale Saint-Pierre de Plouha. Une femme cachant son visage avec un grand chapeau marche sur une route de campagne et se retourne face à la caméra. Portrait de femmes et d'un homme élégamment habillés de blanc. Arrivée à Port-Moguer avec PF de l'amer, une colonne munumentale, et de la cale avec Gwin Zegal en arrière-plan. Portrait de la femme assise sur un rocher, se retournant vers la caméra. Odette Vasseur, femme élégante portant le béret, marche sur la digue avant de s'y asseoir et de sourire à la caméra. Pano GD sur une femme courant en riant. Portrait en GP de la femme précédente. Portrait d'une femme se remaquillant puis d'hommes, dont Robert Cauquil agitant les bras, et de femmes dans les rochers. Natures mortes : GP d'assiettes de fruits (melon, poires) et de pâtisseries (choux à la crème, éclairs), GP d'une bouteille d'armagnac à moitié vide. Une main saisit une bouteille d'alcool et remplit un verre. Odette boit le verre et s'essuie délicatement les lèvres. Série de vues sombres de paysages et de ruines dans les environs de Riols. Pano BH sur un édifice religieux (à identifier). Excursion au Saut de Vézoles en septembre 1935 : PF et panoramiques du site. Série de PF des ruelles de Riols. Vues d'un verger (GP sur des pommes) et d'une vigne (GP sur des grappes de raisins). Des oies sur un chemin de terre. Un ensemble de maisons dont des ruines. Vues de la chapelle Notre-Dame de Trédos. Compiègne le 10 mai 1936. Portrait d'un dynamique fox-terrier sur le perron d'une maison. Portrait d'Odette et de son père. Elle court vers la caméra. Le chien fait des allers-retours à toute vitesse dans la maison. Portrait de la femme au milieu d'un jardin. Sa mère, endimanchée, sort avec le chien en laisse. Mariage à Courgerennes le 4 juin 1936. Une file d'automobiles est stationnée sur le bord d'une route de campagne. PF du clocher de l'Église Notre-Dame-de-l’Assomption. Les mariés sortent de l'église et posent devant les proches. Une petite demoiselle d'honneur pleure dans la robe de la mariée. La foule se disperse. Entrée de la propriété du Château de Courgerennes. Arrivée dans le parc des voitures des mariés. Ils montent le perron avec des convives et entrent dans la demeure. Banquet dans le jardin. Portrait de la mariée au milieu d'enfants d'honneur. Portrait du marié, cigarette à la main et tenant un appareil photo. GP de chacun des mariés. Promenade dans les jardins du Château de Malmaison le 28 juin 1936. Portrait d'Odette dans une roseraie et d'un couple de cygnes. La caméra suit la femme élégante dans les jardins. La promenade se poursuit en famille. Pano DG sur la Basilique Saint-Quentin en cours de reconstruction, suite aux destructions de tirs d'artillerie le 15 août 1917. PR des vitraux. Pano BH sur la façade du croisillon sud du transept. Vue en contre-plongée des arcs-boutants. Du monde devant le porche de la basilique. Portrait de trois femmes. Vue de l'Hôtel de Ville de Saint-Quentin. Pano BH sur le monument du siège de 1557. Portrait de groupe sur un trottoir, dont une femme très souriante. Mariage de Pierre Cauquil et d'Odette Vasseur. Portrait des mariés et du cortège dont Robert Cauquil sous un parapluie. Visite de la Chapelle royale Saint-Louis de Dreux. L'Observatoire du Mont Aigoual.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Coopagrifilm
Titres « Avec le concours de Ginette Domongeot, Danielle Moron, Charles Gilles, Gérard Lemoine, Rolland Perrot, Paul Louet, François Voisinet et Alphonse Bechetold et la participation des employés de la Caisse de réassurance, des habitants et de la caisse de sapeurs pompiers d'un petit village de Côte d'Or ». « Production Coopagri » Fiction visant à informer les agriculteurs sur la nécessité de souscrire aux polices d'assurances proposées par la mutuelle agricole, et à les inciter à prendre une assurances « Incendies, accidents, grêle et mortalité du bétail ». En illustration : nombreux plans d'agriculteurs au travail (méthode ancienne et méthode moderne), passage d'un assureur dans les fermes pour informer les agriculteur. Tournage, rue de la Ville l'Evêque, dans les locaux de la caisse de la mutualité agricole, puis à la Fédération nationale de la mutualisation agricole, boulevard Saint Germain, à l'occasion de réunion des adhérents. Camion des caisses sociales agricoles de la Côte d'Or, maison des paysans de Dijon. Passage d'un camion de radiologie dans les fermes pour des actions de dépistage, consultation et radiographie des poumons d'enfants. Vie à la campagne, le bistrot, la fête foraine, le bal populaire avec un orchestre (accordéon et trompette). Un feu se déclare dans le village, les pompiers actionnent une pompe à bras tandis que les villageois font la chaine pour éteindre l'incendie avec des seaux d'eau.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Ecart du Fret (Crozon)
Malgré sa modestie, l´écart du Fret comprend trois zones bien distinctes (document 2) : un front portuaire, un front de mer résidentiel au nord-ouest et le sillon de galets au sud-est, sur lequel étaient installés plusieurs chantiers navals.L´écart du Fret est situé sur le littoral nord de la commune de Crozon. C´est en fait un petit port implanté au fond d´une anse aux eaux profondes (l'anse du Fret), abritée à l´ouest par l´Île Longue et largement ouverte sur la partie méridionale de la rade de Brest. Le site est constitué d´une lagune barrée par un cordon de galets située en arrière d´un pointement rocheux sur lequel s´est établi le port.Dans la première moitié du 19e siècle, le lieu ne compte qu´une dizaine d´habitations. La population se concentre dans le petit hameau rural de Kervéden, au-dessus du Fret. Lors du recensement de 1926, Le Fret a 148 habitants. Les hommes sont pêcheurs ou commerçants. En 1954, sa population atteint 184 personnes et les actifs travaillent alors essentiellement dans le commerce et à l´arsenal de Brest. Aujourd´hui, la population du Fret peut être estimée à une centaine d´habitants. Le site portuaire n´a pratiquement plus d´activité et n´est faiblement animé que durant la belle saison, au moment de l´arrivée du bateau assurant la liaison quotidienne avec Brest.Depuis la fin du 18e siècle (date de création du port militaire de Brest), Le Fret est totalement dans l´orbite du grand port militaire du Ponant qui s´y approvisionne en farine et en chaux (gisements affleurants de calcaire aux alentours). En retour, il expédie les marchandises indispensables aux habitants de la presqu´île (bois, charbon...).A partir du milieu du 19e siècle et jusqu´au milieu du 20e siècle, Le Fret devient un port à part entière et non plus un simple lieu de transbordement, comme c´était le cas jusque-là, car l´économie de la presqu´île s´est développée et diversifiée. Le Fret assure alors pendant un siècle (1850-1950) une triple fonction portuaire de cabotage, de pêche et de transport de passagers.Port de cabotage : le Fret reçoit des blés importés de Brest et réexpédiés sous forme de farine après transformation des grains par les moulins des alentours (moulins à vent principalement et moulin à marée du Fret). Le Fret continue à importer des produits pour la consommation des habitants de la presqu´île (bois, houille, alcool, sel...). En retour, sont exportés des grains, des pommes de terre et du poisson. Port de pêche : la pêche de la sardine et la drague des huîtres dans la rade prennent à cette époque une place prépondérante dans l´activité du port.Port de transport de passagers : au Fret, les touristes débarquent de plus en plus nombreux. Ils arrivent de Brest et se dirigent vers Morgat et secondairement Camaret. Débarquent également des militaires (personnel des forts et batteries) et des maçons, pour la construction des infrastructures militaires et portuaires qui se multiplient.Dans la seconde moitié du siècle, pour faire face au trafic, des lignes régulières de vapeurs relient Brest au Fret. C´est à cette époque qu´une cale, des quais et un môle sont réalisés. Au début 20e siècle, le port connaît son apogée. Les pêcheurs locaux se lancent dans des pêches plus rémunératrices : celle de la langouste et de la coquille Saint-Jacques. Le Fret devient aussi un port de construction navale réputé : quatre chantiers sont en activité localement et se spécialisent dans la construction de langoustiers et de coquilliers (à mettre également en relation avec l´essor de la pêche à Camaret).Enfin, l´intérêt économique du port de transbordement du Fret pour la presqu´île est affirmé en 1923 avec l´arrivée du chemin de fer sur les quais (ligne de Châteaulin-Camaret), pour assurer les exportations de la production agricole (grains, pommes de terre), de la pêche et surtout pour faciliter les communications lors de la période estivale.Aujourd´hui, Le Fret est endormi et le site ne connaît qu´un léger regain d´activité lors de la saison touristique. Les difficultés d'accostage à marée basse de vives eaux limitent le développement du trafic de passagers. Pourtant, sur le plan patrimonial, cet écart présente un intérêt notable car une partie des héritages de son histoire maritime est encore visible et, dans l´ensemble, ceux-ci sont peu remaniés (gare, villas, hôtels, infrastructures portuaires, digue et écluse de l´ancien moulin à marée). D´autres héritages sont en sursis, comme les cabanes du dernier chantier naval en place (chantier Stipon) et le cimetière de bateaux du sillon.
Auteur(s) du descriptif : Amghar Julien ; Péron Françoise

Par : L'inventaire du patrimoine

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