Patrimoine de Paimpol

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Vies d'ouvrières
Il y a dix ans, paraissant "le voyage à Paimpol", qui racontait l'histoire de Maryvonne, ouvrière de Saint Brieuc qui, un jour d'extrême lassitude, fait une fugue et se paye le voyage en autocar pour Paimpol. Dix ans après, l'auteure du roman, elle même ancienne ouvrière, Dorothée Letessier a fait le voyage en autocar entre Saint Brieuc et Paimpol. Entretiens et montage d'entretiens avec Dorothée Letessier, ses anciens collègues d'usine de Chaffoteaux, revues après dix ans d'absence : le travail à l'usine, le manque d'alternative surtout pour les femmes, l'évolution professionnelle de certains collègues

Par : INA

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Saint-Ivy - non renseigné
St Michel

Par : Dastum

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Ferme
Ancienne ferme à cour fermée construite en moellons de granite. Elle présente deux logis mitoyens (le linteau de la baie du logis de droite porte le millésime 1793 ; celui de la baie du logis de gauche le millésime 1746). Le logis de droite est un logis de type ternaire imparfait, le logis de gauche un logis à pièce unique au rez-de-chaussée avec pignon gauche à rampants à crossettes. La croix monumentale située à l'arrière de l'édifice est une croix à haut fût monolithe sur socle et soubassement ornée d'un Christ en croix (croix probablement déplacée, de provenance inconnue). Porte d'entrée à traverse d'imposte.Ferme datant du 2ème quart et du 4ème quart du 18ème siècle (dates portées : 1737, 1746 et 1793) et croix monumentale datant de l'année 1804 (date portée).
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Écart de Pors-Even (Ploubazlanec)

Par : L'inventaire du patrimoine

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Écart de Kerroc'h (Ploubazlanec)

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ploubazlanec ; chapelle de Perros-Hamon ; petit po

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Ploubazlanec ; chapelle de Perros-Hamon ; intérieu

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Croix de chemin, Traou-Vilin (Paimpol)
Croix de chemin de la 1ère moitié du 20ème siècle (datation probable), dont le socle porte le chronogramme 1756.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ancienne ferme, chemin de la Croix Barillet, Kergo
Ancienne ferme datant probablement du 17ème siècle et de la fin du 19ème siècle ou du début du 20ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Fontaine, rue Marcel Cachin, Lanvignec (Paimpol)
Fontaine datant du 19ème siècle (datation incertaine).
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Construction navale : chantiers navals sur la comm
Les chantiers navals paimpolaisEn 1860, il existait à Paimpol plusieurs chantiers de construction navale : Julien et Yves Pilvin et Tanguy, associés, et Laboureur. Ces chantiers construisaient des bateaux tant de pêche que de plaisance, comme le yacht-bisquine 'L'Hirondelle', sorti du chantier Laboureur en 1889 et le cotre 'Illico' de 3,10 tonneaux, long de 11 mètres et lancé en 1888 par le chantier Laboureur, qui remporta le premier prix des régates de Tréguier. Louis Laboureur (1812-1888), charpentier, fut l'un des premiers constructeurs de bateaux installés à Paimpol au 19ème siècle. Louis (dit "Louis aîné" était "pouleyeur" c’est à dire fabricant de poulies pour cordages de navires comme l'était son père Yves. Mais il a aussi construit quelques bateaux de travail.Il avait installé deux chantiers dans le quartier de Kernoa à Paimpol, au Four à Chaux. Son fils Louis-Pierre-Marie Laboureur (1836-1892), maître constructeur, diplômé de l´arsenal de Cherbourg en 1854, reprit le chantier familial en 1860. Situé sur les cales du Four-à-Chaux, ce chantier est à l´origine de la naissance de la goélette paimpolaise.1 Laboureur fut honoré par de nombreux diplômes et médailles, non seulement pour ses morutiers, mais aussi pour ses caboteurs et ses yachts. Ces derniers sont les enseignes du chantier et, par leurs résultats en régates, lui assurent une formidable publicité. À la mort de Laboureur en 1892, son entreprise est si florissante que, faute de place, elle avait dû ouvrir deux autres chantiers à La Richardais. Entre 1894 et 1898, les chantiers Laboureur auront construit 37 navires ! Léon-Pierre-Marie Laboureur (1878-1941) prendra la suite de cette lignée de constructeurs. D’autres chantiers navals vont s’installer à Poulafret, Goasdoué, Perrot, comme Bonne qui allait étendre le potentiel industriel paimpolais jusqu’à la crise des années 1930. En 1902 et 1903, les chantiers paimpolais ne livrent pas moins de 85 navires aux armateurs.2 En 1877, les constructeurs demandèrent la construction d'une passerelle mobile à Kernoa, aux abords des chantiers, afin de faciliter les déplacements. L'absence de cale sèche impliqua d'édifier un platier de carénage entre le môle de Kernoa et le bassin à l'intérieur du port, ce qui permettait de poursuivre la construction de navires lorsque les chantiers étaient encombrés. Ce platier, approuvé en 1890, fut réalisé et accueille encore aujourd'hui plusieurs ateliers de mécanique et de construction navale. Il servit surtout aux constructeurs qui ne disposaient pas d’installations portuaires, mais aussi au débarquement des engrais marins et pour les entrepôts Dauphin. Au début du 20ème siècle, les chantiers navals étaient à leur apogée, bien que les travaux du nouveau bassin et de la nouvelle jetée gênassent leurs ateliers. Le chantier Bonne, en particulier, ne put satisfaire toutes les commandes en 1903. Bonne installa une première scie à vapeur pour accélérer le travail et la livraison. Cette année 1903, 51 navires étaient mis à l'eau, à la faveur notamment de la prime à la construction. En 1909, plus de 200 ouvriers travaillaient dans les chantiers navals paimpolais.Avant 1922, Laboureur construisait des goélettes au Four à Chaux, à la place du chantier actuel Pierre-Louis Dauphin, dont Bonne fut le contremaître avant de s'installer à son compte à Kernoa. Le chantier Goasdoué construisait des bateaux de pêche et de plaisance, dont le 'Bois Dormant' en 1913. En 1930-35, Antoine Kerbiguet était installé près des abattoirs (Kerpalud). Jean Huon, son ouvrier, prit plus tard la suite du chantier et s'installa sur le quai Loti, près de l'ancienne école hydrographique. Il vendit son affaire à Raynaud. Kerbiguet et Chevert construisaient des navires de moindre importance en plein air. Chevert fut l'un des derniers grands constructeurs paimpolais, pendant la seconde guerre mondiale, quai de Kernoa, après qu'il eut quitté Binic en raison de la fin de la grande pêche. Ses ouvriers travaillaient encore à l'herminette. L'un de ses derniers canots de 8 mètres fut 'La Pensée'. Les chantiers navals Huon et Le Chevert vont connaître une activité considérable en 1940-42 du fait de la construction de petites unités pour la pêche côtière (5-8 tonneaux). Jean Huon fit construire nombre de langoustiers et de petits chalutiers dont le '17 Août' (chalutier) mais aussi des voiliers de plaisance, dont la série des 'Mordicus'. Chevert était installé rue Labenne. Il existait aussi avant guerre le chantier naval et d'accastillage François Dauphin et après guerre, le chantier de Louis Marie et de Guillememon Henri, associés. Les Chantiers navals Yves Daniel et Louis Marie représentent les derniers constructeurs traditionnels. La relève a été prise aujourd'hui par le chantier naval Gilles Conrath et le charpentier de marine Klass Stelman. Le chantier naval Bonne (aujourd'hui disparu) a été étudié.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ancienne ferme, Kerlo (Paimpol)
Ancienne ferme datant du 17ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Paimpol. - Pêcheurs Islandais à bord d'une goélett
3 hommes portant des vêtements de pêche
Au premier plan, le pêcheur tient une poulie

Par : Dastum

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Paimpol : L'aviso l'Elan sortant du bassin

Par : Dastum

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Souvenirs de bistrot à Paimpol
A Paimpol, la "Cité des Islandais" où la pêche à la morue et le départ des hommes, chaque hiver, pour six mois, ont rythmé la vie entre 1852 et 1935, rencontre avec Jean-Paul Cadic. Il a grandit dans le bistrot que tenait sa mère, le café des caboteurs et nous raconte, ses souvenirs des conversations des marins et anciens capitaines.

Par : INA

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Chapelle de Lancerf près Paimpol

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Lancerf ; choeur

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Quais et cales du Port-Clos (île de Bréhat)
A la fin du 19ème siècle, les quatre cales en service présentaient les caractéristiques suivantes :- la première cale mesurait 70 mètres de longueur, 3 mètres de largeur et 2, 20 mètres de hauteur, construite en pierres sèches, avec un musoir de 8, 50 mètres et 3, 50 mètres en contrebas, la cale pour les marchandises- la 2ème cale du 'Pont du milieu', chaussée en pierre, mesurait 54 mètres de longueur- la 3ème cale 'Min Ru' ou du 'Grand Pont', longue de 44, 80 mètres, large de 4, 80 mètres, hors tout, avec un retour en angle droit de 12 mètres, terminé par un escalier, construite en matériaux bruts, peu solide et difficile d'échouage.- la cale du Goaréva mesurait 38 mètres de longueur et 3 mètres de largeur.La 1ère cale mesure aujourd'hui 87 mètres de longueur avec une plateforme large de 12 et 7, 65 mètres. La jetée a 5 mètres de largeur et 4 mètres de hauteur et se termine par un escalier en aval. Elle est prolongée à sa base un terre-plein. Elle est équipée d'anneaux d'amarrage. Les murs ont peu de fruit. Son élargissement et son exhaussement ont été réalisés en pierre de taille avec un revêtement en moellons de granite. Elle est utilisée à mi-marée et en basse mer de morte-eau. La 2ème cale, 'Min Ru', construite en moellons de granite a une hauteur variable entre 1 mètre et 3, 50 mètres de hauteur. Elle présente une plateforme de 7, 10 mètres de longueur, orientée Est-Ouest, avec un retour vers le Nord de 12 mètres. Elle est utilisée à mi marée. Elle est bien balisée (perche) et éclairée de nuit. La 3ème cale du Goaréva est construite en béton et ciment, à son origine, elle présentait une plateforme de 3 mètres de largeur et de 15, 50 mètres de longueur en amont. Il fut nécessaire de relever sa cote à plus de 4 mètres, d'exhausser la plateforme d'au moins 1 mètre et de rallonger la cale de plusieurs mètres. Cependant, la commission nautique locale estima que ces mesures étaient insuffisantes en raison du niveau de la basse mer en vive-eau. La petite cale, dite des armateurs, a été reconstruite en moellons et en pierre de taille (granite), sans liant. Le passe-pied, recouvert de ciment, élargi en certains endroits de 2 à 4 mètres pour le passage des tracteurs, longe la micro-falaise et circule depuis la 1ère cale jusque la pointe du Goaréva pour desservir ces cales.20ème siècle s'échelonnèrent au cours de la seconde moitié du 20ème siècle.Les premières cales de Bréhat on été construites entre la Révolution et Napoléon III. Dans le même temps, les tailleurs de pierre de Bréhat (1845), Auguste Daigre, René Heurtaut, Jean Pierre André et Pierre Richard construisait la 1ère jetée de l'Arcouest pour favoriser le trafic entre l'île et le continent. Les deux premières cales de Bréhat ont été construites par des marins de l'Etat en station avec leurs navires. En 1850, les trois cales du Port-Clos, submersibles, étaient couvertes en marée de vive eau. La première cale était appelée 'Cale d'en haut' ou jetée de la grande cale, construite en 1850.Plusieurs projets furent présentés par l'Etat en 1892 : - prolonger la cale inférieure ('Grand Pont') de 25 mètres avec une chaussée pavée, prolonger la cale 'd'en haut' avec un escalier- aménager un débarcadère à l'Ouest en maçonnerie sèche, bordé de talus inclinés, sur une longueur totale de deux fois 187 mètres, avec une hauteur et une largeur de 2 mètres, en contournant 'Roc'h ar Gazec et enfin prolonger les voies d'accès sur une longueur totale de 562 mètres (entre la cale d'en haut et le Goaréva).Selon la conférence mixte de 1905, quatre cales existaient au Port-Clos à la fin du 19ème siècle :- la cale du grand port, (1850) submersible, à exhausser- la cale du 'Pont du milieu' (construite en 1802), amas informe de pierres, peu élevé, à supprimer, pour dégager l'anse servant d'échouage aux bateaux de pêche- la cale de Min Ru, construite en 1795- la cale du Gaoréva (non datée)Entre 19O0 et 1924, plusieurs projets furent élaborés, dont le prolongement sur 10 mètres de la 1ère cale, alors que la petite cale était en partie démolie par la houle. Un premier projet de terre-plein pour le dépôt des marchandises, à l'origine de la grande cale, côté Est, avec un mur de soutènement, fut dessiné. Il fut aussi proposé de refaire le chemin d'accès aux différentes cales, semblable à une petite plateforme, large de 2 mètres et haut de 0, 40 mètres (avec un revêtement en béton).En 1920, la petite cale était rallongée. Elle servait aux voiliers pour culer lorsque le vent était de secteur Ouest. C'est à cet endroit que se trouvai la cabane pour livrer l'essence.En 1924, le plan de la cale du Goaréva prévoyait un élargissement de la cale à la cote comprise entre 5, 15 mètres et 6, 22 mètres et son prolongement à la cote de 13, 50 mètres, pour l'accostage simultanée de plusieurs vedettes. Le nouveau plan de la cale de Min Ru prévoyait un rallongement de 28, 30 mètres.En 1930, Les cales s'avéraient néanmoins toutes trop courtes et peu accessibles, parfois encombrées de rochers comme celle du Goaréva. L'amélioration de ce kilomètre de cales et leur consolidation s'avèrait indispensable. Ce projet devait pouvoir être en partie financé par une taxe prélevée sur le tourisme. Cependant, en 1936 et en 1948, les demandes d'exhaussement et de rallongement de la cale du Goaréva sont de nouveaux formulés, mais n'eurent pas de suite. Tous ces projets aboutirent tardivement. En 1921, la 1ère cale de vive eau était prolongée de 10 mètres et en 1973, elle était élargie. Les travaux programmés au cours de la 1ère moitié du 20ème siècle s'échelonnèrent au cours de la seconde moitié du 20ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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L'Ile de Bréhat
A l'occasion des vacances de printemps, les îles bretonnes, et notamment l'Ile de Bréhat, sont une destination pour de nombreux touristes. Bréhat offre aux vacanciers charme et tranquillité.

Par : INA

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