Les documents du Pays d'Auray

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - ma
mars 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - fé
février 1919. 20ème siècle

Par : Gallica

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Festival de l'huître à la Trinité sur Mer
L'association l'Astroballe organise pour la première fois le festival de l'huître. Ce festival est la rencontre de l'ostréiculture et des arts. Les ostréiculteurs sont très heureux de cette manifestation de promotion de l'huître.

Par : INA

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Écart dit village de Kerispern (Belz)
Kerispern est un village côtier qui s'organise primitivement le long de l'actuelle rue du Chochet, où subsistent deux anciennes fermes. L'urbanisation s'est ensuite développée le long d'un chemin menant vers le nord et le rivage, actuelle rue Pierre Lofficial.Au nord les pointes de Marchelan et du Chochet conservent d'anciennes maisons liées à l'activité ostréicole. Sur la première pointe subsiste une maison de propriétaire (AB 3) et exploitant de concessions, datée de la fin du 19e siècle. Sur la pointe du Chochet il s'agit d'une maison de gardien de parcs à huîtres.7 maisons et 2 fermes sont repérées (AB 3, 30, 158, 180, 494, 177, 17, 167-169, 413).La ferme n°1 (AB 413) est composée de trois bâtiments mitoyens d'origine du début du 17e siècle. Celui à l'ouest est un logis étable à une seule porte sous comble à surcroît avec porte haute. Celui du centre est aussi un logis étable avec portes hautes. Les façades antérieures ou postérieures de ces deux bâtiments sont très remaniées. Seule la présence d'une dépendance en alignement à l'est justifie ce repérage. C'est un logis à pièce unique du 17e siècle qui a servi également de pressoir et de cave.La ferme n°2 (AB 167-169) est composée d'un logis d'origine du 18e siècle, dont le comble est rehaussé au 19e siècle. La façade nord conserve un escalier extérieur d'accès au grenier primitif, la façade sud présente une élévation à un étage carré. Une étable sous grenier subsiste en alignement à l'ouest tandis qu'une autre dépendance est adossée parallèlement et partiellement à la façade sud du logis principal.Les 7 autres maisons repérées sont des maisons de pêcheurs la plupart à deux pièces symétriques. Seule celle de la pointe de Marchelan, évoquée ci-dessus (AB 3), est de plan massé à étage et deux travées en façade principale.La maison de gardien de parc est un logis double, comme le laisse supposer la présence des deux portes en façade nord (AB 30).La fontaine des Sardiniers (AB 526) est située au nord-est du hameau à proximité du rivage. De plan presque carré elle est construite en moellons de granite et couverte de dalles de pierres renforcées (anciennement) par du béton armé pour maintenir également la grille de protection en fer forgé.Une tenue à Kerispern dépendaient au 17e siècle du seigneur de Keryargon (AD56, 3A3, 1679).Une seule date portée a été relevée, en remploi, sur la souche de cheminée de la ferme n°2 : 1783.Les maisons de pêcheurs sont majoritairement datées de la fin du 19e siècle aux années 1920-1930.La fontaine dite fontaine des sardiniers date de la fin du 19e siècle. La tradition orale rapporte qu'elle servait à l'avitaillement des bateaux de pêche qui venaient s'échouer à proximité.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie

Par : L'inventaire du patrimoine

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Tri paotr ievank e monet d'an arme

Par : Dastum

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Autel (maître-autel)
Autel en pierre de taille de plan rectangulaire, pierre d'autel en calcaire.L'autel est contemporain de la chapelle, de la fin du 15e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Tanguy Judith ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Er hiemener a Valachap

Par : Dastum

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Bulletin paroissial de Quiberon - avril 1916
avril 1916. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - octobre 1916
octobre 1916. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - février 1918
février 1918. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - octobre 1918
octobre 1918. 20ème siècle

Par : Gallica

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Louison Bobet, entrepreneur
L'ancien cycliste Louison Bobet a troqué son maillot de sportif pour la casquette de chef d'entreprise. Il évoque sa reconversion et son besoin d'entreprendre. A Quiberon, il a ainsi ouvert un centre de thalassothérapie.

Par : INA

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Auray - Porte / Anse de panier
PORTE granit en réemploi, P.H. anse de panier, denticul

Par : Dastum

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Manoir, puis château de Kercadio (Erdeven)
Situé à l'est du bourg, sur la route de Ploëmel et Auray, le manoir et château de Kercadio est construit dans un enclos dont il occupe la partie sud-est.Logis, communs, ancien logis composent un plan d'ensemble en U autour d'une cour (plan masse). Le corps de logis principal est orienté au sud. Les communs sont en retour à l'est et à l'ouest. Le logis-tour ancien est situé à l'extrémité sud des communs est (sous dossier). Le mur fermant la cour au sud, s'apparente à un saut de loup avec portail à deux piliers en bossage au centre.L'ensemble de ces bâtiments fermant la cour, s'inscrit dans un grand enclos quadrangulaire, avec chapelle (ruine) dans l'angle nord-ouest et orangerie (ruine) dans l'angle nord-est.L'ancien logis, logis-tour construit à l'angle sud-est de la cour du manoir, est aspecté à l'ouest et aveugle vers l'extérieur, y compris sa façade nord, contre laquelle sont venus s'adosser des communs au 17e siècle.Edifice de plan carré avec tour d'escalier hors oeuvre dans l'angle sud-ouest, échauguette en encorbellement dans la partie supérieure de l'angle sud-est et tourelle très peu saillante à l'angle nord-est, intégrant des latrines.Les parements extérieurs, aux assises régulières, sont réalisés en moellons équarris, mêlés de pierres de taille de moyen et grand appareil (remplois).Planchers et charpente de toit n'existent plus. L'ensemble s'apparente à une tour-logis, réminiscence des anciens donjons.La façade principale ouvre à l'ouest sur la cour. L'élévation et à deux étages carrés avec une seule pièce par niveau de faible hauteur.La salle du rez-de-chaussée présente une cheminée en pignon nord, dont les piédroits aux larges chanfreins se terminent en consoles superposées profilées en doucine. Une petite crédence cintrée et à feuillure est aménagée dans le mur sud. Le sol est dallé et la fenêtre à arc en anse de panier également à large chanfrein, conserve des coussièges. La porte d'entrée présente un linteau à double accolade au milieu desquelles figure un blason sculpté, non identifiable.La cheminée de la salle du premier étage est sur le mur sud. Ses consoles sont en quart de rond. A droite, une petite crédence intégrée à la maçonnerie, en anse de panier et à feuillure, conserve l'attache de sa charnière et un enduit intérieur. Dans l'angle nord-est une porte à linteau droit orné d'une accolade, ouvre vers les latrines et/ou poste de guet intégrés à la tourelle d'angle. Dans le mur est subsiste l'ébrasement d'une ancienne meurtrière (bouchée). La grande fenêtre du mur ouest, est à linteau à arc segmentaire et palâtre ou arrière voussure en bois (18e siècle). La salle du 2e étage présente une petite cheminée sur le mur est, sans décor. Comme au niveau inférieur, l'angle nord-est est ouvert d'une porte, cette fois à linteau cintré donnant vers les latrines. Dans l'angle sud-est une autre porte ouvre sur l'échauguette d'angle surveillant l'ancien chemin. La grande fenêtre du mur ouest, est à linteau à arc segmentaire et palâtre en bois (18e siècle). La tour d'escalier de l'angle sud-ouest, renferme une vis en pierre de grande qualité. La terrasse qui lui servait encore de couverture au début du 20e siècle est probablement une rénovation du 19e siècle. Pour y accéder il fallait passer par le comble du logis. L'escalier distribue chacune des salles des trois niveaux par une porte cintrée.Les ouvertures éclairant l'escalier sont à ébrasement intérieur. A l'exception d'un jour orné d'une accolade dans la partie basse de la tour, et d'un oculus éclairant le dernier niveau de la tour, elles ont la forme de meurtrières ou bouches à feu pour armes légères (simples mousquets). Deux formes sont identifiables : simple carré ouvert dans une dalle monolithe posée de chant sans ou avec faible ébrasement extérieur ; double ouverture circulaire superposées, réunies au centre, taillée dans dalle monolithe posée de chant sans ébrasement extérieur.L'échauguette est en encorbellement sur l'angle sud-est, au niveau du second étage. Régulièrement appareillée en pierre de taille, elle présente dans sa partie supérieure les vestiges d'une corniche. Un jour, chanfreiné à l'extérieur est ouvert au sud et une meurtrière semble être orientée à l'est (inaccessible).Le logis procède de la rénovation au 18e siècle d'un logis ancien. De plan allongé, à onze travées côté sud, il est couvert d'une charpente à longs pans sur pignons découverts. Le comble est un simple grenier éclairé de quatre lucarnes à frontons triangulaires ou cintrés. La travée centrale à fronton triangulaire ouvre sur l'escalier d'honneur. En légère avancée elle est de style classique ornée de pilastres de granite et de pierre blanche en ressaut. La porte-fenêtre de l'étage ouvre sur un balcon en fer forgé. L'enduit a disparu.Sur la façade postérieure on décèle l'antériorité de la partie est du logis et la phase de remaniement du 18e siècle sur les huit travées ouest.Les pièces sont en enfilade avec corridor antérieur pour certaines (plan de distribution à RDC). A l'extrémité ouest était la cuisine avec four à pain et cheminée fin 15e siècle en remploi. Un escalier secondaire avec rampe en fer forgé jouxte cette pièce. La pièce à l'ouest de l'escalier d'honneur conserve lambris et meuble d'attache de la seconde moitié du 18e siècle. La travée centrale est réservée à l'escalier principal, tournant avec jour. Il est en charpente, avec rampe en fer forgé. A l'étage deux chambres conservent des boiseries des 18e et 19e siècles.Le commun ouest servait d'écurie et de charetterie, mais aussi d'ancien corps de passage cocher dans sa partie sud. Le grenier en surcroît est couvert d'une charpente brisée, à croupe, éclairée à l'est d'une lucarne à fronton triangulaire. Les ouvertures sont remaniées 20e siècle.Le commun est qui conserve ses ouvertures d'origine est également couvert d'une charpente brisée, à croupe, avec à l'ouest deux lucarnes à frontons triangulaires. Il est constitué d'une remise au sud et d'une dépendance au nord, avec cheminée sur gouttereau. Une rénovation récente a fait disparaître l'enduit.Au sud et de l'autre côté de la route, subsistent les vestiges de la métairie noble de Kercadio, et dans l'axe du portail, un troisième enclos cerné d'un muret au centre duquel se trouvait le colombier (détruit), représenté sur les plans cadastraux de 1811 et 1845.Siège d'une seigneurie qui apparaît dans les sources de la fin du Moyen Âge, Kercadio doit son nom à la famille de Kercadiou, dont Alain est nommé lors de la réformation du domaine ducal en 1427.A compter de 1466, ce sont les de Larlan qui deviennent seigneurs de Kercadio et de Coëtquintin en Ploëmel et le resteront jusqu'à la fin du 17e siècle. La chapelle est d'origine du 15e siècle, remaniée à l'époque moderne. L'ancien logis-tour, probablement construit sur les bases d'un édifice médiéval, remonte à la fin du 16e siècle, début 17e siècle. Cette partie de l'actuel château est la plus ancienne, en élévation, probable vestige du manoir de Kercadio, cité dès 1427 dans la paroisse d´Erdeven (Laigue, 1902).Cependant, bien qu'elle reprenne le plan d'un logis-tour de la fin du Moyen Âge, cette construction date de la fin du 16e début du 17e siècle, comme l'indiquent les cheminées des trois salles superposées, les ouvertures du rez-de-chaussée et les portes de la tour d'escalier, dont les meurtrières pour armes à feu légères sont sans doute des aménagements liés aux conséquences de la Ligue.A l'époque ce sont les de Larlan qui jouissent de la seigneurie de Kercadio. En 1595, le seigneur écuyer de Larlan a la garde de toute la côte de Quiberon jusqu'au bras de mer d'Etel (Danigo et Le Tallec, 1971). En 1625, Pierre de Larlan est conseiller au Parlement de Bretagne.La façade ouest de ce logis est remaniée par le percement de hautes fenêtres au 18e siècle, dans l'esprit de celles du château, rénové à l'époque des Gouyon de Vaudurant. Nommé le pavillon en raison de la forme de sa toiture, il sert de cuisine, de buanderie et de logis pour les domestiques (Textes d'archives réunis par S. Despas, 2000).Une carte postale du début du 20e siècle, montre qu'il était encore couvert d'une charpente vers 1910-1920.Cet ancien logis est actuellement très dégradé. Ces ruines sont protégées (ISMH) depuis 1998.Les communs est et ouest sont de la seconde moitié du 17e siècle.Au 18e siècle le domaine passe aux mains des Gouyon de Vaudurand, bâtisseurs du nouveau logis, dont Jean-Louis Gouyon de Vaudurant, évêque de Saint-Pol-de-Léon, qui y décède en 1780. La date 1780 d'une écriture malhabile portée sur le piédroit de la grande porte du logis ne peut correspondre à des travaux.A la Révolution le domaine appartient au marquis de Rougé.L'orangerie et le colombier (détruits partiellement ou en totalité) sont représentés sur les plans cadastraux de 1811 et 1845.L'édifice est inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques, en totalité, par arrêté du 8 juin 1998.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Berthou Marie ; Toscer Catherine ; Pierre L. et M.

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison de prêtre, Keroulard (Erdeven)
Logis-étable orienté sud-ouest. Grange double au nord-ouest avec calices sculptés en remploi. Charretterie au sud, ouverte côté sud sur poteaux .Logis et étable en alignement comportant à l'origine un logis-étable avec porte haute ornée d'un calice et de la date 1622. Cette partie repérée en 1976 est complètement remaniée dans le 3e quart du 20e siècle ainsi que la grange double au nord. Logis nord-ouest en alignement est remanié au 19e siècle, puis au 20e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Berthou Marie ; Toscer Catherine ; Pierre L. et M.

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison, 6 rue de la Fontaine (Erdeven)
Maison perpendiculaire à la rue de l'Océan. Sa façade principale est sur la rue de la Fontaine. De plan massé avec appentis postérieur, elle présente une ouvertures par niveau en pignon sud.Maison représentée sur le cadastre de 1845. Façade sud remaniée vers 1910-1920.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Entrée du grand dolmen du Mané Bras

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Les menhirs de Carnac
Le maire et le président du syndicat d'initiative de Carnac sont inquiets face au nombre toujours grandissant de visiteurs du site de mégalithes. Les menhirs touristes ne sont en effet pas toujours respectueux du lieu.

Par : INA

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femme en costume breton devant les portes du musée

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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femme en costume breton devant une toile en extéri

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Ste Anne d'Auray : Nicolazic, mystere breton de M.

Par : Dastum

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