Patrimoine culturel de Quimper

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Locronan : La procession a travers champs avec cro

Par : Dastum

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Bravig ez eo bale

Par : Dastum

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Ancien gymnase municipal, 6 rue Jean Jaurès (Quimp
Long de 40 m, le bâtiment abritait au rez-de-chaussée un gymnase de 16,85 m x 8 m et une salle de réunion de 21,95 m x 8 m, pour une hauteur de 5 m, l'escalier étant reporté sur la façade nord. L'étage accueillait trois salles d'examen dans la partie centrale, encadrées par deux salles de dessin. Les planchers sont en béton : alors que l'architecte employait jusque-là le procédé Hennebique, les travaux de béton armé sont adjugés à Mme veuve Simon, de Quimper, qui utilisait le système breveté de l'ingénieur parisien Louis Coularou. De part et d'autre de la cour, deux pavillons servaient à l'origine de logement du concierge (à l'est) et de bourse du travail (à l'ouest).La construction d’un gymnase municipal est décidée par une délibération du conseil le 26 février 1904. Le devis estimatif et l'avant-métré (98 996,25 F) sont approuvés le 29 mars, et les travaux sont adjugés le 22 avril pour un montant de 69 100,49 F (ils atteindront in fine la somme de 87 140,79 F). Le 14 août 1905, le conseil municipal vote une dépense de 1 575 F « pour l’installation de l’éclairage au gaz dans le bâtiment du gymnase ». La réception provisoire est prononcée le 1er février 1906, et la réception définitive le 30 avril 1907. Le bâtiment a perdu aujourd'hui sa vocation sportive et abrite diverses associations culturelles (espace Hervé Le Meur, Ti ar Vro).
Auteur(s) du descriptif : Bonnet Philippe

Par : L'inventaire du patrimoine

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Manoir de Kerustum, 18 allée de Kerustum (Quimper)
Le manoir de Kerustum se trouve aujourd'hui cerné par le Lycée du même nom et quelques habitations. Il a pris son nom du ruisseau Ustum, qui passe en contrebas du site d'implantation du manoir. Les bâtiments visibles aujourd'hui sont venus remplacer des bâtiments plus anciens. Comme le montre le cadastre napoléonien, le logis se trouvait à l'emplacement du bâtiment le plus à l'ouest, et présentait selon un plan rectangulaire complété d'une tourelle carrée à l'arrière. L'édifice se compose aujourd'hui de deux bâtiments maçonnés en moellons équarris et pierre de taille, le tout couvert d'ardoise, sauf le faîtage, en tuiles mécaniques. Le premier bâtiment est composé d'un rez-de-chaussée, d'un étage et d'un niveau de combles aménagés. Sa façade principale est ordonnancée selon trois travées, matérialisées par des ouvertures. Au rez-de-chaussée se trouve une porte et deux fenêtres légèrement cintrées. L'étage se caractérise par trois portes fenêtres avec un chanfrein à angle droit, munies de gardes-corps en fer forgé, et se trouvant dans l'alignement des baies du rez-de-chaussée. Les combles sont éclairés par trois petites lucarnes à croupe. Les deux pignons, débordants, supportent une souche de cheminée. Ce bâtiment a été doublé à l'arrière par un second volume, qui a sa propre toiture. La façade arrière est crépieLe second bâtiment est composé d'un niveau au rez-de-chaussée ainsi que d'un niveau de combles aménagés. Il présente une façade en pierre de taille, rythmée par cinq ouvertures. La baie centrale est une porte décorée d'une série de moulures. La porte d'entrée, tiercée, comporte un imposte vitré. Cet imposte est séparé du reste de la porte par un bandeau mouluré en granite. La partie supérieure de l'imposte est légèrement cintré. De chaque côté cette porte est flanquée de deux fenêtres cintrées avec un chanfrein à angle droit. Au dessus du rez-de-chaussée, un niveau de combles est éclairé par trois lucarnes à croupe plus larges que les précédentes. Le pignon occidental du bâtiment est débordant et porte une souche de cheminée. A l'arrière du bâtiment, des appentis et des adjonctions ont été construits.Chacun de ces deux bâtiments anciens a été agrandi à l'arrière par l'adjonction de bâtiments annexes mitoyens.Au sud du logis se trouve une ancienne étable, remaniée, maçonnée en moellons et couverte d'ardoise. A l'est du logis se trouvent des bâtiments de ferme datant du XIXe et du XXe siècle, ils ne font pas partie de la propriété. A l'arrière du logis se trouve un jardin clôturé, bien plus restreint que ce qu'on peut apercevoir sur le cadastre napoléonien. Bien que les constructions actuelles remontent au XVIIIe siècle, l'installation d'un manoir à Kerustum remonterait au XVIe siècle. En 1536, Pierre de Kermoguer possédait le manoir et les terres. Au XVIIe siècle il appartient à la famille du Stanguier puis à Louis de Kermorial. En 1702 la propriété est aux mains des Tanniou de Rosanduc. En 1765, un inventaire après décès dresse la liste des biens meubles du sieur de Kerustum, Guillaume Le Jadé, conseiller au présidial. C'est à cette date que le manoir passe à la famille des Pic de la Mirandole. Le domaine est légué à l'Hospice de quimper en 1868, qui le revend en 1873. En 1899, il passe à la famille Bronnec, qui restaurera l'ensemble dans les années 1950. La famille est toujours propriétaire du domaine, divisé en deux lots : le manoir et la ferme.
Auteur(s) du descriptif : Mottay Louise ; Belzic Céline

Par : L'inventaire du patrimoine

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Recueil de Quimper. Plans jésuites et dessins d'ar
Recueil de plans et élévations d'édifices jésuites dessinés principalement par les Frères Turmel, Martellange et Derand, au 17e siècle. Connu sous le nom de "Recueil de Quimper" car ces plans furent conservés dans le collège jésuite de Quimper jusqu'en 1762 (date de la suppression de la Compagnie de Jésus par Louis XV), puis par la ville de Quimper. Fait partie d'un ensemble de 8 volumes. Entré à l'inventaire en 1902 par Frédéric Le Guyader sous le numéro 8858.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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La terre du passé / Anatole Le Braz
Le Tro Breizh d'Anatole Le Braz.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Intervention d'Eric Rohmer
4èmes Rencontres Art et Cinéma - Quimper (20 au 29 mars 1986) Eric Rohmer filmé à l'occasion du Colloque Peinture et Cinéma - Festival Art et Cinéma de Quimper. Eric Rohmer s'exprime sur ses citations picturales dans les films "Pauline à la plage", "les Contes moraux" et "Comédies et proverbe". Influences des peintres comme Matisse...

Par : Cinémathèque de Bretagne

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4J Quimper /53

Par : Archives départementales d

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4J Quimper /72

Par : Archives départementales d

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Le patro de Ploudalmézeau 099

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Antretien etre daou zen yaouanq var eur separation
Feuille volante dont le titre peut être traduit comme suit : Entretien entre deux jeunes gens sur leur séparation volontaire [suivi de] Chanson sur les tailleurs

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Spurrel's Welsh-English dictonary

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Copie du plan du pont de Chateaulin avec les abord
Echelle de deux millimètres pour un mètre. Plan manuscrit du pont de Châteaulin, sur l'Aulne dans le projet de canal de Nantes à Brest, en 1806.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Le barbier de village
Sujet représenté : scène (discussion ; homme ; barbier ; poule ; cour ; maison ; rasage, Quimper, vêtement : Breton) - N° d'inventaire : 16

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Chapelle et lavoir à Locronan

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Locronan : [carte postale] : l'église et la place
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Tribunal civil séant à Quimper, Chambre correction

Par : Gallica

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La gentille brodeuse de Pont-l'Abbé BRILLANT DU BO
Pont-l'Abbé.- Portrait d'une brodeuse, portant le costume traditionnel et tenant une veste à plastron brodé.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Hommage à Saint Yves, Patron des avocats
Le traditionnel Pardon de Saint-Yves s'est déroulé le 22 mai à Tréguier. Cette manifestation reçoit chaque année des milliers de pélerins pour la célébration du Saint Patron des avocats. Cette année le Pardon a été présidé par Monseigneur Laurent Dognin, évêque de Quimper, entouré de nombreux dignitaires venus du grand Ouest, dont Monseigneur Denis Moutel, évêque de St Brieuc et Tréguier, et l'Abbé Caous, Curé de Tréguier. Après la cérémonie à la Cathédrale de Tréguier, procession des bannières en direction de Minihy-Tréguier, paroisse d'origine de Yves Hélory de Kermartin (1253-1303), qui a été canonisé par le Pape Clément VI en 1347.

Par : TV Trégor

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Manoir
Manoir de plan allongé, à étage carré, construit en moellon équarri de quartzite avec encadrement de baies en kersantite. Un appentis postérieur est construit contre le mur nord. L'épaisseur de la souche de cheminée sur le pignon ouest indique l'existence d'une cheminée à l'étage. Une écurie pavée comprenant un logement pour le cocher, une remise agricole et un four à pain sont construits au nord et à l'ouest du logis. L'ensemble est établi sur un terrain d'environ 7000 mètres carrés arborés, clos de murs et de talus en pierre. Situé à deux kilomètres environ à l'est du bourg de Crozon, le manoir de Keramprovost-Penandreff aurait appartenu à un cadet de la famille Provost, mentionné dans les Réformations de la noblesse de 1426 et de 1516, à Trébéron (commune de Crozon). A partir de 1602, le manoir passe à d'autres familles : Jean Jacob (1602-1610), Corentin Demareil (1682), famille Le Laouenan citée en 1695, famille Hasquer ou Ansquer originaire de Cuzon (près de Quimper) vers 1722, famille Nicolas de Lezernan vers 1742, Jules Arnaud (capitaine de vaisseau) qui vend en 1864 à une famille d'agriculteurs, les Sénéchal.Edifié au 16e siècle, le manoir est remanié au début du 18e siècle, peut-être par la famille Hasquer, en conservant des éléments de l'édifice d'origine : porte de l'appentis nord, porte intérieure entre la salle et l'appentis, linteau de fenêtre à accolade de l'étage. L'écurie située à quelques mètres au nord-ouest du manoir date également du 16e siècle, remaniée en 1728 comme en témoigne la date portée sur une baie de style Renaissance.D'autres remaniements ont été réalisés dans la première moitié du 19e siècle (fenêtres de l'étage) et au 20e siècle (fenêtres du rez-de-chaussée, portes de l'écurie...). Sur le cadastre ancien de 1830, plusieurs petites constructions agricoles figurent à l'ouest et au sud du logis, aujourd'hui disparues, remplacées à l'ouest par une remise agricole, en lien, peut-être, avec l'arrivée des Sénéchal. Le four à pain situé sur le chemin, au nord du manoir, ne figure pas encore sur le cadastre ancien.
Auteur(s) du descriptif : Douard Christel ; Maillard Florent ; Tanguy-Schröer Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

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