Patrimoine culturel de Quimper

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Calvaire du cimetière à Locronan

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Société vélocipédique de Quimper dite du "vélo-spo
Statuts de la Société vélocipédique de Quimper dite du "vélo-sport"

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Le Grand-Hôtel de Quimper

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Le portail de la cathédrale de Quimper

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Le portail de la cathédrale de Quimper

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Emgann Kergidu : ha traou-all c'hoarvezet e Breiz-

Par : Gallica

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Château de Lanroz ou de Lanrose (Quimper)
Construit sur un promontoire, le manoir ou château de Lanroz surplombe la rivière de l’Odet. Il est implanté au cœur d’un domaine composé de bois, de prairies et de champs. Un long chemin permet de rejoindre le manoir, l’entrée dans le domaine est symbolisée par la présence de deux piliers. En s’engageant dans le chemin, à droite se dressent les communs construits en 1929, dernière réalisation de la carrière de Charles Chaussepied. Quelques pas plus loin, sur la gauche s’élève, le manoir de Lanroz. Ce chemin se poursuit vers les bords de l’Odet où se dresse sur l’autre rive en Plomelin, le château de Kerdour. Le manoir présente un plan carré avec une tour d’escalier au nord et une aile en retour d’équerre au sud. Il est orienté au sud, et ceux qui remontent l’Odet en bateau peuvent l’apercevoir à travers les arbres. L’ensemble du manoir est enduit, la pierre de taille granit est utilisée pour les éléments de décor ou de couvrement ainsi que pour le soubassement. Ce manoir comporte un sous-sol, un rez-de-chaussée, un étage et des combles aménagés. Par ailleurs, il est recouvert d’une toiture qui se termine avec une croupe à l’ouest et avec un pignon à chevronnière à l’est. La plupart des baies percées dans les diverses façades du manoir possèdent des jambages harpé avec cavet et sont couvertes d’un linteau en accolade avec cavet. En outre, une corniche à modillons est présente sur tous les murs gouttereaux.Sur la façade nord se trouvent l’entrée principale et deux entrées secondaires. La tour d’escalier à demi hors-œuvre, abrite un escalier tournant en bois qui permet de desservir le premier étage et les combles. L’accès à la tour se fait par une petite porte percée au niveau du soubassement, surmontée d’un linteau monolithe droit reposant sur des coussinets. Deux ouvertures sont percées dans la tour pour éclairer l’escalier tournant. La tour est couronnée d’une corniche et couverte d’une toiture en poivrière. De part et d’autre de la tour, les façades est et ouest se reflètent en miroir. Au rez-de-chaussée et au niveau des combles il y a deux travées, et au premier étage trois travées. A l’est au rez-de-chaussée se trouve une fenêtre à traverse ainsi qu’une large porte d’entrée avec un arc brisé dont la forme est soulignée par la présence d’un bandeau décoratif saillant. A l’ouest, une fenêtre est cachée par de la végétation à proximité de la tour mais sont visibles et accessibles une porte à traverse jumelée avec une fenêtre ; au nord se trouvent l’entrée principale et deux entrées secondaires. La tour d’escalier à demi hors-œuvre, abrite un escalier tournant en bois qui permet de desservir le premier étage et les combles. L’accès à la tour se fait par une petite porte percée au niveau du soubassement, surmontée d’un linteau monolithe droit reposant sur des coussinets. Deux ouvertures sont percées dans la tour pour éclairer l’escalier tournant. La tour est couronnée d’une corniche et couverte d’une toiture en poivrière. De part et d’autre de la tour, les façades est et ouest se reflètent en miroir. Au rez-de-chaussée et au niveau des combles il y a deux travées, et au premier étage trois travées. A l’est au rez-de-chaussée se trouve une fenêtre à traverse ainsi qu’une large porte d’entrée avec un arc brisé dont la forme est soulignée par la présence d’un bandeau décoratif saillant. A l’ouest, une fenêtre est cachée par de la végétation à proximité de la tour mais une porte à traverse jumelées avec une fenêtre à traverse, est visible. L’entrée principale se fait à l’est. Le premier étage est éclairé de chaque côté par deux fenêtres latérales et une petit ouverture centrale. Les combles sont percées de part et d’autre de la tour, de deux lucarnes en pierre de taille granit avec pignon à chevronnière.La façade sud est rythmée par quatre travées. Au niveau du rez-de-chaussée se trouvent, trois fenêtres à traverse et une porte-fenêtre avec imposte à traverses et meneaux. Une des trois fenêtres et la porte-fenêtre éclairent la salle à manger, les repas se prennent donc face à l’Odet. Au premier étage sont présentes quatre fenêtres de moindre hauteur et au dernier étage quatre lucarnes identiques à celles de la façade nord. Le corps de logis principal du bâtiment est flanqué à l’est d’une aile en retour d’équerre. Celle-ci possède un mur pignon à chevronnière couronné d’un fleuron au sud, et deux murs gouttereau à l’est et à l’ouest. Au rez-de-chaussée se trouve un séjour éclairé par deux baies jumelées avec fenêtres à traverse au sud, et d’une fenêtre à l’ouest. Au premier étage, où se situe une pièce carrée identique à celle du rez-de-chaussée, la lumière pénètre par deux baies jumelées d’une hauteur plus réduite au sud ainsi que par une fenêtre à l’est. Le deuxième étage est quant à lui percé d’une unique fenêtre au sud. Sur la façade est, se trouve un mur gouttereau et un mur pignon à chevronnière. Le mur pignon à chevronnière possède une ouverture uniquement au premier et deuxième étage. Par ailleurs, le sommet du mur est flanqué de deux souches de cheminée. Ce mur pignon devait recevoir une aile en retour d’équerre qui n’a pas été construite. La façade ouest est percée d’une fenêtre au rez-de-chaussée.Les dépendances au nombre de trois, édifiées plus tardivement à l’est du manoir, ont été transformées en chambres d’hôtes. Elles sont organisées autour d’une cour centrale dans laquelle on rentre par le sud. A l’est se trouve une dépendance de plan rectangulaire possédant un rez-de-chaussée et un étage. Elle est construite en moellon de granit au rez-de-chaussée et présente au premier étage un pan de bois béton. Se dresse également une seconde dépendance dans le même style que la précédente, de plan carré avec un appentis. Plus au nord est bâtie une troisième dépendance de plan rectangulaire en moellon granit avec une partie en bois et béton. Edifice vraisemblablement construit au début du 20e siècle.L'historique a été complété par des recherches approfondies en 2015 par Jeanne Guéguen.Bien que la construction actuelle date de 1905, il existait auparavant un manoir bâti en 1640 probablement par la famille d’Acigné. A la fin du XVIème siècle, les terres appartiennent à la famille de Keraldanet qui se fond par la suite dans la famille d’Acigné. En 1684, le manoir est acheté par Madame de Sévigné, l’illustre épistolière. Madame de Sévigné qui occupait une place hautement importante dans la société du XVIIème siècle, a épousé Henri de Sévigné parent du cardinal de Retz. Ses lettres à sa fille, Françoise-Marguerite, écrites dans un style libre et inventif sont de précieux témoignages de la société et de la cour de Louis XIV. Cependant, Madame de Sévigné n’a jamais séjourné à Lanroz. La famille de Sévigné était également propriétaire à la même époque de Lestremeur en Plomelin ainsi que d’autres terres en Bretagne. En 1725, Lanroz passe aux mains de la famille Le Plestre de Châteaugiron. Eugène le Bastard de Kerguiffenec, maire d’Ergué-Armel dans le courant du XIXème siècle était propriétaire de Lanroz jusqu’en 1894. Le manoir actuel est construit en 1905 par l’architecte Charles Chaussepied pour Léon Guieysse, lieutenant au 2ème régiment du Génie et fils d’Armand Guieysse directeur des constructions navales à Lorient. Les propriétaires actuels, la famille de Brommer a hérité du manoir en 1968.
Auteur(s) du descriptif : Lauranceau Elise ; Gueguen Jeanne

Par : L'inventaire du patrimoine

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Couffon, Répertoire des églises : paroisse de SAIN
Notice extraite de : Diocèse de Quimper et Léon, nouveau répertoire des églises et chapelles, par René Couffon, Alfred Le Bars, Quimper, Association diocésaine, 1988.

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Quimper, les halles : [photographie de presse]

Par : Gallica

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Artois. Troupes de soldats marchant.

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Album de cartes postales de Quimper (4 Fi 851-4 Fi
Les numéros de pages devant la cote et la description de la carte postale correspondent aux numéros de pages de la visionneusepage 1 : 4 Fi 851 le Likès page 2 : 4 Fi 852 école normale d'institutrices page 3 : 4 Fi 853 infirmerie du Likès page 4 : 4 Fi 854 revue du 118ème page 5 : 4 Fi 855 cérémonie des anciens combattants page 6 : 4 Fi 856 atelier de peinture de la faïencerie page 7 : 4 Fi 857 musée des faïenceries page 8 : 4 Fi 858 Saint Jean Discalceat page 9 : 4 Fi 859 chapelle de la retraite du sacré cœur page 10 : 4 Fi 860 monseigneur Duparc page 11 : 4 Fi 861 le château du Marhallach page 12 : 4 Fi 862 tombola à Quimper page 13 : 4 Fi 863 cavalcade à Nantes char de Quimper en 1910 page 14 : 4 Fi 864 expo philatélique de Quimper en 1946 page 15 : 4 Fi 865 le port à Locmaria page 16 : 4 Fi 866 au confluent page 17 : 4 Fi 867 l'autorail partant de Quimper page 18 : 4 Fi 868 le jardin des remparts en 1959 page 19 : 4 Fi 869 le pont Sainte Catherine et la cathédrale page 20 : 4 Fi 870 les passerelles sur l'Odet page 21 : 4 Fi 871 le musée départemental et la société générale page 22 : 4 Fi 872 la rue du Parc page 23 : 4 Fi 873 Au petit Paris page 24 : 4 Fi 874 la rue Kéréon page 25 : 4 Fi 875 la crêperie du Bon vieux temps page 26 : 4 Fi 876 pose de la quille du Lougre en 1990 page 27 : 4 Fi 877 vue avant du bateau bordé en 1990 page 28 : 4 Fi 878 le chantier du lougre sous la neige en 1990 page 29 : 4 Fi 879 vue panoramique de Quimper en 1908 page 30 : 4 Fi 880 vue générale de Quimper page 31 : 4 Fi 881 le confluent et le kiosque page 32 : 4 Fi 882 le cirque à Quimper page 33 : 4 Fi 883 vue générale de l'Odet et du boulevard page 34 : 4 Fi 884 vue aérienne de la cathédrale et du marché page 35 : 4 Fi 885 les rails et la vallée du Steïr page 36 : 4 Fi 886 vue aérienne de la cathédrale et du marché page 37 : 4 Fi 887 la préfecture en construction en 1904 page 38 : 4 Fi 888 Quimper vue du mont Frugy en 1921 page 39 : 4 Fi 889 Ploneïs page 40 : 4 Fi 890 chapelle Sainte Anne à Ploneïs page 41 : 4 Fi 891 chapelle de la Boissière à Ploneïs page 42 : 4 Fi 892 pont pissette page 43 : 4 Fi 893 le jardin des remparts ou des vieux page 44 : 4 Fi 894 inondations de 1928 page 45 : 4 Fi 895 rue du parc page 46 : 4 Fi 896 autocar Romain à Combrit page 47 : 4 Fi 897 vue panoramique de Quimper page 48 : 4 Fi 898 le gymnase page 49 : 4 Fi 899 place Terre au Duc en 1960 page 50 : 4 Fi 900 manifestations de Plogoff, le procès de Quimper en 1980

Par : Archives municipales de Qu

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Lettre à M. l'Abbé Lecoz, principal du collège de

Par : Gallica

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Lettres à M. Lecoz, prêtre et principal du collège

Par : Gallica

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Anvioù lec'h-02-04

Par : Dastum

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Clocher de l'Eglise St-Théleau : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Arrondissements de Quimper. , Moulin à marée de Pe
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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La grande Troménie de Locronan
La grande Troménie de Locronan s'est déroulée hier en présence de Mgr Daniélou. Les pèlerins en costume traditionnel débutent la procession sur la place du village, celle-ci se poursuit à travers la campagne avoisinante au rythme des cantiques.

Par : INA

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IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

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