Patrimoine culturel de Quimper

vignette
picto
Arrondissements de Quimper. , Croix de Croaziou ou
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

vignette
picto
Chapelle Notre-Dame d'Illijour
Plan en croix latine, à vaisseau unique, de type à nef obscure. Chevet à pans coupés flanqué d´une sacristie au nord. Pignon ouest coiffé d'un clocheton. Lambris de couvrement peint en bleu. Sol couvert de dalles de granite. Six fenêtres (deux dans la nef, deux dans le transept et deux dans le choeur) éclairent la chapelle dont les murs sont enduits de ciment peint en blanc. Gros oeuvre en moellon de schiste et de granite, à l'exception des chaînages d´angle et des encadrements de baies, en pierres de taille de granite.L´édifice reconstruit en 1833 et agrandi en 1848. Le clocher porte la date de 1844. Reconstruit près de l´emplacement d´une chapelle plus ancienne dédiée suivant la tradition, à saint Léger.
Auteur(s) du descriptif : Fauchille Gwénaël

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Ville de Crozon
La commune de Crozon s'étendant jusqu'au milieu du 19e siècle sur près de la moitié de la presqu'île, sa ville est longtemps restée le centre urbain de référence du territoire. Les fonctions commerciales, religieuses et administratives en ont fait un lieu d'échanges et de services qu'il a conservé jusqu'à aujourd'hui.Siège de la paroisse et de la seigneurie de Crozon depuis le 11e siècle, la ville s'est constituée à la croisée de plusieurs routes : celle de Camaret, du Fret, de Morgat et de Châteaulin dite aussi "route royale de Quimper". Le cadastre ancien montre déjà un bâti dense, au caractère urbain, avec un parcellaire étroit hérité du Moyen-Age.En 1830, l'agglomération s'organise autour de deux places et de trois rues. La place centrale est occupée par l'église paroissiale qui donne, au sud, sur la place du marché (actuelle place du général de Gaulle) et le presbytère. Autour de ce noyau ancien se regroupent des maisons de notables (maisons nobles, maisons de marchands, de notaires...) dont le plus ancien témoin conservé à ce jour date du 1er quart du 16e siècle (ancien "manoir de Pergamou", 23 rue de Reims). D'autres maisons de notables sont à l'état de vestiges (1 rue de Poulpatré, 1 rue de Reims), parfois sous la forme d'un simple blason remployé (4 rue de Poulpatré). Sous l'Ancien Régime, c'est aussi sur la place de l'église, à l'angle de la rue Poulpatré et de l'actuelle rue Anne de Mesmeur, que siègeait le tribunal seigneurial du Comté, à l'emplacement de l'ancienne mairie reconstruite en 1883 (4 rue Anne de Mesmeur). Dans la maison voisine (4 rue de Poulpatré), un hôpital est fondé au début du 18e siècle par René-Marie de Kerlenguy (seigneur de Poulpatré), avant d'être détruit en 1910 et remplacé par un immeuble. Dans les rues adjacentes étaient établis marchands, notaires, notables et artisans dont quelques logis subsistent, plus ou moins bien conservés (11, 13, 20 rue de Poulpatré, 10 et 17, 30 rue Alsace-Lorraine, 7 rue de Reims). A l'ouest de l'église, sur la place de Bretagne, étaient établies plusieurs forges liées aux chantiers navales (1 rue de la Chalotais) ainsi que l'ancien hôtel de Lignaroux fondé en 1588 par une famille de notaires, puis très remanié aux cours des siècles. Au-delà de cette place, la rue de la Chalotais en direction de Morgat et celle d'Alsace-Lorraine vers Camaret sont encore très peu construites en 1830.Jusqu'en 1780, le cimetière de la paroisse entourait l'église avant d'être transféré à la périphérie de la ville, à environ un kilomètre au sud-est, sur le placître de la chapelle Saint-Sébastien, à l'angle des actuelles rues Graveran et Sligo. Si cette chapelle ne figure déjà plus sur le cadastre de 1830, son petit cimetière est représenté ainsi que le nouveau cimetière inauguré en 1829 dans la même rue, toujours en place aujourd'hui.C'est à la fin du 19e et au début du 20 siècle que le bâti se développe à la périphérie du centre urbain. Ecoles, hôtels de voyageurs (L'hôtel moderne), commerces, petites maisons mais aussi nouvelles maisons de notable avec jardin, immeubles de rapport sont ainsi construits dans le prolongement de voies existantes, notamment les rues Alsace-Lorraine et de La Chalotais, au sud et à l'ouest de la ville. Celles-ci rejoignent le boulevard de la France Libre qui lie Crozon à Morgat, comme la rue du Porzic. Entre 1920 et 1940, des zones pavillonnaires s'établissent au sud du bourg, entre Crozon et Morgat, englobant dans un large périmètre les hameaux de Landromiou, Kernalbet, Lesquiffinec ainsi que le manoir de Keramprovost. La station balnéaire de Morgat est le dernier maillon qui relie la ville de Crozon au port de Morgat, distants l'un de l'autre de deux kilomètres. A l'ouest de la ville, l'urbanisation absorbe les hameaux du Yunic et du Crénoc et s'étend également à l'est où est transféré le cimetière. Malgré la création d'un nouveau quartier autour de la gare, le nord de l'agglomération reste relativement peu développé. Quelques commerces, entrepots et maisons sont établis sur l'actuel boulevard de Pralognan la Vannoise et rue de Nominoë.
Auteur(s) du descriptif : Douard Christel ; Maillard Florent ; Tanguy-Schröer Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Le portail de la cathédrale de Quimper

Par : Musée de Préhistoire de Ca

vignette
picto
Allocution du général de Gaulle à Quimper
Le général de Gaulle prononce à Quimper un discours resté célèbre, dans lequel il évoque la régionalisation. Il annonce le référendum pour la réforme du Sénat et achève son discours en chantant la Marseillaise, accompagné par la foule.

Par : INA

vignette
picto
Prieuré de Locmaria (Quimper)
L'ancienne abbaye de bénédictines présentait une église orientée, bordée au Sud par l'ancien cloître et les bâtiments conventuels. Seule l'église subsiste aujourd'hui avec quelques vestiges de l'ancien cloître ou ancienne salle capitulaire. Les bâtiments conventuels ont tous été reconstruits.Cette abbaye devint prieuré dépendant de l´abbaye Saint-Sulpice-la-Forêt en 1124, puis, en 1857, église paroissiale.Située sur la rive gauche de l´Odet, l´abbaye a été construite au pied du Mont Frugy sur un terrain à peu près plat, ses jardins donnant sur l´Odet et bordés par les bois.Plusieurs hypothèses ont été formulées en ce qui concerne l´époque de l´implantation du premier monastère de Locmaria. Ce quartier de Quimper, identifié comme l´ancienne cité gallo-romaine d´Aquilonia, abritait peut-être dès le 9e siècle un monastère double. Mais aucun élément ne permet de conforter cette hypothèse. Il semble donc qu´il faille faire remonter la fondation de l´abbaye au début du 11e siècle. Les vestiges du monastère primitif que nous connaissons appartiennent en effet à une construction de cette période. Selon Henri Waquet il faudrait placer la date de fondation avant 1022.Ce monastère bénédictin a été fondé par le comte de Cornouaille Alain Canhiart pour sa fille Hodierne, première abbesse de Locmaria. Selon l´essai de datation fourni par Dom Morice et Arthur de la Borderie, cette fondation remonterait aux années 1013-1040, ce que reprend d´ailleurs Louise-Marie Tillet, avançant une date comprise entre 1015 et 1040.En 1124 le duc Conan III choisit de rattacher le monastère à l´abbaye de Saint-Sulpice-la-Forêt du diocèse de Rennes, elle-même placée à cette période sous la règle de Fontevrault. Il est très probable que le transept et le chevet aient été refaits à cette période. A partir de cette date, l´abbaye, probablement fondée un siècle plus tôt, devient simple prieuré.L´abbaye de Locmaria était l´une des quatre seules abbayes féminines médiévales de Bretagne. Après qu'elle soit devenue prieuré, seules deux abbayes de bénédictines existaient encore sur le territoire breton, à savoir Saint-Sulpice et Saint-Georges, toutes deux fondées dans le diocèse de Rennes.Le prieuré était, semble t-il, doublé d´un petit monastère d´hommes placés au service des religieuses. Selon Henri Waquet celui-ci aurait disparu depuis le 14e siècle au moins.Au cours du 17e siècle, l´abbesse Marie de Bourgneuf fait entreprendre de grands travaux, non seulement dans l´abbatiale où le choeur est totalement remanié, mais également dans le monastère où de nouveaux bâtiments conventuels et un cloître sont édifiés jusqu´au 18e siècle.Suite à la Révolution, en 1792, les vingt-deux religieuses quittent le monastère. En 1857 l´ancienne abbatiale devient église paroissiale.
Auteur(s) du descriptif : Cros Mélanie

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Manoir de Coat Bily, 46 chemin de Coat Bily (Quimp
Situé en hauteur, le manoir de Coat Bily a conservé son logis et ses dépendances. Elevé selon un plan rectangulaire sur trois niveaux, le logis est maçonné en pierre de taille et couvert d'ardoise. Sa façade principale est percée au rez-de-chaussée par la porte d'entrée, couverte d'un arc en anse de panier dont le voussoir présente une série de moulures se poursuivant sur les encadrements. L'arc est surmonté d'une accolade moulurée encadrée de deux pinacles. Ceux-ci reposent sur deux pilastres engagés qui encadrent la porte et supportent un bandeau sculpté. Le rez-de-chaussée est éclairé d'une fenêtre à meneau et croisillons chanfreinée, à l'appui et aux linteaux moulurés, flanquée de deux fenêtres de petites dimensions, aux encadrements chanfreinés et aux appuis et linteaux moulurés. Au dessus de la porte d'entrée, l'étage est percé d'une fenêtre à demie croisée munie de deux croisillons, dont l'encadrement présente des moulures, en particulier sur son linteau et son appui. Au-dessus de la fenêtre du rez-de-chausse, une autre fenêtre, plus large, à l'encadrement chanfreiné et à l'appui mouluré perce la façade.Les combles sont éclairés par deux lucarnes à fronton cintrés, ornés de coquilles et encadrées de deux pilastres. Les baies sont, quant à elles, couvertes d'un arc en anse de panier mouluré et leurs encadrements sont chanfreinés. La toiture est encadrée par deux souches de cheminées réparties sur chaque pignon. Le pignon est découvert est orné d'une figure animale sculptée à l'égout du toit. L'arrière du logis est doté d'une tour d'escalier à son angle est. Celle-ci est couverte par un toit en poivrière, et supporte une tourelle accolée. A l'est du logis se dressent des bâtiments annexes, qui s'adossent sur les pierres d'attente d'un programme inachevé. Il s'élève sur un rez-de chaussée et un niveau de combles. En retour d'équerre un autre bâtiment, maçonné en moellons, s'élève sur 2 niveaux. Le manoir a appartenu à la famille de Coëtbilly (ou Quoitbilly) aux XIVe et XVe siècle, famille appartenant à la moyenne noblesse. On trouve la mention d'un Perrot de Coetbilly aux deux montres de Bertrand Du Guesclin en 1371. En 1426, Guillaume de Coëtbilly est commissaire de la Réformation sur la paroisse de Cuzon. En 1536, la famille Coëtbilly se fond dans celle de Kerc'hoant, qui sera la famille détentrice du domaine jusqu'en 1550. C'est sans doute à cette époque qu'est entreprise la construction du logis actuel qui demeurera inachevée. En 1550, la famille Le Minec acquièrt le domaine par voie de succession. On lui doit la construction des éléments de type Renaissance, comme en atteste l'inscription sur l'escalier en vis. En 1571, un aveu désigne Guyomar'ch de Tréanna comme propriétaire du manoir et de la majeure partie du domaine de Coat Bily. La famille des Tréanna fait partie de la moyenne noblesse quimpéroise, et a sa chapelle dans le choeur de la cathédrale, au même titre que les Coëtanezre, les Rosmadec ou les Juch. En 1636, le manoir passe à Pierre Grasset, bourgeois quimpérois. Au XVIIIe siècle, le manoir a appartenu successivement aux Poulpiquet, Horellou (qui possèdent également Penanguer et Tréqueffellec). Après la Révolution, la famille de Vincelles possède le domaine. De 1912 à 1958, le manoir appartient aux Danion.
Auteur(s) du descriptif : Mottay Louise ; Belzic Céline

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Bleun-Brug 050

Par : Diocèse de Quimper et Léon

vignette
picto
Cantic var Bassion hor Salver [suivi de] Adoration
Feuille volante dont le titre peut être traduit comme suit : "Cantique sur la Passion de Notre Sauveur" suivi de "Adoration du Sacrement".

Par : Médiathèques de Quimper Br

vignette
picto
La Cathédrale et la rue Keréon : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

vignette
picto
Séjour en Basse-Bretagne
La cathédrale de Quimper et les maisons à colombages. Le front de mer de Douarnenez. L'atelier de Job à Locronan. Des femmes en coiffe bigoudène. Le port d'Audierne. La Pointe du Raz. Le port de Saint-Guénolé. Le port de Concarneau et la ville close.

Par : Cinémathèque de Bretagne

vignette
picto
Manoir de Barach (côté sud) à Louannec (Recto) et

Par : Archives municipales de Qu

vignette
picto
Album de cartes postales de Quimper (4 Fi 851-4 Fi
Les numéros de pages devant la cote et la description de la carte postale correspondent aux numéros de pages de la visionneusepage 1 : 4 Fi 851 le Likès page 2 : 4 Fi 852 école normale d'institutrices page 3 : 4 Fi 853 infirmerie du Likès page 4 : 4 Fi 854 revue du 118ème page 5 : 4 Fi 855 cérémonie des anciens combattants page 6 : 4 Fi 856 atelier de peinture de la faïencerie page 7 : 4 Fi 857 musée des faïenceries page 8 : 4 Fi 858 Saint Jean Discalceat page 9 : 4 Fi 859 chapelle de la retraite du sacré cœur page 10 : 4 Fi 860 monseigneur Duparc page 11 : 4 Fi 861 le château du Marhallach page 12 : 4 Fi 862 tombola à Quimper page 13 : 4 Fi 863 cavalcade à Nantes char de Quimper en 1910 page 14 : 4 Fi 864 expo philatélique de Quimper en 1946 page 15 : 4 Fi 865 le port à Locmaria page 16 : 4 Fi 866 au confluent page 17 : 4 Fi 867 l'autorail partant de Quimper page 18 : 4 Fi 868 le jardin des remparts en 1959 page 19 : 4 Fi 869 le pont Sainte Catherine et la cathédrale page 20 : 4 Fi 870 les passerelles sur l'Odet page 21 : 4 Fi 871 le musée départemental et la société générale page 22 : 4 Fi 872 la rue du Parc page 23 : 4 Fi 873 Au petit Paris page 24 : 4 Fi 874 la rue Kéréon page 25 : 4 Fi 875 la crêperie du Bon vieux temps page 26 : 4 Fi 876 pose de la quille du Lougre en 1990 page 27 : 4 Fi 877 vue avant du bateau bordé en 1990 page 28 : 4 Fi 878 le chantier du lougre sous la neige en 1990 page 29 : 4 Fi 879 vue panoramique de Quimper en 1908 page 30 : 4 Fi 880 vue générale de Quimper page 31 : 4 Fi 881 le confluent et le kiosque page 32 : 4 Fi 882 le cirque à Quimper page 33 : 4 Fi 883 vue générale de l'Odet et du boulevard page 34 : 4 Fi 884 vue aérienne de la cathédrale et du marché page 35 : 4 Fi 885 les rails et la vallée du Steïr page 36 : 4 Fi 886 vue aérienne de la cathédrale et du marché page 37 : 4 Fi 887 la préfecture en construction en 1904 page 38 : 4 Fi 888 Quimper vue du mont Frugy en 1921 page 39 : 4 Fi 889 Ploneïs page 40 : 4 Fi 890 chapelle Sainte Anne à Ploneïs page 41 : 4 Fi 891 chapelle de la Boissière à Ploneïs page 42 : 4 Fi 892 pont pissette page 43 : 4 Fi 893 le jardin des remparts ou des vieux page 44 : 4 Fi 894 inondations de 1928 page 45 : 4 Fi 895 rue du parc page 46 : 4 Fi 896 autocar Romain à Combrit page 47 : 4 Fi 897 vue panoramique de Quimper page 48 : 4 Fi 898 le gymnase page 49 : 4 Fi 899 place Terre au Duc en 1960 page 50 : 4 Fi 900 manifestations de Plogoff, le procès de Quimper en 1980

Par : Archives municipales de Qu

vignette
picto
La politique de Benoît XV : réponses aux articles

Par : Diocèse de Quimper et Léon

vignette
picto
Le barbier de village
Sujet représenté : scène (discussion ; homme ; barbier ; poule ; cour ; maison ; rasage, Quimper, vêtement : Breton) - N° d'inventaire : 16

Par : Musée d'Art et d'Histoire

vignette
picto
Kantik en henor d'ar Galon-Zakr a Jezuz / O Kalon-
Chant pour le Sacré-Coeur, sur l'air Kaset e voue gant Doue

Par : Diocèse de Quimper et Léon

vignette
picto
Prise de Belle-Ile-en-Mer par les anglais en 1761
Accompagné d'un semble de cartes Fi 1 à Fi 26.. Document manuscrit attribué à Alexandre de Taille qui rapporte un texte de C. Boyer chirurgien des armées en poste à Belle-Ile. Après un long descriptif topographique et géographique de Belle-Ile, Boyer évoque différentes maladies qui peuvent toucher les bellilois. A la fin du document de Taille ajoute qu'une maladie est passée inaperçue de Boyer, c'est l'héméralopie...

Par : Médiathèques de Quimper Br

vignette
picto
Ensemble de trois verrières
Ensemble composé de trois éléments (maîtresse vitre, baie sud, panneau isole) conservés dans la chapelle du manoir. D'une Nativité, seul un fragment figurant l'Adoration des Mages à été est conservé.L'ensemble des fragments, probablement issu de l'atelier des peintres-verriers Le Sodec de Quimper, auteurs d'un grand nombre de verrières en Cornouaille dans la première moitié du 16e siècle, provient de l'ancienne église paroissiale de Mellac. Les armoiries remployées sont celles des propriétaires de Kernault ou de familles apparentées. Suite à la reconstruction de l'église en 1862, la famille Duvergier de Kerhorlay fait insérer les armoiries et les vestiges d'une crucifixion dans les panneaux de leur chapelle privée. Les fragments de l'Adoration des mages, mis à l'abri depuis 1876, ont été restaurés en 1991 par le peintre-verrier Jean-Pierre Le Bihan de Quimper.
Auteur(s) du descriptif : Douard Christel

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

vignette
picto
Hommage à Saint Yves, Patron des avocats
Le traditionnel Pardon de Saint-Yves s'est déroulé le 22 mai à Tréguier. Cette manifestation reçoit chaque année des milliers de pélerins pour la célébration du Saint Patron des avocats. Cette année le Pardon a été présidé par Monseigneur Laurent Dognin, évêque de Quimper, entouré de nombreux dignitaires venus du grand Ouest, dont Monseigneur Denis Moutel, évêque de St Brieuc et Tréguier, et l'Abbé Caous, Curé de Tréguier. Après la cérémonie à la Cathédrale de Tréguier, procession des bannières en direction de Minihy-Tréguier, paroisse d'origine de Yves Hélory de Kermartin (1253-1303), qui a été canonisé par le Pape Clément VI en 1347.

Par : TV Trégor

Afficher le widget sur mon site Voir tous les documents
X

Afficher le widget sur mon site

Vous pouvez afficher le ce widget sur votre site en insérant le code suivant :

<iframe src="https://www.breizhapp.net/widgetbretania/index.php?set=wgt_Quimper"></iframe>

Vous pouvez également voir la liste de tous les widgets à l'adresse suivante Liste des widgets