Patrimoine culturel de Quimper

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Église paroissiale Saint-Edern
Plan en croix latine à trois vaisseaux. Sacristie hors-oeuvre, de plan hexagonal à comble à surcroît. Porche sud avec accolade à fleuron et pinacles terminés en consoles et nord hors-oeuvre. Clocher à deux chambres de cloches amorties d´un dôme à lanternon encadré à sa base de quatre pinacles. Gros oeuvre en moellon et pierre de taille, le tout peint en blanc à l´intérieur à l´exception du massif occidental. Sol couvert de dalles de granite. Faux transept ouvrant sur la nef par une arcade. Choeur peu profond à chevet plat, encadré de deux chapelles latérales ouvertes sur le choeur et sur les bras du faux transept par une arcade. Nef à trois travées couverte d'un lambris peint en bleu et nervures en rouge, éclairée par des fenêtres hautes géminées. Arcades en arc brisé pénétrant directement dans les colonnes.Dans sa structure, l'édifice date du milieu du 16e siècle (1554). La partie haute du clocher date de la fin du 17e siècle et restauré en 1812. Le chevet et la sacristie ont été rebâtis en 1711 comme l´indiquent les inscriptions sur les murs sud et sud-est de la sacristie. Le porche méridional provient de la chapelle Saint-Maudet. L´édifice a été en partie reconstruit entre 1887 et 1888 d´après les plans du chanoine Jean-Marie Abgrall.
Auteur(s) du descriptif : Fauchille Gwénaël

Par : L'inventaire du patrimoine

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Le portail de la cathédrale de Quimper

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Gavotte montagne

Par : Dastum

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Ton simpl Fañch

Par : Dastum

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Gousperoù ar ranned
Conférence organisée par le département musique traditionnelle de l'E.N.M. de Quimper,
enregistré à l'auditorium du Musée Breton.

Par : Dastum

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Le CECOR, Comité d'expansion économique de Cornoua
La Cornouaille regorge de richesses issues de ses principaux pôles économiques : la pêche, l'agriculture, le tourisme. Malgré ces atouts, les jeunes quittent la région. Le CECOR a pour rôle d'apporter des solutions de développement à la région.

Par : INA

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Les châteaux, maisons de maître et maisons d'archi
Les besoins de la direction du développement urbain à Quimper :
L'étude thématique sur les demeures de maître, châteaux et maisons d’architecte a été demandée par la Ville de Quimper dans le cadre de la transformation de la ZPPAUP en AVAP. Un diagnostic patrimonial a été effectué par le cabinet Ponant Stratégies Urbaines afin d'évaluer la pertinence de la ZPPAUP et les évolutions souhaitées. Parmi ces évolutions souhaitées, l'opportunité de compléter les données par l’Inventaire des manoirs ruraux réalisé en 2014 ainsi qu’un second Inventaire sur les demeures de maître, châteaux et maisons d’architecte. Si le centre urbain est bien connu, les périphéries rurales le sont en effet beaucoup moins. Définition des typologies :La demeure de maître En termes de définition, le Thésaurus de l’architecture nous indique que la demeure est un « édifice à usage d’habitation, rural ou urbain, formé d’un logis souvent accompagné de commun et de dépendances. Suivant ses dimensions, sa localisation, la qualité ou l’activité de ses habitants la demeure peut porter des noms différents : palais, hôtel, château, manoir, etc. ». Une demeure de maître est entourée d’un parc ou d’un jardin et bien souvent une allée mène jusqu’au logis. A Quimper, les demeures de maîtres sont construites par des notables occupant des postes de haut rang au sein de la société quimpéroise : avoué, notaire, négociant, directeur d’assurances… En milieu rural, elles sont généralement élevées sur des sites privilégiés, généralement des endroits isolés avec un vaste terrain autour. Ce qui est caractéristique des demeures de maître en milieu rural est le fait qu’elles aient été bâties sur l’emplacement d’un ancien manoir ou bien à proximité. Ces demeures sont construites sur un terrain noble, et les propriétaires privilégient ces implantations. En milieu urbain, elles sont construites dans des rues nouvellement percées au XIXème siècle et ayant une position privilégiée dans la ville. Leur particularité est leur intégration au sein d’un ensemble bâti ; elles possèdent souvent une avant-cour, un vaste jardin à l’arrière et sont séparées de la rue par un haut mur de clôture ou de la végétation. Les propriétaires de ces demeures peuvent également posséder une résidence urbaine pour être au cœur des mondanités de leur classe, et dans laquelle une partie peut être réservée à l’exercice de leur profession (étude notarial par exemple).Le château En se référant à la définition du Thésaurus de l’architecture pour la période qui nous intéresse (1789 – 1945), le château est une « demeure de grandes dimensions liée à une vaste propriété, et comprenant parc et dépendances ». Au XIXe, le château n’est plus le centre d’une seigneurie mais devient une demeure champêtre. Quimper ne fait pas exception : ses châteaux du XIXe siècle se trouvent en milieu rural, certains ont été construits sur des sites précédemment occupés par des manoirs (château de Lanroz, château de Toulven) ou situés à proximité, quand d’autres ont été érigés ex-nihilo. Des éléments bâtis peuvent compléter le logis (écuries, dépendances, etc.). Ils sont isolés au milieu d’un terrain de plusieurs hectares, situés sur des promontoires et entourés d’un parc souvent agrémenté de plantes et arbres d’essences diverses. La plupart des châteaux repérés se situent sur les bords de l’Odet, les rives demeurant des endroits vierges et paisibles. Ils jouissent d’une vue imprenable sur les bords de l’Odet et entretiennent une relation particulière avec la nature. Ces châteaux sont donc rarement visibles depuis la voie publique étant encerclés d’une végétation dense ou que l’ensemble est clos par un haut mur de clôture. Si ces châteaux sont des résidences de campagne et qu’ils n’ont plus aucune vocation défensive, un vocabulaire castral (tours, mâchicoulis, tour d’escalier, etc) demeure et auquel les propriétaires semblent être attachés. Ces édifices sont construits à l’initiative d’une classe sociale aisée qui s’est enrichie au début du siècle. Certains propriétaires issus de la haute bourgeoisie urbaine possèdent également des résidences en ville. La maison d'architecte Les maisons d’architectes, construites pour les architectes eux-mêmes et pour des particuliers aisés, sont représentatives des influences propres à chaque architecte ainsi qu’à leur époque. A Quimper, les architectes répertoriés sont : Joseph Bigot (1807-1894), Charles Chaussepied (1866-1930), Valentin Olichon (1885-1961), René Legrand (1890-1984), Louis Mony (1892-1977), Hippolyte Ruer, Jacques Lachaud (1893-1973), André Chaussepied (1905-1995).Les résultats de la missionLe nombre d'édifices répertoriés En croisant de nombreuses sources, une liste de demeures de maître, maisons d’architecte et châteaux a été constituée. En outre, ont été ajoutées les maisons d’industriel ou de directeur ainsi que les logis de ferme XXème. Au total, 40 édifices ont été répertoriés. En raison de la durée limitée (6 mois) de la mission, il est donc possible que d'autres demeures de maître, maisons d’architecte ou châteaux existent ou aient existé sur Quimper et n'aient pas été répertoriés. Les repères chronologiques La tranche de datation choisie pour cet Inventaire est : 1789 à 1945. Elle est en lien avec le travail réalisé de mai à octobre 2014. En effet, Louise Mottay a réalisé l’inventaire des manoirs de Quimper de leur origine jusqu’à la Révolution Française et l’abolition des privilèges. Initialement, les datations proposées étaient de 1789 à 1914, seulement après les premières semaines de recherches des constats sont apparus : de nombreuses constructions importantes ont été érigées dans les années 1920 et 1930 et ce notamment par des architectes.
Auteur(s) du descriptif : Gueguen Jeanne

Par : L'inventaire du patrimoine

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Vue panoramique de Quimper

Par : Archives municipales de Qu

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Enquêtes sur la paroisse de Saint-Méen sous l'Empi

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Fêtes de Cornouaille 1973

Par : Cinémathèque de Bretagne

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4J Quimper /55

Par : Archives départementales d

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4J Quimper /10

Par : Archives départementales d

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La rue du Parc et l'Hôtel de l'Épée

Par : Archives municipales de Qu

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La première aventure de Corentin Quimper : oeuvres

Par : Gallica

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Chanson nevez var sujet ur filouter en deus trompe
Feuille volante dont le titre peut être traduit comme suit : Chanson nouvelle au sujet d'un filou qui a trompé son aubergiste [suivi de] Chanson nouvellement composée au sujet de deux jeunes gens.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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La place à Locronan

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Le barbier de village
Sujet représenté : scène (discussion ; homme ; barbier ; poule ; cour ; maison ; rasage, Quimper, vêtement : Breton) - N° d'inventaire : 16

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Entrée église et chapelle à Locronan

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Vieille maison de la place à Locronan

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Histoire du Comité révolutionnaire de Quimper
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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Arrondissements de Quimper. , Eglise de Lambourg :
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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L'Eglise - Le Maître-Autel et le Vitrail : [carte
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

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Arcoat
Vue d'un Château Fort en ruine. Vue d'une chapelle. Un marché près de l'église de Tréguier, procession. Château de Kerjean (vues de l'intérieur et de l'extérieur). Locronan. Le Faouët. Le Huelgoat. Une ferme.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Hommage à Saint Yves, Patron des avocats
Le traditionnel Pardon de Saint-Yves s'est déroulé le 22 mai à Tréguier. Cette manifestation reçoit chaque année des milliers de pélerins pour la célébration du Saint Patron des avocats. Cette année le Pardon a été présidé par Monseigneur Laurent Dognin, évêque de Quimper, entouré de nombreux dignitaires venus du grand Ouest, dont Monseigneur Denis Moutel, évêque de St Brieuc et Tréguier, et l'Abbé Caous, Curé de Tréguier. Après la cérémonie à la Cathédrale de Tréguier, procession des bannières en direction de Minihy-Tréguier, paroisse d'origine de Yves Hélory de Kermartin (1253-1303), qui a été canonisé par le Pape Clément VI en 1347.

Par : TV Trégor

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