Golfe du Morbihan - Vannes agglo

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Sulniac / Theix - Calvaire / Puits / Christ / Tête
CALVAIRE, Christ souriant tête penchée à droite, PUITS accolé

Par : Dastum

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Bretagne 1937-1938
On suit un groupe de voyageurs dans différents lieux de Bretagne. Images du calvaire de Saint-Thégonnec, puis de celui de l'enclos paroissial de Guimiliau. Balade le long du cours Dajot à Brest où l'on peut voir la porte Nationale encore debout, le port et son goulet. Plan de ville (Etel?). Casse croûte dans la forêt. Notre groupe accoste sur une grande digue. Du monde est massé sur la digue pour venir prendre la petite navette que le groupe vient de quitter.(Cancale?) Pique-nique dans les rochers au bord de l'eau. Balade parmi les alignements de 2 934 menhirs à Carnac. Panoramique d'un port de plaisance. (La Tirinité-sur-mer?) Pique-nique en forêt. Calvaire de Rochefort-en-Terre. Balade sur la vedette Dinard Saint-Malo. Vue de Dinan et sa porte Saint-Malo. Plan de l'une des portes de pierre en arc dans la vieille ville mur à Dinan. Plan d'un jardin public avec un puits. Rue avec des maisons à colombages. Pause pendant le voyage avec arrêt des voitures (dont une Citroën) sur la route, pour profiter de la vue sur le Mont Saint-Michel. (Passage en couleurs) Visite de Pléneuf-Val-André, où on peut voir l'îlot du Verdelet, la cale de Piégu, ainsi que le Casino. (Attention ces images sont très sur-exposées) Plans sur Perros-Guirec, l'hôtel de Trestrignel et l'île Tomé. Vue du rocher "Napoléon" sur la plage de Saint-Guirec. Au loin on aperçoit le château de Costaérès sur l'île éponyme. Ville en bord de mer avec une large langue de terre. Vue depuis un bateau de la pointe de Dinan à Crozon avec son "château", rocher relié à la côte par une arche creusée par la mer. Balade sur le quai du Petit-Port à Douarnenez avec vue sur l'Usine rouge. Promenade à la pointe du Raz par un beau soleil. On voit des femmes en costume traditionnel avec coiffe qui se promènent dans la rue. On note en fond un bus sur lequel est marqué "Les Herbiers- Montaigu- Nantes". On arrive à la ville close de Concarneau. Les femmes sont en costume traditionnel, sans doute à l'occasion de la Fête des Filets Bleus. Les festivités se passent sous la pluie. Balade dans les rues, et captation des groupes costumés, dont un groupe mixte d'adolescents en costumes traditionnels qui passent bras-dessus bras-dessous devant un camion sur lequel est marqué "Loctudy". Promenade sur les rochers d'une côte bretonne, sans doute la pointe de Combrit qui donne sur le phare de Benodet. Plan des remparts de Vannes et ses jardins, puis passage sur la plage de la Baule avec ses grands hôtels dont L'Hermitage. Rencontre de paysans sur un chemin de campagne avec leurs bœufs tirant une charrette et un outil pour aplatir la terre. Retour dans une ville ancienne.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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4e Fête Populaire Bretonne des Landes de Lanvaux
Fest Noz et Fête populaire (affiche découpée à gauche manifestement)

Par : Dastum

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Vannes
D'une image de ville tranquille, Vannes se transforme en ville dynamique. Sa proximité avec le Golfe du Morbihan attire une population souvent jeune, qui s'intéresse notamment à l'activité économique liée aux nouvelles technologies.

Par : INA

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Tumulus de Tumiac

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Maison
Maison implantée en retrait de la rue sur une parcelle laniérée. De plan à avancée à pignon sur rue, elle est en rez-de-chaussée sur sous-sol avec comble à surcroît. Elle est en moellon enduit avec soubassement en appareil polygonal et ouvertures en brique. Un enclos fermé d'une grille délimitant une petite cour sépare l'entrée de la rue. Les plans d'origine signalent un appentis postérieur.La maison est construite en 1913-1914 pour monsieur Marchocki sur les plans de l'architecte Gemain dressés en décembre 1913. Elle figure sur le plan de classement de l'impasse Guyot-Jomard réalisé en 1931 comme appartenant à Mr Taraud.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Lainé Claire

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison, 20 rue Georges Cadoudal (Vannes)
Maison construite à l'alignement actuel de la rue, à façade antérieure tournant le dos à la rue, avec jardin au sud. A l'origine, c'est une maison enduite à pièce unique.La maison qui figure sur le plan Léchard de 1897, empiétant fortement sur l'espace initial du chemin, est construite probablement vers 1870. Sa façade antérieure est reprise au 20e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Lainé Claire

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison, 5 rue de la Fontaine (Vannes)
Maison mitoyenne bâtie en alignement de rue à plan double en profondeur sur une parcelle plus large que la précédente maison. Maison de plan massé, construite pour la partie sur rue en pan de bois sur un soubassement en pierre sans murs latéraux. La façade s'avance sur un encorbellement à galandage sur deux niveaux avec consoles. Couloir latéral pavé d'accès à la cour postérieure et à l'escalier d'accès aux étages. Porte d'entrée centrée d'accès à la boutique du rez-de-chaussée.Maison ancienne signalée dans les archives de la réformation en 1677 comme appartenant à Perrine Morice, veuve de Jean Perodo boulanger.Actuellement sans murs latéraux, la maison montre cependant un retrait au nord qui est l'emplacement du mur latéral. Le niveau de cet emplacement confirme un exhaussement probable après la construction pour rendre habitable l'étage de comble ou créer un galetas ; ce qui a peut-être modifié la forme de la toiture d'origine. La maison sur le cadastre de 1844 comprend une grande dépendance et un jardin postérieur bordé par le ruisseau de Rohan. Maison liée à la fabrication du pain depuis le 17e siècle, semble t-il dans les archives et qui appartient à la même famille depuis la fin du 19e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Lainé Claire ; Toscer Catherine ; Danielo Julien

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bulletin paroissial de Vannes - paroisse de Saint
février 1914. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Vannes - paroisse de Saint
janvier 1918. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Vannes - paroisse de Saint
août 1917. 20ème siècle

Par : Gallica

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Hôtel de Marboeuf, puis Imprimerie Lafolye-Lamarze
Hôtel à plan en L construit sur une parcelle d'angle place des Lices et rue Saint-Vincent.Un plan conservé dans les archives de l'Intendance montre l'emplacement de l'hôtel peut-être édifié dans la première moitié du 18e siècle (d'après la forme des ouvertures) sur un terrain afféagé : non mentionné dans la réformation de 1677, il semble avoir été construit après cette date. Sur ce plan qui indique l'enclos de l'hôtel, alors propriété du sieur Liard, il était prévu d'augmenter la construction sur l'étang des Lices, ce qui ne semble ps avoir été réalisé. le plan signale également que le mur est de l'enclos bordait le "pavage de l'abreuvoir", indiquant que l'étang des Lices qui alimentait le moulin servait aussi d'abreuvoir.Dans les matrices cadastrales de 1844, l'hôtel est la propriété en 1844 de Napoléon-Alexandre de Lamarzelle, libraire à Vannes. Ces mêmes matrices signalent une augmentation de construction en 1860, qui correspond à un agrandissement de l'édifice, probablement d'une travée latérale est. Les archives départementales conservent les plans d'aménagement de l'imprimerie Lafolye-Lamarzelle par Joseph Caubert de Cléry en 1909-1910 avec agrandissement postérieur du bâtiment sur la cour et aménagement du 1er étage sur pilotis au-dessus d'une partie de l'étang des Lices.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine ; Lainé Claire ; Danielo Julien

Par : L'inventaire du patrimoine

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Hôtel de Roscanvec, anciennement maison Cocheteau,
L'hôtel de Roscanvec est édifié en retrait de la rue des Halles entre cour et jardin postérieur ; entre la rue et la cour, le passage est marqué par une large arcade charretière en plein cintre. De plan simple en profondeur, l'hôtel enduit développe une façade à travées sur cour, à 1 étage carré et étage de comble. Les deux travées externes sont irrégulières : au nord, deux ouvertures témoignent de l'étroite aile en retour disparue, qui abritait selon l'acte de 1694, une remise en retour surmontée de deux petits cabinets. Au sud, une fenêtre modifiée pourrait masquer l'ancien passage vers les cabinets surmontant les écuries.L'hôtel est en partie doublé à l'ouest d'un corps en retour abritant l'escalier et une pièce de même surface. L'escalier, à retours avec jour, en charpente, possède une rampe tournante à balustres en bois tourné dont le départ est sculpté d'acanthes. Le jardin est limité à l'ouest par le mur de la première enceinte surplombant la parcelle de l'ancien couvent des Cordeliers. Il communique avec l'hôtel dit Château-Gaillard.Hôtel construit à la fin du 17e siècle sur la base d'une ancienne maison mentionnée dans le rentier de 1455 et appartenant 'à la femme et enffans feu Jehan Cocheteau', dont on ignore la date de construction. La cheminée qui subsiste au rez-de-chaussée revêt cependant les caractères architecturaux de la 2e moitié du 15e siècle, de même que l'ancienne fenêtre sud-est (devenue porte), sans doute cheminée et fenêtre de la salle : peut-être fut-il vendu à la suite du décès de Cocheteau et reconstruit peu après par le propriétaire suivant.Il pourrait être des Macéot de Roscanvec dont l'hôtel tire son nom, Henry faisant aveu en 1540 pour la 'maison, étables, jardin, cour et puy dessus', qu'il a échangé avec Messire Ollivier Lollicart, chapelain de la chapellenie de Saint-Julien. En 1620, l'hôtel passe par mariage à Pierre de La Landelle, marié à Isabelle Maceot de Roscanvec. Cependant, la reconstruction de l'hôtel est plutôt redevable à son fils Jean qui en hérite en 1673. Dans la réformation de 1677, la maison qui est déclarée en ruine correspond pour ce qui est des dimensions au logis actuel et à celui mentionné en 1455. Au décès de Jean de La Landelle en 1690, l'édifice n'est plus décrit dans les différents actes successoraux comme une maison en ruine mais correspond à l'hôtel actuel avec cuisine et salle au rez-de-chaussée, salon et chambres à l'étage, chambres dans l'étage de comble. Ce qui nous permet de situer la date de reconstruction entre 1677 et 1690.Le 18e siècle est l'occasion d'une grande campagne de travaux d'après les caractéristiques architecturales de l'édifice : un corps d'escalier en retour postérieur est ajouté, l'ensemble des ouvertures du grand corps de logis sont reprises au goût du jour, à l'exception des lucarnes en calcaire. Le décor intérieur est également repensé.L'hôtel ne figure pas sur le plan d'alignement de 1840, en raison de son retrait de la rue.Le petit corps en retour au nord-est édifié pour les latrines avant 1844, est détruit à la fin 20e siècle, lorsque l'hôtel est acquis par la ville.Au nord de la cour, est édifié, en remplacement d'un bâtiment dépendant d'une autre maison de la rue des Halles sur le plan de 1844, un bâtiment secondaire vers 1920-1930 ainsi qu'un bâtiment d'école à étage sur le jardin pour l'école Françoise d'Amboise, tenue par les Ursulines, qui s'y installent en 1914 avant d'en devenir propriétaires en 1927 où elles créent d'abord la pension Notre-Dame, puis le cours Françoise d'Amboise. Le bâtiment est construit sur les plans de l'architecte Joseph Caubert de Cléry par l'entreprise Groleau en 1933. En remplacement des écuries, est reconstruit au sud-est de la cour un autre bâtiment à vocation scolaire durant cette même période. Cette école faisait suite à des destinées diverses tout au long du 19e siècle, d'hôtel de voyageurs à banque.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine ; Lainé Claire ; Mauvais Marion ; Danielo Julien

Par : L'inventaire du patrimoine

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Famille des environs de Vannes

Par : Dastum

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Une noce aux environs de Vannes, la table de la ma

Par : Dastum

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Les dix ans de l'Université de Bretagne Sud
La plus jeune université de France, l'UBS, Université de Bretagne Sud, fête ses dix ans. Implantée à Pontivy, Vannes et Lorient, elle a pour mission de développer les filières professionnelles et d'offrir un accueil de proximité aux étudiants.

Par : INA

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Le château d'Elven / Par J. Trévédy
Julien Trévédy corrige un article parisien paru sur la Tour d'Elven, château du XVème siècle.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Cathédrale de Vannes : visite archéologique de l'é

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Châteaux de Bretagne. 740, Tour du Connétable et R
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Histoire d'une bouchée de pain
Que se passe t-il avant que le pain n'arrive sur la table ? Ce film nous montre ces diverses étapes, du labour du champ de blé à la vente par le boulanger. Ce morceau de pain que la maîtresse de maison distribue chaque jour au repas a une merveilleuse histoire. Tout a commencé par ce grain de blé. Pour la recevoir, la terre doit être enrichie par la fumure. Le fumier est répandu dans le champ et la charrue va l'enfouir, puis il sera procédé à un labour profond. Le tracteur tire la charrue et le soc, d'une progression irrésistible ouvre la terre et y trace un profond sillon. Les mouettes attirées par les vers mis à jour par la charrue suivent celle-ci en une nuée braillante et piaillante. Sous le passage de la herse, les mottes de terre sont brisées et celles-ci ameublie est prête à recevoir la semence. Le fermier verse le blé de semence dans le semoir. Celui-ci le répand d'une façon régulière en longues lignes pointillées, que le semoir recouvre de terre. Quelque temps plus tard, de chaque grain de blé surgit un petit germe qui va grandir et prendre racines. Bientôt, dès le début de l'hiver quelques petites pousses vertes apparaissent sur le champ. Dès l'apparition du printemps, ces tigelles grandissent et le champ verdit, puis la plante grandit et prend forme. Les épis commencent à se distinguer, ils grossissent rapidement mais les chaleurs arrivent, le blé jaunit. Il parvient à maturité, c'est le moment de la moisson qui est venu. La moissonneuse-batteuse le fauche et simultanément sépare le grain de sa paille et de sa balle. Pendant que le grain est ensaché, la paille est mise automatiquement en bottes. C'est alors que le blé porté au moulin va être réduit en farine, si ces vieux moulins à marée autrefois si nombreuse dans notre région ne travaillent plus, il n'en est pas de même de ce vieux moulin à eau dont l'antique roue à aube entraîne encore de vieilles meules de pierre sous la surveillance d'un vieux meunier infirme. Ce paysan conduit son blé à l'un des rares moulins à vent fonctionnant encore. Le blé coule d'une trémie dans la meule comme un petit filet d'eau. Le meunier hisse un sac de blé qui va remplir de nouveau la trémie dont l'écoulement régulier se fait grâce à une roue à rochet en bois. Ces vieux engrenages de bois actionnent la meule de pierre depuis peut être des siècles. Mais c'est en général dans des minoteries plus modernes telle celle de Bovrel que voici que les boulangers s'approvisionnent. La farine est versée dans le pétrin, on y ajoute la levure et l'eau. Le pétrin mû électriquement brasse alors la pâte. Toutefois la boulangerie fine : petits pains, croissants, ... sont pétris à la main. La pâte est coupée en petites boules, ces boules sont ensuite introduites dans une sorte de laminoir qui les transforme en petits pains qui sont mis à lever dans cette sorte de toile ondulée. Pendant ce temps le four est chauffé au moyen de brûleurs à mazout. Dès qu'il est chaud, les pains levés sont enfournés. Après cuisson, le pain est sorti du four, on le dore au moyen d'un pinceau trempé dans de l'eau, le pain est ensuite mis en vente dans la boulangerie ou porté au domicile du client où toute la famille attend avec impatience la belle miche dorée qui fait le régal de tous. Pierre Bonnot.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Pour divertir la compagnie permettez que je chante

Par : Dastum

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Jeunes filles de l'Ile-aux-Moines et de Quiberon :
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Environs d'Auray - Noce Bretonne sortant de l'Egli
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Construction de la Thalassothérapie
6 bobinots : 1. 15 novembre 1988 commencement du terrassement du chantier de la Thalassothérapie (film 8 jours après les premiers coups de bulldozer. 2. suite de la construction. 3. 3ème partie de la construction filmé du sommet de l'immeuble (4 étages). 4. cérémonie inaugurale de la Thalassothérapie juin 1990. 5. Grande manoeuvre à Kerjouano (caserne aujourd'hui fermée). 6. commencement de la construction de la 2ème tranche du port, quai des voiliers et maison du port d'Arzon.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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