Patrimoine de Saint-Brieuc

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Outil de grande pêche : cuillère à énocter
La cuillère à énocter est un outil en fer forgé muni d'une sorte de cuillère à son extrémité. le poisson est énocté, c'est à dire qu'on lui enlève les traces de sang qui pouvaient rester dans les poches et autres parties internes du poisson.Cette cuillère à énocter date du 1er quart du 20ème siècle. Elle était utiliser à bord des navires morutiers dans le traitement de la morue. Cette opération était réservée au mousse du bord.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ecole primaire et cours complémentaire. 1er étage.
Groupe scolaire Curie. Disposition du dortoir n° 1 au 1er étage, pouvant recevoir 50 pensionnaires, 42 lavabos. Relevés sur aménagements divers. Deuxième étage semblable.

Par : Archives municipales de Sa

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Place de Gouët et la cathédrale
Vue prise de la rue de Gouët vers la place de la Grille et la cathédrale Saint-Etienne

Par : Archives municipales de Sa

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Saint-Brieuc, Pardon de Notre-Dame d'Espérance
Sujet représenté : scène (enfant de choeur ; enfant ; coiffe ; femme ; religieuse ; prêtre ; foule ; pardon ; Saint-Brieuc ; Côtes-d'Armor d ; ombrelle ; lampadaire ; croix ; bâtiment ; rue ; place ; canotier ; homme) - N° d'inventaire : DOC 992.13.1179 ; R992.13.1179

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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La tour de Cesson et le fort de Saint-Brieuc / Par
Julien Trévédy recense les sources sur et décrit la Tour de Cesson, édifiée en 1395 sur un promontoire surplombant la baie de Saint-Brieuc.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Grotte des Galimoneux

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Bulletin paroissial de Saint-Brieuc - paroisse de
février 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Saint-Brieuc ; maison du Duc de Bourgogne

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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LE LEGUE-SAINT-BRIEUC. - L'Anse aux Moines
Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Saint-Brieuc et alentours

Par :

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Binic ; Notre-Dame de la Cour ; procession

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Le port de Binic vu de la falaise de la plage de l

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Femme de marin...
Femme de marin de Louis Le Meur amateur - 1953 - n&b - 16mm - 24'25 Le chagrin d'une femme de marin, qui après avoir perdu son mari, péri en mer, puis l'aîné de ses fils, voit le plus jeune s'embarquer clandestinement sur un cargo. Film tourné à Ploubazlanec, au port du légué à Plérin et à Saint-Quay-Portrieux. Un "Grand mélodrame" tourné par un cinéaste amateur de talent !..

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Lamballe ; vieilles maisons

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Le mai breton du joint français
Quatre ans après Mai 68, la grève des ouvriers du Joint Français à Saint-Brieuc déclenche un mouvement de solidarité dans toute la région et devient une affaire politique nationale.

Par : Bretagne et diversité

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3 coups de talon

Par : Dastum

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La production porcine en Bretagne
Dans un élevage porcin des Côtes du Nord, des acteurs de la profession, Guillaume Roué (Secrétaire Générale Fédération Nationale Porcine), Jean-Claude Commault (Directeur Cooperl) et Yves Ollivier (Confédération Paysanne) analysent la crise porcine.

Par : INA

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Dom Alexis Presse, Abbé de Boquen : 26/12/1883 – 1
Né en 1883 à Plouguenast, Mathurin Presse, prononce ses vœux en 1908, sous le nom de Frère Alexis, à l’abbaye cistercienne de Timadeuc. Souhaitant renouer avec l’authenticité de la vie monastique, après onze ans comme Père Abbé à Tamié en Savoie, il va s’employer à restaurer l’abbaye en ruine de Boquen. Il repose dans l’église abbatiale achevée deux mois avant sa mort le 1er novembre 1965.

Par : L'ARSSAT

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Fête des Islandais à Paimpol
La fête des Islandais et des Terre-Neuvas est le souvenir de ses marins disparus en mer. Elle s'est tournée vers le passé. Certains matelots partaient dès 10 ans dans le grand nord dans des conditions pénibles et pour de maigres rémunérations. Près de 2000 hommes sont morts dans ces mers lointaines. Un défilé et un spectacle folklorique où se sont succédé plusieurs groupes. Les danseurs et les musiciens ont offert des danses éblouissantes. Le bagad de Plouha, le cercle de Saint Brieuc et Paimpol, les Sonorien Da Viken et les Martoloded Anjela ont fait vibrer le port.

Par : TV Trégor

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Identités en Bretagne – Première partie
Mot de bienvenue de Catherine Loneux, Catherine Latour et Jean-Michel Le Boulanger. Introduction de Ronan Le Coadic, Professeur de langue et culture bretonnes à L’université Rennes 2 Première partie : L’identité dans le rapport au territoire et à l’environnement institutionnel (modérateur : Tierry Hamon, Maître de conférences en histoire du droit à l’Université de Rennes 1 – Directeur de l’antenne de la Faculté de Droit à Saint-Brieuc) « Une identité enracinée dans un territoire« , par Jean Ollivero, Professeur de géographie à l’Université Rennes 2 intitulée « Les paysages de Bretagne », par Laurence Le Dû-Blayo, Maître de conférences à l’Université Rennes 2 intitulée « Des années 1980 à nos jours : l’identité bretonne revisitée« , par Michel Nicolas, Professeur de langues et cultures régionales à l’Université Rennes 2        

Par : L'aire d'u

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Inauguration de l’exposition sur le futur Centre d
Cérémonie d’inauguration de l’exposition consacrée au convent des Jacobins, futur Centre des Congrès du XXI° siècle de Rennes Métropole. Lors du Conseil communautaire du 18 juin 2009, les élus de Rennes Métropole se sont prononcés sur le choix du « Couvent des Jacobins » pour la réalisation d’un Centre des Congrès, afin de conforter le rayonnement de la métropole en Bretagne, en France et en Europe et permettre la restauration d’un patrimoine majeur de la ville de Rennes et son affectation à une vocation qui le fait revivre au cœur de la cité. Après l’appel à candidature pour le concours de maîtrise d’œuvre, ce ne sont pas moins de 109 cabinets d’architecture internationaux qui ont répondu. Le jury du concours de la maîtrise d’œuvre a retenu quatre candidatures pour la seconde phase du projet : l’équipe de Renzo Piano (Paris), celle de Marc Barani (Nice), celle de Jean Guervilly (Saint-Brieuc), et l’équipe de Tadao Ando (Osaka). A l’issue du jury, c’est le projet de l’équipe de Jean Guervilly qui sera proposé aux élus communautaires lors du conseil de Rennes Métropole pour la maîtrise d’œuvre de la construction du Centre de Congrès. Cette exposition vise à présenter le futur centre des congrès de Rennes métropole et le projet architectural retenu, proposé par Jean Guervilly.

Par : L'aire d'u

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Maquette demi-coque d'un trois-mâts
Demi-coque de chantier, modèle sur charpente réalisée par François Gautier, pour la construction d'un trois-mâts de grande pêche ou de commerce, avec différences essences de bois. Cette demi-coque d'étude en bois tranché, chevillée mais entièrement démontable, servait au constructeur à tracer ses plans au sol grandeur nature, pour établir les gabarits du bateau. Le tracé des lignes d'eau et des couples des membrures sont indiquées sur la demi-coque.Le plan de formes d'un trois mâts de 380 tonneaux de jauge brute indique une longueur hors tout de 45 mètres et de 9, 30 m au niveau de la plus grande largeur, 37, 50 m de longueur en flottaison, 4, 27 m de tirant d'eau. Ces bateaux sont d'une tonture assez prononcée et élégante. Ils avaient la varangue assez plate et le maître couple bien rempli pour être porteurs, avec des lignes douces de l'arrière pour donner une marche avantageuse ; enfin l'avant légèrement déversé était muni d'un guibre avec un très joli dessin, orné souvent d'une sculpture : entrelacs de feuillages rehaussés de peinture, se terminant sur une pomme ou une volute.L'un des plus grands et des plus célèbres navires construit par François Gautier sera le navire océanographique "Pourquoi-Pas", trois-mâts barque construit en 1906, qui fera naufrage en 1936 sur les côtes d'Islande.Cette demi-coque appartient à M° Alain Marie Gautier de Pléneuf-Val-André, petit fils du constructeur François Mathurin Gautier, natif de Dahouët (1832-1918), qui après avoir navigué quelque temps au cabotage, au long cours et dans la Marine nationale, fondera le chantier malouin qui portera son nom jusqu'en 1928, avec ses fils. L'ancien chantier Gautier sera ensuite racheté par Craipeau et Gautier fils par Donne et Tardivel en 1928. Il semblerait que François Gautier ait construit au début de sa carrière des bateaux à Dahouët avant de s'installer définitivement à Saint-Malo. Les recherches historiques sur ce charpentier de marine hors pair sont encore à effectuer. Mais avant cette période d'après la 1ère guerre mondiale, qui annonce la fin de la voile de travail, l'âge faste de la construction navale se situe entre 1850 et 1910, à l'apogée de la grande pêche et des longs courriers transatlantiques et cap-horniers. De 1868 à 1890, les chantiers navals Dandin de Saint-Malo, dirigés par François Gautier (qui cumule les fonctions d'architecte et de constructeur), vont construire sur les cales de Moka (avenue Louis Martin) 6 à 7 navires par an, de 33 à 52 m de long, avec 60 à 80 ouvriers. La guerre de 1870 va freiner cet élan, mais le chantier tient bon jusqu'en 1907. Plus de 140 beaux navires, goélettes et trois-mâts pour Saint-Pierre et Miquelon, longs courriers et premiers navires océanographiques, comme le "France", trois mâts goélette lancé en 1903, suivi du célèbre "Pourquoi-Pas" du Cdt. Charcot, gréé en trois mâts barque, lancé en 1908.Le plan de voilure original des navires hôpitaux "Saint-Paul" et "Saint-Pierre", construits à la fin du 19e dans les chantiers Gautier (pour le compte des Oeuvres de mer), présente une surface de voilure de 800 mètres carrés. Le Saint-Paul s'échouera en 1899 sur la côte sud d'Islande. Ces plans de voilure et plans de formes sont conservés par M° Gautier Alain Marie. Ces documents avec quelques demi-coques de chantier sont les seuls témoignages archivés dans le domaine privé de l'épopée de ces grands chantiers du temps de la grande pêche.En 1892, l'un des fils de François Gautier, Gustave collabore avec son père, puis fonde juste à côté son propre chantier, qui va poursuivre la tradition et le style de construction "Gautier". De son côté François, âgé de 68 ans s'associe avec son fournisseur de bois, M° Buron, puis s'adjoint la collaboration de ses deux autres fils, Joseph et Edmond, pour fonder en 1905 la "Société des Chantiers de Constructions Navales Edmond et Joseph Gautier Frères", l'un s'occupant essentiellement des achats et des comptes, l'autre des plans et des études, avec comme conseiller technique leur père. Les chantiers Gautier continuent ainsi leur progression jusque la fin de la première guerre mondiale, avant qu'une autre raison sociale prenne la relève. Le 29 juin 1918, François Mathurin Gautier décède à l'age de 84 ans. Il aura offert en 1880 à sa paroisse d'origine Pléneuf la maquette du croiseur à barbette "Duguay Trouin", en mémoire de son père Félix-Julien-Jacques Gautier, charpentier et maître du port de Dahouët, Chevalier de la légion d'honneur (décédé en 1859).Mais la saga familiale et maritime des Gautier ne s'arrête pas là, puisque les Gautier seront liés par alliance à la famille des armateurs Le Péchon. François Gautier était marié avec une héritière Le Péchon. On retrouve encore un Gautier René, architecte du renouveau de l'architecture bretonne après la guerre 1939-45, et notre informateur Alain Marie Gautier, décorateur de cinéma et brillant dessinateur, maquettiste des bateaux construits par ses célèbres ancêtres.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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