L'automne sur Bretania

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Roncier...
Vie sportive et culturelle dans le pays de Josselin autour du patronage catholique organisé par l'association Le Roncier. 1/ Roncier, 3/10/1982. A Quiberon, promenade en bord de mer et baignade à la plage. On boit un café à la table du jardin, sous un parasol orange. Jeux et farniente à la plage. Vue de falaises. Défilé dans les rues d'une fanfare et de majorettes pour le patronage de Roncier. 2/ Concours régional, Mauron juin 1983. Les gymnastes, les majorettes et la fanfare arrivent dans le stade. Défilé de drapeaux français, un homme porte une pancarte "Roncier - Josselin". Concours de gymnastique, on assiste à un florilège de figures différentes. Des filles effectuent une chorégraphie de danse en justaucorps bleus, blanc et rouges. 3/ Chantier abattage des peupliers, 03/1986. Vue d'une usine de l'extérieur entourée de grands arbres. Abattage des peupliers par des bûcherons, chute d'arbres. Planches de bois entassées. 4/ Kermesse du Roncier, 4/10/1981. Un chapiteau fait office de buvette devant la salle des sports. A l'intérieur, les enfants jouent au basket. Des fanions colorées ont été accrochés à la salle, des gens en survêtement de sport en sortent. A Quiberon, en septembre 1981, vue du château Turpault au loin. Balade sur les quais autour du port de pêche. 5/ Remise récompense à la mairie, 1982. Réception organisée dans une salle autour d'un apéritif. Une grande croix est accrochée au mur. Sur la place Saint-Martin de Josselin, vue de la loggia servant aux offices en plein air pour le pèlerinage du 8 septembre à Notre-Dame de Roncier. Affiche pour la fête d'automne du Roncier se déroulant le 4 octobre avec musique, majorettes et fanfare du Roncier. Autre remise de récompense à de jeunes gymnastes : applaudissement et diplômes. 6/ Transarmoricaine, 1984. A Josselin, une banderole indique "Grande traversée de la Bretagne à pied, à bicyclette, en canoë, à cheval en calèche,...". Vue des différents sports prenant part à la compétition. 7/ Deuxième centenaire de la révolution française, 14/7/1989. Affiche "Josselin 14 juillet, place Saint-Martin - Repas : potée bretonne révolutionnaire - Grand spectacle "1789", son et lumière, feu d'artifice". L'affiche sur un char décoré conduit par une marionnette, le château de Josselin et l'Oust en arrière-plan. Panneau de ville "Guegon", affiche pour un spectacle le 15 juillet. Des femmes en coiffe de Josselin file de la laine sur des quenouilles. Spectacle de rue avec des acteurs déguisés, vêtus notamment de bonnets phrygiens. Beaucoup de monde au marché, images en accéléré. Un groupe d'enfants déguisés passe devant l'Hotêl du Château puis sur un pont. Vue d'en haut de bateaux sur l'Oust puis du drapeau de Josselin. Vue des tours du château puis de l'intérieur de l'enceinte et la cour. Feu d'artifice. 8 et 9/ CSJ (Club Sportif de Josselin), 50ème anniversaire, 04/1984. Pendant un match de foot, les spectateurs sont à la buvette. Gros plan sur les verres d'alcool (pastis). A la maison, repas en famille, fromage et vin rouge. Trois femmes dans la cuisine, l'une fait la vaisselle, les deux autres la sèchent. Match de foot, l'équipe pose pour la photo.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Voici venir le beau mois d'avril / Quand je suis n

Par : Dastum

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Denis automne 1975
Denis automne 1975, printemps 76 ; châtaignes, anniversaire ; à vélo avec Jacques, balançoire en 77 ; débuts à vélo avec Eric et Philippe, à St-Quay avec Frank en 77 ; Zoo, Mureaux, Nathalie en 77.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Je suis né en automne

Par : Dastum

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Belle rose en automne

Par : Dastum

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Dictionnaire du patois de Blain-051 (L'automne)

Par : Dastum

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Un beau printemps, j'étais né en automne

Par : Dastum

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Floralies 12
Préparation mairie. Automne, ville, complément, vallées - dimanche

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Correspondance de Jean-Julien Lemordant à Jean-Eti
Correspondance de Jean-Julien Lemordant à Jean-Etienne Martin, vers 1905-1906. Ensemble de 63 documents comprenant : 8 cartes postales, 1 reçu du salon d’automne et 54 lettres majoritairement manuscrites, dont 2 illustrées. Nombreux courriers sont écrits depuis Penmarc'h (Finistère).

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Qui-vive - Un environnement interactif de Samuel B
Spécialement créée pour la galerie Art et Essai, l’installation interactive Qui-vive découle d’une résidence de l’artiste réalisée au département Arts Plastiques de l’Université Rennes 2 au cours de l’automne 2010. Samuel Bianchini a souhaité poursuivre ce travail de recherche engagé avec un groupe d’étudiants de Rennes 1 et Rennes 2, autour de l’utilisation artistique de la domotique. La présence des visiteurs dans la galerie, ainsi que les bruits provenant de la bibliothèque située au-dessus de la salle d’exposition, agissent sur l’installation, proposant une mise en scène inquiétante, animée d’une force mystérieuse.

Par : L'aire d'u

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Yann-Bêr Piriou évoque Anjela Duval
Anjela - Pennad-kaoz gant Yann-Bêr Piriou En 2011, à l'occasion de l'installation de la stèle à la mémoire d'Anjela Duval à Vieux Marché, et 30 ans après la disparition de la poétesse, Yann-Bêr Piriou, poète et écrivain né Lannion (Côtes-d'Armor), spécialiste de la littérature bretonne, est interviewé par TV-Trégor à propos de sa consœur qu'il a bien connue. Anjela Duval, fille unique d'une modeste famille de cultivateurs, a connu le destin improbable de devenir une des poétesses les plus réputées en langue bretonne. C'est ce parcours incroyable que Yann-Bêr Piriou raconte en cet automne 2011 devant la caméra de TV-Trégor.

Par : TV Trégor

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Spitzer aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (
Depuis deux ans, Spitzer séduit les mélomanes défricheurs et exigeants. Pourtant, Damien et Matthieu Brégère se sont fait attendre, offrant juste deux EP en pâture. Ce qui n'a pas empêché le tandem lyonnais de faire une tournée mondiale ou de remixer des pointures pop telles Kylie Minogue ou Sally Shapiro. Cet automne, Spitzer a enfin dévoilé son premier album et n'a pas déçu : petit précis de perfection techno, The Call mêle productions ciselées et humeur sombre, beats oppressants et rares rayons de lumière, se situant quelque part entre Trentemøller, The Hacker et Pantha Du Prince. Hébergée chez InFiné, label fondé par le maître Agoria, la fratrie risque de faire beaucoup parler. Et danser, aussi.

Par : Association Trans Musicale

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Les phares en mer, mobilisés dans la Grande Guerre
Avec ses 1 100 kilomètres de côtes et ses îles, la Bretagne est au premier rang du front de mer. Dans un conflit armé, tout ce qui peut entraver l’action de l’ennemi doit-être entrepris. A l’automne 1916, à cause de l’efficacité des sous-marins contre la navigation commerciale sur les côtes de la Bretagne, les ministères de la Marine et de la Guerre en coopération avec celui des Travaux-Publics, dont dépendent les Ponts et Chaussées et la Direction des Phares et balises, décident de l’installation de Postes de Défense Contre les Sous-Marines (P.D.C.S.M.) dans plusieurs phares en mer. Les trois phares du Trégor sont concernés par cette mesure. La mise en place des matériels, des effectifs nécessaires au service des canons, le ravitaillement et les relèves sont détaillés dans les 8 pages de l’article.

Par : L'ARSSAT

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NagNagNag aux Rencontres Trans Musicales de Rennes
L’automne 2008 marque le premier anniversaire d’une union inespérée. Car si les quatre membres de NagNagNag – un nom piqué aux insaisissables Cabaret Voltaire – font désormais preuve d’une cohésion infaillible à l’heure d’asséner des leitmotivs rock sévères comme un coup de semonce, chacun a déjà traversé son lot de paysages et d’influences disparates. Italie et France pour la géographie . electro, funk et rock’n’roll pour la musique. Encore sans album ni label, le quatuor n’a aujourd’hui que sa hargne électrique et son talent d’écriture pour adosser à des élans mélodiques audacieux une myriade de riffs raides et pixiens. Ride That Horse, exhorte l’une de leurs pièces maîtresses. Oui, il serait bon de miser sur ce cheval-là.

Par : Association Trans Musicale

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Vitalic aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (
Suite à la sortie de FlashMob (2009), Pascal Arbez-Nicolas a écumé pendant deux ans les routes du globe avec son projet V-Mirror, véritable orgie sonore et visuelle. Cet automne, l’une des figures de proue de la scène électronique française réalise son troisième album, Rave Age, enregistré avec ses futurs concerts bien présents à l’esprit. D’ailleurs, pour la scène, il va être accompagné par un batteur et un clavier, histoire de donner encore plus d’ampleur charnelle à ses déflagrations techno et house qui aiment fricoter avec la disco ou la pop. Et c’est cette formule inédite que Vitalic viendra présenter en exclusivité aux Trans. La Mort Sur Le Dancefloor annonce l’un des nouveaux titres : on vous aura prévenus !

Par : Association Trans Musicale

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Spank Rock aux Rencontres Trans Musicales de Renne
Puissance de feu, samples lubriques et flow au diapason. Spank Rock a mis à sac plus d'une piste de danse avec Yoyoyoyoyo (2006), cocktail (molotov) de basses énormes, d'électro flinguée et de paroles salaces. Un album en forme d'avènement. En réussissant depuis Baltimore un mélange explosif de ghettotech, de crunk et de UK garage, le MC Naeem Juwan (Spank Rock, c’est lui), épaulé par le producteur XXXChange, a bâti un empire à la gloire du luxe et de la luxure, de la violence et du stupre. Cet automne, déboule enfin un deuxième brûlot, Everything Is Boring And Everyone Is A Fucking Liar, réunissant pléthore d’invités (Santigold, Big Freedia) et produit entre autres par le Berlinois Boys Noize (omniprésent), Mark Ronson ou Pharrell Williams. Fini de rire. Spank Rock revient. Il est l'heure de régler les comptes.

Par : Association Trans Musicale

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Neige à Vitré
(N&B) Pancartes "Clisson" et "Rue Tire-Jarret". Pano BH sur l'Église Notre-Dame depuis la rue Tire-Jarret. La place-parvis de l'église. La Ford de la famille Gautier stationnée à l'entrée du château. Vues en contre-jour de la cité médiévale. Sur les bords de Sèvre. Vue d'ensemble des ruines du Château de Tiffauges. Un moulin en ruine. Un oratoire néo-gothique. Madame Gautier et leur fille assises à la table d'une terrasse belvédère. (N&B) Les Sables d'Olonne. Sur les quais du port de la Chaume pour le débarquement du thon. Pano GD sur un camping au milieu de pins. (Couleur) La promenade et la plage des Sables. Débarquement d'une pêche. Le camping. Une maison vendéenne. (Couleur) Le Jardin des Plantes de Vitré à l'automne. (N&B) Une ordination sacerdotale (images floues). Promenade au Jardin des Plantes en neige. Cérémonie de baptême (images floues). Des femmes entourent le bébé baptisé à la sortie d'une voiture. Un repas.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Châteaux de la Loire
Une famille visite les châteaux de la Loire. Château de Chambord (panneau de la ville), travaux de restauration du château ( échafaudage sur la façade), allée d’arbres, homme et enfant marchent. Panneau D 112 Chambord. Panneaux "Cheverny D 102" (panneau de la ville), panneau devant le château écrit en lettres gothiques « Cheverny Château de la Loire demeure historique propriété privée », promenade dans le parc. Château de Chaumont sur Loire, châtelet, parterre de fleurs, pont-levis, cour intérieure avec puits, sortie par le pont-levis. Quelques personnes entrent dans le château, l’enfant a un sac à appareil photo. Ils traversent un chemin de gravier avec des bosquets de fleurs rouges. Porte du château, le père donne une explication au fils. Panneau N 152 Blois Loir et Cher. Façade du Château de Chambord. Château à déterminer avec escalier, communs et jardin. Vue du château, l’enfant pose. Château de Chenonceau, l’enfant se promène le long du Cher. Le père et le fils regardent le fleuve à partir d’un ponton du château. Statue, automne : chemin entouré de feuilles mortes, galerie sur le Cher, pont, jardin avec sphinge.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Piscine de Kerlan Vian, 47 avenue des Oiseaux (Qui
« Elle [la 1ère tranche] comporte, groupés sous un seul bâtiment élégant, à deux niveaux, deux bassins chauffés, l’un de 25 x 15, de profondeur normale, l’autre de 15 x 10 pour l’initiation à la natation. Des plages spacieuses sont prévues autour des bassins ainsi que des gradins pour 250 spectateurs. De nombreuses cabines de déshabillage (120), des douches, des vestiaires, des locaux pour le personnel et un logement pour le gardien complètent cet ensemble qui, sans être luxueux, sera confortable et surtout bien adapté à sa fonction. » (Quimper Réalités, n° 3, automne 1968)Une salle d'escrime a été aménagée au niveau inférieur.Le 30 décembre 1965, le conseil municipal adopte le programme de construction d’un stade nautique complet et ouvre un concours de conception-construction. Le 22 juillet 1966, il retient le projet de Péron & Weisbein. Le projet bénéficie d'un arrêté d’approbation technique le 15 décembre 1966 et d'un arrêté de subvention de 2 898 000 F au taux de 52% le 26 janvier 1967. Le permis de construire est délivré le 23 septembre 1968 et la réception provisoire prononcée le 29 juillet 1970. L'équipement a fait l'objet de travaux réguliers : réfection de la façade vitrée (1992), remplacement de la couverture (2003).
Auteur(s) du descriptif : Bonnet Philippe

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bateau de pêche aux lignes : trois-mâts "Glaneur"
Le "Glaneur", est un trois-mâts goélette long de 37 mètres, de 155 tonneaux de jauge nette, non motorisé, plus lourd que les goélettes islandaises.Le "Glaneur", trois-mâts de l'armement Léon Carfantan de Dahouët, fut construit pendant l'hiver 1907-1908 à Paimpol et francisé à Dahouët le 8 février 1908. Il naviguera au cabotage pendant l´automne-hiver et le printemps à la pêche en mer d´Islande. Le 10 février 1910, il quitte de nouveau Dahouët pour une troisième campagne en mer d´Islande. Son équipage recruté à Pléneuf, Erquy et Saint-Alban par Mme Carfantan se composait de Jean-Marie Poilvet, maître au cabotage, de deux lieutenants et de 23 matelots, enfin d´un novice, d´une mousse âgé de quinze ans et d´un cuisinier. Deux matelots étaient originaires du quartier de Paimpol. Cependant, le Glaneur n´allai pas venir au rendez-vous fixé au début du mois de mai en rade de Patricksfjord (Islande) afin de remettre sa première pêche au chasseur « Mouette » (armement Kerjégu). Il s´était perdu corps et biens dans la traversée de Dahouët à Islande, en même temps que le navire « Hygie » de Paimpol. Un memoriam sera élevé au cimetière de Pléneuf avec les noms des marins péris en mer gravés sur une plaque de marbre.Son histoire est racontée par l'Atelier du Patrimoine de Dahouët.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Courtine 21-22, enceinte urbaine (Le Palais)
La courtine 21-22 se compose d'une escarpe partie maçonnée, partie taillée dans la roche, de 220 mètres de long, surmontée d'un parapet en terre. Certaines portions sont munies d'arcs de décharge. Elle est précédée d'un fossé dont la contrescarpe est entièrement taillée dans la roche. L'extrémité haute, à la jonction avec le bastion 21, est munie d'un parapet d'infanterie avec mur à bahut et banquette en terre flanquant la face droite du bastion et une partie de la courtine. Une banquette d'infanterie taillée dans la roche située en fond de fossé en avant de la courtine fournit un étage de feux d'infanterie supplémentaire pour le flanquement de la face droite du bastion 21. L'extrémité basse, confondue avec le mur de clôture de l'hôpital, est constituée d'un mur crénelé intégrant la casemate construite en 1840. Du fait du terrain en pente, les terre-pleins de la courtine forment trois terrasses étagées dont les épaulements sont refusés pour éviter les tirs d'enfilade depuis les hauteurs de la rive gauche du bassin de la Saline. Les deux ressauts supérieurs ont des parapets organisés pour l'infanterie et l'artillerie, réaménagés à la fin du 19e siècle (plates-formes d'artillerie, traverses, niches à munitions). Le ressaut inférieur n'a qu'une banquette d'infanterie à gradins maçonnés. Deux autres banquettes prennent en enfilade le chemin en lacets qui dessert les ressauts. Des communications à couvert existent sous la forme de galeries souterraines reliant les ressauts entre eux en passant sous les parapets, et, pour l'une d'entre elles, également sous le chemin. La galerie supérieure est une rampe, les deux autres sont des escaliers. L'escalier inférieur débouche dans un petit fossé ou haha coupant le chemin. La date "1865" est gravée au dessus de quatre des débouchés de ces galeries. La courtine souffre actuellement des conséquences de sa forte végétalisation. Les racines des arbres ont fait éclater la roche et la maçonnerie et effondrer certaines parties de l'escarpe. Au cours de l'année 2017 des travaux ont altéré les parapets de la partie supérieure. Le mur crénelé de l'hôpital, détruit dans sa partie supérieure, a été dégagé des constructions qui s'y appuyaient visibles dans les années 1970. La clôture de l'hôpital a été récemment refaite en imitation de palissades du génie. La fermeture de la place du Palais entre la droite du camp retranché et le bassin de la Saline est prévue dès les travaux entamés sous l'Empire. C'est une des priorités des officiers du génie lors de la reprise des projets d'enceinte urbaine à partir de 1820 et jusque dans les années 1860. C'est aussi la partie qui occasionne, avec l'ouvrage de Beausoleil qui lui est lié, le plus d'études particulières. La topographie escarpée de l'endroit, la présence du bassin de l'arrière-port et du vallon qui le prolonge, la nécessité d'établir une branche de fortification qui ne soit pas enfilable depuis la campagne environnante, expliquent ces nombreux projets. Dans les années 1820 et 1830, les ingénieurs envisagent une coupure qui relierait le bastion 21 au bassin du port dans la direction de la citadelle. Cette option n'est plus retenue à partir de la fin des années 1830, car elle nécessiterait de raser une partie du quartier de la ville situé le long du bassin. Les projets étudiés dans les années 1840, 1850 et 1860 adoptent un tracé reliant le bastion 21 au bassin de la Saline dans les environs de l'hôpital militaire. Ce tracé rend nécessaire la construction d'un ouvrage sur la hauteur de Beausoleil afin d'empêcher la courtine d'être prise en enfilade. La jonction entre les deux ouvrages à travers le bassin est délicate. Il est notamment envisagé de creuser des bassins perpendiculaires à la Saline, flanqués depuis des casemates. Les travaux commencent à l'occasion de la crise diplomatique européenne de l'été et de l'automne 1840. Le creusement du fossé est alors bien avancé, ainsi que l'établissement des terrassements. Une grande traverse avec abri voûté est commencée dans le jardin de l'hôpital. Mais les travaux sont suspendus et ne reprennent que dans les années 1860. La courtine 21-22 est achevée sous sa forme actuelle en 1865-1866. Les parapets sont réaménagés à la fin du 19e siècle, vers 1880-1890.
Auteur(s) du descriptif : Jadé Patrick ; Duigou Lionel

Par : L'inventaire du patrimoine

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Batteries d'artillerie de côte, 1840-1870
Les batteries de côtes construites entre la fin des années 1840 et la fin des années 1860 ont des tracés qui varient en fonction de la topographie locale et du champ de tir de leurs pièces d'artillerie. Il est toutefois possible de lister des caractéristiques communes, définies d'ailleurs par les textes officiels de l'époque : - à l'exception des grands forts maritimes (forts de Cherbourg, La Conchée, fort du Taureau, fort Boyard, etc.), il s'agit de batteries barbette en terre ; - les épaulements ont six mètres d'épaisseur et sont délimités à l'intérieur par un mur de genouillère en maçonnerie ; - les pièces artillerie sont installées sur le terre-plein en étant espacées de sept à huit mètres ; les canons et les obusiers sont sur affûts de côte à châssis pivotant, les mortiers reposent sur des plates-formes en madriers ; - à partir de 1860, la généralisation des affûts en fonte fait mettre en place, y compris dans les batteries non armées en permanence (la majorité), les blocs en maçonnerie servant à fixer le pivot antérieur des affûts : ce travail à la charge du génie est réalisé au cours des années 1860 ; ces blocs sont encore très souvent en place dans les batteries ; - les emplacements pour plate-formes de mortiers prennent la forme d'excavations destinées à recevoir les madriers et la couche de sable amortisseuse sur laquelle ils reposent ; - les batteries sont complétées par un réduit construit le plus souvent selon les plans-types de corps de garde et de tours crénelés de 1846 (95 % de ces ouvrages sont associés à une batterie de côte). Ces batteries se présentent donc sous la forme d'importants massifs terrassés, avec peu de parties en maçonnerie à l'exception des murs de genouillère, des blocs de scellement d'affûts et de rares abris à munitions sous traverses. Ouvrages simples, parfois érodés, souvent recouverts par la végétation actuellement, ils pâtissent d'un défaut de reconnaissance dû à l'attrait visuel qu'exercent leurs réduits en maçonnerie. Tranchant avec la tendance à l'éparpillement des 17e, 18e et début du 19e siècle, la "Commission mixte d'armement des côtes de la France, de la Corse et des îles" formée en février 1841 suite à la crise diplomatique de l'été et de l'automne 1840, diminue le nombre d'ouvrages de fortification littorale sur l'ensemble du territoire. Pour les deuxième (de la côte ouest du Cotentin à l'Odet) et troisième (de l'Odet à Pornic) arrondissements maritimes, la commission prévoit de conserver 208 forts, batteries et postes garde-côtes, et d'en abandonner 130. Mais beaucoup d'ouvrages dont la modernisation est prévue sont abandonnés lors de la réalisation du programme ou à l'occasion de sa révision en 1859. Certains secteurs comme la côte nord de la Bretagne entre Morlaix et Saint-Malo ont été presque totalement privés de fortifications. Pour des points prioritaires comme les îles de la façade sud de la Bretagne (Glénan, Groix, Quiberon, Belle-île, Houat et Hoedic, Dumet), on passe ainsi de 66 ouvrages encore existants en 1841, à 42 ouvrages prévus par la commission, mais à 31 ouvrages effectivement réalisés, dont 25 batteries de côte. Cette tendance à la diminution du nombre d'ouvrages, qui s'accentue encore après 1870, est une réponse à la nouvelle situation crée dans la défense des côtes par les progrès techniques du début du 19e siècle : navigation à vapeur et projectiles explosifs. La concentration des ouvrages d'artillerie permanents sur les points essentiels (approches des ports militaires, mouillages et points de débarquements, chenaux de navigation, îles) s'accompagne de l'augmentation de leur puissance. La commission de 1841 ne conserve que trois bouches à feu pour armer les batteries, les plus puissantes en usage dans la marine française de l'époque : canon de 30 livres, obusier de 22 cm, mortier de 32 cm. Les batteries ne doivent plus être armées de moins de quatre pièces. Leurs parapets doivent pouvoir amortir l'effet des projectiles explosifs. Le casernement, désormais prévu pour la totalité des servants, et les magasins sont concentrés dans un seul bâtiment servant aussi de réduit défensif en cas de tentative de coup de main sur la batterie. L'apparition concomitante de l'artillerie rayée et du navire cuirassé vers 1860 entraîne une remise en cause des ouvrages construits sur le littoral depuis la fin des années 1840. Les nouvelles batteries de côtes dotées de la nouvelle artillerie de côte sont mises en place à partir de la seconde moitié des années 1870.
Auteur(s) du descriptif : Jadé Patrick ; Duigou Lionel

Par : L'inventaire du patrimoine

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Moulins à papier, La Ville Danet (Paimpont)
Des restes de murs du moulin à papier le plus en aval sont encore visibles. On peut également distinguer les vestiges de la digue de l'étang des Petits Prés (la parcelle n°12 est appelée étang du moulin à papier). Les autres bâtiments ont disparu.La paroisse de Paimpont a fabriqué du papier, dès le premier tiers du XVIIème siècle. Le maître-papetier à l'origine de cette fabrique est Estienne Cordier qui est, en 1621, fermier au moulin à papier de Roudougoalen Creis, à Pleyber-Christ (29). Les naissances de ses enfants au moulin à papier de Kerduel (56), sont inscrites, en 1624 et 1626, aux registres de la paroisse de Lignol. Ils travaillent ensuite au moulin à papier de Vau-Hamon à Plessala (22), où ils résident en 1635. Le 30 mai de cette même année, Estienne signe un contrat de féage et d'arrentement avec Mathurin de Rosmadec, seigneur de Saint Jouan, pour un « quanton » de terre situé en dessous de la forêt de « Brecillien » et au dessus du village de Vaubossart, en l'endroit où passe le ruisseau qui descend de la forêt à ce village... « dans lestendues desquels six journaux de terre ledit Cordier pourra faire baptir deux moulins à eau sur ledit ruisseau avec tous...édifices nécessaires et accoustumés …. lesquels moulins est l'un à faire du papier et l'autre un moulin à fouller draps que ledit preneur fera baptir à ses frais». Ces moulins seront les siens à perpétuité contre financement annuel, à la Saint Michel, audit seigneur, d'une rente de trente livres tournois et deux rames de « papier bon et competant ». Estienne Cordier est également autorisé à tirer, dans l'étendue des fiefs du seigneur, de la pierre qui lui sera nécessaire pour maçonner. Il pourra aussi « amener er faire venir auxd(its) moulins les eaux des fontaines et sources estant dans les terres dudit seigneur audessoubs de la ditte forests ».Un plan de ce secteur est établi, en 1920, à partir de photographies prises d'avion, en automne 1920, par le sergent Lamplaire du 31e régiment d'aviation d'observation de la base aérienne de Tours, complétées d'après la carte d'état-major et des observations prises sur le terrain. Ce plan indique à Rostel, sur Paimpont, l'emplacement de trois anciens moulins à papier qui se suivent en ligne sur l'emplacement d'un ruisseau qui n'existe plus. L'eau qui les faisait tourner a été déviée pour alimenter l'étang des Petits Prés. A l'est de l'étang, est indiqué l'emplacement de la « bibliothèque », plus bas, les ruines de la maison d'habitation et celles de l'ancienne maison de la Prée Trojan, qui était autrefois un bien d’Église. Le « quanton » de six journaux de terre, concédé par le seigneur de Comper, au sortir de la forêt et des landes, a été mis en valeur et a permis à la famille Cordier d'y gagner sa vie pendant quelques décennies et peut-être un siècle. La présence d'un moulin à fouller les draps n'y est pas attestée. Aurait-ce été la fonction d'un des premiers moulins bâtis, qui l'aurait ensuite abandonnée pour fabriquer du papier ? Les registres de la paroisse nous indiquent qu'en 1637, naît à Paimpont, Jean, fils du maitre-papetier Estienne Cordier et de son épouse Michelle Cosnard ainsi que Pierre, en 1640. Estienne, qui s'est stabilisé à la Ville Danet, fabrique le papier jusqu'à son décès en 1688. Son fils Pierre épouse, en 1664, Jeanne Renard, native de Paimpont. Ils travaillent avec les parents Cordier et leur succèdent. Dix enfants naissent au moulin de 1666 à 1680. Parmi eux, Julien poursuit l'activité papetière, avec son épouse Suzanne Provost. Il y décède, en 1734, et est inhumé dans la chapelle de la Bonne Rencontre à la Ville Danet. Il n'est pas certain que le papier soit encore fabriqué dans les différents moulins à cette époque. En effet, le subdélégué de Plélan, dans la réponse qu'il donne à l'intendant de Bretagne, lors de l'enquête de 1729, indique qu'il n'y a dans son territoire qu'un moulin à papier. Celui-ci, situé dans la paroisse de Paimpont, est en ruines et ne roule plus depuis près de trente ans. De fait, ces moulins ne sont pas mentionnés dans les enquêtes de 1772 et 1776. Nous n'avons aucune précision sur le volume et la qualité du papier produit.Les recherches d'Hervé Tigier, nous indiquent qu'en 1821, le moulin à papier et les terres qui en dépendent (le pré du moulin, le grand champ, l'étang du moulin à papier) sont la propriété du châtelain du Rox, Paul de Grenouillac. Joseph Chollet et sa famille y vivent : il est tanneur en 1802, puis, meunier. Une bâtisse nommée « moulin à papier » figure sur le cadastre napoléonien de 1823 (3P 54 38, section B1). Il s'agit de celui situé le plus en aval sur le plan de 1920, dont les restes de murs sont encore visibles.Jean-Baptiste Ogée mentionne l'existence du petit moulin, en 1853, à la Ville Danet.
Auteur(s) du descriptif : Leroy-Déniel Caroline ; Huon François

Par : L'inventaire du patrimoine

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Goulien, 31 décembre...
En contrepoint de l’enquête pluridisciplinaire de Plozévet (1961-1965), Robert Gessain souhaite qu’une étude soit menée sur une plus petite commune, et par un seul chercheur. Jeune ethnologue et élève de A. Leroi-Gourhan, Christian Pelras est mandaté pour étudier le village de Goulien de septembre 1962 à juin 1964. Alors qu’une équipe cinématographique est engagée par le Musée de l’Homme pour suivre le travail de Robert et Monique Gessain à Plozevet, Christian Pelras ne dispose pas de tels moyens. Il décide d’acquérir à ses frais une caméra 8mm Eumig pour documenter ses recherches de terrain. Plusieurs films sont issus de ce travail de terrain et sont conservés par la Cinémathèque de Bretagne : Présentation de Goulien, Goulien en été, Fin d’été à Goulien, Goulien, 31 décembre, Hiver à Goulien, Lever du jour à Goulien, Printemps à Goulien, Travaux à Goulien. ……………… Le film présente la vie quotidienne des habitants à l'automne et à l'hiver 1963/1964, des travaux des champs, de la ferme et de la pêche aux temps familiaux. Le 31 décembre, les enfants de Goulien font du porte à porte et chantent pour les habitants. Munis de leur bâton de marche et vêtus d’un manteau, ils marchent à travers les rues et les chemins du village. Ils passent de maison en maison, chantent quelques airs, en retour ils reçoivent des bonbons. Ils entrent dans une maison du village à deux, le troisième les attend dehors, dans la rue. Ils prennent ensuite un chemin de terre pour arriver à une maison traditionnelle, devant laquelle est garée une 2CV bleue. Postés devant la porte d’entrée, ils chantent. Une femme sort sur le pas de la porte, souriante, elle leur propose des chocolats. Ils repartent. Une maison suivante, deux garçons chantent devant la porte ouverte, leur bâton à la main. Une bouteille de gaz est posée près de la porte. PR Les enfants chantent. Sur une place, deux enfants chantent devant la porte d’une maison. Un car est garé à proximité. Sur la route du village, deux garçons marchent fièrement et souriant, bâton à la main. Un chien les accompagne. Une fermière et ses vaches les devancent. Ils arrivent à la maison à la 2CV et chantent. Ils reçoivent du chocolat et repartent, souriants. PE Des maisons blanches, une petite cour clôturée par un muret et un portail (ancien corps de ferme). Une voiture approche et se gare dans la cour, deux hommes sortent de la maison et montent dans le véhicule. Deux femmes et un bébé les rejoignent. La voiture s’éloigne sur la route pour arriver à l’église. Baptême de Jeannick Thalamot. GP Le clocher de l’église. Après le baptême, la famille sort de l’église, accueillie par des enfants. Les adultes lancent des pièces que les enfants s’empressent de ramasser au sol. La famille est souriante et joyeuse. Une femme distribue des dragées. Ils remontent dans la voiture avant de repartir. Dans une cuisine, une femme essuie activement sa vaisselle près d'une cuisinière. Une femme âgée fait la cuisine. Dans la salle à manger, une grande tablée partage le repas. Plusieurs générations sont réunies autour de la table. GP Une femme en bout de table. Une maison dans la campagne, le ciel est dégagé. Une fontaine et la rivière gelée. Un homme et deux enfants tentent de casser la glace à l'aide d'un caillou puis marchent sur la rivière gelée. PE La campagne gelée. PR La rivière glacée. Une femme regarde le thermomètre à travers la fenêtre. Elle souffle en voyant la température. PE Le chemin gelé. Coupe des ajoncs par Goudédranche dans la lande. Il procède à des petits tas qu’il écrase du pied. Il affute sa faucille. Dans la cour de la ferme Gloaguen, deux hommes, béret sur la tête, installent le tarare (machine à nettoyer le grain). Une femme les aide, accompagnée par un enfant. Ils vident les sacs dans la machine sous le regard de l’enfant, coiffé d’une cagoule. Les grains sont vidés dans la trémie, un des hommes tourne la bielle. GP Le ventilateur de la machine en action. La femme récupère les grains nettoyés, les impuretés sortent de l’autre côté du tarare. Les grains sont mis en sacs, les sacs sont pesés et le poids ajusté, le travail est physique. Les poules picorent les grains tombés au sols. L’un des deux hommes ferme les sacs et les portent, un à un, dans la grange. Coupe d'arbres à la scie chez Goudédranche. Deux hommes coupent des arbres, installés dans le talus. Ils préparent le terrain puis scient en cadence. GP La scie, les mains. Les gestes sont précis et assurés. L’un des deux hommes entaille le tronc à l’aide d’une hache. Ils entament alors le tronc à la scie par l’autre côté. L’arbre s’écroule sur le sol. Ils poursuivent avec cette technique sur une série d’arbres en bord de champ. La cime des arbres rejoint le sol. PE Les arbres coupés, au sol. Les troncs sont rangés au pied des souches, les branches sont organisées par fagot. Les deux hommes retirent le lierre et les branchages des troncs. Les fagots sont façonnés et posés en tas verticaux chez Thalamot. Chez Goudédranche, le cheval sort de l'écurie et se fait atteler à la charrette sous la grange, pour un chargement de bois. La charrette s’éloigne pour rejoindre le chargement dans le champ Thalamot. Un homme charge la charrette de troncs, qui seront déchargés plus loin pour un stockage. Coupe de bûche à la scie chez Thalamot. Le tracteur est installé. Les buches tombent dans des paniers en osier posés au sol. L’un des deux hommes vide les paniers dans la charrette. Monsieur Moan père fabrique un panier en osier, accroupi sur le sol humide, les genoux posés sur une planche. GP Gestes de vannerie. Bord de mer. Un homme descend à travers la lande vers les rochers. Joachim Pichon pêche sur la côte avec un filet accroché aux rochers. Il tire pour récupérer son filet, posté sur un rocher et le repositionne. Il remonte vers la lande. PE Joachim Pichon marche dans la lande, la mer en arrière-plan. PG La baie de Douarnenez. Un coucher de soleil inonde l’horizon. Joachim Pichon descend le sentier dans la lande vers les rochers. La côte. Il décroche son installation pour récupérer ses filets puis remonte le sentier côtier. Le soleil se couche. Il neige sur la campagne. Peu à peu, les chemins et les champs autour de la maison se recouvrent de neige. Des pas se dessinent dans la neige. La campagne est blanchie. Deux femmes marchent dans les rues, une voiture (la 2CV) avance doucement sur la route enneigée. Des poules et des oiseaux picorent dans la neige. Monsieur Moan père coupe les ajoncs et les rassemble en petits tas. Scènes de temps pluvieux. L’extérieur à travers une vitre de maison. Le vent souffle dans les arbres. Des pas dans un chemin boueux. Vues de la côte. Les vagues s’écrasent contre les rochers. Sortie du fumier de la grange chez Goudédranche. Deux hommes sortent le fumier à l’aide d’un grand râteau pour le disposer au centre de la cour. Un grand tas se forme. Séance d’épandage du fumier sur un champ à proximité d’une culture de choux-fleurs. Un homme sort deux chevaux pour les amener au champ. Il attèle les chevaux pour labourer le champ que les fermiers terminent d’épandre. Jean Gloaguen sort son cheval et l’attèle. Il charge la charrette de fumier et l’amène au champ. Des chasseurs se retrouvent dans la brume devant la ferme. Les chiens les accompagnent. Ils traversent les champs. Une battue aux renards est organisée. Un homme rentre accompagné de son chien, un renard à la main.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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