Patrimoine culturel de Quimper

vignette
picto
Arrondissements de Quimper. , Pont Croix à l'ombre
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

vignette
picto
Ecart de Traon
Ecart situé au sud-ouest de la commune, en bordure de rade. Abrite un petit port possédant cale en moellon de pierre. Le bâti s'est développé en alignement le long du chemin d'accès à la grève. Peu de logis indépendants avant le milieu du 19e siècle. Les maisons du 1er quart 20e siècle, de type ternaire ou reprenant les plan-types standardisés des années 1920-1930 sont implantées le long des voies d'accès créées de Traon à Pen ar hoat en 1901 mais aussi près de la grève afin de bénéficier d'une vue mer. L'orientation du bâti à Traon est sud-est pour le plus ancien, vers l'ouest pour celui de la seconde moitié du 19e siècle. Pour ce qui est du bâti du 1er quart, l'orientation est dépendante de l'implantation, le long des voies d'accès, mais essentiellement vers le sud, permettant un accès visuel à la mer.La maison située 4 rue du puits, bien que portant la date de 1852 (date d'une rénovation) est présente sur le cadastre de 1825. Elle devait alors être composée d'un seul niveau. Elle avait la particularité d'intégrer en façade un puits (modifications réalisées en 1953). Le n°17, rue du puits, est un logement modifié au cours du 19e siècle, puis à la fin du 20e siècle : seul subsiste une souche de cheminée qui permet d'établir qu'il s'agissait d'un logement élémentaire à une pièce à feu probablement construit juste après l'établissement du cadastre ancien. Le logis, de type élémentaire, au 18 rue du puits, répertorié sur le cadastre ancien, présente une ouverture au-dessus de sa porte d'entrée ; vestige d'une fenêtre donnant sur l'étage à haut surcroît lorsque la maison était couverte de chaume.Deux alignements, présents aussi en 1825 : certains complétés (rue du puits), d'autres écourtés (rue du nerhu). Toutes les maisons ont subi d'importantes modifications de façades (ouvertures, enduits, création d'étage). A noter, le n°33 de la rue du nerhu avec une porte plein cintre et, inséré dans la façade du n°32, un vestige de calvaire représentant deux anges portant blason.Les dates portées sur plusieurs façades montrent un regain de construction, de modifications et de rénovations au cours du 19e siècle et au début du 20e siècle. Traon est un des écarts les plus importants de l'Hôpital-Camfrout. Situé à 3 kilomètres au sud-ouest du bourg, ce village de pêcheurs s'est implanté sur un sol de schiste, de grès et d'argile. Ancien paysage de landes, actuellement boisé, Traon possède un écosystème remarquable, intégré à la ZNIEFF "Baie de Daoulas et estuaire du Faou" depuis 1979 et en ZICO (Zone importante pour la Conservation des Oiseaux).Situé face à Landévennec, l'abbaye possédait des terres à Traon louées, au cours du 18e siècle, au titre du domaine congéable (Archives départementales du Finistère cote 1 E 1093). Le 5 messidor an VI, des terres appartenant à Landévennec sont vendues au titre de biens nationaux.Traon a longtemps été desservi par un chemin venant du bourg, via Runoter en passant par Goarem mein. En 1901, un nouveau chemin de Traon à Pen ar hoat est créé. La route actuelle de Kerascoët à Traon date de 1952. L'étude du cadastre de 1825 et l'analyse du bâti permettent de constater que l'écart de Traon a pris de l'ampleur à la fin du 19e siècle et surtout au 1er quart du 20e siècle. 45% du bâti appartient au 19e siècle ; 39% à la première moitié du 20e siècle. Une dernière phase d'expansion a lieu après les années 1970, lors d'une urbanisation plus importante liée au développement des résidence secondaires.Les quelques maisons antérieures à 1825 appartiennent à la typologie des logis élémentaires à fonction mixte ; l'activité économique de Traon étant la pêche, l'élevage et l'agriculture.Les chiffres du recensement de la population de Traon au 19e siècle :1846 : 55 habitants pour 9 maisons.1856 : 48 habitants pour 8 maisons.1866 : 89 habitants pour 16 maisons.1876 : 109 habitants pour 20 maisons. 1896 : 126 habitants pour 27 maisons.1911 : 121 habitants pour 25 maisons.Les métiers exercés par les habitants de Traon :En 1856, le recensement de la population à Traon dénombre 14 cultivateurs, 8 marins, 2 journaliers, 1 domestique et 2 tailleurs de pierre.Le recensement de 1866 dénombre 7 cultivateurs, 13 marins, 1 tailleur de pierre et 1 domestique. Dix ans plus tard, sont recensés 2 tailleurs de pierre, 1 vachère, 1 journalier, 5 couturières, 12 cultivateurs et 21 marins. Les femmes sont recensées en tant que ménagères (17).On constate donc une augmentation progressive de l'activité maritime à Traon au détriment de l'activité agricole.Jusqu'aux années 1950, l'activité principale de Traon était la pêche : les coquilliers, gabares et sloops mouillaient à Traon.La chapelle Sainte-Anne, érigée en 1950, possède des vitraux réalisés par l'atelier Le Bihan, maître-verrier de Quimper.
Auteur(s) du descriptif : L'Haridon Erwana

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Le Grand-Hôtel de Quimper

Par : Musée de Préhistoire de Ca

vignette
picto
Levrik evit deski lenn ar brezonec hag al latin

Par : Gallica

vignette
picto
Entrée du lycée et de la chapelle

Par : Archives municipales de Qu

vignette
picto
Réactions des Bretons au discours du Général de Ga
Suite au discours du Général de Gaulle, les Bretons de la rue et les personnalités politiques et économiques de la région réagissent. Les préoccupations des Bretons sont liées au développement économique de la Bretagne et à la régionalisation.

Par : INA

vignette
picto
Façade de l'Eglise : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

vignette
picto
Locronan : [carte postale] : l'église et la place
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

vignette
picto
Arrondissements de Quimper. , Débarquement à l'île
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

vignette
picto
Deux ordonnances de police à Quimper (1404-1719)
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

vignette
picto
Le Vieux Puits banal sur la Place de l'Eglise : [c
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

vignette
picto
Les cultures et les saisons
Causerie organisée par Arkaé et Dastum Bro Gerne, thème : "les mois noirs" ; et animée par Suzanne Lozac'h et Gaëlle Martin.

Par : Dastum

vignette
picto
Pourquoi le Journal Sept a été supprimé
Périodique français, hebdomadaire catholique de tendance démocrate-chrétienne fondé en 1934 par les dominicains français; en raison de ses prises de position avancées et sous la pression du Vatican, il dut cesser sa publication en aout 1937 et fut remplacé en novembre par Temps présent, hebdomadaire géré par des laïcs. (BN Autorité)

Par : Diocèse de Quimper et Léon

vignette
picto
IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

vignette
picto
Hommage à Saint Yves, Patron des avocats
Le traditionnel Pardon de Saint-Yves s'est déroulé le 22 mai à Tréguier. Cette manifestation reçoit chaque année des milliers de pélerins pour la célébration du Saint Patron des avocats. Cette année le Pardon a été présidé par Monseigneur Laurent Dognin, évêque de Quimper, entouré de nombreux dignitaires venus du grand Ouest, dont Monseigneur Denis Moutel, évêque de St Brieuc et Tréguier, et l'Abbé Caous, Curé de Tréguier. Après la cérémonie à la Cathédrale de Tréguier, procession des bannières en direction de Minihy-Tréguier, paroisse d'origine de Yves Hélory de Kermartin (1253-1303), qui a été canonisé par le Pape Clément VI en 1347.

Par : TV Trégor

vignette
picto
Église paroissiale Notre-Dame-de-Lorette
Edifice de plan allongé avec nef flanquée d´un unique bas-côté au nord. Chevet plat. Massif occidental bâti contre le pignon de l´ancienne église, avec chambre des cloches de plan carré surmontée d´une flèche ajourée octogonale flanquée de quatre clochetons. Sacristie hors-oeuvre couverte d´un toit à croupe. Choeur s´ouvrant au sud vers l´ancienne chapelle seigneuriale séparée en deux parties par un arc diaphragme. Chapelle sud couverte d´un lambris de couvrement. Nef couverte d´une charpente apparente et lambrissée formant des voûtes d´ogives à lunettes. Ancien ossuaire hors-oeuvre transformé en chapelle des fonts.D´un édifice antérieur, dédiée à saint Pierre et attesté au 14e siècle, ne subsiste rien. Au 15e siècle, le culte de la Vierge supplante celui de Pierre. L´édifice est reconstruit dans la première moitié du 16e siècle ; le choeur à chevet plat, la chapelle sud, ancienne chapelle seigneuriale des seigneurs du Terre puis Joly de Rosgrand, les piliers de la nef ainsi que l´ossuaire datent de cette époque. Le bâtiment figure, avec un porche sud, sur le cadastre de 1811. La sacristie a été rajoutée dans la première moitié du 19e siècle, A la fin du 19e siècle, l´édifice est en mauvais état ; le clocher, refait sans doute peu avant 1850 et figurant sur des documents anciens, est démoli. La reconstruction est intervenue entre 1901 et 1905. Le clocher a été réalisé en 1901 d'après un dessin du chanoine Jean-Marie Abgrall. Les autres parties de l'édifice ont été modifiées suivant les plans de l´architecte Charles Chaussepied, de Quimper : conservation de l´emprise au sol de l´édifice ancien (chapelle sud incluse) et doublement de la hauteur de la nef et du choeur. Le projet d'un porche au sud ne sera pas réalisé.
Auteur(s) du descriptif : Douard Christel

Par : L'inventaire du patrimoine

Afficher le widget sur mon site Voir tous les documents
X

Afficher le widget sur mon site

Vous pouvez afficher le ce widget sur votre site en insérant le code suivant :

<iframe src="https://www.breizhapp.net/widgetbretania/index.php?set=wgt_Quimper"></iframe>

Vous pouvez également voir la liste de tous les widgets à l'adresse suivante Liste des widgets