Patrimoine culturel de Quimper

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Place Charles de Gaulle
En situation de carrefour routier important au croisement des axes Quimper/Morlaix et Carhaix/Châteaulin, cette vaste place, de forme approximativement triangulaire étirée au sud de l´enclos paroissial, était réservée aux foires déjà nombreuses sous l´Ancien Régime (douze par an au 17e siècle). Au 19e siècle, ces foires aux bestiaux, étaient parmi les plus importantes de Cornouaille et attiraient une population très nombreuse. Le commerce du bétail faisait, au même titre que l´enclos paroissial, la renommée de la commune à travers le Finistère.La structure de la place n´a pas évolué depuis 1812, mais les bâtiments la cernant datent, pour l'essentiel, de la seconde moitié du 19e siècle. A l'origine, les maisons, souvent à boutiques, étaient en général de dimension restreinte et pour certaines, situées dans la partie nord de la place, relativement profondes. Les documents anciens montrent les mutations intervenues au cours du temps. Le monument aux morts s'élevait dans la partie sud de la place (aujourd´hui déplacé en face de la Chapelle-Neuve), une borne-fontaine dans la partie nord (disparue) et la croix, aujourd'hui à l'intérieur de l'enclos, se situait à l'ouest de l´arc monumental. Donnant également sur la place, la mairie-école était flanquée d'un portail d'accès à l´école construite en retour d´équerre. Placé à l´ouest de l´église paroissiale, le presbytère figure sur le cadastre de 1812. Il a été reconstruit au 19e siècle (construction imposante à cinq travées et à deux étages carrés avec bandeaux séparant les niveaux) comme le montre plusieurs documents. Il a été détruit après 1991 - ne subsistent aujourd´hui que le mur de l´enclos - et fait place actuellement à la nouvelle salle multifonction (ARVEST).
Auteur(s) du descriptif : Maillard Florent

Par : L'inventaire du patrimoine

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Un cercueil du Moyen Age découvert à Quimper
Dans le cadre de fouilles archéologiques réalisées place Laënnec à Quimper, des archéologues ont découvert le cercueil d'un enfant, datant du Moyen Age. Son état de conservation exceptionnel apporte aux scientifiques d'importantes informations.

Par : INA

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La décentralisation de l'orchestre régional de Bre
L'orchestre de Bretagne ouvre sa saison dans le nouveau théâtre de Cornouaille à Quimper. Cette formation, à vocation régionale, se produit dans les différents théâtres de la région, et débutera sa saison par un cycle Beethoven.

Par : INA

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Château de Kerrien, ou de Ker'yen (Quimper)
Corps de logis principal à élévation ordonnancée et régulière, encadré de deux ailes en rez-de-chaussée formant retour d'équerre sur chaque façade. La façade arrière présente une adjonction accolée au corps principal ; les toitures, disposées perpendiculairement à l'axe longitudinal de l'édifice, forment deux légers pignons en façade ; un bow-window polygonal supporté par des piles occupe le centre de ce dispositif.Edifice hétérogène pouvant avoir été construit dans la 1ère moitié du 19e siècle et agrandi par l'adjonction de pavillons latéraux et vraisemblablement le doublement du corps de logis. Il appartient à M. le comte J. d'Amphernet au début du 20e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Lauranceau Elise ; Gueguen Jeanne

Par : L'inventaire du patrimoine

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Villa Kerister, 70 quai de l'Odet (Quimper)
La villa Kerister est bâtie sur une parcelle étroite mais profonde. Placée entre cour et jardin, la villa est orientée au sud et surplombe la rivière de l’Odet. La parcelle est délimitée en largeur par un immeuble à l’ouest, et à l’est par un petit bâtiment ainsi que par un mur de clôture qui se prolonge jusqu’au fond du jardin. Elle est séparée du quai de l’Odet par un mur bahut surmonté d’une grille en fer forgé. A l’est se trouve la porte piétonne et à l’ouest la porte menant au garage. Située dans un quartier prisé par la bourgeoisie à la fin du XIXème siècle, le caractère unique de la villa traduit le niveau de fortune des propriétaires et leur souhait de se démarquer du bâti environnant. En effet, la villa est unique d’un part par son architecture qui contraste avec l’architecture classique des constructions du quai de l’Odet, par les matériaux de construction qui exclut totalement la pierre locale et par les décors choisis. Les façades sud et nord sont recouvertes d’un crépis de couleur beige, les éléments de décors ou de couvrement sont en pierre de taille de calcaire et certains en terre cuite vernissée. La pierre de taille de granit est uniquement employée pour le soubassement. Au début du XXème siècle, il y avait uniquement la porte piétonne. La villa présente un plan carré avec deux décrochements en façade sud, ce qui induit des jeux de volumes et de toitures. Une corniche à modillon avec entablement en terre cuite vernissée court sur toute la longueur de la façade sud. La façade sud se caractérise par la présence de deux ailes en retour d’équerre venant se greffer sur le corps de bâtiment principal. Elles sont de plan rectangulaire et une des deux ailes présente un pan coupé. Les deux ailes s’élèvent sur un rez-de-chaussée, un étage et un niveau de combles aménagés. La villa possède deux accès, la porte d’entrée principal percée dans l’aile à pan coupé et une porte secondaire placée à l’est. Sur l’aile à pan coupé, on accède par un perron à la porte d’entrée principale surmontée d’une marquise. Au premier étage sont percées trois fenêtres. Elles sont couvertes d’un linteau en arc surbaissé avec clé passante et saillante reposant sur des coussinets. Par ailleurs, un bandeau décoratif souligne la forme du linteau. Une lucarne vient éclairer les combles, elle présente le même type de décor que les fenêtres et des carreaux de terre cuite vernissée bleus et verts décorent le tympan mouluré. L’architecte a souhaité porté une attention particulière au pan coupé, qui accueille un décor spécifique. Le premier étage est éclairé par une fenêtre intégrée dans un bow-window placé légèrement en saillie du mur et reposant sur quatre consoles. Au niveau des combles est logé un médaillon dans lequel on peut lire KERISTER 1897. La seconde aile est percée au rez-de-chaussée d’une large ouverture précédée d’un garde-corps en fer forgé. Cette ouverture est couverte d’un linteau en arc en anse de panier, avec clé saillante et passante. Au premier étage, se trouvent deux baies jumelées similaires à celles de l’aile à pan coupé. Elles sont précédées d’un balcon en fer forgé reposant sur deux massives consoles ouvragées. Une grande lucarne identique à celle de l’aile à pan coupé occupe le niveau des combles. Elle possède des jambages à volutes, et est surmontée d’un fronton mouluré décoré de terres cuites vernissées. Le côté est de l’aile est percé de deux ouvertures. A l’extrémité est de la façade sud et au niveau du corps de bâtiment principal se trouve deux ouvertures. Une petite porte placée entre le soubassement et le rez-de-chaussée, est couverte d’un linteau avec arc en plein cintre et clé ouvragée saillante. Entre le rez-de-chaussée et le premier étage, est percée une étroite fenêtre couverte d’un linteau à larmier. Ces deux ouvertures peuvent induire la présence d’un escalier de service permettant de rejoindre les pièces donnant sur la façade nord ou les chambres de domestiques dans les combles. Au niveau de la façade nord donnant sur jardin, il n’y aucun décor. Elle possède un mur gouttereau et un mur pignon. Le mur gouttereau s’organise en trois travées avec une baie à chaque étage et pour chaque travée. Les baies possèdent des jambages harpés, un linteau en arc surbaissé avec clé passante et pendante. Les combles sont éclairés par une lucarne et un œil de bœuf en zinc. La lucarne est couverte d’un linteau en arc surbaissé reposant sur des coussinets et surmontée d’un fronton recouvert d’un essentage ardoise. Le mur pignon comporte une travée. Au rez-de-chaussée une large ouverture précédée d’un balcon apport une luminosité suffisante à la pièce. Par ailleurs, au premier étage sont percées deux baies jumelées et au dernier étage une fenêtre. La villa a été construite en 1897 pour l’oncle et la tante de Max Jacob, célèbre écrivain.
Auteur(s) du descriptif : Gueguen Jeanne

Par : L'inventaire du patrimoine

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Quimper, archives du chanoine Abgrall : centre-vil
Ce recueil numérique comprend 16 photographies et 2 plans d'architecte de la main de Jean-Marie Abgrall représentant des rues et des bâtiments du centre ville de Quimper : le Champ de Bataille (actuelle place de la Résistance), la rue du Frout, la rue Royale (rue Elie Fréon), la place de la Tourbie, le Collège de Quimper (collège La Tour d'Auvergne), la chapelle du lycée (collège La Tour d'Auvergne), maisons disparues à l'angle de la rue des Vendanges et de la rue du Collège (rue Henri Jacquelin et rue du Lycée), l'hôpital Saint-Antoine (Mesgloaguen) et enfin une statue photographiée à l'hôpital Saint-Antoine.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Deziadur broadel 1922
Feuille volante sous forme de "calendrier national" de l'année 1922, et de publicité pour l'abonnement à la revue Breiz Atao.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Catalogues supplémentaires
Ce catalogue supplémentaire de bibliothèque de Quimper est le registre contenant l’état des ouvrages en doublon du fonds François-Marie Luzel et autorisés à la vente. Fait à Quimper le 21 juin 1901. Il a ensuite servi à coller des coupures de journaux (1930 ?). Une partie a été décollée pour redécouvrir le listing. Nombreux feuillets blancs. Tout à la fin, sur une double page, compte des recettes et dépenses des sommes provenant de la vente des ouvrages doubles du fonds Luzel (1896-1902).

Par : Médiathèques de Quimper Br

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4J Quimper /10

Par : Archives départementales d

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Mgr de la Marche, évêque de Saint-Pol-de-Léon, sec
Le périodique Les contemporains proposait fin XIXe des portraits de personnalités historiques ou célèbres. Mgr de la Marche fut le dernier évêque du diocèse de Léon avant sa suppression et son intégration à celui de Quimper. Il se réfugie à Londres où il continue à diriger son clergé hostile au prélat cornouaillais.

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Le barbier de village
Sujet représenté : scène (discussion ; homme ; barbier ; poule ; cour ; maison ; rasage, Quimper, vêtement : Breton) - N° d'inventaire : 16

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Vieille maison de la place à Locronan

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Clôture de choeur
Provient de la chapelle sainte-Brigitte détruite en 1934. A été acheté par le musée de Quimper en 1932.
Auteur(s) du descriptif : L'Haridon Erwana

Par : L'inventaire du patrimoine

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Deux ordonnances de police à Quimper (1404-1719)
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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Arrondissements de Quimper. , L'avant port : [Plaq
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Arrondissements de Quimper. , Chapelle Notre Dame
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Ar merc'hed diwar ar maez [La vie des femmes à la
Un devezh gant ur vaouez war ar maez, etre buhez ar familh hag hini an atant. [La journée-type d'une femme à la campagne, entre gestion de la vie de famille et activités liées à l'exploitation agricole.]

Par : INA

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Hommage à Saint Yves, Patron des avocats
Le traditionnel Pardon de Saint-Yves s'est déroulé le 22 mai à Tréguier. Cette manifestation reçoit chaque année des milliers de pélerins pour la célébration du Saint Patron des avocats. Cette année le Pardon a été présidé par Monseigneur Laurent Dognin, évêque de Quimper, entouré de nombreux dignitaires venus du grand Ouest, dont Monseigneur Denis Moutel, évêque de St Brieuc et Tréguier, et l'Abbé Caous, Curé de Tréguier. Après la cérémonie à la Cathédrale de Tréguier, procession des bannières en direction de Minihy-Tréguier, paroisse d'origine de Yves Hélory de Kermartin (1253-1303), qui a été canonisé par le Pape Clément VI en 1347.

Par : TV Trégor

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