Les documents du Pays d'Auray

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Chapelle Saint Germain (Erdeven)
Edifiée à l'ouest du village, la chapelle Saint Germain est de plan quadrangulaire à chevet plat et pignon occidental aveugle surmonté d'un clocheton. Son élévation est modeste et conserve les proportions basses des édifices de la fin du Moyen Âge.A l'extérieur seules les maçonneries en pierres de taille de grand appareil (chevet, partie orientale du mur sud et mur nord) sont apparentes, les parties de murs en moellons sont enduites.On y accède par une porte au sud en arc brisé mouluré d'un tore (15e siècle) et d'une porte secondaire ou seigneuriale au nord, à linteau cintré, ornée de pilastres inscrite dans un cadre sur lequel figurent des armoiries sculptées non identifiées (2e moitié 16e siècle).L'édifice est éclairé par trois fenêtres au sud dont la plus à l'ouest est remaniée au 19e siècle, celle à droite de la porte s'apparente à un simple jour avec large ébrasement intérieur, et la dernière à l'est comme un remploi de la baie du chevet. Elle fut replacée en façade sud lors de la création d'un retable, derrière l'autel en 1635.C'est aussi de cette époque que l'on peut dater le clocheton renouvelé. De base carrée, il est ajouré d'arcs plein cintre et coiffé d'une flèche polygonale flanquée de quatre pyramidions et sommée d'une croix. On y accède par un escalier ménagé dans le rampant sud du pignon ouest qui semble toutefois plus ancien que le clocheton lui-même.A l'intérieur le couvrement et le doublage des murs refaits dans les années 1980 ne correspondent plus au volume primitif.Chacune des portes sud et nord sont flanquées d'un bénitier mural.Le retable est l'élément le plus intéressant du mobilier (étudié).La fontaine de dévotion (étudiée) dédiée à Saint-Germain est une partie constituante de l'édifice.Le village est mentionné au 11e siècle dans le cartulaire de Quimperlé.La chapelle actuelle porte les traces de nombreux remaniements : porte sud du 15e siècle, porte nord de la seconde moitié du 16e siècle, chevet fortement remanié lors de la pose d'un retable qui voit la suppression de la baie axiale (remployée au sud) en 1635 comme l'indique la date portée à l'extérieur de ce même mur. Au 19e siècle, l'abbé Camper rénove la chapelle et fait remonter le retable ancien en 1898. Au 20e siècle, les enduits extérieurs sont refaits sur la façade sud comme semble l'indiquer la date 1925.Enfin, en 1980, d'importantes restaurations réalisées par une association locale, voient le doublage intérieur des murs en parpaing et béton, la réfection du lambris de couvrement et la création d'un revêtement de sol moderne à la place du sol en terre battue et du dallage ancien dans le choeur. Seuls le chaulage intérieur et la restauration du retable en bois sont en cohérence avec l'édifice.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Berthou Marie ; Toscer Catherine ; Pierre L. et M.

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - se
septembre 1914. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - ju
juin 1919. 20ème siècle

Par : Gallica

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Rue Jeanne Gahinet (Locoal-Mendon)
L'origine de cette rue ancienne part de la place de l'église pour desservir les entrées de l'ancien presbytère et de l'ancien établissement des religieuses.Très étroite, elle forme un coude à angle droit à hauteur du presbytère. Le tracé, la largeur et la physionomie de la rue Jeanne Gahinet sont inchangés depuis les cadastres napoléoniens de 1810 et de 1845. Ceux-ci montrent qu'elle est très peu construite. En effet, les murs de clôture du jardin presbytère, qui bordent le côté droit de cette voie, ont exclu toutes constructions jusqu'à une date récente où la vente d'une partie du jardin a permis l'édification d'une maison neuve, en retrait de la rue Jeanne Gahinet, et la destruction partielle du mur de clôture.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Tanguy Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

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Danter al linjerez yaouank

Par : Dastum

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Ensemble de deux maisons, Kerdonnerc'h (Belz)
Les maisons sont bâties au sud du village, le long d'un chemin desservant d'anciens communs proche du ruisseau.La pente du terrain justifie l'aspect légèrement excavé de la maison, côté nord. Cet effet est aujourd'hui renforcé par les recharges de remblais faites du chemin.Les deux corps de bâtiments qui composent la maison, aujourd'hui logis principal et dépendance, sont alignés et réunis par un mur formant refend ou pignon intermédiaire. Aucune porte n'existe dans ce mur, on communique de l'un à l'autre des deux bâtiments, uniquement par l'extérieur.Il n'existe pas de rupture dans les parements extérieurs des murs sud et nord du logis et de sa dépendance. L'homogénéité des maçonneries de moellons, des chaînes d'angle, laisse à penser qu'ils ont été construits en une seule phase de travaux.Une soue à porcs (détruite) se trouvait à l'ouest de la dépendance.Le logis principal situé à l'est, est un pen-ty : maison à pièce unique à comble à surcroît. Outre une porte nord (bouchée) ouvrant sur le chemin, le logis est ouvert au sud d'une porte et d'une fenêtre Un jour bas (bouché) situé à gauche en entrant de la porte correspond probablement à l'éclairage d'un ancien évier. On accède au grenier par une ouverture extérieure pratiquée dans la partie haute du pignon est, et décalée en raison de la présence du conduit de cheminée.A l'intérieur la pièce plafonné présente une cheminée remaniée (années 1930) ménagée contre le pignon est.Les murs enduits sont chaulés. Une partie du mobilier est conservé. Sa disposition remontant à l'époque des années 1910-1920 nous est rapportée par tradition orale : une grande armoire à deux battant adossée au centre du mur nord séparait les deux lits de coin. A l'angle nord-est était celui des parents, à l'angle nord-ouest, celui des enfants. A droite de la cheminée une chaudière ou poële à charbon était adossé au pignon. Le vaisselier était adossé à l'ouest contre le mur de refend. Contre le mur sud à droite en entrant se trouvait la cuisinière et l'évier, et, au centre de la pièce la table et les chaises.La dépendance est un ancien logis à pièce unique sous comble à surcroît. Elle présentait à l'origine une porte nord (bouchée) et une petite fenêtre au sud, transformée en porte postérieurement.A l'intérieur la cheminée adossée au pignon ouest présente un linteau de bois. La pièce est enduite et chaulée. Le plancher du grenier n'existe plus mais l'absence d'ouverture extérieure en pignon confirme que l'on y accédait par une échelle depuis la pièce.La fonction de cette maison à pièce unique sans fenêtre peut être celle d'un cellier mais aussi et conjointement d'un logis secondaire, comme le confirme son appellation de chambre, restée dans la tradition familiale.Ces deux maisons en alignement n'apparaissent pas sur le plan cadastral de 1811, mais sur celui de 1845 : elles sont sans doute contemporaines. ¨Par la suite, l'une des maisons est transformée en dépendance de l'autre logis.Quelques modifications ont eu lieu au cours du 20e siècle : les portes nord de la maison et de l'actuelle remise sont bouchées suite à l' élargissement du chemin aujourd'hui rue du Ouerch. Dans les années 1960, l'ensemble des couvertures en chaume des deux bâtiments est remplacé par du fibrociment.La tradition orale attribue à la remise, ancien logis à pièce unique, le nom de "la chambre".
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie

Par : L'inventaire du patrimoine

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Er sabotier koad

Par : Dastum

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Scottish

Par : Dastum

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Bulletin paroissial de Quiberon - mars 1916
mars 1916. 20ème siècle

Par : Gallica

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Quiberon - Lucarne / Volet
LUCARNE Quiberonn. Moulure ronde cimaise et cintre, Volets

Par : Dastum

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Quiberon (Morbihan) : La digue et le port un jour

Par : Dastum

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Statue Hoche à Quiberon

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Monument aux morts
Tableau donnant la liste des paroissiens d'Erdeven, soldats, morts pour la France de 1914 à 1918.Dans un cadre et fond en bois, rectangulaire et trilobé dans sa partie supérieure.Représentation : liste sur deux colonnes surmontées d'un décor peint à l'encre et à la manière d'un lavis.Vers 1920.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Berthou Marie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Écoles primaires et mairies-écoles sur la commune

Par : L'inventaire du patrimoine

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Les naturistes
En s'installant dans les dunes et sur les plages d'Erdeven, les naturistes provoquent la polémique. Certains agriculteurs et commerçants locaux songent à créer une milice, pour protéger leur village. Car la réputation de la région est en jeu...

Par : INA

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Alignements de Kerzerho, menhir avec traces de car

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Josiane la sémaphoriste
A la mort de son mari, Josiane a repris l'activité de son époux au sémaphore d'Etel. Elle a appris son métier en observant la nature, et, s'est petit à petit imposée auprès des marins, qui se laissent guider à travers la barre, réputée dangereuse.

Par : INA

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Au pied des grands menhirs s'echangent les promess

Par : Dastum

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femme en costume breton devant une toile

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Tumulus du Moustoir

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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