Le patrimoine de Concarneau Cornouaille Agglomération

vignette
picto
Saint-Ivy - Porte
PORTE PH cintrée 2 Pann, bas + 10 petits panneaux

Par : Dastum

vignette
picto
Tregunc : Croix de mission

Par : Dastum

vignette
picto
Église paroissiale Sainte-Thumette
Plan en croix latine et à trois vaisseaux ; chevet à pans coupés flanqué de deux sacristies à plan carré au nord et au sud. Clocher dans-oeuvre, chambre des cloches percée de huit baies en claire-voie, flèche non construite. Gros oeuvre en moellon de granite enduit partiellement de ciment. Pierre de taille de granite pour les encadrements des portes et des baies et les chaînages d´angle. Nef à cinq travées, voûte en brique peinte en blanc à croisées d´ogive éclairée par des fenêtres hautes ; voussures reposant sur colonnettes engagées. Arcades en arc brisé reposant sur des chapiteaux corinthiens portés par des colonnes. Sol couvert de ciment.Edifice construit en 1900 d'après les plans de l´architecte Armand Gassis par l´entreprise Canivet de Coray.
Auteur(s) du descriptif : Fauchille Gwénaël

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Église paroissiale Saint-Joseph
Plan en croix latine à trois vaisseaux. Chevet à pans coupés. Sacristie au nord au niveau de la cinquième travée. Porche sud hors-oeuvre dans l´alignement de la troisième travée. Porte occidentale en arc brisé inscrite dans un avant-corps coiffée d'un clocher à chambre de cloches ajourée, amortie d´une flèche hexagonale à crochets. Gros oeuvre en moellon enduit à l´exception de l´élévation occidentale et des encadrements des baies et des chaînages d´angle, en pierre de taille. Deux chapelles latérales, l´une au nord, l´autre au sud, au niveau de la septième travée, formant un faux-transept. Nef à sept travées couverte d'un lambris peint en bleu avec entraits à engoulants. Arcades en arc brisé pénétrant directement dans les piliers carrés chanfreinés. Sol couvert de dalles de granite.Eglise construite d'après les plans de l´architecte diocésain Joseph Bigot entre 1874 et 1875, par Louis Bergé entrepreneur de Pont-Aven et par Jean-Louis Le Naour pour le clocher. L´étroitesse du terrain acquis par la commune pour la construction de cet édifice a guidé le plan et notamment la réalisation d´un faux-transept.
Auteur(s) du descriptif : Fauchille Gwénaël

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Fest-Noz La Nuit jaune

Par : Dastum

vignette
picto
Ar fest-noz

Par : Dastum

vignette
picto
Moulin à marée du Hénan, Moulin Mer (Névez)
Le moulin du Hénan se situe entre l'embouchure de la ria de l'Aven et l'étang du Hénant. Il est placé au milieu d'une courte digue rectiligne, qu'il flanque en aval. Selon Jean-Paul Leclerc, dont la notice datant de 1973 sur le moulin du Hénan est disponible dans le fonds documentaire conservé à la DRAC Bretagne, cette digue repose sur deux rangées de longues dalles de granites formant boutisses pour prévenir de l'enfoncement dans la vase. Deux pans de pierres de tailles semblables à celles utilisées pour le moulin maintiennent un remplissage de terre et de moellons. Les coursiers et la porte mer sont franchis par des dalles de granit et ont été restaurés respectivement en 1998 et 2011. Selon le rapport de la faculté de Droit et de Sciences économiques de Brest sur les micro-centrales marémotrices sur le littoral breton (1983), l'étang se remplit à partir d'un coefficient de 70. Tout laisse à penser que le moulin et la digue sont d'origine, les parapets sont quant à eux des éléments ajoutés plus récemment. A une cinquantaine de mètres se situe un magasin à blé qui date de la période révolutionnaire, accolé à la maison du meunier. L'aire à grain se trouvait au rez de chaussée. Sur le pignon nord, on remarque une fenêtre dont l'ébrasement du mur est réalisé en biais pour dégager une vue vers le moulin et la ria. Le bâtiment est aussi marqué par l'escalier extérieur qui constitue une disposition plutôt rare pour la région. Enfin, autre élément significatif, une fenêtre d'angle du pignon sud se dirige vers la route qui vient du manoir. Cette orientation particulière pourrait s'expliquer par un approvisionnement en grain par cette route. Le moulin de plan rectangulaire, comporte un rez-de-chaussée accessible depuis la digue et un sous-sol qui accueillait une partie du mécanisme de meunerie. Les solives du plancher du rez-de-chaussée étaient encastrées dans la maçonneries dans des réservations qui sont encore visibles.Le moulin est épaulé de quatre contreforts afin de prévenir de son enfoncement. Un de ces arc-boutants se trouve sur le pignon sud et est évidé pour permettre le bon écoulement du coursier, les trois autres sont présents sur la façade aval. Ils alternent avec des poternes qui permettent de diminuer la pression intérieure de l'eau sur les murs et qui permettent aussi probablement de faire passer des pièces pour entretenir les mécanismes. Les murs sont constitués de pierres de tailles de granit assez longues qui font écho au patrimoine de pierre debout de la région et à la concentration de carrières de pierre. Comme pour le moulin du Minaouët à Tregunc, des témoignages locaux et des éléments du bâtiments laissent penser que les planchers auraient été conçu comme des planchers « flottants » au sens premier du terme, c'est à dire qu'ils pouvaient se soulever avec la marée. Si Maurice Damas, pionnier des recherches dans ce domaine, donne crédit à cette hypothèse, J-L. Boithias et A. de La Verne, également spécialistes du sujet émettent certaines réserves. D'après eux, une « telle imprévoyance » de la part du meunier est « difficilement crédible quand on connaît la disposition d'esprit de ces « ouvriers de la mer » qu'étaient les meuniers veillant au « grain » ».Le bâtiment est surmonté d'un toit à croupe se terminant par un coyau (changement d'angle de la toiture) et qui présente une lucarne rampante au dessus de la porte d'entrée en façade amont. La charpente comporte encore d'anciennes pièces mais a beaucoup été remaniée et la structure initiale n'est plus visible.La façade amont compte également une corniche formée d'un cavet, dont une partie a disparu. La porte d'entrée assez basse (environ 1,60m) présente un linteau et des piédroits chanfreinés.La façade sud et la façade aval accueillent chacune un fenestron. On trouve la mention du moulin du Hénan pour la première fois en 1465 lors de son affermage pour la somme de sept livres cinq soulz. Il date sans doute de la même époque de construction que le manoir du Hénan, attribué à la famille de Cornouaille et qui remonte au moins à 1426. Il est très probable que les pierres qui le constituent proviennent de la carrière située à Kerrochet, un kilomètre en aval sur la rivière.Par la suite le moulin est mentionné dans divers documents, notamment dans un aveu au Roi datant du 15 septembre 1572 où il fait partie d'un héritage de la famille Guer qui succède à la famille de Cornouaille : « le manoir du Heznant avec les maisons, courtille, jardin, moullins à mer... ». Le moulin passe ensuite dans les mains de la famille de la Pierre avant d'être à nouveau mentionné le 4 novembre 1773 dans l'héritage de la famille Euznou de Kersalaün dans un aveu au Roi.Lors de la Révolution, les biens de M. Evenou de Kersalaun sont vendus comme biens nationaux. Ainsi, le 15 thermidor an IV (2 août 1796), Pierre Decourbe, commissaire du Directoire exécutif résidant à Pont-Aven achète « le moulin à mer, avec la maison dite le grenier située au midi du moulin, évalué à 284 Fr de revenu et 4218 Fr de capital »Le 30 août 1809, le moulin est vendu par la famille Decourbe à Madame de Bruillac, également propriétaire du manoir du Hénan. Enfin le 25 février 1972 la famille Deminuid Treuille de Beaulieu vend le moulin au Conseil Général du Finistère, et c'est la commune de Nevez qui se voit chargée de sa gestion. Suite à cette acquisition la toiture et la charpente sont rénovées dans les années 1980. En 1998 commence une série de travaux conséquents sous la direction de l'architecte Joëlle Furic : les maçonneries du moulin et les coursiers de la digues sont restaurés en 1998, la porte mer en 2011. Parallèlement à ces travaux, le chenal est désenvasé en 2010. Un mécanisme de meunerie est également installé et en 2016 le moulin produit de la farine au cours d'une fête locale. Aujourd'hui (2017), il est prévu un projet de rénovation de la toiture et de la charpente.
Auteur(s) du descriptif : Nadolski Claire

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Tregunc - Haie
Haie en pierres levées granit

Par : Dastum

vignette
picto
Jeune fille de Pont Aven

Par : Dastum

vignette
picto
La route de l’Aven

Par : Musée de Préhistoire de Ca

vignette
picto
Complexe sportif du Porzou, allée Pierre de Couber
La halle de tennis construite en 1993 réunit deux courts couverts sous une charpente en lamellé-collé. On lui a adjoint en 2004 un équipement sportif de 3 907 m² répondant à des besoins scolaires et pouvant accueillir des compétitions de sports collectifs au niveau national (principalement hand-ball et volley-ball). Le plateau sportif se compose d’une salle omnisports de 44 x 40 m avec tribunes latérales, capable d’accueillir 1 terrain de hand-ball, ou 2 terrains de volley-ball, ou 9 terrains de badminton ; d’une salle de tennis de table de 578 m² capable d’accueillir également de la gymnastique de type GRS scolaire ou associative, de la danse scolaire ou associative, ou encore de l’escrime ; et enfin une salle d’arts martiaux de 330 m². La charpente de l'édifice est en bois lamellé-collé, de forme cintrée pour la salle principale. Le parement extérieur de l'impressionnant volume allie béton apparent et bardage métallique, de teinte bleue.Outre le stade et la salle omnisports construite en 1969 pour les besoins du lycée, le complexe sportif du Porzou comprend aujourd'hui une salle spécifique de tennis mise en service en 1993 et une halle de sports inaugurée le 3 septembre 2004. La première, due à l'architecte quimpérois J. Bodereau, a fait l'objet de permis de construire le 14 octobre 1991 (modifié le 2 décembre 1992) et le 5 octobre 1994 pour une extension. La seconde, conçue par les architectes Liès Laïdi et Bernard Chateigner. a remplacé un précédent équipement démoli en 1999.
Auteur(s) du descriptif : Vely Simon ; Bonnet Philippe

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Bateau de pêche dit Popoff
Chalutier en bois, gréé en ketch aurique (grand mât, artimon, bout-dehors) ; surface voilure 150m² ; coque à poupe ronde.Moteur : Perkins 125 cv.Aménagement : six cabines dont 4 doubles.Chalutier en bois construit en 1946 au chantier naval Vernazza à La Rochelle, il est baptisé "Sirocco". Sa zone de navigation était le golfe de Gascogne. Désarmé à la pêche en 1975, il est récupéré en mauvais état en 1979 par Bob Escoffier qui en fait le premier bateau de sa flotte Étoile Marine Croisières après six années de restauration. Rebaptisé "Popoff", il est aménagé pour accueillir des passagers. Bien qu'ayant changé de propriétaires, en 2003 et 2011, Popoff navigue toujours en Bretagne, au départ de Concarneau, vers l'archipel des Glénan, les îles du Ponant et les estuaires bretons.
Auteur(s) du descriptif : L'Haridon Erwana

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Plan de Concarneau

Par : Gallica

vignette
picto
Entrée de la ville de Conquerneau
Ancien possesseur : Argenson, Antoine-René de Voyer (1722-1787 ; marquis de Paulmy d'). Ancien possesseur

Par : Gallica

vignette
picto
Istor al laboused

Par : Dastum

vignette
picto
Concarneau : Vieille maison du passage Lauriec

Par : Dastum

vignette
picto
An istor all (suite)

Par : Dastum

vignette
picto
Ar c'hevredigezhioù

Par : Dastum

vignette
picto
Concarneau : Les enfants de Marie a la procession

Par : Dastum

vignette
picto
Ouragan dans le Finistère sud
Le 15 octobre 1987, une violente tempête a touché la Bretagne. Les dégâts sont considérables, notamment dans le Finistère Sud, à Concarneau. Des toitures se sont envolées et le port de plaisance est dévasté.

Par : INA

vignette
picto
A Concarneau
La ville de Concarneau, fondée au Moyen Age, est située dans le Finistère Sud. Sa ville close accueille les touristes. Mais la principale activité économique de la ville est son port de pêche.

Par : INA

vignette
picto
Le laboratoire océanographique de Concarneau
En 1856, MM. Coste et Guillou fondent à Concarneau le laboratoire de biologie marine. Ce laboratoire est le plus ancien d'Europe. Il accueille des chercheurs en océanographie, en biologie des pêches, en biochimie et en biologie cellulaire.

Par : INA

vignette
picto
Un coin près du port à Concarneau

Par : Musée de Préhistoire de Ca

vignette
picto
Procession de la bénédiction de la mer à Concarnea

Par : Musée de Préhistoire de Ca

vignette
picto
Laboratoire du Collège de France à Concarneau

Par : Musée de Préhistoire de Ca

vignette
picto
Beg Meil ; le Saint-Hervé ; Concarneau “dans le fo

Par : Musée de Préhistoire de Ca

Afficher le widget sur mon site Voir tous les documents
X

Afficher le widget sur mon site

Vous pouvez afficher le ce widget sur votre site en insérant le code suivant :

<iframe src="https://www.breizhapp.net/widgetbretania/index.php?set=wgt_concarneau"></iframe>

Vous pouvez également voir la liste de tous les widgets à l'adresse suivante Liste des widgets