Patrimoine culturel de Quimper

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explication de la chanson

Par : Dastum

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Gavotte pourlette

Par : Dastum

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Demeure, dite Manoir de Kerrien, 105 Avenue de Ker
La maison dite "manoir de Kerrien" est un édifice ayant servi de ferme à la demeure dite "château de Ker Yen". Il s'élève sur un rez-de-chaussée et un niveau de combles. Le rez-de-chaussée est percé de six fenêtres et de trois portes. La porte la plus à l'ouest est cintrée et moulurée. La deuxième, centrale, est une adjonction issue de l'église de Penhars, la dernière est simple et sans ornement. Quatre lucarnes à fronton triangulaire éclairent les combles. Chaque baie est coiffée d'une accolade moulurée. Ces éléments sont probablement des remplois d'un manoir plus ancien. L'arrière de cet édifice est crépi et comporte peu d'ouvertures. L'intérieur du logis, situé dans l'extrémité ouest de la longère, est divisé en deux espaces, chacun muni d'une cheminée. Dans la partie est se trouve une laiterie désaffectée. Autour de cet édifice se dressent des bâtiments agricoles du XIXe siècle.
Auteur(s) du descriptif : Mottay Louise ; Belzic Céline

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ba pelec'h 'oa ar prizon-se ba Kemper?

Par : Dastum

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Enquêtes sur la paroisse de Loc-Mélard sous l'Empi

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Couffon, Répertoire des églises : paroisse de LA F
Notice extraite de : Diocèse de Quimper et Léon, nouveau répertoire des églises et chapelles, par René Couffon, Alfred Le Bars, Quimper, Association diocésaine, 1988.

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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4J Quimper /72

Par : Archives départementales d

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NḞ QUIMPER - L'AMOUR EN BRETAGNE. Comment l'on com
Quimper.- Portrait d'un couple d'amoureux, portant le costume traditionnel.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Chez Messr Gabriel Roudaut, chanoine de la cathédr
Inventaire des biens de Messire Gabriel Roudaut, chanoine de la cathédrale de Saint-Pol-de-Léon, fait par les Réguaires de Léon à Saint-Pol, en 1717-1718.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Visite à Morlaix
"Un peu de tout", balade en famille sur la route ( à Kermenguy ; Runtanic, Notre Dame de Penhors) landau, "en bonne compagnie", jardin, panorama sur Quimper de la rue du Pontigou, Kermenguy, maison, hiver, Runtanic (ferme), voiture, une petite fille nettoie la route avec une branche de genêt; Pouldreuzic Notre-Dame de Penhors, monument à la Vierge (186?), église, intérieur (rétable), Morlaix, bac, religieuses, voiture, plage, bords de mer, grotte et villa.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Le presbitère provisoire du diocèse de Quimper, au

Par : Gallica

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La Bretagne et le prêtre : sacre de Mgr Duparc, év

Par : Gallica

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Cérémonie celtique, bardes et druides à Locronan

Par : Dastum

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Entrée église et chapelle à Locronan

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Ar bonnedoù ruz, Ar Mogn Braz

Par : Dastum

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L'Eglise Paroissiale : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Le grand feu, tonnerre et foudre du ciel, advenus

Par : Gallica

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IA404 aux Rencontres Trans Musicales de Rennes (20
« IA » pour « Intelligence Artificielle » et « 404 » comme le code d'erreur qui indique que la page web demandée n'a pas été trouvée. Originaire de Quimper, ce trio d'humanoïdes masqués a, lui, trouvé son chemin en extrayant des entrailles des machines une electro-pop marmoréenne sur laquelle sillonne une sublime voix féminine capable de toutes les acrobaties. Gardant toujours en point de mire l'émotion, le spectre d'action du groupe est large et en perpétuelle mutation. Ses productions méticuleuses évoquent aussi bien la soul serpentine de Massive Attack, la pop expérimentale de Son Lux que les reliefs sonores de la bass music. IA404 est un groupe accompagné par Les Trans, en collaboration avec Bonjour Minuit à Saint-Brieuc et Le Novomax à Quimper, dans le cadre du dispositif de production mutualisée de la région Bretagne.

Par : Association Trans Musicale

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Hommage à Saint Yves, Patron des avocats
Le traditionnel Pardon de Saint-Yves s'est déroulé le 22 mai à Tréguier. Cette manifestation reçoit chaque année des milliers de pélerins pour la célébration du Saint Patron des avocats. Cette année le Pardon a été présidé par Monseigneur Laurent Dognin, évêque de Quimper, entouré de nombreux dignitaires venus du grand Ouest, dont Monseigneur Denis Moutel, évêque de St Brieuc et Tréguier, et l'Abbé Caous, Curé de Tréguier. Après la cérémonie à la Cathédrale de Tréguier, procession des bannières en direction de Minihy-Tréguier, paroisse d'origine de Yves Hélory de Kermartin (1253-1303), qui a été canonisé par le Pape Clément VI en 1347.

Par : TV Trégor

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Le patrimoine archéologique de la commune de Dinéa
La présence du Ménez-Hom sur le territoire communal a très certainement été un élément primordial pour les différentes populations qui se sont succédées et, si l´on suit le raisonnement de Bernard Tanguy, le nom même de Dinéault serait composé de ‘din´ (colline fortifiée) et de ‘heul´ devenu ‘heol´ (soleil). Cependant, jusqu´à présent, rien n´a prouvé qu´un culte solaire y ait été pratiqué. Les premières traces d´occupation du territoire sont bien légères et consistent en quelques silex abandonnés par les derniers chasseurs du Mésolithique dans les environs de Kerguilly et révélées par des prospections systématiques en 1996. Si ces hautes collines que constituent le Ménez-Hom et les « Trois Canards » qui forment la limite sud de la commune, ont été fréquentées précocement pour diverses raisons, elles l´ont été aussi au 19e siècle, notamment par le baron Halna du Fretay qui a bousculé beaucoup de sites sans pour autant les avoir localisés précisément. Beaucoup d´informations ont donc aujourd´hui disparu ou ne sont guère exploitables lorsque l´on connaît les élucubrations du baron « Tumulus », comme il était surnommé. Pour se convaincre de la richesse en vestiges hors sol, il suffit de lire les « Etudes archéologiques » du baron de la Pylaie. Des menhirs ont été signalés anciennement à Kerédan où une parcelle porte le nom de ‘Goarem ar menhir´, à une centaine de mètres à l´ouest du hameau, un autre à 100 mètres au nord du Stang (Flagelle, 1877), un troisième à deux kilomètres au sud du Passage, peut-être le même que celui localisé au pied du Ménez-Hom par le baron de la Pylaie (Du Chatellier, 1907). Tous ces témoins des temps néolithiques ont été détruits. Des accumulations de pierres dénommées ‘cairns´ pouvaient être soit des tas d´épierrage, soit des sépultures ; elles se trouvaient groupées ou éparses, de dimensions variables de 2-3 mètres à 8 mètres de diamètre, le plus souvent de forme ovalaire et dont la hauteur pouvait atteindre 1,50 mètre. Plus nombreuses sur le versant nord du Ménez-Hom (De La Pylaie, 1850), elles se comptaient par centaines selon le docteur Vourc´h. Elles ont été fouillées anciennement pour la plupart, certaines ayant livré des poteries. Les plus importantes repérées se trouvent sur le sommet du Ménez-Hom (ar Yed) et sur son prolongement nord-est (ar Yedic), mais aussi sur le flanc est, près d´une enceinte connue sous le nom de « ar C´horn Tro », ainsi qu´entre le ‘Menez Hielc´h´ et ‘ar Yed´ (Halna du Fretay, 1889 ; Mornand, 2005). Des dolmens ont été signalés à gauche du chemin allant au Ménez-Hom (Flagelle, 1877), mais, de ces derniers, nulle trace ne subsiste. Quant aux habitats néolithiques, ils sont inconnus pour le moment mais des indices, matérialisés par des découvertes de percuteurs et haches polies, laissent penser à une possibilité vers Prat-ar-Pelliet. Certaines buttes artificielles peuvent être considérées comme des tumulus de l´âge du Bronze, mais ici encore, les fouilles anciennes ne laissent guère de documents exploitables et, malgré la microtoponymie, les archéologues restent sur leur faim. Il est vraisemblable qu´à Moudennou il y ait eu quelques sépultures, mais comment l´affirmer aujourd´hui ? Par contre, la présence humaine à cette époque est attestée par les découvertes d´objets, comme la hache à talon en bronze de Kerguilly ou le dépôt de Ty-Bianet du Bronze final qui comporte un lingot plano-convexe et une hache à ailerons subterminaux à anneau latéral (Mornand, 1987). En ce qui concerne l´âge du Fer, certaines fermes indigènes ont été révélées lors de l´effondrement de plafonds de salles souterraines à Kervinic (Le Men, 1876-77) et à Ty-ar-Gall (Le Men, 1876-77). A Kerédan, dans la lande « goaremm-ar-menhir », à 200 mètres au nord du hameau, le souterrain était formé de deux salles reliées par une galerie de plus de huit mètres de long et nommé « Toul-ar-c´horriket » (le trou des korrigans). Il était creusé dans le schiste (Le Men, 1876-77 ; Guénin, 1995). Notons pour ce dernier site que le souterrain se trouvait dans une enceinte contenant un menhir (Flagelle 1877) et que l´enceinte se rapporte peut-être à un système d´enclos lié à l´habitat. Il est possible qu´il faille aussi dater de cette période les scories de bas fourneaux mises au jour à Prat-ar-Pelliet, traduisant l´exploitation des abondants minerais de fer de cette région. Si les vestiges de l´occupation gallo-romaine sont très modestes sur le territoire de la commune, en revanche, une découverte faite en deux temps (en 1913 et 1928) par M. Labat en défrichant une lande à Gorré-ar-C´hoat près de Kerguilly, a rendu célèbre Dinéault auprès de tous les antiquisants. Il s´agit d´une grande statuette en bronze de Minerve, datable du premier siècle de notre ère (Sanquer et Laurent, 1971 ; Sanquer, 1973). Les terres de Dinéault contiennent plusieurs enceintes difficilement datables, pouvant tout aussi bien se rapporter à la protohistoire qu´au Moyen-Âge. Citons, outre celle de Kerédan, celle de « ar C´horn Tro », sur la pente est du Ménez-Hom (Du Chatellier, 1907), celles de Voden et Ty Vougeret (Mornand, 2005), celle de Goarem Dro au nord de Kernalivet et enfin le site de « Goarem ar C´hastel » signalé par Flagelle. BIBLIOGRAPHIE : DE LA PYLAIE, Jean-Marie, 1850. Etudes archéologiques et géographiques. Bruxelles, reprint Soc. Archéol. Finistère, 1970, 569 p. DU CHATELLIER P., 1907 - Les époques préhistoriques et gauloises dans le Finistère. Rennes-Quimper, p. 170-171. FLAGELLE E., 1877 - Notes archéologiques sur le département du Finistère. Bulletin de la Société Académique de Brest, T. 4, 2ème série, p. 10-11. HALNA DU FRETAY. Les ages préhistoriques et le début de l´ère chrétienne. Bulletin de la Société archéologique du Finistère, t. XVI, p. 319-368. GUENIN G., 1936. Pierres à légendes de la Bretagne. Ed. Nourry, Paris, 264 p, p. 42. LE MEN R.F., 1876-1877. Statistique monumentale du Finistère (époque celtique). Bulletin de la Société archéologique du Finistère, t. IV, p. 98. MORNAND J., 1987. Objets inédits de l´âge du bronze à Dinéault. Bulletin de la Société archéologique du Finistère, t. CXVI, p. 25-26. MORNAND J., 2005. Préhistoire et protohistoire en presqu´île de Crozon, tome 2. Crozon, Ass. Etre daou vor, 436 p. SANQUER R., 1973. La grande statuette de bronze de Kerguilly en Dinéault (Finistère). Gallia, 31, p. 61-80. SANQUER R., LAURENT D., 1971.La déesse celtique du Ménez-Hom. Bulletin de la Société archéologique du Finistère, t. XCVII, p. 85-108. TANGUY B., 1990. Dictionnaire des noms de communes, trèves et paroisses du Finistère. Chasse-Marée-ArMen, 263 p. VOURC´H A. (Dr), 1941. La préhistoire sur le Ménez-Hom. Bulletin de la Société archéologique du Finistère, T. LXVIII, p. 61-66.
Auteur(s) du descriptif : Le Goffic Michel

Par : L'inventaire du patrimoine

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