Patrimoine de Saint-Brieuc

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Ancienne voie ferrée d'intérêt local Yffiniac-Mati
Ligne de chemin de fer à voie métrique comprenant un pont de chemin de fer dénommé Viaduc des Ponts-Neufs, composé lui-même d'une passerelle, et une gare reconvertie en maison d'habitation.Les travaux ont été réalisés en grande partie sous la direction de l'ingénieur en chef départemental des Ponts-et-Chaussée Louis-Auguste-Marie Harel de la Noë. Dès l'année 1904 la construction de la ligne Yffiniac-Matignon fut votée, mais les travaux d'infrastructure de la ligne ne commencèrent véritablement qu'en 1912, après que le deuxième réseau ferroviaire d'intérêt local ait été déclaré d'utilité publique le 28 mars 1912. Les travaux des bâtiments de la ligne ont été réalisés par l'entreprise Vilsalmon d'Hillion, les travaux de ballastage et de pose des voies par les entrepreneurs Jean, André et Adolphe Mallet. Inaugurée le 3 février 1924 et mise en service, d'Yffiniac à Saint-Alban, le 23 février 1924, la ligne cessa de fonctionner le 31 décembre 1948. Son déclassement prit effet le 2 décembre 1949.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Garde nationale
Plan d'ensemble des musiciens de la garde nationale

Par : Archives municipales de Sa

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Le Légué et l'estuaire du Gouet
Vue du Légué et de l'estuaire du Gouët

Par : Archives municipales de Sa

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Ecole primaire et cours complémentaire
Groupe scolaire Curie, constructions 1932. Etude cotes de terrain, surface d'ensemble école primaire et cours complémentaire, (positionnement nord-sud). Indication des niveaux de trottoir. Trois dessins en légende : cotes actuelles du terrain, cotes futures du terrain, cotes du rez-de-chaussée.

Par : Archives municipales de Sa

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Chapelle du petit séminaire actuellement Théâtre d
Édifice cultuel catholique à plan à déambulatoire et chapelles rayonnantes conçu par l’architecte Henri Mellet dans un style néo-roman. La chapelle du petit séminaire se compose de trois travées voûtées en coupoles porté par des arcs-doubleaux (la troisième travée est accompagnée de deux bras de croix) et terminée par une abside polygonale flanquée elle-même de cinq absidioles. En plus du maître-autel situé dans l’abside, la chapelle était dotée de cinq autels permettant de célébrer simultanément plusieurs messes. Le maître-autel, remarquable, était en pierre calcaire encadré de mosaïques d’émaux à fonds d’or représentant la vigne et le blé entrelacés. Les vitraux étaient de Félix Gaudin, peintre-verrier et mosaïste français (1851-1930).Outre le volume important de la chapelle et de son clocher, on est frappé par le jeu polychromique entre maçonnerie de moellons de schiste sombre (en remplissage) et pierres de taille de granite (utilisées pour l’entourage des ouvertures, les chainages et les contreforts). Les baies géminées en arc plein cintre haut placées permettaient de baigner de lumière l’intérieur de la nef (les verrières sont aujourd’hui masquées). Les arcs voient de plus l’alternance entre granite rose (voire orangé) et granite gris. Le porche sud de la chapelle de style néo-roman en est le parfait exemple. Ce jeu de couleur est encore souligné par la présence d’un bandeau de pierre rose et d’un appareillage polygonal de couleur rose-orangé en partie haute de l’édifice. Les pignons sommées d’une croix pattée voient des croix et bandeaux de pierre rose, intégrés dans la maçonnerie de schiste. Sous l’égout du toit, la corniche à modillon participe de donner profondeur et hauteur au bâtiment.Du côté de la cour centrale à l’ouest, la façade de la chapelle est séparée de la nef par un grand corridor au rez-de-chaussée et au premier étage. La "librairie scolaire" était implantée au premier étage et éclairée par les cinq baies situés au-dessus du porche ouest. Au deuxième étage, il n’y avait pas de corridor : la librairie était éclairée depuis l’ouest par la grande verrière ; à l’est, elle donnait sur la nef de la chapelle occupée par un grand orgue. Le décor intérieur de la chapelle comprend à la fois les voûtes en arc plein cintre de l’abside et des absidioles, la coupole, les petits arcs en plein cintre et les colonnes et chapiteaux sculptés. Les voûtes sont en briques creuses enduites en plâtre avec décor en faux appareil à joint rouge (ou blanc) imitant tantôt des assises de moellons équarris de schiste, des pierres blanches ou figurant un bandeau ocre rappelant le granite rose. Certaines maçonneries sont enduites en mortier de chaux et de sable imitant des pierres de taille de granite. Les chapiteaux sculptés sont historiés, c’est-à-dire gravés en bas-relief avec des ornements qui se rapportent à la Bible. A l’intérieur de la chapelle, la porte ouest comporte également un tympan historié (en partie masqué par les fauteuils des spectateurs du Théâtre de l’Arche).Sur les murs de la nef se trouve le chemin de croix en tuffeau de Louis Savary daté 1896. Huit stations du chemin de croix sont reconnaissables : Jésus rencontre les femmes de Jérusalem qui pleurent, Jésus s’écroule sous le poids de la croix, Simon de Cyrène (réquisitionné par les soldats romains) aide Jésus à porter sa croix, sainte Véronique essuie le visage de Jésus, Jésus s’écroule sous le poids de la croix, Jésus rencontre sa mère, Jésus est dépouillé de ses vêtements et Jésus est cloué sur la croix.La chapelle était complétée par le mobilier de Le Merrer dessiné par Henri Mellet comprenant notamment un trône épiscopal, 24 stalles sculptées (les bancs, retaillés, ont été transférés à l’Institution Saint-Joseph courant 1906) et une chaire à prêcher.La chapelle du petit séminaire de Tréguier a été conçue en 1892 par l’architecte rennais Henri Mellet (1852-1926) à la demande du chanoine Duchêne, supérieur de l’établissement. Cet édifice remplace la chapelle du séminaire construite vers 1662-1664. Le plan de la chapelle, à abside polygonale, répond au besoin du personnel ecclésiastique : huit autels permettent à la vingtaine de prêtres enseignants de dire leurs messes quasi simultanément le matin. Sa superficie totale avoisine les 800 mètres carrés.Les cloches de la nouvelle chapelle ont été baptisées en 1892 (voir en annexe le texte intitulé : "Les cloches de la chapelle petit séminaire"). La chapelle est datée 1895 (façade ouest). Elle a été bénie le 23 octobre 1896 par monseigneur Fallières, évêque de Saint-Brieuc et Tréguier de 1889 à 1906. La chapelle a été construite par l’entrepreneur Guillaume Le Collen de Tréguier pour un coût d’environ 120 000 francs (les honoraires de l’architecte se monte généralement à 5% du montant des travaux). Les orgues sont du facteur Didier de Nancy, les verrières de Félix Gaudin, peintre-verrier et mosaïste français, le chemin de croix de Savary (daté 1896) et le mobilier de Le Merrer (un trône épiscopal et 24 stalles sculptées). Pour honorer son donateur primitif, l’archidiacre Le Provost fait procéder à la translation des reliques du chanoine Michel Thépaut, seigneur de Rumelin dans la nouvelle chapelle le 26 octobre 1897. La chapelle est finalement consacrée le 21 juin 1899. La chapelle du petit séminaire de Tréguier peut être comparée à d’autres productions d’Henri Mellet : l’église de Melesse (1885-1890), l’église d’Izé (1889-1896) ou encore l’église Notre-Dame de Bonabry à Fougères (commencée en 1896).Le 29 mars 1902, la nouvelle chapelle a les honneurs de la presse spécialisée nationale, à savoir un article rédigé par Louis-Charles Boisleau dans la revue L’Architecture : "…j’avais été frappé du bon aspect des rotondes absidiales de la chapelle, au-dessus du mur de soutènement des cours. […] …une façade latérale apparaissait, dessinée dans un si bon caractère, que je crus un instant à une restauration plutôt qu’à une construction neuve ; on devinait, dans le haut, au-delà des faitages des bâtiments accotés à la chapelle, une silhouette heureuse, couronnant un pignon. […] Combien c’était mieux que ces églises neuves rencontrées dans les gros bourgs de ce coin de la Bretagne, de ces bâtisses prétentieuses, à clochers carrés, la plupart mal étudiées, banales à l’excès, en tout cas si manifestement inférieures aux veilles et pauvres églises d’autrefois !".
Auteur(s) du descriptif : Lécuillier Guillaume

Par : L'inventaire du patrimoine

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Aux courses de Saint-Brieuc
Sujet représenté : scène (cocher ; calèche ; bicyclette ; chapeau melon ; casquette ; canotier ; costume ; homme ; drapeau ; poteau ; jockey ; cavalier ; cheval ; sable ; course ; rocher ; spectateur) - N° d'inventaire : DOC 992.13.64 ; R992.13.64

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Expulsion de Mgr de La Marche, évêque de Léon en 1

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Janed Ark : pez-choari e pevar arvest : 'vit merc'

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Hommage à Saint Yves, Patron des avocats
Le traditionnel Pardon de Saint-Yves s'est déroulé le 22 mai à Tréguier. Cette manifestation reçoit chaque année des milliers de pélerins pour la célébration du Saint Patron des avocats. Cette année le Pardon a été présidé par Monseigneur Laurent Dognin, évêque de Quimper, entouré de nombreux dignitaires venus du grand Ouest, dont Monseigneur Denis Moutel, évêque de St Brieuc et Tréguier, et l'Abbé Caous, Curé de Tréguier. Après la cérémonie à la Cathédrale de Tréguier, procession des bannières en direction de Minihy-Tréguier, paroisse d'origine de Yves Hélory de Kermartin (1253-1303), qui a été canonisé par le Pape Clément VI en 1347.

Par : TV Trégor

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Saint-Brieuc ; la cathédrale

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Bulletin paroissial de Saint-Brieuc - paroisse de
novembre 1917. 20ème siècle

Par : Gallica

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Saint-Brieuc ; statue “La forme se dégageant de la

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Saint-Brieuc et alentours

Par :

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Le mai breton du joint français
Quatre ans après Mai 68, la grève des ouvriers du Joint Français à Saint-Brieuc déclenche un mouvement de solidarité dans toute la région et devient une affaire politique nationale.

Par : Bretagne et diversité

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Promenade héraldique au pays de Lamballe
Lors d'une visite au pays de Lamballe, descriptions et photos d'armoiries vues au cours de cette visite.

Par : L'ARSSAT

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Souvenirs dominicains dans le diocèse de Saint-Bri
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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Péchon - Rushes 9 (Le)
Port du Dahouët, Cap Fréhel, photographes, jardin, roses, port du Dahouët.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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. 6688, L'Une des Trois "Allées Couvertes" de la C
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Manoir de la Ville-Pierre (Pléneuf-Val-André)
Manoir construit en granite, grès et poudingue, dont l'état s'avère inégal suivant les parties. Corps de logis dénaturé conservant un élément intéressant (porte d'entrée en plein-cintre à archivolte à retours). Partie de gauche de plan massé à pièce unique au rez-de-chaussée et comble à haut surcroît, flanquée d'une partie agricole surélevée (traces de reprise dans la maçonnerie au pignon).Ancien manoir comprenant des parties du 16ème siècle, 18ème et 19ème siècles, très remanié et dénaturé au 19ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Identités en Bretagne – Première partie
Mot de bienvenue de Catherine Loneux, Catherine Latour et Jean-Michel Le Boulanger. Introduction de Ronan Le Coadic, Professeur de langue et culture bretonnes à L’université Rennes 2 Première partie : L’identité dans le rapport au territoire et à l’environnement institutionnel (modérateur : Tierry Hamon, Maître de conférences en histoire du droit à l’Université de Rennes 1 – Directeur de l’antenne de la Faculté de Droit à Saint-Brieuc) « Une identité enracinée dans un territoire« , par Jean Ollivero, Professeur de géographie à l’Université Rennes 2 intitulée « Les paysages de Bretagne », par Laurence Le Dû-Blayo, Maître de conférences à l’Université Rennes 2 intitulée « Des années 1980 à nos jours : l’identité bretonne revisitée« , par Michel Nicolas, Professeur de langues et cultures régionales à l’Université Rennes 2        

Par : L'aire d'u

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Inauguration de l’exposition sur le futur Centre d
Cérémonie d’inauguration de l’exposition consacrée au convent des Jacobins, futur Centre des Congrès du XXI° siècle de Rennes Métropole. Lors du Conseil communautaire du 18 juin 2009, les élus de Rennes Métropole se sont prononcés sur le choix du « Couvent des Jacobins » pour la réalisation d’un Centre des Congrès, afin de conforter le rayonnement de la métropole en Bretagne, en France et en Europe et permettre la restauration d’un patrimoine majeur de la ville de Rennes et son affectation à une vocation qui le fait revivre au cœur de la cité. Après l’appel à candidature pour le concours de maîtrise d’œuvre, ce ne sont pas moins de 109 cabinets d’architecture internationaux qui ont répondu. Le jury du concours de la maîtrise d’œuvre a retenu quatre candidatures pour la seconde phase du projet : l’équipe de Renzo Piano (Paris), celle de Marc Barani (Nice), celle de Jean Guervilly (Saint-Brieuc), et l’équipe de Tadao Ando (Osaka). A l’issue du jury, c’est le projet de l’équipe de Jean Guervilly qui sera proposé aux élus communautaires lors du conseil de Rennes Métropole pour la maîtrise d’œuvre de la construction du Centre de Congrès. Cette exposition vise à présenter le futur centre des congrès de Rennes métropole et le projet architectural retenu, proposé par Jean Guervilly.

Par : L'aire d'u

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