Les documents du Pays d'Auray

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Dernier voyage de la locomotive à vapeur entre Ren
Dernier voyage d'une locomotive à vapeur sur le réseau de l'Ouest. Le train quitte la gare de Rennes à destination de la gare d'Auray dans le Morbihan. Tout au long de ce voyage à travers la campagne, les cheminots actionnent les machines.

Par : INA

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Église paroissiale de la Nativité de Notre-Dame di
L´église occupe la partie est d´une place au centre du bourg, anciennement hameau de Kerévin.Elle est de plan quadrangulaire à chevet plat, avec une sacristie (et local technique) adossée au sud-est et massif occidental contre le pignon ouest. L'église dépourvue de transept présente une nef centrale et des collatéraux. Elle a cinq travées délimitées par de simples poteaux bois.Vu de l´extérieur, l´édifice apparaît très simple avec des baies cintrées et pour seul décor une corniche moulurée à l´égout du toit. L´ensemble des parements extérieurs de l´édifice, constitués de moellons est enduit. Les soubassements ont été récemment dégradés par erreur. Le massif occidental oeuvre de Lussault de style néo classique, intègre un porche maçonné en pierre de taille avec chaînes d´angle en forme de pilastres et bandeau saillant. Son portail cintré présente des ébrasements intérieurs à ressauts. Le clocher de plan carré est en béton armé avec chaînes d´angle et corniche en pierres de taille de granite gris. Sa flèche en charpente est pyramidale.A l´intérieur l´ensemble du décor du 19e siècle, à l´exception de la tribune, des fonts baptismaux et des vitraux, a disparu. Le dallage de granite est conservé. Les aménagements réalisés entre 1945 et 1958 ont dépouillé l´église de toute surcharge. Les huit colonnes de bois sur soubassements de granite supportent un couvrement lambrissé en forme de berceau. Tandis que la fresque de Xavier de Langlais offre une polychromie douce sur l´intégralité du chevet, les murs de l´église sont entièrement recouverts d´un enduit blanc et lumineux. On déplore toutefois comme à l´extérieur de l´édifice la dégradation des enduits en partie basse au pourtour intérieur des murs. Le plateau liturgique et l´ensemble du mobilier, confessionnaux compris, date également des années 1950. Réalisés en bois exotique et treillage de ferronnerie, il constitue un ensemble homogène en adéquation avec les volumes simples de l´église rénovée.A l'origine Etel dépendait de la paroisse d'Erdeven et ne disposait d'aucun lieu de culte. Les fidèles devaient se rendre à l'église d'Erdeven ou dans la chapelle voisine de Saint-Germain (actuelle commune d'Erdeven). Aussi vers 1830 on se préoccupa d'édifier à Kerévin une chapelle de secours. Suivant les plans et l'estimation de l'architecte Lussault de Lorient, l'adjudication des travaux de construction fut emportée par Rouxel et Quennec en avril 1835 (Danigo, 1986). Dès 1845 il est question de réparations importantes à la chapelle, notamment du remplacement partiel de la couverture en cuivre réalisée par Chalmé fondeur à Lorient, dont la tenue dans le temps n'est pas satisfaisante (AD56, 2O 54/5).La chapelle devient église paroissiale le 2 septembre 1849. En 1851, l'architecte Halouis établit les plans et devis de restauration de l'édifice, intégrant une proposition d´agrandissement vers l´est. Comme le confirme un plan masse du quartier daté 1862, seules les rénovations du décor intérieur et de la charpente de couverture furent effectivement réalisées (fig.2). L'entreprise Daniel de Ploemeur se chargea des travaux dont la réception eut lieu le 10 décembre 1853 (Danigo, 1986). Les plans d´Halouis conservés aux archives, confirment qu´il s´agit alors d´un édifice de plan rectangulaire à trois travées, massif occidental avec porche et fonts baptismaux dans oeuvre, le choeur occupant l´espace d´une demie travée contre le chevet plat.25 ans plus tard, pour faire face à l'augmentation de la population des fidèles il est toujours question d'agrandir l'église. Maigné, architecte du département, présente en 1877, un projet d'agrandissement côté choeur, s´inspirant largement de celui d´Halouis. Ces travaux ne furent pas réalisés et on se contenta en 1888 de faire construire une grande tribune au fond de l'église (Danigo, 1986).Le conseil de fabrique se chargea finalement d'allonger l'église en créant une travée supplémentaire comme l'avait projeté Maigné mais en reculant le pignon du chevet dans de moindres proportions. Cette campagne de travaux devait inclure l'agrandissement des baies et la pose de vitraux en 1889 et 1891.En 1901, un projet de l´abbé Le Troucher de Sainte-Anne d´Auray, vise à nouveau l´agrandissement de l´église mais cette fois vers l´ouest, avec l´intention d´élever un clocher (AD56, 20 55/5). Il restera sans suite.Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la municipalité confie à l´architecte vannetais Guy Caubert de Cléry le soin de rénover l´église et d´y élever enfin un clocher (AD56, 49J 945 et 2208). Les travaux s´achèvent en 1958 par la réalisation sur le mur du chevet, d´une fresque monumentale à la gloire de la Vierge protectrice du monde maritime reconnaissant (fig.3).
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Statue de procession de saint Goal et dais de proc
Statuette en bois en plusieurs éléments. Dais de procession hexagonal sur pieds.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Tanguy Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

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Écart dit village de la Forest (Locoal-Mendon)
Le village de la Forest se situe à l'extrémité sud-ouest de l'île de Locoal, sur un cap arrondi relié au reste de l'île par une étroite chaussée. Sur les 51 hectares que forment ce domaine, seules deux fermes anciennes et un château de la fin du 19e siècle sont construits. La Forest fait partie dès le 11e siècle de l'ancien fief des Bénédictins de Redon dont un des prieurés est installé à deux kilomètres environ au bourg de Locoal. Selon toute vraissemblance, des moines bénédictins relevant de ce prieuré exploitaient des terres à La Forest et vivaient dans une ferme communautaire dont il subsiste encore quelques bâtiments. Dans les réformations de la noblesse de 1427 et de 1448, le village de la Forest est inscrit comme exempt de fouage (impôt) avec les noms des métayers du prieur de Saint-Goal. La comparaison entre le cadastre actuel et les cadastres napoléoniens de 1810 et de 1845 montre relativement peu de changements : les bâtiments de l'écart sont en place malgré les nombreux remaniements dont ils ont fait l'objet aux 19e et 20e siècles. Les fontaines Pradel signalées sur le cadastre de 1845 semblent avoir disparu aujourd'hui.Relativement épargnée par le remembrement de 1971 grâce à de multiples interventions, cette portion de l'île a conservé ses anciens chemins, ses arbres, ses talus, en particulier un chemin, long d'un kilomètre, bordé de grands talus, qui passe près du village de la Forest et conduit jusqu'à la rivière d'Etel. Ce chemin est devenu légendaire car dans un de ses grands talus est aménagée une cachette dite "la cache de Georges". En 1796, la presqu'île de la Forest servit de refuge au chef chouan Georges Cadoudal. Il y trouva, au milieu du labyrinthe de bras de mer qui entoure la presqu'île, une sécurité précieuse et l'aide de la population. En cas d'alerte, cette cachette lui aurait servi de refuge. Elle a probablement servi aussi à entreposer des vivres destinées aux chouans qui, à la nuit tombée, accostaient pour se ravitailler.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Tanguy Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ferme 2
Ferme de type logis étable, avec salle au nord avec vestiges de cheminée à linteau de bois. Le rampant nord est sculpté d'une tête, la base de la porte amortie d'un motif perlé. Le logis en alignement se composait à l'origine d'une pièce unique, devenu au 20e siècle salle surmontée d'une chambre. Le puits orné de montants et traverse à volutes est identique à celui conservé devant la ferme 1, et très proche de celui du nord de Saint-Dégan, les trois sans doute oeuvre d'un même artisan.Construite dans la 2e moitié du 17e siècle, la ferme est restaurée au cours du 19e siècle. Avant 1839, un nouveau logis est construit en prolongement du logis au sud, en remployant la porte, du 18e siècle. Le comble de ce logis est rehaussé en étage au début du 20e siècle. Le puits porte la date de 1792. Le logis étable est en ruines.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Locmariaquer : Nouveaux maries, garcon et fille d'

Par : Dastum

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Maison, 6 rue du commandant Charcot (Etel)
Maison située en bout d'alignement, à double façade, sans espace libre.Maison dont la façade principale est aspectée à l'ouest. La façade postérieure, sur la rue (ruelle) Charcot présente une porte bouchée et une fenêtre en rez-de-chaussée. Il s'agit d'un ancien logis double.Façade principale de type ternaire. Enduit disparu à l'ouest et au sud, décor de briques sous la corniche.Façade sud en pignon présente de grosses pierres en remploi, vestiges d'une maçonnerie ancienne, peut-être un escalier extérieur.Cette maison est représentée sur le plan cadastral de 1850, avec construction adossée contre son pignon sud (escalier extérieur ?).Façades entièrement recomposées vers 1920.Baie sud vers 1970-1980.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison, 9 rue du Souvenir (Etel)
Maison construite à l'alignement de la voie à mitoyenneté partielle et sans espace libre contigu. Son jardin est situé au sud de l'autre côté de la rue (parcelle 322).Maison de plan massé à un étage et une pièce par étage. Deux fenêtres formant une travée unique. Comble à surcroît sans lucarne.Enduit mal refait masquant les entourages des fenêtres.Maison construite dans la seconde moitié du 19e siècle et faisant partie, à l'origine, d'un alignement de 3 logis semblables (le n°7 remanié vers 1930).Façade ré enduite vers 1990.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison, 1 place Saint-Louis (Etel)
Maison construite à l'alignement de la voie et à l'angle de la rue du Couvent.Jardin postérieur et latéral clos de murs. Remise en appentis contre mur de clôture avec couronnement en briques.Plan massé à étage, sur cave, double en profondeur. Elévation de type ternaire, variante : fenêtres géminées en rez-de-chaussée. Les lucarnes en pierre de taille sont à fronton triangulaire. Soubassement en pierre de taille de grand appareil.Volume et toiture à croupe correspondent à une maison d'armateur ou de négociant.Maison construite vers 1910.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ferme, le Sach (Etel)
Maison de type Pen-ty, faisant à l'origine partie d'un alignement de trois.Logis à pièce unique avec escalier extérieur (disparu) pour accès au comble.Fenêtre à linteau en arc segmentaire et feuillure de contrevent caractéristique de la fin du 18e siècle. Porte à linteau en anse de panier surbaissé et large chanfrein date du 17e siècle.Ferme d'origine du 17e siècle, remaniée au 18e siècle (fenêtre) puis rehaussée dans la seconde moitié du 19e siècle.Escalier extérieur qui figure sur le plan cadastral de 1850, a disparu.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Lotissement communal La Falaise, bourg (Etel)
Le lotissement est situé au sud de la commune, sur un terrain du littoral anciennement constitué de dunes. Avec un point haut au nord-est, la pente du terrain est orientée nord-est sud-ouest.Les voies ont été tracées suivant un quadrillage orthonormé, ainsi la rue de l'Océan est-elle perpendiculaire aux rues de la Barre, des Ecoles et des Dunes. En cours d'aménagement un réseau de voies piétonnes a été réservé pour distribuer quelques parcelles enclavées et les arrières des jardins de la rue des Ecoles et de la rue des Dunes.Rue des Dunes, côté impair à l'est, une seconde opération de lotissement, comportant une dizaine de lots est venu se placer en arrière d'une parcelle étroite non bâtie. Celle-ci (AH 98) a été aménagée en un espace ouvert engazonné planté d'une rangée d'arbres.Dans l'emprise du lotissement, les maisons ne sont pas de construction homogène.Celles de l'entre-deux-guerres bordant la rue de l'Océan et la partie nord-ouest de la rue des Dunes sont soit à pièce unique (n°5 rue de l'Océan) soit, et c'est le cas le plus fréquent, à deux pièces symétriques sous comble à surcroît. Beaucoup sont dénaturées par des rehaussements ou des extensions récentes.Les maisons des années 1950-1960 qui complètent les lots non construits jusqu'alors sont généralement partiellement mitoyennes tel cet ensemble de 5 maisons occupant les n°11 à 19 rue de l'Océan (AH 199-201, 206-207).Lotissement communal initié en 1922, dans un secteur de terres incultes près ou sur les dunes d'Etel, traditionnellement nommé La Falaise.Un plan d'un premier projet dressé par le géomètre Aupetel, et daté du 12 avril 1922 (AD56, 2O 55/3) représente l'emprise du lotissement, le tracé des voies nouvelles et le découpage des 89 lots. Ce projet ne correspond qu'en partie au réseau viaire actuel. La rue de la Barre adoptera par exemple, une orientation nord-sud régulière différente de celle dessinée en 1922. De plus tous les lots situés à l'ouest de cette même rue, ne seront pas vendus. Il s'agit aujourd'hui du camping municipal et des espaces réservés aux loisirs (école de voile).D'après la tradition orale, la maison la plus ancienne - actuel n° 18 rue de l'Océan - et qui correspond au lot J 1 du plan de 1922, est construite en 1923.Pendant la Seconde Guerre mondiale, l'armée allemande fait construire trois blockhaus dans la partie ouest du lotissement, entre la rue des Ecoles et la rue de la Barre. Ils sont aujourd'hui intégrés dans l'emprise des établissements scolaires construits après guerre.Initiées dans l'entre-deux-guerres, la vente des lots et leur construction, s'étiole et se prolonge jusqu'aux années 1960.Les maisons les plus anciennes sont des maisons de pêcheurs. On découvre toutefois quelques résidences secondaires des années 1930 tel le n°1 rue de l'Océan.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bulletin paroissial de Quiberon - mars 1915
mars 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - juillet 1916
juillet 1916. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - paroisse Saint-
avril 1919. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - paroisse Saint-
octobre 1919. 20ème siècle

Par : Gallica

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Maries des environs d'Auray

Par : Dastum

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Les menhirs de Carnac
Le maire et le président du syndicat d'initiative de Carnac sont inquiets face au nombre toujours grandissant de visiteurs du site de mégalithes. Les menhirs touristes ne sont en effet pas toujours respectueux du lieu.

Par : INA

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3 soldats debout en extérieur ; 2 autres en arrièr

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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soldat décoré d’une médaille debout devant les po

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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photo post-mortem ; un enfant avec christ en arriè

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Enquête à Saint-Anne-d'Auray - s.d., années 1950

Par : Dastum

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