Patrimoine culturel de Quimper

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Calvaire du cimetière à Locronan

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Une rue de Quimper

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Le portail de la cathédrale de Quimper

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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La cathédrale et la ville de Quimper

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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La cathédrale Saint Corentin à Quimper
Après dix années, la restauration de la cathédrale Saint Corentin de Quimper est achevée. Cette restauration redonne à la cathédrale son faste d'origine.

Par : INA

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Carte particulière d'une partie de la côte du sud
Ancien possesseur : Argenson, Antoine-René de Voyer (1722-1787 ; marquis de Paulmy d'). Ancien possesseur

Par : Gallica

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An Imitation Jesus-Christ hon salver biniguet . Le

Par : Gallica

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Notice historique sur la ville de Quimper / [par M
Notice historique sur la ville de Quimper

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Vue panoramique de Quimper

Par : Archives municipales de Qu

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Entrée du lycée et de la chapelle

Par : Archives municipales de Qu

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4J Quimper /77

Par : Archives départementales d

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Disput etre ar maro hac an den yaouanq. recit comp
Fait partie d'un recueil factice. Feuille volante dont le titre peut être traduit comme suit : Débat entre la mort et la jeunesse.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Le barbier de village
Sujet représenté : scène (discussion ; homme ; barbier ; poule ; cour ; maison ; rasage, Quimper, vêtement : Breton) - N° d'inventaire : 16

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Enquête auprès de Gwilhou L'Arzul - Plomelin - 197

Par : Dastum

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Portail de l'Eglise : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Histoire du Comité révolutionnaire de Quimper
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

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Château de Quérousien ou de Kerousien (Plomelin)
Edifice de plan symétrique, le corps de logis rectangulaire recevant un avant-corps central polygonal sur la façade sur jardin. Annexe latérale couverte en terrasse. Maçonnerie enduite avec encadrements de baies, bandeaux horizontaux, chaînes d'angle et corniche en pierre de taille.Château construit au cours de la 2e moitié du 19e siècle ; agrandissement latéral au début du 20e siècle par M. de Carné.
Auteur(s) du descriptif : Lauranceau Elise

Par : L'inventaire du patrimoine

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Distr-o-meur ar bec'herien ouz Doue (Mision bras a
Recueil pour le pèlerinage de Notre-Dame de Boulogne. Contient : Laudate Mariam ; Kalon dinamm Mari ; Santez Mari, Mamm Doue evit en em ouestla d'ar Werc'hez ; Santez Mari, Mamm Doue, e pep amzer Gwerc'hez ; Itron ar zilvidigez ; Truez, va Doue ! ; M'he gwelo, eun dervez ; Eun deiz, er Baradoz ; Rouanez Arvor ; Rouanez Arvor, dalc'hit d'eomp hor feiz ; Gwerc'hezed ar vro ; Patronez dous, Itron ar Follgoad

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Hommage à Saint Yves, Patron des avocats
Le traditionnel Pardon de Saint-Yves s'est déroulé le 22 mai à Tréguier. Cette manifestation reçoit chaque année des milliers de pélerins pour la célébration du Saint Patron des avocats. Cette année le Pardon a été présidé par Monseigneur Laurent Dognin, évêque de Quimper, entouré de nombreux dignitaires venus du grand Ouest, dont Monseigneur Denis Moutel, évêque de St Brieuc et Tréguier, et l'Abbé Caous, Curé de Tréguier. Après la cérémonie à la Cathédrale de Tréguier, procession des bannières en direction de Minihy-Tréguier, paroisse d'origine de Yves Hélory de Kermartin (1253-1303), qui a été canonisé par le Pape Clément VI en 1347.

Par : TV Trégor

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Chapelle Saint-Exupère, Loc-Ispar (Dinéault)
Edifice de plan allongé à vaisseau unique éclairé par six fenêtres et un oculus ; chevet à pans coupés flanqué d´une sacristie au nord. Clocher hors-oeuvre en pierre de taille de granite et de kersantite. Baie surmontée d´une chambre de cloches ajourée à galerie amortie d´un lanternon à crossettes. Croupe ouest sans lien avec la tour-clocher. Gros oeuvre en moellon équarri de granite et de schiste, à l'exception des chaînages d´angle et des encadrement de baies, en pierre de taille de granite. Lambris de couvrement peint en bleu pâle et nervures en rouge. Sol couvert de dalles d´ardoise. Murs enduits de ciment à l´intérieur.Chapelle reconstruite en 1893 à l´emplacement d´un ancien édifice dont elle réemploie le pignon ouest et le clocher qui porte la date de 1669. Un vitrail du 16e siècle représentant au centre la Vierge à l´Enfant, à droite sainte Marie-Madeleine, à gauche saint Dispar (ou saint Exupère) présentant à la Vierge le donateur de la chapelle : Raoul de Kersauson. Ce vitrail, acquis en 1896 par la Société Archéologique du Finistère, est exposé au Musée Départemental de Quimper. Sa vente a permis le financement du nouvel édifice.
Auteur(s) du descriptif : Fauchille Gwénaël

Par : L'inventaire du patrimoine

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Quartier de la Gare
Pleyben se situe sur la ligne de chemin de fer qui relie, sur 57 kilomètres, Carhaix à Châteaulin dès 1908. Sur cette ligne, Pleyben fait partie des treize gares ou haltes. Le tronçon reliant Carhaix à Pleyben ouvre en 1904. Dès le début des travaux, l´hôtel, situé à proximité de la gare, est construit.La gare, de voyageurs mais aussi de marchandises (en témoignent les entrepôts toujours présents), est à l´origine de l´urbanisation du quartier, durant la période de fonctionnement de la ligne. La gare, désafectée dans les années 1960, a été détruite lors de l'élargissement de la route départementale D 785 reliant Quimper à Morlaix. De l'activité ancienne témoignement l´entrepôt jouxtant à l´origine la gare, l´alignement d´entrepôts rue Victor Hugo, la maison du chef de gare (début 20e siècle) dans la même rue, l´hôtel de la gare (début du 20e siècle, façade ouest transformée dans le second quart du 20e siècle) à l´angle des rues de la gare et Victor Hugo et un ensemble de deux maisons du premier quart du 20e siècle. Les maisons repérées présentent des façades ordonnancées à trois travées.
Auteur(s) du descriptif : Maillard Florent

Par : L'inventaire du patrimoine

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Le patrimoine ferroviaire de la commune de Château
La commune de Châteaulin présente la particularité de se situer au croisement de deux réseaux ferrés : le réseau Breton (ligne reliant Carhaix à Camaret, au plus fort moment de son développement) et le réseau de la Compagnie Paris-Orléans qui relie Quimper à Landerneau. Si cette liaison est toujours en activité, la première a cessé de fonctionner en 1967 alors qu'elle ne servait plus qu'au trafic de marchandises. Voie métrique, il reste quelques vestiges sur le territoire communal (Le Vastil), et son trajet est encore visible, matérialisé soit par des chemins, des talus, ou mis en valeur par sa transformation en voie verte (Stang forn).Dès 1840, l'Etat souhaite l'arrivée du chemin de fer en Bretagne. L'objectif premier est de relier les arsenaux de Indret, Lorient et Brest. Le second objectif est économique puisque le train permet des échanges commerciaux avec Paris (denrées diverses et nombreuses provenant de Bretagne ; engrais et machines agricoles pour la Bretagne). Quant à l'intérêt politique, il est aussi sous-jacent : A. Hamon, secrétaire du ministre Guizot en 1842, dont les propos sont repris par Joël Cornette, dans l'Histoire de la Bretagne, explique que l'arrivée du chemin de fer permet de "civiliser cette province, si belle mais encore si sauvage" ; ainsi, "le train apportera plus de français aux Bretons que les plus habiles instituteurs primaires et avancera de plus d'un siècle la fusion de cette vieille province avec nos jeunes départements."La décision de créer une voie de chemin de fer entre Nantes et Châteaulin, via Napoléonville (Pontivy), est prise par décret impérial n°2831 du 14 juin 1855. La part financière de l'Etat est de 25 millions de francs pour la réalisation des travaux. La convention signée entre l'Etat et la Compagnie du Chemin de fer d'Orléans établit que les travaux entre Quimper et Châteaulin devront être réalisés en 9 ans. Ainsi, la section Quimper-Châteaulin, dont les travaux sont supervisés par l'ingénieur en chef Jégou et les ingénieurs François Watier et de Fréminville, est inaugurée le 12 décembre 1864.Concernant la section Châteaulin-Landerneau, bien que non comprise dans la convention de 1855, un décret du 6 juillet 1863, lance le projet dont la concession est attribuée à la Compagnie Paris-Orléans. Les travaux commencent en septembre 1865 pour un durée initialement prévue de 8 ans : l'inauguration a lieu le 16 décembre 1867. La consultation des Annales des Ponts et Chaussées (1868), nous renseigne sur les coûts financiers engendrés par les travaux de la ligne Châteaulin-Landerneau ; coûts non seulement dus à la création des stations, des maisons de garde barrières et des voies, mais aussi en raison du relief extrêmement accidenté.« [La ligne] présente de très grandes difficultés de tracés parce qu'elle coupe à peu près perpendiculairement les derniers contre-forts des monts d'Arrée qui entourent la rade de Brest». «Il a fallu prendre le parti de couper [ses promontoires] et de traverser [les vallées]. De là sont résultés des terrassements considérables». En totalité sur la ligne de 52, 478 km, 2 590 000m2 de terrassement, 112 ouvrages d'art en plus des viaducs de Port-Launay, Pont-de-Buis, Daoulas et du tunnel de Neiz-Vran, 35 passages à niveau ont été réalisés, le tout pour un total de 17 912 905 francs. Les travaux ont été suivis par les ingénieurs des Ponts et Chaussées, MM. Croizette-Desnoyers et Arnoux. Le projet réalisé a été celui effectué par l'ingénieur Moreau. Quant aux travaux des viaducs et tunnels ils ont été supervisés par les ingénieurs Bouret, Moulinot et Farcy.En 1881, est déclarée d'utilité publique la construction de lignes de chemin de fer jugées complémentaires au réseau de la Compagnie des Chemins de fer de l'Ouest et de la Compagnie Paris-Orléans. La Compagnie des chemins de fer de l'Ouest en obtient la concession par convention du 17 juillet 1883.Partant en étoile depuis Carhaix, ce nouveau réseau irriguait de multiples zones de Bretagne permettant leur désenclavement.En 1885, il fut décidé de créer la ligne Carhaix-Châteaulin. La prolongation de cette ligne jusqu'à Camaret est décidée en 1909 mais n'est effective qu'en 1925.La jonction entre les deux gares de Châteaulin (Châteaulin-ville et Châteaulin-Embranchement) est effective le 11 août 1907 grâce à la construction du pont ferroviaire, actuellement routier, qui enjambe l'Aulne.
Auteur(s) du descriptif : L'Haridon Erwana

Par : L'inventaire du patrimoine

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