Les documents de la ville de Saint-Brieuc

vignette
picto
Machine à rectifier (raboteuse)
Cette machine est constituée d'une table qui se déplace et rabote les pièces.Cette machine de marque Dey est toujours en service.
Auteur(s) du descriptif : Cucarull Jérôme

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Minoterie Epivent-Le Besque ou de Robien ou grands
La minoterie Epivent-Le Besque est un vaste bâtiment comprenant un rez-de-chaussée, deux étages carré et un étage de comble, bâti en moellon de granite et les encadrements de ses ouvertures sont en pierre de taille de granite. Il est couvert par un toit à longs pans en ardoise. Il comprenait à l'origine six travées, avec une partie réservée pour un éventuel agrandissement. Cette partie a été aménagée postérieurement et possède une travée de grandes fenêtres avec appui et linteau en béton. Enfin côté rue, un appentis comprenant rez-de-chaussée et un étage carré jouxte l'ensemble. Sa fonction d'habitation est évidente mais ne peut être raccordée directement à l'activité de la minoterie.Le long de la façade postérieure se trouve un petit bâtiment en pierre avec toit à lanterneau éclairé par de grandes baies.Les bâtiments des grands moulins de Saint-Brieuc ont été élevés en 1910 par M. Epivent, industriel, et Le Besque, ancien élève de l'Ecole d'Agriculture de Beauvais, qui sera ensuite remplacé par son frère Georges. La projet initial prévoit d'écraser 90 quintaux de blé par jour, mais les fondateurs élèvent des bâtiments beaucoup plus conséquents, en prévidion de la croissance attendue. La progrssion est en effet important : la minoterie moud 120 quintaux par jour en 1912, 150 en 1915 et 300 en 1918. A cette époque, la minoterie est modernisée grâce à l'intervention de la maison de montage anglaise Robinson et Cie. Des silos à blés et un laboratoire pour contrôler la qualité de la production sont élevés. Pour la force motrice, le moteur à gaz pauvre est remplacé par une machine à vapeur de 100 ch. Dans les années 1920, un raccodement à la voie ferrée est construit. Il est à noter que l'usine hydro-électrique élevée à Saint Barthélémy par M. Epivent était avant tout destiné à fournir de l'électricité pour la minoterie. Le site est actuellement désaffecté.
Auteur(s) du descriptif : Cucarull Jérôme

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Usine de chaudronnerie Chaffoteaux et Maury, actue
Ces bâtiments sont les vestiges d'un ensemble qui s'étendait en continu sur une vaste surface du port du Légué. Ce sont deux halles accolées composées d'un rez-de-chaussée et un étage de comble, couvertes par un toit à longs pans en tuile mécanique. Elles sont construites en moellon de grès et leurs ouvertures ont un encadrement en grès ou en béton armé enduit pour les plus récentes. Les pignons sur rue ont été assez remaniés au rez-de-chaussée. Celui qui est le plus à l'est est composé d'une grande porte récente, percée pour permettre l'accès des camions, celle à l'oust a une porte et 4 fenêtres de taille moyenne, elle aussi récentes, donnant accès à des bureaux. On devine encore l'organisation primitive de l'étage, identique pour les deux pignons : deux fenêtres de haute taille, coupées par un meneau horizontal en béton, encadrées par des colonnes de grès en saillie. La façade ouest est entièrement enduite de ciment, alors que celle à l'ouest présente un niveau de fenêtres sur toute la longueur de l'étage du bâtiment.En 1915, MM. Chaffoteaux frères, industriels à Donchéry dans les Ardennent achète la fonderie Sébert, qui s'était installée au port du Légué en 1850. Elle occupe 300 personnes dans les années 1920. L'usine Chaffoteaux et Maury a occupé ces bâtiments dans la seconde moitié du 20e siècle alors qu'elle employait plusieurs milliers de personnes. La production est alors très variée, notamment tous types d'appareils sanitaires, des tuyaux et fontes pour le bâtiment, des articles ménagers, de quincaillerie et de fumisterie. L'entreprise fournit également aux compagnies de chemin de fer de grandes quantités de pièces de fonte pour la construction et réparation des locomotives, voitures et wagons. En 1969 l'entreprise va s'établir dans une zone industrielle et les locaux sont maintenant occupés par un entrepôt de boissons. En 1969, l'entreprise employait 1300 personnes.
Auteur(s) du descriptif : Cucarull Jérôme

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Hospice général de Saint-Brieuc. Quartier des alié
Plan des bâtiments. Plan du rez-de-chaussée des bâtiments principaux de l'asile et des constructions accessoires. Hospice général, asile rue des Capucins. Ensemble du quartier des aliénés (bâtiments principaux de l'hospice). Répartition du rez-de-chaussée (cellules, dortoir, réfectoire...). Murs d'enclos avec constructions accessoires. Préaux, entrée du parc, jardin. Légende : trois couleurs (noire : bâtiments construits par le département, rouge : constructions aux frais de l'hospice, et jaune : constructions proposées par l'hospice après cession de terrain par le département).

Par : Archives municipales de Sa

vignette
picto
Ecole primaire et cours complémentaire. Partie M.D
Groupe scolaire Curie. Etat descriptif du rez-de-chaussée. Services généraux, appartement du concierge, parloir, bureau du directeur, salle des maitres, dépôt de bicyclettes, dépôt matériel nettoyage et espace de circulation. Relevés sur ouvertures et cloisons.

Par : Archives municipales de Sa

vignette
picto
Prison
Projet de déplacement de la prison départementale située près des Promenades. Etude. Projet de transformation de la maison d'arrêt de Saint-Brieuc en prison cellulaire.

Par : Archives municipales de Sa

vignette
picto
Ancien musée
Musée dans les bâtiments du petit lycée. Etat des locaux avant l'aménagement du musée dans le jardin d'hiver de la mairie

Par : Archives municipales de Sa

vignette
picto
St Brieuc : Vue generale

Par : Dastum

vignette
picto
St Brieuc : Le nouvel hotel des postes

Par : Dastum

vignette
picto
Fin de la grève au Joint Français à Saint Brieuc
Après 8 semaines de grève, le conflit au Joint Français aboutit à un accord signé par la majorité des ouvriers qui réclamaient une réévaluation des salaires. Ce mouvement est caractérisé par l'élan de solidarité de la population envers les grévistes.

Par : INA

vignette
picto
A Saint-Brieuc, grève à l'usine du Joint Français
Le Bureau départemental des Côtes-du-Nord vient d'être évacué par les forces de l'ordre. Les grévistes du Joint Français y retenaient depuis 24 heures trois représentants de la direction de l'entreprise. M. Mondrey (CFDT), M. Argenton (Bureau de la main d'oeuvre) et M. Fourt (direction) expriment leur point de vue sur le conflit.

Par : INA

vignette
picto
L'industrialisation de la Bretagne
Région traditionnellement agricole, la Bretagne débute son industrialisation en 1960. La priorité est dès lors mise sur l'électronique. Des industries automobiles et chimiques vont également s'implanter. Plus de 15 000 emplois vont être ainsi créés.

Par : INA

vignette
picto
Calvaire de Saint-Thégonnec
Sujet représenté : vue d'architecture (vitrail ; église ; partie d'édifice ; clocher ; statue ; Christ en croix ; croix monumentale ; Saint-Thégonnec ; calvaire monumental ; calvaire monumental) - N° d'inventaire : DOC 992.13.1066 ; R992.13.1066

Par : Musée d'Art et d'Histoire

vignette
picto
Saint-Brieuc ; chapelle

Par : Musée de Préhistoire de Ca

vignette
picto
Bulletin paroissial de Saint-Brieuc - paroisse de
avril 1917. 20ème siècle

Par : Gallica

vignette
picto
Bulletin paroissial de Saint-Brieuc - paroisse de
juillet 1917. 20ème siècle

Par : Gallica

vignette
picto
Bulletin paroissial de Saint-Brieuc - paroisse de
mai 1919. 20ème siècle

Par : Gallica

vignette
picto
Saint-Brieuc ; tour de Cesson

Par : Musée de Préhistoire de Ca

vignette
picto
Saint-Brieuc ; tour de Cesson

Par : Musée de Préhistoire de Ca

vignette
picto
Saint-Brieuc ; viaduc de la vallée du Gouédic

Par : Musée de Préhistoire de Ca

vignette
picto
Tour de Cesson ; le phare

Par : Musée de Préhistoire de Ca

vignette
picto
Tour de Cesson ; vue prise le phare dans le dos

Par : Musée de Préhistoire de Ca

vignette
picto
Manoir, la Noé Mahe (Saint-Brieuc-des-Iffs)
Cheminée de l'étage 2e moitié 16e siècle ; logis reconstruit 2e quart 17e siècle, la partie gauche façade principale, dénaturée portait la date 1630.
Auteur(s) du descriptif : Rioult Jean-Jacques

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Trois mats vu de l'étrave, 9 août 11h (recto) ; Mâ
Sujet représenté : scène (trois-mâts goélette ; ancre) ; scène (trois-mâts barque) - N° d'inventaire : 2001.7.57

Par : Musée d'Art et d'Histoire

Afficher le widget sur mon site Voir tous les documents
X

Afficher le widget sur mon site

Vous pouvez afficher le ce widget sur votre site en insérant le code suivant :

<iframe src="https://www.breizhapp.net/widgetbretania/index.php?set=wgt_doc_stbrieuc"></iframe>

Vous pouvez également voir la liste de tous les widgets à l'adresse suivante Liste des widgets