Patrimoine culturel de Quimper

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Fête de la Roque à Quimper
Général de la Rocque à Quimper. Croix de feu.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Emvod dir na dor
Noir et blanc : Emvod dir na dor 1953 ; magyared keranna Hyeres (On aperçoit les frères Caouissin, Madame Galbrun, Andrev Fleury) ; Jaffrenou ; Kastell Paol 1950 ; Europa Martray (on aperçoit Ronan Huon) ; Delwennou Killivig ; Touriou iliz Landreger ; Kroaz Salud Bulat ; C'houez ar rost (C'hoariva) ; ur gouel e enez sun (film " Dieu a besoin des hommes") ; 2 Iwerzhonat gant o Piplin ; Titlou "me a zalc'ho ; Couleur : costumes St-Denis ; Mlle Rivoallan St-Brieuc 1948 ; Noir et blanc : Locronan ; Gavotenn Tud Baod 1946 ; gavotte en chaîne St-Brieuc ; St-Brieuc danses reliquat ; Couleur : Locronan archives. Congrès des Dir na Dor (1953) devant une chapelle, repas ; Les Hongrois de Keranna à Hyères ; Taldir Jaffrenou reçoit des invités dont Caouissin : Saint Pol de Léon (1950) ; Europa Martray ; Statues de Lillivig ; Tours de l'église de Tréguier ; La Croix du Salut à Bulat Plestivien ; Pièce de théâtre 'L'odeur du rôti" ; Une fête à l'île de Sein dans les décors du film "Dieu a besoin des hommes" ; Un irlandais avec son uillean pipe interprète "Me a zalc'ho" ; Locronan ; Gavotte Tud Baod 1946 ; gavotte en chaîne Saint-Brieuc ; Saint-Brieuc danses reliquat ; Couleur : Locronan archives.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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usine Verascope Richard ; Quimper

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Le Grand-Hôtel de Quimper

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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La cathédrale de Quimper ; vue prise rue de Brizeu

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Château de Poulguinan (Quimper)
Le corps de logis principal est une construction de plan rectangulaire comportant 5 travées régulières ; il est construit en pierre de taille. Une tour circulaire, élevée en moellons, est accolée à l'une des façades latérales du bâtiment. A l'opposé, une aile en retour d'équerre comportant un étage carré vient agrandir le logis. La liaison entre les deux corps de bâtiments est assurée par une tourelle polygonale sur l'angle de la façade principale. Les adjonctions sont réalisées dans un style néogothique (creneaux, accolades, gâble sur les lucarnes).Un corps de bâtiment antérieur à la Révolution a été transformé et agrandi dans un style néogothique dans la 2e moitié du 19e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Lauranceau Elise ; Gueguen Jeanne

Par : L'inventaire du patrimoine

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Une ardoisière à Saint Cadou
Alain et Dany Pouliquen sont artisans ardoisiers. Ces frères exploitent une ardoisière à Saint Cadou, dans le Finistère. Après des années difficiles, ils participent actuellement à la restauration du toit de la cathédrale de Quimper.

Par : INA

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Villa Kerister, 70 quai de l'Odet (Quimper)
La villa Kerister est bâtie sur une parcelle étroite mais profonde. Placée entre cour et jardin, la villa est orientée au sud et surplombe la rivière de l’Odet. La parcelle est délimitée en largeur par un immeuble à l’ouest, et à l’est par un petit bâtiment ainsi que par un mur de clôture qui se prolonge jusqu’au fond du jardin. Elle est séparée du quai de l’Odet par un mur bahut surmonté d’une grille en fer forgé. A l’est se trouve la porte piétonne et à l’ouest la porte menant au garage. Située dans un quartier prisé par la bourgeoisie à la fin du XIXème siècle, le caractère unique de la villa traduit le niveau de fortune des propriétaires et leur souhait de se démarquer du bâti environnant. En effet, la villa est unique d’un part par son architecture qui contraste avec l’architecture classique des constructions du quai de l’Odet, par les matériaux de construction qui exclut totalement la pierre locale et par les décors choisis. Les façades sud et nord sont recouvertes d’un crépis de couleur beige, les éléments de décors ou de couvrement sont en pierre de taille de calcaire et certains en terre cuite vernissée. La pierre de taille de granit est uniquement employée pour le soubassement. Au début du XXème siècle, il y avait uniquement la porte piétonne. La villa présente un plan carré avec deux décrochements en façade sud, ce qui induit des jeux de volumes et de toitures. Une corniche à modillon avec entablement en terre cuite vernissée court sur toute la longueur de la façade sud. La façade sud se caractérise par la présence de deux ailes en retour d’équerre venant se greffer sur le corps de bâtiment principal. Elles sont de plan rectangulaire et une des deux ailes présente un pan coupé. Les deux ailes s’élèvent sur un rez-de-chaussée, un étage et un niveau de combles aménagés. La villa possède deux accès, la porte d’entrée principal percée dans l’aile à pan coupé et une porte secondaire placée à l’est. Sur l’aile à pan coupé, on accède par un perron à la porte d’entrée principale surmontée d’une marquise. Au premier étage sont percées trois fenêtres. Elles sont couvertes d’un linteau en arc surbaissé avec clé passante et saillante reposant sur des coussinets. Par ailleurs, un bandeau décoratif souligne la forme du linteau. Une lucarne vient éclairer les combles, elle présente le même type de décor que les fenêtres et des carreaux de terre cuite vernissée bleus et verts décorent le tympan mouluré. L’architecte a souhaité porté une attention particulière au pan coupé, qui accueille un décor spécifique. Le premier étage est éclairé par une fenêtre intégrée dans un bow-window placé légèrement en saillie du mur et reposant sur quatre consoles. Au niveau des combles est logé un médaillon dans lequel on peut lire KERISTER 1897. La seconde aile est percée au rez-de-chaussée d’une large ouverture précédée d’un garde-corps en fer forgé. Cette ouverture est couverte d’un linteau en arc en anse de panier, avec clé saillante et passante. Au premier étage, se trouvent deux baies jumelées similaires à celles de l’aile à pan coupé. Elles sont précédées d’un balcon en fer forgé reposant sur deux massives consoles ouvragées. Une grande lucarne identique à celle de l’aile à pan coupé occupe le niveau des combles. Elle possède des jambages à volutes, et est surmontée d’un fronton mouluré décoré de terres cuites vernissées. Le côté est de l’aile est percé de deux ouvertures. A l’extrémité est de la façade sud et au niveau du corps de bâtiment principal se trouve deux ouvertures. Une petite porte placée entre le soubassement et le rez-de-chaussée, est couverte d’un linteau avec arc en plein cintre et clé ouvragée saillante. Entre le rez-de-chaussée et le premier étage, est percée une étroite fenêtre couverte d’un linteau à larmier. Ces deux ouvertures peuvent induire la présence d’un escalier de service permettant de rejoindre les pièces donnant sur la façade nord ou les chambres de domestiques dans les combles. Au niveau de la façade nord donnant sur jardin, il n’y aucun décor. Elle possède un mur gouttereau et un mur pignon. Le mur gouttereau s’organise en trois travées avec une baie à chaque étage et pour chaque travée. Les baies possèdent des jambages harpés, un linteau en arc surbaissé avec clé passante et pendante. Les combles sont éclairés par une lucarne et un œil de bœuf en zinc. La lucarne est couverte d’un linteau en arc surbaissé reposant sur des coussinets et surmontée d’un fronton recouvert d’un essentage ardoise. Le mur pignon comporte une travée. Au rez-de-chaussée une large ouverture précédée d’un balcon apport une luminosité suffisante à la pièce. Par ailleurs, au premier étage sont percées deux baies jumelées et au dernier étage une fenêtre. La villa a été construite en 1897 pour l’oncle et la tante de Max Jacob, célèbre écrivain.
Auteur(s) du descriptif : Gueguen Jeanne

Par : L'inventaire du patrimoine

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Kantik pardonerien kalon Jesus
Feuille volante dont le titre peut être traduit comme suit : Cantique des pèlerin de pardon du Cœur de Jésus.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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4J Quimper /70

Par : Archives départementales d

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4J Quimper /24

Par : Archives départementales d

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4J Quimper /139

Par : Archives départementales d

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Le presbitère provisoire du diocèse de Quimper, au

Par : Gallica

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Ar Bibl Santel. Aviel Sant Mark
La Bible en breton, traduite par Maodez Glanndour (1909-1986), prêtre du diocèse de Saint-Brieuc.

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Vieille maison de la place à Locronan

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Histoire du Comité révolutionnaire de Quimper
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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Présentation de Corentine Coïc née Salaün

Par : Dastum

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Deux ordonnances de police à Quimper (1404-1719)
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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L'Eglise Paroissiale : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Un haut-lieu de Bretagne : Locronan
A travers des images du village de Locronan, l'histoire de cette citée de tisserands nous est contée. On y découvre plus particulièrement l'église et ses trésors.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Groupe sculpté de la Vierge de Pitié
Ce groupe exécuté à la fin du 15e ou au début du 16e siècle et dont on possède une représentation figurée datant de 1642, provient de l´autel des Trépassés situé dans le bras nord du transept de la cathédrale de Quimper. Lors de la restauration de l´édifice vers 1860 et du renouvellement de son mobilier, les ursulines de Quimper le reçoivent en don. Après la fermeture du couvent en 1904, l´oeuvre fut recueillie par la maison du même ordre installée à Quimperlé. Elle se trouve à son emplacement actuel depuis 1933, date de l'achèvement de la chapelle. Identifiée par erreur comme une réalisation en pierre lors de son classement en 1958, elle a été restaurée dans la même année, puis en 1975 par le restaurateur Cassin, de Carnac (nettoyage, colmatage des fentes, fixation de la peinture, vernissage).
Auteur(s) du descriptif : Douard Christel ; Bonnet Philippe

Par : L'inventaire du patrimoine

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IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

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Hommage à Saint Yves, Patron des avocats
Le traditionnel Pardon de Saint-Yves s'est déroulé le 22 mai à Tréguier. Cette manifestation reçoit chaque année des milliers de pélerins pour la célébration du Saint Patron des avocats. Cette année le Pardon a été présidé par Monseigneur Laurent Dognin, évêque de Quimper, entouré de nombreux dignitaires venus du grand Ouest, dont Monseigneur Denis Moutel, évêque de St Brieuc et Tréguier, et l'Abbé Caous, Curé de Tréguier. Après la cérémonie à la Cathédrale de Tréguier, procession des bannières en direction de Minihy-Tréguier, paroisse d'origine de Yves Hélory de Kermartin (1253-1303), qui a été canonisé par le Pape Clément VI en 1347.

Par : TV Trégor

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Le patrimoine archéologique de la commune de Dinéa
La présence du Ménez-Hom sur le territoire communal a très certainement été un élément primordial pour les différentes populations qui se sont succédées et, si l´on suit le raisonnement de Bernard Tanguy, le nom même de Dinéault serait composé de ‘din´ (colline fortifiée) et de ‘heul´ devenu ‘heol´ (soleil). Cependant, jusqu´à présent, rien n´a prouvé qu´un culte solaire y ait été pratiqué. Les premières traces d´occupation du territoire sont bien légères et consistent en quelques silex abandonnés par les derniers chasseurs du Mésolithique dans les environs de Kerguilly et révélées par des prospections systématiques en 1996. Si ces hautes collines que constituent le Ménez-Hom et les « Trois Canards » qui forment la limite sud de la commune, ont été fréquentées précocement pour diverses raisons, elles l´ont été aussi au 19e siècle, notamment par le baron Halna du Fretay qui a bousculé beaucoup de sites sans pour autant les avoir localisés précisément. Beaucoup d´informations ont donc aujourd´hui disparu ou ne sont guère exploitables lorsque l´on connaît les élucubrations du baron « Tumulus », comme il était surnommé. Pour se convaincre de la richesse en vestiges hors sol, il suffit de lire les « Etudes archéologiques » du baron de la Pylaie. Des menhirs ont été signalés anciennement à Kerédan où une parcelle porte le nom de ‘Goarem ar menhir´, à une centaine de mètres à l´ouest du hameau, un autre à 100 mètres au nord du Stang (Flagelle, 1877), un troisième à deux kilomètres au sud du Passage, peut-être le même que celui localisé au pied du Ménez-Hom par le baron de la Pylaie (Du Chatellier, 1907). Tous ces témoins des temps néolithiques ont été détruits. Des accumulations de pierres dénommées ‘cairns´ pouvaient être soit des tas d´épierrage, soit des sépultures ; elles se trouvaient groupées ou éparses, de dimensions variables de 2-3 mètres à 8 mètres de diamètre, le plus souvent de forme ovalaire et dont la hauteur pouvait atteindre 1,50 mètre. Plus nombreuses sur le versant nord du Ménez-Hom (De La Pylaie, 1850), elles se comptaient par centaines selon le docteur Vourc´h. Elles ont été fouillées anciennement pour la plupart, certaines ayant livré des poteries. Les plus importantes repérées se trouvent sur le sommet du Ménez-Hom (ar Yed) et sur son prolongement nord-est (ar Yedic), mais aussi sur le flanc est, près d´une enceinte connue sous le nom de « ar C´horn Tro », ainsi qu´entre le ‘Menez Hielc´h´ et ‘ar Yed´ (Halna du Fretay, 1889 ; Mornand, 2005). Des dolmens ont été signalés à gauche du chemin allant au Ménez-Hom (Flagelle, 1877), mais, de ces derniers, nulle trace ne subsiste. Quant aux habitats néolithiques, ils sont inconnus pour le moment mais des indices, matérialisés par des découvertes de percuteurs et haches polies, laissent penser à une possibilité vers Prat-ar-Pelliet. Certaines buttes artificielles peuvent être considérées comme des tumulus de l´âge du Bronze, mais ici encore, les fouilles anciennes ne laissent guère de documents exploitables et, malgré la microtoponymie, les archéologues restent sur leur faim. Il est vraisemblable qu´à Moudennou il y ait eu quelques sépultures, mais comment l´affirmer aujourd´hui ? Par contre, la présence humaine à cette époque est attestée par les découvertes d´objets, comme la hache à talon en bronze de Kerguilly ou le dépôt de Ty-Bianet du Bronze final qui comporte un lingot plano-convexe et une hache à ailerons subterminaux à anneau latéral (Mornand, 1987). En ce qui concerne l´âge du Fer, certaines fermes indigènes ont été révélées lors de l´effondrement de plafonds de salles souterraines à Kervinic (Le Men, 1876-77) et à Ty-ar-Gall (Le Men, 1876-77). A Kerédan, dans la lande « goaremm-ar-menhir », à 200 mètres au nord du hameau, le souterrain était formé de deux salles reliées par une galerie de plus de huit mètres de long et nommé « Toul-ar-c´horriket » (le trou des korrigans). Il était creusé dans le schiste (Le Men, 1876-77 ; Guénin, 1995). Notons pour ce dernier site que le souterrain se trouvait dans une enceinte contenant un menhir (Flagelle 1877) et que l´enceinte se rapporte peut-être à un système d´enclos lié à l´habitat. Il est possible qu´il faille aussi dater de cette période les scories de bas fourneaux mises au jour à Prat-ar-Pelliet, traduisant l´exploitation des abondants minerais de fer de cette région. Si les vestiges de l´occupation gallo-romaine sont très modestes sur le territoire de la commune, en revanche, une découverte faite en deux temps (en 1913 et 1928) par M. Labat en défrichant une lande à Gorré-ar-C´hoat près de Kerguilly, a rendu célèbre Dinéault auprès de tous les antiquisants. Il s´agit d´une grande statuette en bronze de Minerve, datable du premier siècle de notre ère (Sanquer et Laurent, 1971 ; Sanquer, 1973). Les terres de Dinéault contiennent plusieurs enceintes difficilement datables, pouvant tout aussi bien se rapporter à la protohistoire qu´au Moyen-Âge. Citons, outre celle de Kerédan, celle de « ar C´horn Tro », sur la pente est du Ménez-Hom (Du Chatellier, 1907), celles de Voden et Ty Vougeret (Mornand, 2005), celle de Goarem Dro au nord de Kernalivet et enfin le site de « Goarem ar C´hastel » signalé par Flagelle. BIBLIOGRAPHIE : DE LA PYLAIE, Jean-Marie, 1850. Etudes archéologiques et géographiques. Bruxelles, reprint Soc. Archéol. Finistère, 1970, 569 p. DU CHATELLIER P., 1907 - Les époques préhistoriques et gauloises dans le Finistère. Rennes-Quimper, p. 170-171. FLAGELLE E., 1877 - Notes archéologiques sur le département du Finistère. Bulletin de la Société Académique de Brest, T. 4, 2ème série, p. 10-11. HALNA DU FRETAY. Les ages préhistoriques et le début de l´ère chrétienne. Bulletin de la Société archéologique du Finistère, t. XVI, p. 319-368. GUENIN G., 1936. Pierres à légendes de la Bretagne. Ed. Nourry, Paris, 264 p, p. 42. LE MEN R.F., 1876-1877. Statistique monumentale du Finistère (époque celtique). Bulletin de la Société archéologique du Finistère, t. IV, p. 98. MORNAND J., 1987. Objets inédits de l´âge du bronze à Dinéault. Bulletin de la Société archéologique du Finistère, t. CXVI, p. 25-26. MORNAND J., 2005. Préhistoire et protohistoire en presqu´île de Crozon, tome 2. Crozon, Ass. Etre daou vor, 436 p. SANQUER R., 1973. La grande statuette de bronze de Kerguilly en Dinéault (Finistère). Gallia, 31, p. 61-80. SANQUER R., LAURENT D., 1971.La déesse celtique du Ménez-Hom. Bulletin de la Société archéologique du Finistère, t. XCVII, p. 85-108. TANGUY B., 1990. Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses du Finistère. Chasse-Marée-ArMen, 263 p. VOURC´H A. (Dr), 1941. La préhistoire sur le Ménez-Hom. Bulletin de la Société archéologique du Finistère, T. LXVIII, p. 61-66.
Auteur(s) du descriptif : Le Goffic Michel

Par : L'inventaire du patrimoine

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