Patrimoine culturel de Quimper

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Église paroissiale Notre-Dame et Saint-Michel (Qui
Nef, bras du transept et choeur couverts de toits à longs pans et pignons découverts. Clocher en charpente couvert d´un toit en pavillon entouré d´une plate forme flanquée de quatre clochetons. Mise en oeuvre de granites différents suivant les périodes. Porche sud avec remploi d´éléments sculptés. A l´est, larges contreforts percés de passages. Nombreuses reprises (porches, nef, croisée). Lambris de couvrement (nef) ; voûtes d´ogives (partie orientale et porches). La pièce située au-dessus du porche nord dont une baie donne directement sur la chapelle latérale nord, est accessible par un escalier en vis dans oeuvre. Au sud, un autre escalier en vis donne accès à un escalier droit dans oeuvre qui rejoint une autre vis qui, placée dans l´angle sud-ouest de la tour, dessert successivement l´espace situé au-dessus des voûtes de la croisée du transept, la chambre des cloches et la plate forme de la tour. Le massif de la tour, de plan carré jusqu´au niveau de la chambre des cloches, de plan octogonal ensuite, porte l´amorce d´une flèche maçonnée (non réalisée) dont témoignent quatre trompes plein-cintre appareillées en rouleaux à ressauts. Contreforts nord-est et sud-est percés de passages.Dédiée à Notre-Dame, cette ancienne chapelle de la communauté des bourgeois de la ville prendra également le vocable de Saint-Michel en souvenir de l´ancienne église paroissiale voisine ruinée en 1765. On distingue, pour l´essentiel, deux campagnes de construction. D´un premier édifice bâti vers 1280 ne subsistent que les murs de la nef percés de baies et de grandes portes au nord et au sud et sans doute les traces d´un porche ouest (oculus sud), les autres parties ayant été ruinées au cours des guerres de Succession qui touchent la ville au milieu du 14e siècle. A la charnière des 14e et 15e siècles, une reprise hésitante et par endroits malhabile débute par la reconstruction du porche sud qui remplace un porche plus ancien probablement à étage, comme l´indique une porte haute bouchée qui pourrait correspondre à l´accès à un jubé de l´édifice originel. Egalement témoins du début de la reprise du chantier, les piliers ouest de la croisée du transept, cantonnés de colonnettes à chapiteaux, se greffent sur des piles carrées qui semblent correspondre à l´emplacement de l´ancien choeur. Une campagne d´agrandissement décisive, affectant le couvrement de la nef et surtout la construction de la partie orientale de l´édifice, débute en 1416 ou 1418 et se termine au milieu du 16e siècle. Grâce aux libéralités du duc Jean V, de Henry de Lespervez, l'abbé de Sainte-Croix de Quimperlé et de familles bourgeoises et aristocratiques de la ville (leurs armoiries figurent aussi bien à l´extérieur qu´à l´intérieur), le chantier inclut la mise en place du porche nord (achevé en 1425), de la charpente de la nef (datée 1430), de la partie orientale de la croisée du transept (piliers circulaires portant des voûtes à pénétration directe), du massif de la tour et du choeur dans lequel est inhumé Henry de Lespervez en 1434. La réalisation d´un jubé placé entre la nef et la croisée du transept, accessible depuis un escalier en vis logé dans la tourelle desservant également les parties hautes de la tour, demeure, en l'absence de traces de fixation, incertaine. Ce n´est qu´entre 1520 et 1550 que la croisée faisant fonction d´avant choeur, le transept non saillant et le choeur à chevet plat flanqué de chapelles latérales sont couverts de voûtes d´ogives. Depuis le 16e siècle, la tour abritait, en guise de beffroi, l´horloge de la ville qui était pourvue d´un mécanisme mettant en mouvement une statue de saint Michel ; détruite en 1590, elle a été rétablie en 1620. En 1636, Dubuisson-Aubenay mentionne l´édifice dont il vante le «fort haut et beau clocher couvert en plomb en 1621, comme il est écrit dessus en lettre noire». Ce clocher, construit sous Jean-François-Paul Gondi, abbé de Sainte-Croix et démoli en 1763, figure sur un dessin de 1736. Construite dans le prolongement du chevet, la sacristie, à usage commercial au niveau de la rue, date de la fin du 18e siècle, tout comme la maison qui s´appuie sur l´élévation ouest remaniée à plusieurs reprises. En 1862, l´architecte Joseph Bigot, de Quimper, avait noté la fragilité de la tour légèrement inclinée ; toute construction d´une flèche mettrait en danger sa stabilité à cause de l´état de la maçonnerie «posée en argile avec des moellons plats dont le tassement fatigue le parement extérieur en taille de grand appareil». Les travaux de Bigot ne concernent que la consolidation de la tour et le rejointoiement, «en ciment de Portland», des parements intérieurs situés au-dessus des voûtes.
Auteur(s) du descriptif : Douard Christel ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Fournier en famille 1980 - 82 -86 (Les)
Noël 1980, chez Guy Fournier à Laval. Décoration de la maison, la table est dressée, les incontournables de Noêl, le champagne, les huîtres, la bûche. 1982, en route pour La Baule aux Peupliers avenue Lajarrige, vue de la Baule vue de la voiture, jardin, port du Pouliguen (quai, port, pont), bateau de pêche et de plaisance, entrée du port, marchands, Coccinelle, patins à roulettes, vendeur de bols de faïence de Quimper, enseigne Pierrot Gourmand, ménage de l’appartement, deux dames boivent un café à la terrasse. Pornichet (panneau en lettre rouge), plage, planches à voile, immeubles du remblai, le catamaran "Elf Aquitaine" rentrant dans le port de plaisance de Pornichet. « Le Mans, Saint-Liboire le 23 août 1986, un grand jour » mariage de Gérard fournier et Geneviève Housseau, bouquet de fleurs à la sortie de l’église, voiture (marque MG) des mariés.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Présentation

Par : Dastum

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Air de biniou-bombarde

Par : Dastum

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Les Grandes Fêtes Interceltiques et de Cornouaille
Les Fêtes de Cornouailles réunissent à Quimper les pays Celtes de Bretagne, d'Irlande, d'Ecosse, du Pays de Galles qui célèbrent leur amitié. Ils défilent dans les rues de la ville en costume folklorique, au son de la musique traditionnelle.

Par : INA

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Maison de Monsieur Cloarec, 48 quai de l'Odet (Qui
La maison, mitoyenne avec deux bâtiments est alignée sur le quai de l’Odet. Elle est implantée sur une parcelle assez large. L’architecte et le propriétaire de l’époque ont décidé d’adapter l’organisation de la maison à la largeur définie de la parcelle. A l’arrière de la maison se trouvait le jardin d’agrément. Elle comporte des caves, un rez-de-chaussée, un étage ainsi qu’un niveau de combles. La façade sud donnant sur la rivière de l’Odet est en pierre de taille de granit. Sur cette façade, le décor est structurel. En effet, il repose sur un jeu de lignes verticales et horizontales. Cette maison couverte d’une toiture à la Mansart s’organise autour de quatre travées. La porte d’entrée est placée dans œuvre, elle permet de pénétrer dans un vestibule. Cette porte d’entrée est d’origine puisqu’elle est identique à celle dessiné sur les plans de Joseph Bigot. En effet, elle est constituée de deux vantaux et d’une imposte. L’escalier situé au nord est légèrement décalé par rapport à l’axe de la porte d’entrée. En observant les plans, il est indiqué qu’à l’origine le vestibule d’entrée permettait de rejoindre à l’est un grand salon éclairé par deux fenêtres, et à l’ouest un petit salon. Au nord dans le prolongement du vestibule il y avait un accès direct au jardin et à l’escalier. De ce vestibule, on pouvait également se rendre dans la cuisine à l’ouest ou dans la salle à manger à l’est percée de deux fenêtres. Le grand salon et la salle à manger sont les deux pièces qui bénéficient du meilleur éclairage et d’un vue agréable. En effet, le grand salon donne sur l’Odet et la salle à manger sur le jardin. Sur le plan, à l’étage sont dessinées deux grandes chambres à l’est et deux chambres plus petites à l’ouest. Le palier donnait accès à une antichambre de laquelle on pouvait rejoindre la grande chambre donnant sur l’Odet, la petite chambre au sud et celle au nord. L’antichambre permet de préserver l’intimité des habitants. L’unique chambre dont on avait directement accès du palier, était la grande chambre avec vue sur le jardin. La grande chambre au sud est la seule à posséder un cabinet de toilette situé au-dessus de la porte d’entrée du rez-de-chaussée, elle était probablement destinée à Monsieur Cloarec et son épouse. Les combles mansardés sont éclairés par quatre lucarnes jacobines en pierre de taille de granit avec un toit débordant. L’organisation des combles est identique à celle du premier étage. A ce niveau une chambre est destinée au domestique. Au premier étage et au niveau des combles, les toilettes occupent un avant-corps situé à l’arrière de la maison et auquel on accède par l’escalier. Placer les toilettes de manière indépendante dans un avant-corps permet de rationaliser au maximum l’espace et séparer les lieux d’aisance des chambres à coucher pour une question de savoir vivre. Les combles sont à la fin du XIXème siècle souvent utilisées par les domestiques et les enfants. Malgré une parcelle réduite au niveau largeur et profondeur, le propriétaire issu de la grande bourgeoisie quimpéroise a souhaité une maison digne de son rang. Ne pouvant démultiplier les grandes pièces de part et d’autre d’un couloir central et d’un escalier, le propriétaire a souhaité privilégié le côté est de la maison pour contenir de vastes pièces. Ces vastes pièces sont les pièces d’apparat. En effet, le grand salon donne sur la rue et il se prolonge par la salle à manger avec vue sur le jardin. En outre, la fortune du propriétaire et son savoir-vivre se traduisent par la présence d’un cabinet de toilette et de toilettes au premier étage et au niveau des combles. Cette maison a été construite à la fin du XIXème siècle par Joseph Bigot, pour Monsieur Cloarec greffier à Quimper. La maison est située dans un quartier prisé au XIXème siècle, juste à côté du Palais de Justice et face à l’Odet. Le choix de cette situation dans la ville traduit le niveau social du propriétaire. Actuellement la maison est une copropriété divisée entre logements et cabinets d’avocats.
Auteur(s) du descriptif : Gueguen Jeanne

Par : L'inventaire du patrimoine

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Au pays d'exil de Chateaubriand / Par Anatole Le B
Etude sur l'exil anglais de Chateaubriand

Par : Médiathèques de Quimper Br

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QUIMPER - Vieille maison de la rue Royale
Quimper.- Le manoir de Jacquelot, rue Royale.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Odet (L')
Au fil de l'Odet, la caméra découvre une infinie variété d'animaux vivant de l'eau et dans l'eau.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Dessin humoristique du préfet Richard barbu en red

Par : Archives municipales de Qu

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Lettre à un curé de paroisse

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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La mort d'Etienne Marcel : Drame en quatre actes,
Pièce de théâtre en quatre actes, écrites par Frédéric Le Guyader (1947-1926), bibliothécaire à Quimper, manuscrite en vers à une date inconnue. Elle conte la vie d'Etienne Marcel (1302?-1358), prévôt des marchands de Paris sous le règne de Jean le Bon, qui joue un rôle considérable lors des états généraux tenus pendant la guerre de 100 ans. Une citation d'Henri Martin présente sur la page de titre nous dit qu' "Etienne Marcel reste la plus grande figure du quatorzième siècle".

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Voyage en Islande et au Groënland exécuté pendant
Histoire de l'Islande.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Enquête diocésaine sur le culte marial de 1856 : r

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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7/8/21, fête des cormorans à St Guénolé Penmarch,

Par : Gallica

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Le barbier de village
Sujet représenté : scène (discussion ; homme ; barbier ; poule ; cour ; maison ; rasage, Quimper, vêtement : Breton) - N° d'inventaire : 16

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Anvioù tud-02-04

Par : Dastum

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Histoire du Comité révolutionnaire de Quimper
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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Deux ordonnances de police à Quimper (1404-1719)
La Revue Historique de l'Ouest est un recueil consacré à des monographies relatives à l'histoire de la Bretagne dont le premier numéro est paru en 1885.

Par : Revue historique de l'oues

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Le pays des vivants et des morts

Par : Dastum

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Le grand feu, tonnerre et foudre du ciel, advenus

Par : Gallica

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Arrondissements de Quimper. , Chapelle Saint-Riec
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Carte particulière de la coste sud de la Bretagne,
Ancien possesseur : Argenson, Antoine-René de Voyer (1722-1787 ; marquis de Paulmy d'). Ancien possesseur

Par : Gallica

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IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

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L'Église constitutionnelle confondue par elle-même

Par : Gallica

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Alsace, Sein, Ouessant
Alsace ; bois de la Roche, perroquet ; sur l'étang, jeux ; descente de l'Odet jusqu'à Sainte Marine, promenade en mer sur l'"Aigrette II", les Glénans ; brochette partie sur une île (au feu de bois) ; plage ; Locronan (sculpteur) ; hôtel de la baie des Trépassés ; phare de la Vieille, traversée pour Sein ; accostage, promenade dans les petites rues, départ ; port d'Audierne ; bagad, fête folklorique, défilé ; départ de Brest de "l'Enez Eussa" ; débarquement, marchandises et personnes sur un autre bateau ; départ de Ouessant ; tuerie de cochon ; voile ; Vosges, ruines de château ; daim, lapin ; bois de la Roche.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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