Patrimoine culturel de Quimper

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Cornouaille (La)
Bobine 3. Quimper : VG la ville, cathédrale, la rivière de l’Odet vue du Cap Horn, rue Kéréon, boutiques et maisons anciennes, marché, quartier de Locmaria, promenade sur les quais le dimanche, échauguette, le Steir, passerelles sur le Steir, rue du Lycée, rue Kéréon, passerelles sur l’Odet, foule de promeneurs sur les quais, chars à banc transportant marchandises et bestiaux, foule au marché, tractations avec un vendeur (échange de billets de banque), les halles, baraque (vente de tickets pour la promenade sur l’Odet) avec publicité « Visitez l’Odet par la Perle de l’Odet et l’amiral Ronarc’h », départ de la Perle de l’Odet remplie de touristes depuis le quartier du Cap Horn, descente de l’Odet, vues sur les châteaux le long de la rivière, arrivée à Bénodet. Pont-l'Abbé : ville, coiffe, église, rues, terrasse de café, ruines, étalage de goémon, Notre-Dame de Tronoën : calvaire, pardon, coiffes, port de Saint-Guénolé (à vérifier), pêcheurs. Plans de moulin à vent, bigoudènes boivent de la bière.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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La cathédrale de Quimper ; vue prise des remparts

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Quimper : La rue Elie Freron au clair de lune

Par : Dastum

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La cathédrale de Quimper ; vue prise rue de Brizeu

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Manoir de Missilien, Kerfeunteun (Quimper)
Le manoir de Missilien se trouve actuellement près du grand séminaire. Il ne reste du site manorial que ce logis et une étable attenante, maçonnée en moellons de pierre, dont il ne subsiste que les pignons. Le site est actuellement en travaux. En effet, le manoir de Missilien, accompagné d'une construction contemporaine, abritera en 2015 la nouvelle mairie annexe de Kerfeunteun. Lors des travaux en 2014, les écuries ont été détruites. Le logis est organisé selon un plan rectangulaire, il est maçonné en moellons de pierres, les encadrements de baies sont en pierre de taille, et le tout est couvert d'ardoises sur un toit en bâtière. La façade principale est située au sud. Elle comporte au rez-de-chaussée une porte d'entrée cintrée en arc brisé et moulurée ainsi qu'une fenêtre à coussièges, couverte par un arc en plein cintre mouluré. De part et d'autre de ces deux ouvertures, deux fenêtres fournissent un éclairage supplémentaire. A l'étage, quatre fenêtres, dont l'installation est postérieure à la construction du manoir, rythment la façade. Simples, elles ne sont ornées que d'un chanfrein à angle droit. Le niveau de comble est éclairé par trois lucarnes. Le reste de l'édifice a été remanié à de nombreuses reprises, et nécessiterait une étude approfondie pour en comprendre les différentes phases de construction. A l'arrière se trouve une adjonction sur un seul niveau. La montre de 1481 établit Jehan du Plessis comme sieur de Messilien.En 1542, Lorans du Plessis, époux de Marie de Coëtanezre, sieur de Kermihihy et de Messuryen, rend aveu pour le manoir et la métairie noble de Messuryen , maisons, bois, taillis, parcs, clôtures, feniers, frostages, issues et appartenances. En 1661, Renée de la marche, nièce de Guy Autret, arrière petit fils de Lorans du Plessis, rend aveu au fief des Regaires pour la manoir de Missirien, ses bois, terres et tenus, le village et le moulin de saint Denis et sa possession prohibitive de la chapelle de saint Denis. Au XVIIIe siècle, la famille Le Saux du Loc'h possède le manoir.
Auteur(s) du descriptif : Mottay Louise ; Belzic Céline

Par : L'inventaire du patrimoine

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Demeure de Stang Youenn, 41 allée de Stang Youenn
La demeure est implantée en hauteur, au milieu d’une large parcelle et clos par un mur d’enceinte en moellons de granit. L’accès se fait à l’ouest par un portail en fer forgé datant du XIXème siècle,ce portail était avant réservé au fiacre et à côté l’étroite porte en bois était destinée aux piétons. Une autre entrée se trouve au nord, elle donnait accès àun vaste parc. La demeure est accompagnée de diverses dépendances datant de la fin du XIXème et du début du XXème siècle dont une écurie, une porcherie, une étable ainsi que les ruines de l’ancienne maison des commis. L’étable et la porcherie ont été transformées en chambres d’hôtes. Cette demeure a été érigée sur les ruines d’un ancien manoir. Organisée en trois travées, elle comporte un rez-de-chaussée, un étage ainsi que des combles aménagés. Coiffée d’un toit à croupe et couronné d’épi de faîtage en zinc,elle possède un soubassement en pierres de taille granit alors que le reste de l’élévation est enduite. Un perron à double volée permet de pénétrer dans la demeure, et deux gratte-bottes sont situés aux extrémités pour une raison d’hygiène. La symétrie et la géométrie caractérisent cette demeure, au rez-de-chaussée et au premier étage se trouve quatre pièces de 20m². Les pièces sont séparées au centre de la demeure par un vestibule et l’escalier au rez-de-chaussée, et par couloir au premier étage. Les façades sont enduites, les éléments de couvrement et de décor sont en pierre de taille de granit. Les jambages et les linteaux des baies sont ornés d’un cavet.Sur la façade sud qui est la première à être vue, trois différents couvrements habillent les baies et animent la façade. Linteaux en arc surbaissé avec clé passante et pendante pour le rez-de-chaussée, linteaux monolithes droits au premier étage et lucarnes jacobines en pierres de taille de granit au niveau des combles. La façade nord est quant à elle assez sobre, elle ne comporte pas de lucarne et les baies du rez-de-chaussée ainsi que celles du premier étage sont couvertes d’un linteau monolithe droit. Par ailleurs, au niveau du mur pignon ouest, est percée une étroite baie ogivale dans laquelle est fixé un vitrail avec une gamme de couleur allant du jaune, bleu ou rouge. Sur le cadastre napoléonien de 1834 de la commune d’Ergué-Armel, un ensemble de bâtiments organisé autour d’une cour centrale semble être l’ancien complexe manorial de Stang Youenn. Aujourd’hui cet ensemble a disparu et il n’existe plus aucune trace. La demeure est entourée d’un jardin qui a été créé entièrement par les propriétaires actuels dans le respect du lieu. Au sud-est du bâtiment, il reste les ruines de la maison des commis ainsi que des écuries qui comprenaient deux boxes. Par ailleurs, au nord- est se trouvent une réserve d’eau qui devait servir d’abreuvoir et un puits. Et du côté ouest, l’ancienne étable et porcherie. La porte de l’ancienne porcherie est dotée d’un encadrement chanfreiné et est en moellons équarris de granit de grandes dimensions. Ces deux bâtiments ne sont pas présents sur le cadastre napoléonien de 1834, cet encadrement pourrait donc être un réemploi provenant d’un bâtiment de l’ancien manoir. Élevée sur les terres d’un ancien manoir, cette demeure a été construite en 1875 par Charles Hénon notaire à Quimper. Charles Hénon possédait son étude et sa résidence au12 quai du Steïr ainsi qu’une maison d’habitation rue du Frout. Ce notaire est décédé en 1885 en sa résidence principale sur le quai du Steïr, cette demeure étant sa demeure de campagne. En 1923, la demeure et les terrains ont été vendus à des agriculteurs. Ces agriculteurs l’ont exploité en tant que « petite ferme » jusqu’en 1958, et ils ont annexé à la propriété des dépendances (écurie, porcherie, étable). Les propriétaires actuels ont fait l’acquisition de la demeure et certains terrains dans les années 1990.
Auteur(s) du descriptif : Gueguen Jeanne

Par : L'inventaire du patrimoine

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Douarnenez, fonds de cartes postales : abri du ma
Ce recueil numérique comprend 23 cartes postales représentant l'abri du marin à Douarnenez.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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4J Quimper /12

Par : Archives départementales d

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4J Quimper /9

Par : Archives départementales d

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Une martyre aux derniers jours de la Terreur : Vic

Par : Gallica

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Arrondissements de Quimper. , Chapelle Sainte Céci
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Vieille maison de la place à Locronan

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Voyage autour du monde sur la frégate la Vénus, pe
Accompagné d'une carte générale du monde, d'un atlas pittoresque, d'un atlas de zoologie et d'un atlas hydrographique in-folio.. Ce volume réuni les détails de toutes les observations relatives au magnétisme terrestres faites, soit à terre, soit à la mer, pendant le voyage de la Vénus.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Histoire du Comité révolutionnaire de Quimper
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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Deux ordonnances de police à Quimper (1404-1719)
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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Arrondissements de Quimper. , L'avant port : [Plaq
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Statue de sainte Barbe
Avant bras et tour rapportés..Statue datant probablement de la fin du 17e ou du début du 18e siècle. Tour moderne. Provient de la collection de l'évêché de Quimper.
Auteur(s) du descriptif : Douard Christel

Par : L'inventaire du patrimoine

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IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

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Hommage à Saint Yves, Patron des avocats
Le traditionnel Pardon de Saint-Yves s'est déroulé le 22 mai à Tréguier. Cette manifestation reçoit chaque année des milliers de pélerins pour la célébration du Saint Patron des avocats. Cette année le Pardon a été présidé par Monseigneur Laurent Dognin, évêque de Quimper, entouré de nombreux dignitaires venus du grand Ouest, dont Monseigneur Denis Moutel, évêque de St Brieuc et Tréguier, et l'Abbé Caous, Curé de Tréguier. Après la cérémonie à la Cathédrale de Tréguier, procession des bannières en direction de Minihy-Tréguier, paroisse d'origine de Yves Hélory de Kermartin (1253-1303), qui a été canonisé par le Pape Clément VI en 1347.

Par : TV Trégor

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Chapelle Notre-Dame de Rocamadour
Edifice de plan rectangulaire avec choeur à chevet plat aussi large que la nef et ouvrant sur la sacristie au nord. Nef de type obscure à quatre travées flanquée de bas-côtés éclairant indirectement la nef. Arcades en arc brisé pénétrant directement dans les piles octogonales. Deux arcades en plein cintre (partie nord-est de la nef). Baies du chevet et du bas-côté sud bouchées. Sol des travées est de la nef et des bas-côtés couvert de grandes dalles de schiste et de calcaire posées en damier. Charpente moderne.Dédié à la Vierge, l´édifice date, pour l´essentiel, de 1527 (date inscrite sur la façade ouest). Quelques éléments plus anciens (deux arcades nord de la nef, peut-être le chevet), pourraient correspondre aux vestiges d´une construction antérieure. La dénomination « Rocamadour » et son lien avec le lieu de pèlerinage du Lot restent controversés ; la signification « roc », semble plus plausible, puisque la chapelle, très vénérée par les marins, est bâtie sur un affleurement rocheux. Avant la construction de la digue qui renforce un sillon naturel formé de galets, elle n´était accessible qu´à marée basse. Les dates de 1610, 1647 et 1648 marquées respectivement au sud et au nord de la nef correspondent à des restaurations, sans doute mineures, réalisées par le recteur Alain Keraudren et le fabricien Hervé Torrec. Sur l´élévation sud de la tour, on lit des dates allant de 1657 à 1685 ainsi que les noms de Keraudren, Daniel et Palud, respectivement recteurs et fabriciens, ce qui donne une date précise de la construction ou reconstruction de la tour et de la flèche dont la partie supérieure aurait disparue lors de la bataille de Camaret en 1694. La baie du chevet, peut-être à l´origine pourvue d´un réseau enfermant une verrière, a été bouchée à une époque indéterminée, puis repercée d´une petite baie jumelée elle-même murée. Au début du 19e siècle, la chapelle servait d´entrepôt pour l´artillerie. A cause du mauvais état de l´église paroissiale, elle sert de lieu de culte paroissial en 1814. Après un incendie intervenu en 1910, seuls les murs subsistent. L´édifice a été entièrement restauré en 1911. Inscrite à l´inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1935, elle a fait l´objet d´une campagne de restauration en 1994 (parements intérieurs et extérieurs) et en 1998 (restauration des fenestrages et mise en place de vitraux réalisés par l'atelier Le Bihan, Quimper).
Auteur(s) du descriptif : Douard Christel ; Le Lu Stéphanie

Par : L'inventaire du patrimoine

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