Patrimoine culturel de Quimper

vignette
picto
Eglise paroissiale Saint-Ouen
Plan en croix latine à trois vaisseaux. Chevet plat flanqué de deux sacristies de plan carré. Clocher demi-hors-oeuvre à chambre de cloches ajourée à galerie et amortie d´une flèche polygonale ornée de crochets et encadré à sa base par quatre gables ajourés et quatre pinacles. Gros oeuvre en pierre de taille de granite. Nef à trois travées couverte d´un lambris. Arcades en arc brisé reposant sur les chapiteaux des piliers octogonaux. Sol couvert de dalles de granite.Edifice probablement construit en 1571 (date sur la console du choeur), reconstruit entre 1859 et 1860 d'après les plans de l'architecte Tritschler, à l´exception de la façade occidentale et du clocher daté de 1736.
Auteur(s) du descriptif : Fauchille Gwénaël

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Présentation
Cycle de conférences organisées dans le cadre de l'université d'été du festival de cornouaille, coproduites par Ti Ar Vro Kemper, animées par Guy Riou et Loeiz Guillamot.
Thème : L'évolution des instruments de musique traditionnels avec Laurent Bigot.

Par : Dastum

vignette
picto
An daou kamarad fidel

Par : Dastum

vignette
picto
Hiriv emaon, ya, dimezet

Par : Dastum

vignette
picto
Emgann Kergidu : ha traou-all c'hoarvezet e Breiz-

Par : Gallica

vignette
picto
An Templ consacret dar Passion Jesus-Christ, batis
Appartient à l’ensemble documentaire : Bretagn1. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001

Par : Yroise - bibliothèque numé

vignette
picto
Avis d'al labourerien ha d'ar cultivatourien an ar
Feuille volante dont le titre peut être traduit comme suit : Conseils aux paysans de l'arrondissement [de Quimper].

Par : Médiathèques de Quimper Br

vignette
picto
QUIMPER.- La Cathédrale et les Anciens Remparts
Quimper.- La cathédrale Saint-Corentin et les anciens remparts.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

vignette
picto
4J Quimper /45

Par : Archives départementales d

vignette
picto
Ligne de Nantes à Chateaulin : expropriations pour
Ligne de Nantes à Châteaulin : expropriations pour cause d'utilité publique : indemnités à régler par le jury, séance à Quimper le 16 juin 1863 et les jours suivants

Par : Médiathèques de Quimper Br

vignette
picto
Eloge de Laennec : discours prononcé à l'érection

Par : Gallica

vignette
picto
La place à Locronan

Par : Musée de Préhistoire de Ca

vignette
picto
7/8/21, fête des cormorans à St Guénolé Penmarch,

Par : Gallica

vignette
picto
Paysages et monuments de la Bretagne : Finistère /
Considérations géographiques (géologiques, topographiques...), sociales et historiques sur les localités et monuments du Finistère (pays bigouden et pays fouesnantais), classées par localités. Au sein d'une même localité, les monuments sont étudiés par ordre chronologique d'édification.

Par : Médiathèques de Quimper Br

vignette
picto
Le barbier de village
Sujet représenté : scène (discussion ; homme ; barbier ; poule ; cour ; maison ; rasage, Quimper, vêtement : Breton) - N° d'inventaire : 16

Par : Musée d'Art et d'Histoire

vignette
picto
Histoire du Comité révolutionnaire de Quimper
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

vignette
picto
Deux ordonnances de police à Quimper (1404-1719)
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

vignette
picto
Ur chañson savet gant ur c'hoñskri yaouank deus a

Par : Dastum

vignette
picto
Arrondissements de Quimper. , Chapelle Notre Dame
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

vignette
picto
Arrondissements de Quimper. , Chapelle Notre Dame
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

vignette
picto
IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

vignette
picto
Hommage à Saint Yves, Patron des avocats
Le traditionnel Pardon de Saint-Yves s'est déroulé le 22 mai à Tréguier. Cette manifestation reçoit chaque année des milliers de pélerins pour la célébration du Saint Patron des avocats. Cette année le Pardon a été présidé par Monseigneur Laurent Dognin, évêque de Quimper, entouré de nombreux dignitaires venus du grand Ouest, dont Monseigneur Denis Moutel, évêque de St Brieuc et Tréguier, et l'Abbé Caous, Curé de Tréguier. Après la cérémonie à la Cathédrale de Tréguier, procession des bannières en direction de Minihy-Tréguier, paroisse d'origine de Yves Hélory de Kermartin (1253-1303), qui a été canonisé par le Pape Clément VI en 1347.

Par : TV Trégor

vignette
picto
Chronique d'un ouragan
Chronique de l'ouragan qui s'est abattu sur la Bretagne dans la nuit du 15 au 16 octobre 1987. Images saisissantes des ravages occasionnés par cette tempête d'une exceptionnelle violence : vues de Quimper et du mont Frugy, forêts dévastées, les ports bigoudens et le port de plaisance de Concarneau détruits, bateaux drossés à la côte, forêts et exploitations agricoles ravagées, récoltes couchées, serres qui ont volé en éclats sous la force du vent chronométré à certains endroits à plus de 220-240 km/h, bâtiments agricoles et religieux aux toitures abîmées ou envolées, cimetières ravagés, dégâts sur les lignes électriques, interventions d'EDF... Témoignages d'un cauchemar qui restera longtemps dans la mémoire collective des bretons.

Par : Cinémathèque de Bretagne

vignette
picto
Les anciennes ardoisières de la commune de Saint-C
L’origine de l’extraction d’ardoises dans le bassin de Châteaulin est inconnue, bien qu’elle soit attestée au moins depuis le 15e ou 16e siècle. Plusieurs historiens ont noté son utilisation dans plusieurs monuments anciens : couverture de la cathédrale de Quimper en ardoises de Laz et de Saint-Goazec aux 15e et 16e siècles, couverture de l’église Saint-Maclou de Rouen en 1526 avec de l’ardoise achetée à Châteaulin, présence près du prieuré de Châteaulin de « carrières d’ardoises très excellentes » d’après l’histoire du royal monastère de Landévennec de 1640, don du roi au sieur de Lançon d’une carrière d’ardoise proche du château de Châteaulin en 1671 …Plus récent, les témoignages de contemporains à la fin du 18e siècle et au début du 19e siècle évoquent l’activité intensive des ardoisières du bassin de Châteaulin. Dans son dictionnaire de Bretagne paru en 1778-1780, Ogée rapporte que « les environs [de Châteaulin] fournissent un grand nombre de carrières d’ardoises qu’on y vient chercher des pays étrangers ». Cambry, dans son Voyage dans le Finistère en 1794 et 1795, décrit Châteaulin comme un pays « formé de montagnes schisteuses, de carrières d’ardoise », tandis que Brousmiche, dans son Voyage en 1829, 1830 et 1831 parle des « carrières d’ardoises […] en pleine exploitation sur les deux rives de l’Aulne ».L’exploitation du sous-sol géologique pour la construction est alors déterminée par deux facteurs importants : sa nature même, largement dominée par des schistes bleu foncés produisant des ardoises de couverture fines, mais ayant également largement servi comme moellons dans les constructions locales, et l’accès immédiat par transport fluvial, les carrières étant toutes situées à proximité des bords de l’Aulne.Au 18e siècle, les principales ardoisières étaient situées à Châteaulin, Saint-Coulitz, Saint-Ségal, Lothey, Gouézec et Pleyben. Il semble bien que jusqu’au début du 19e siècle, l’activité ardoisière se soit bornée aux alentours de Châteaulin, exploitée dans des carrières à ciel ouvert, mais aussi dans quelques carrières souterraines sous voûte, puis exportées via le port de Port-Launay.Un rapport de 1840 nous apprend que 32 carrières étaient alors en activités sur 9 communes du bassin sud de Châteaulin (Châteaulin, Saint-Ségal, Saint-Coulitz, Lothey, Gouézec, Pleyben, Lenon, Châteauneuf et Saint-Goazec) employant 486 ouvriers. Durant la première moitié du 19e siècle, l’aire d’exploitation de l’ardoise s’est ainsi étendue jusqu’à Chateauneuf-du-Faou.La quasi-totalité de l’activité ardoisière des alentours de Châteaulin s’est arrêtée à partir de la fin des années 1880. Simultanément, l’aire d’extraction d’ardoises s’est étendue vers l’est, avec l’ouverture de nombreuses carrières au sud de Carhaix, se développant dans le secteur de Motreff, et proche de Locarn, facilité par l’ouverture du canal de Nantes à Brest au 19e siècle, que de nombreuses nouvelles exploitations longent.Deux ardoisières à Saint-CoulitzLa carrière de Poullpichou, au lieu Ty ar Vengleuz (la maison de la carrière) à l’est du bourg de Saint-Coulitz, en bordure de l’Aulne, est la plus importante et la plus grande carrière de la commune. Le site, qui est déjà mentionné sur le premier cadastre napoléonien de 1809, puis sur la deuxième version en 1847, semble avoir été actif au moins depuis le 18e siècle.L’exploitation à ciel ouvert de cette grande carrière s’est effectuée sur un front de taille en demi-cercle d’environ 80 mètres de diamètre et dont le fond se situe à 250 mètres du canal, formant une large zone jonché de débris et chutes d’ardoises. Le front de taille s’élève aujourd’hui à 10 mètres de hauteurs en moyenne, allant jusqu’à 15 mètres. La végétation aujourd’hui abondante rend l’accès au site difficile et ne permet pas de savoir si des galeries existaient et ont été rebouchées.A proximité immédiate du site, les vestiges d’une petite maison de carrier construite en schiste ardoisier rappellent la vocation industrielle du site qui porte aujourd’hui son nom, « Ty ar Vengleuz », littéralement la « maison de la carrière ». D’autres maisons, figurées sur le cadastre de 1847 et disparues aujourd’hui, ont existé.A environ 400 mètres au sud se situe la carrière de Kernévez, moins large (environ 50 mètres) mais ayant un front de taille pouvant atteindre une vingtaine de mètres (aujourd’hui très difficile d’accès et en partie remblayée). La carrière semble être plus récente, car non indiquée sur le cadastre napoléonien de 1809, bien que toute proche de celle de Poullpichou. Elle est toutefois mentionnée dès 1840 dans le rapport sur les carrières des environs de Châteaulin, puis indiquée sur le cadastre napoléonien de 1847.Une troisième carrière, mentionnée sur le cadastre napoléonien de 1847 au nord-ouest de Kertanguy (mais absente du cadastre de 1809 et du rapport de 1840) semble avoir été active durant la deuxième moitié du 19e siècle. De petites dimensions, il n’en existe plus aucune trace actuellement.Les recensements de population effectués à partir de 1836 montrent un nombre élevé de carriers sur la commune de Saint-Coulitz dans les années 1830-1840 : 36 carriers recensés en 1836, puis 32 en 1841, pour une population d’environ 500 habitants. Le rapport de 1840 sur les carrières des alentours de Châteaulin ne mentionne pour Saint-Coulitz que 7 ouvriers employés à Poullpichou, et 4 à Kernévez. Il semble que si ces deux exploitations étaient les plus importantes, de petites extractions d’ardoises locales ai pu exister, et qu’une partie des « carriers » de Saint-Coulitz travaillaient sur des carrières situées sur les communes avoisinantes.Jusqu’aux années 1880, l’activité ardoisière se maintient sur la commune mais diminue sensiblement (24 carriers en 1851 ; 21 carriers en 1881 ; 15 carriers en 1886), avant de disparaitre définitivement à la fin du 19e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Blanchard Romain

Par : L'inventaire du patrimoine

Afficher le widget sur mon site Voir tous les documents
X

Afficher le widget sur mon site

Vous pouvez afficher le ce widget sur votre site en insérant le code suivant :

<iframe src="https://www.breizhapp.net/widgetbretania/index.php?set=wgt_Quimper"></iframe>

Vous pouvez également voir la liste de tous les widgets à l'adresse suivante Liste des widgets