Golfe du Morbihan - Vannes agglo

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L'industrialisation de la Bretagne
Région traditionnellement agricole, la Bretagne débute son industrialisation en 1960. La priorité est dès lors mise sur l'électronique. Des industries automobiles et chimiques vont également s'implanter. Plus de 15 000 emplois vont être ainsi créés.

Par : INA

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Église Saint-Patern, place de l´Eglise (Séné)
L´église Saint-Patern se situe au coeur du bourg de Séné. En forme de croix latine, elle mesure 45 mètres de longueur pour une largeur de 30 mètres au transept. Précédée de la tour, la nef se développe en trois travées. Sur les ailes du transept se greffent deux absidioles (petites chapelles) du côté sud et le coeur, flanqué de deux sacristies, se termine par un chevet polygonal. Construite en moellons revêtus d´un enduit, l´église présente un bel appareil de granite au bas des murs, sur les contreforts, autour des baies, le long des rampants et des corniches à modillons et surtout sur sa façade occidentale. Le chanoine Joseph Danigo note qu´il est difficile de lui attribuer un style particulier : certains le jugent néo-gothique, d´autres le voient néo-roman. Il préfère observer que cette église appartient plutôt à une architecture éclectique, si commune au 19e siècle.L´église accueille deux bateaux votifs situés dans le transept : un trois-mâts et un sinagot. Le trois-mâts, baptisé Ange gardien, est un bateau armé, sous gréement sans voile, d´une soixantaine de centimètres de longueur. Le drapeau français flotte à l´arrière, accroché à la corne d´artimon. Le sinagot, baptisé Saint-Louis, est de type Derien, type courant dans les années 1920. Ce type de bateau est emblématique de Séné, puisqu´il porte le nom des habitants. Les ex-voto sinagots sont rares en France : il n´en existe d´autres exemplaires qu´à Sainte-Anne-d´Auray.La construction de l´église actuelle a nécessité la démolition de l´ancienne église jugée trop petite. Elle est réalisée de 1878 à 1886 selon les plans de l´architecte parisien Deperthes, à qui l´on doit le sanctuaire du pèlerinage de Sainte-Anne-d´Auray et, en partie, l´Hôtel de Ville de Paris.
Auteur(s) du descriptif : Vincent Johan

Par : L'inventaire du patrimoine

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Hôtel Mynier dit ancien hôtel de Francheville, 1,
Hôtel particulier édifié en bordure de voirie sur une parcelle d'angle ne présentant plus d'espace libre. Construit en moellon enduit, l'édifice est tributaire de la dénivellation existante et offre en façade est 3 niveaux avec rez-de-chaussée surélevé desservi par un perron à double volée en maçonnerie, et en façade sud 4 niveaux dont le premier rattrape la pente du site. L'édifice est de plan rectangulaire avec en son centre mais légèrement décalée une cage d'escalier importante, doublée d'une petite cour intérieure couverte aujourd'hui.L'hôtel développe des façades à travées quadrillées par des bandeaux saillants en granit (façade est) et en calcaire (façade sud). Les baies de forme rectangulaire sont appareillées en granit et surmontées côté place des Lices de tables de granit. Les lucarnes sont ornées de frontons semi-circulaires en pierre blanche ; en façade sud, elles sont couvertes d'un arc de segment de cercle et montrent alternativement des frontons triangulaires et cintrés ; présence d'une corniche à modillons de pierre blanche.Une échauguette en pierre calcaire à coins arrondis et surmontée d'une toiture à l'impériale recouverte d'ardoises en écaille orne l'angle sud-est de l'hôtel en offrant un point de vue sur les deux places. L'échauguette repose sur trois trompes ornées de coquilles Saint-Jacques.Les étages sont desservis par un escalier, à retours avec jour, en charpente. Existence d'un autre escalier secondaire de service prenant son départ sur le palier des demi-étages. D'après les documents d'archives et les souches de cheminées, chaque niveau comprend à l'origine 4 pièces, 2 de part et d'autre de l'escalier.Une partie de l'emplacement actuel qui appartient d'après les archives avant 1662 aux familles Guydo et Le Meilleur était occupée au Moyen Age par la maison de Robert de Callac, maître d'hôtel de la Duchesse. Le bâti est alors composé d'une large maison en pan de bois donnant sur la place du Poids Public "vis-à-vis le moulin des dites Lisses" avec cour, galerie, écurie. Avant l'acquisition de l'ensemble en 1665 par Julien Mynier, marchand, auprès de François Le Meilleur, les propriétaires procèdent à la vente d'un tiers de la maison en 1662 pour 1420 lires. D'après le procès-verbal dressé en 1666 sous l'égide des deux experts Laurent Le Hay et François Cosnier, Julien Mynier forme le projet de démolir et de rebâtir les parties arrières pour agrandir vers le nord la maison. Il est aussi envisagé des travaux de restauration sur la maison proprement dite comme c'est souvent l'usage à l'époque : reprise des façades, rénovation des couvertures accompagnée probablement d'un changement de toiture. Le marché passé entre Julien Minier et François Garderel, terrasseur, confirme l'engagement des travaux en 1667. La description des lieux fournie par la réformation en 1677 situe la porte d'entrée de l'édifice vers l'est et ajoute de ce côté l'existence d'un jardin correspondant aujourd'hui à la voirie. Vers l'ouest, la présence d'une venelle commune est aussi certifiée entre la maison et les deux de monsieur de Francheville qui la longent de ce côté. La restauration de l'hôtel effectué dans le premier quart du 21e siècle a mis à jour des éléments du 15e siècle au niveau du bâti initial qui donne sur la place du Poids Public (cheminée, mur gouttereau nord homogène avec ouvertures). De plus, les traces de fixation des aisseliers sur les poutres du rez-de-chaussée indique un encorbellement primitif de la façade place du Poids Public mis par la suite à l'aplomb du rez-de-chaussée. La réfection de la charpente datée 17e siècle a montré la réutilisation d'un élément de pan de bois, provenant peut-être de la façade.L'observation des façades montre deux campagnes de travaux : la façade place des Lices correspondant typologiquement au 17e siècle, tandis que les ouvertures de la façade sud place du Poids Public sont reprises au début du 18e siècle, travaux dus peut-être au propriétaire suivant, Jean Alquier, sieur de Mézerac, capitée à cet endroit en 1733. Cette famille conserve l'hôtel jusqu'en 1759 date à laquelle il est vendu à la famille Le Mintier de Lehellec. En 1881, l'édifice est vendu à monsieur Le Corvec, épicier puis il passe entre les mains de Richard qui le revend en 1925 à monsieur Allioux. Ce dernier entreprend en 1927 de transformer la façade est de l'hôtel au goût du jour sur les plans de l'architecte Alfred Charron. Seule, une partie du projet est réalisée qui correspond à la moitié nord de la façade est.La dernière restauration de l'édifice date de 1978 où l'intervention la plus importante a consisté par du béton à consolider l'échauguette. Jusqu'en 2015, cette dernière a été protégée par un dispositif métallique dans l'attente de travaux.
Auteur(s) du descriptif : Lainé Claire ; Toscer Catherine ; Danielo Julien ; Mauvais Marion

Par : L'inventaire du patrimoine

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Entrée de la chambre et chambre du dolmen de Gavri

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Intérieur de l’église de Larmor-Baden

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chambre du dolmen de Gavrinis, partie gauche, écla

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Marche - C'est à deux ans, car il est temps de voy
à Saint-Colombier

Par : Dastum

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Où est partie ma douce amie

Par : Dastum

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Maison (étudiée)
Maison isolée construite en hauteur sur le port et en retrait de la rue avec un accès à la parcelle depuis l'avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny. Elle est orientée transversalement par rapport à celle-ci avec un grand jardin en devant de parcelle clos de murs. C'est une maison de plan massé double en profondeur sur laquelle se greffent deux corps hors-oeuvre à l'angle nord-ouest et en façade sud. Elle est couverte d'un toit à croupe supportée en décoration par des équerres en bois et montre une élévation enduite sur sous-sol d'un étage carré surmonté d'un étage de comble. L'étage de comble est percé entre autres d'une lucarne pignon axiale couverte à longs pans qui s'articule par une noue et qui est décorée d'une coquille. Les encadrements des ouvertures sont en pierre et brique comme les bandeaux qui rythment la façade. L'escalier de distribution est désaxé postérieur.Maison construite sur l'emplacement d'un bâtiment figurant sur le plan cadastral de 1844 : ce bâtiment présent sur le plan Léchard en 1897 est détruit en 1903. Sa forme rectangulaire évoquait plutôt une ferme. La maison actuelle est construite en 1907 par Anna Deico veuve de Victor Nouteau, qui fait également construire sur la parcelle voisine, deux autres maisons (parcelles 29 et 30). Le cadastre signale que la maison est dotée de 23 ouvertures. Les écuries sont contemporaines.
Auteur(s) du descriptif : Lainé Claire ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison, 7 rue des Halles (Vannes)
Maison mitoyenne construite en alignement de rue sans espace libre. Elle est construite en moellon de granite, enduit sur la façade est. A plan double en profondeur, elle possède deux étages carrés surmontés d'un comble, desservis par un escalier latéral.Au milieu du 15e siècle, une maison qui appartient à Eon Le Joay est signalée à cet emplacement dans le rentier de 1455. La maison actuelle est reconstruite sur cet emplacement au 17e siècle. Les archives de la réformation du domaine en 1677 la mentionne comme appartenant à Nicolas Crose Sieur de Kermourault conseiller au présidial de Vannes. L'avancée de la maison par rapport au n°5 figure sur le plan de Maury de 1785 et correspond à l'encorbellement de l'époque. La prise de possession de cette maison par le sieur Nicolas Gandon marchand cirier et par Thérèse Gauthier son épouse décrit en 1757 la distribution des pièces à cette époque : le rez-de-chaussée consistant en une boutique sur la dite rue Latine et une cuisine derrière séparées par une cloison de planches, deux caves sous l´appartement du rez-de-chaussée, une chambre et une cuisine au premier étage, deux chambres au second et deux greniers au-dessus. Le document nous apprend également que la maison n'est habitée que par une seule personne, exception faite des pièces du rez-de-chaussée.Les travaux de voirie urbaine et d'alignement du 19e siècle signalent cette maison en 1832 pour des demandes de réparations faites par Abel Marie Guyot, capitaine au long cours. Ces réparations portent sur l'encorbellement du 2ème étage que le propriétaire veut mettre à l'aplomb du rez-de-chaussée et les croisées du 1er étage qu'il veut changer de place. Il est question aussi de démolir une partie de la longère située au nord de la parcelle, en mitoyenneté avec la maison suivante et de supprimer la venelle existante entre ces deux maisons. En 1839, il est question par Guyot de mettre tous les étages à l'aplomb du rez-de-chaussée, de supprimer l'étal existant à hauteur d'appui de la façade, de placer une devanture en bois comme devanture de boutique, de supprimer l'archivolte de la porte d'entrée pour la mettre au carré et enfin d'élargir une des ouvertures du rez-de-chaussée. Ces travaux qui sont autorisés par l'architecte-voyer de l'époque car jugés non confortatifs par rapport au plan d'alignement de 1787 expliquent la typologie de la façade sur rue actuelle.La maison conserve une partie de son escalier 17e siècle visible à partir du deuxième étage. Ce reste d'escalier à retour sans jour qui dessert les appartements de l'étage de comble nous permet de localiser l'ancienne cage d'escalier qui était latérale postérieure, appuyée sur le mur sud de la maison. L'escalier actuel qui est récent est situé de l'autre côté contre le mur nord. Le rez-de-chaussée et la vitrine de la boutique sont refaits et ne présentent plus de parties anciennes. Les étages sont enduits et on ne peut deviner si l'enduit de façade masque une construction en pan de bois.
Auteur(s) du descriptif : Lainé Claire ; Toscer Catherine ; Danielo Julien ; Mauvais Marion

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bulletin paroissial de Vannes - paroisse de Saint
août 1914. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Vannes - paroisse de Saint
octobre 1914. 20ème siècle

Par : Gallica

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Atelier
Edifice en alignement de rue implanté sur une parcelle laniérée d'origine médiévale. Il est construit en moellon désenduit à un étage carré à une travée d'ouvertures en bois en façade sous une toiture à coyau. Plusieurs corps couverts en appentis prolongent le bâti sur la façade postérieure.Edifice de travail ou de stockage en place sur les anciens cadastres et sur l'emprise actuelle de la parcelle après 1844. Le plan de Vannes de la "Description historique... du président de Robien", milieu du 18e siècle mentionne à cet emplacement un édifice.Cet atelier a été détruit après inventaire et remplacé par une maison.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Lainé Claire

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison
Maison isolée construite en retrait de la rue sur une parcelle traversante avec un long jardin postérieur à l'origine. Simple en profondeur mais doublée postérieurement, la maison est de plan allongé. Elle présente une élévation enduite avec un étage en surcroît.Maison construite en 1931 d'après le cadastre numérisé sur une parcelle du lotissement de l'impasse de la Marne. Ce qui paraît plausible si l'on admet le fait qu'elle a fait l'objet de sévères travaux de rénovation. La maison a été pourvue d'un appentis sur toute la longueur de la façade postérieure.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Lainé Claire

Par : L'inventaire du patrimoine

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Colloque conte

Par : Dastum

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Les dix ans de l'Université de Bretagne Sud
La plus jeune université de France, l'UBS, Université de Bretagne Sud, fête ses dix ans. Implantée à Pontivy, Vannes et Lorient, elle a pour mission de développer les filières professionnelles et d'offrir un accueil de proximité aux étudiants.

Par : INA

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Le château d'Elven / Par J. Trévédy
Julien Trévédy corrige un article parisien paru sur la Tour d'Elven, château du XVème siècle.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Cathédrale de Vannes : visite archéologique de l'é

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Histoire d'une bouchée de pain
Que se passe t-il avant que le pain n'arrive sur la table ? Ce film nous montre ces diverses étapes, du labour du champ de blé à la vente par le boulanger. Ce morceau de pain que la maîtresse de maison distribue chaque jour au repas a une merveilleuse histoire. Tout a commencé par ce grain de blé. Pour la recevoir, la terre doit être enrichie par la fumure. Le fumier est répandu dans le champ et la charrue va l'enfouir, puis il sera procédé à un labour profond. Le tracteur tire la charrue et le soc, d'une progression irrésistible ouvre la terre et y trace un profond sillon. Les mouettes attirées par les vers mis à jour par la charrue suivent celle-ci en une nuée braillante et piaillante. Sous le passage de la herse, les mottes de terre sont brisées et celles-ci ameublie est prête à recevoir la semence. Le fermier verse le blé de semence dans le semoir. Celui-ci le répand d'une façon régulière en longues lignes pointillées, que le semoir recouvre de terre. Quelque temps plus tard, de chaque grain de blé surgit un petit germe qui va grandir et prendre racines. Bientôt, dès le début de l'hiver quelques petites pousses vertes apparaissent sur le champ. Dès l'apparition du printemps, ces tigelles grandissent et le champ verdit, puis la plante grandit et prend forme. Les épis commencent à se distinguer, ils grossissent rapidement mais les chaleurs arrivent, le blé jaunit. Il parvient à maturité, c'est le moment de la moisson qui est venu. La moissonneuse-batteuse le fauche et simultanément sépare le grain de sa paille et de sa balle. Pendant que le grain est ensaché, la paille est mise automatiquement en bottes. C'est alors que le blé porté au moulin va être réduit en farine, si ces vieux moulins à marée autrefois si nombreuse dans notre région ne travaillent plus, il n'en est pas de même de ce vieux moulin à eau dont l'antique roue à aube entraîne encore de vieilles meules de pierre sous la surveillance d'un vieux meunier infirme. Ce paysan conduit son blé à l'un des rares moulins à vent fonctionnant encore. Le blé coule d'une trémie dans la meule comme un petit filet d'eau. Le meunier hisse un sac de blé qui va remplir de nouveau la trémie dont l'écoulement régulier se fait grâce à une roue à rochet en bois. Ces vieux engrenages de bois actionnent la meule de pierre depuis peut être des siècles. Mais c'est en général dans des minoteries plus modernes telle celle de Bovrel que voici que les boulangers s'approvisionnent. La farine est versée dans le pétrin, on y ajoute la levure et l'eau. Le pétrin mû électriquement brasse alors la pâte. Toutefois la boulangerie fine : petits pains, croissants, ... sont pétris à la main. La pâte est coupée en petites boules, ces boules sont ensuite introduites dans une sorte de laminoir qui les transforme en petits pains qui sont mis à lever dans cette sorte de toile ondulée. Pendant ce temps le four est chauffé au moyen de brûleurs à mazout. Dès qu'il est chaud, les pains levés sont enfournés. Après cuisson, le pain est sorti du four, on le dore au moyen d'un pinceau trempé dans de l'eau, le pain est ensuite mis en vente dans la boulangerie ou porté au domicile du client où toute la famille attend avec impatience la belle miche dorée qui fait le régal de tous. Pierre Bonnot.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Le chasseur et la belle

Par : Dastum

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Détail chaume Lopabu, épi de seigle
Série de rushes : toit d’une ancienne maison bretonne en cours de réfection. Une partie de la charpente a été remplacée par une charpente neuve en bois. La partie ancienne de la toiture encore en place permet de voir le mauvais état du toit de chaume. Gros plan sur des épis de seigle. Divers plans sur le chaume posé sur le toit et la technique de fixation de la paille de seigle avec des liens également en paille de seigle. Charpente en début de réfection filmée depuis l’intérieur de la maison. Gros plan sur des épis de seigle. Champ de seigle agité par le vent. Note : on ne voit pas le chaumier au travail.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Voyage à Toulon
Vues du port militaire de Toulon, bateaux militaires dans la rade, des piétons circulent dans une rue de la ville, ancienne porte de l’Arsenal (XVIIIème) aujourd’hui musée de la Marine, des marins briquent le pont de leur bateau, officiers. Titre « La Provence embarquement ». Officiers sur le pont de La Provence, des bateaux militaires quittent le port de Toulon, pont avant de La Provence secoué par la mer. Un régiment débarque d’une barge sur une plage, ce régiment est essentiellement composé de soldats Africains, débarquement d’un petit char à chenilles puis d’un canon et de chevaux. Titre « Artillerie de montagne ». Artilleurs près d’un canon, soldats portant leurs armes. Titre « Accostage de La Provence ». Marins sur le pont, certains portent le bachi avec le pompon rouge. Titre « Dans les rues de Toulon ». Piétons, le port avec des bateaux de guerre, animation sur le quai. Titre « A Marseille ». Circulation automobile, le port avec un paquebot à quai, arrivée d’un bateau à vapeur, rues animées de la ville, passage du tramway, de voitures et de chevaux, un orateur public,harangue la foule, circulation automobile et hippomobile. Titre « Août 1930 tempête sur l’océan ». Vagues sur les rochers (séquence filmée depuis la côte). Titre « Les aviateurs Lefèvre et Assolant - Le Bourget ». René Lefèvre et Jean Charles Abel Bernacho Assolant près de deux avions à hélices sur une piste du Bourget en présence de militaires et de spectateurs (identifier la date et l’événement – avion « l’Oiseau canari »-1929 ?). Titre « Triomphe de Saint Cyr 1929 ». Cérémonie militaire, parade de cavaliers, défilé de plusieurs régiments à cheval, invités, un homme porte une tenue napoléonienne (le Triomphe des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan est une manifestation traditionnelle qui trouve son origine dans une visite du duc d'Orléans à Saint-Cyr, le 27 juillet 1834). Note : quelques séquences sont surexposées.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Mayenne Sciences
1er juin 1980, Guéméné Penfao, près de Redon, élevage aquacole d'écrevisses, de grenouilles. Rochefort en Terre, Sarzeau. Tumuli de Tumiac, et du "petit Mont". Environnement de Arzon, Le Croisty, Plage de Kerjouanno. Golfe du Morbihan. Presqu'île de Rhuys. Repas à St Gildas de Rhuys. Surzur, Muzillac, Arzal et son barrage sur la Vilaine, près de son embouchure. Pénestin, falaises tertiaires. .

Par : Cinémathèque de Bretagne

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