Patrimoine de Paimpol

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Istor ar familh

Par : Dastum

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Statue : christ en croix

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ploubazlanec ; chapelle de Perros-Hamon ; intérieu

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Ploubazlanec ; mur des disparus en mer

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Ploubazlanec ; chapelle de Perros-Hamon ; chapelle

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Ploubazlanec ; chapelle de Perros-Hamon ; petit po

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Magasin de commerce, quai Morand (Paimpol)
Edifice mitoyen construit en moellons de grès rose équarris. Il est composé d'un rez-de-chaussée à usage commercial, d'un étage carré et d'un étage de comble à usage de logement. La façade antérieure à deux travées est animée par deux balcons et deux lucarnes à pignon découvert à rampant à crossettes.Magasin de commerce et logement datant du 1er quart du 20ème siècle. Il est probablement l'oeuvre de l'architecte Georges-Robert Lefort.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bassin à flot n°1, quai Neuf (Paimpol)
L'enlèvement de la digue des Moines a permis d'aménager un bassin à flot d'une superficie de 2 hectares 7, entre les quais de Kernoa, le Quai Neuf, le quai Duguay Trouin et le quai Morand. Ce bassin est aujourd'hui occupé en partie par les bateaux des pêcheurs professionnels et les barges ostréicoles. Les navires en réparation ou en attente peuvent rester à quai, près dans la cale de radoub ou le long des quais de Kernoa, où s'opèrent les manutentions du port et où sont situés les chantiers nautiques. Il n' y a pas de ponton le long du quai de Kernoa, accessible par des escaliers ou des passerelles. En face, le quai Morand accueille sur pontons les navires de plaisance.Les premiers projets de bassin à flot, datés entre 1875 et 1880 ont déterminé un bassin avec sas et sans sas au niveau de l'écluse. En 1880, la moitié Sud du bassin à flot était exécutée avec une écluse insubmersible et une digue en terre du côté du quai Ouest (côté bassin) et une levée en maçonnerie sèche du côté du port d'échouage. Un aqueduc déversoir permettait la dérivation des eaux du Quinic dans le bassin. Le désenvasement du port participait aussi à ces grands travaux qui allaient durer une dizaine d'années avec l'agrandissement du port (cale de carénage). En 1887, l'ensemble des travaux était exécuté par l'entreprise Thiriot-Jouanny.En 1960, le premier bassin était encore peu fréquenté par les navires professionnels. Quelques rares bateaux de pêche, des sabliers et des caboteurs alimentaient le trafic commercial. Le bassin comme l'ensemble du port de commerce est géré par la Chambre de Commerce.Aujourd'hui, les bateaux de plaisance sur pontons, animent le port, quai Morand.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Fontaine, rue des Cinq Maquisards, Kervenou (Paimp
Fontaine engagée couverte en maçonnerie dont le mur de fond est agrémenté d'une niche à statuette (vide).Fontaine datant probablement du 19ème siècle (datation incertaine).
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Immeuble à logements, rue Saint-Vincent (Paimpol)
Immeuble à logements datant du 1er quart du 20ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ancienne ferme, chemin de la Croix Barilllet, Plou
Ancienne ferme datant de la 2ème moitié du 19ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ancienne ferme, Landouezec (Paimpol)
Ancienne ferme datant probablement du 17ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Paimpol - Pardon des Islandais - Le bal sur le qua
Goélettes à quai - Buste sur un socle sur le quai - 22 août 1915

Par : Dastum

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Paimpol - Jeunes communiantes en costumes blanc et

Par : Dastum

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Paimpolaise

Par : Dastum

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Souvenirs de bistrot à Paimpol
A Paimpol, la "Cité des Islandais" où la pêche à la morue et le départ des hommes, chaque hiver, pour six mois, ont rythmé la vie entre 1852 et 1935, rencontre avec Jean-Paul Cadic. Il a grandit dans le bistrot que tenait sa mère, le café des caboteurs et nous raconte, ses souvenirs des conversations des marins et anciens capitaines.

Par : INA

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Chapelle de Lancerf près Paimpol

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Lancerf ; tombeau du comte de Labenne

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Lancerf près Paimpol ; le clocher

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Bateau de plaisance 'Marchvor'
Le canot creux 'Marchvor' est une construction à franc bord, construit en bois (membrures ployées) avec une quille en fonte, un petit hiloire et des passavants. Il dispose d'un gouvernail extérieur avec un tube de jaumière. Il mesure 4, 40 mètres de longueur de coque, 1, 85 mètre au maître bau et 0, 90 mètres de tirant d'eau, pour un déplacement de 1, 08 tonneau. Il porte un gréement houari avec un bout-dehors, de 0, 30 mètre.Le canot 'Marchvor' (PL 191517W) est un monotype, construit en 1967 par le chantier Nedélec de Carantec, dans le Finistère Nord.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Église paroissiale Notre-Dame de Bonne-Nouvelle (î
L'église paroissiale Notre-Dame de Bréhat est un édifice à trois vaisseaux construit en moellons de granite sur un plan en croix latine. Composée d'une nef flanquée de deux collatéraux - le collatéral sud étant réduit à deux travées du fait de la présence d'un porche dont le pignon porte la date 1771 -, d'un transept et d'un choeur, elle présente un chevet à trois pans à l'est, ainsi qu'un clocher-mur à trois baies, à l'ouest, accosté de deux tourelles circulaires enfermant chacune un escalier à vis en maçonnerie et dont la partie haute est édifiée en pierre de taille (reconstruction). Le collatéral nord, sur lequel est greffée la chapelle des fonts, est ouvert à l'ouest d'une porte couverte d'un linteau présentant le millésime 1783 (communication avec la porte de service du presbytère). Ce collatéral est également flanqué d'une sacristie dont le linteau de la porte présente le millésime 1677. Le couvrement de l'espace intérieur est formé par un lambris. Les pignons présentent des rampants à crossettes.Placée autrefois sous le patronage de saint Samson, en raison de l'appartenance de la paroisse de Bréhat à l'évêché de Dol, l'église paroissiale Notre-Dame est un édifice du 3ème quart et du 4ème quart du 17ème siècle, remanié au 18ème siècle et restauré au cours du 19ème siècle (réparations en 1823, puis en 1874 sous la direction de l'architecte Lageat, selon René Couffon ; restauration entière en 1895). Un pilier du collatéral sud porte l'inscription D : F : LE BAILLIF A POSEE LA PREMIERE PIERRE EN CETE CHAPELLE 1651, de même que le linteau de la porte desservant la sacristie porte le millésime 1677. Selon René Couffon, le clocher édifié en 1658, a été reconstruit à l'initiative du recteur Le Roy entre 1760 et 1773 comme l'atteste l'inscription R. LE ROY Rr CORNIC LE BILLER FABRIQUEURS (non relevée).
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Écart : Île Verte (île de Bréhat)
L'Île Verte, d'une superficie d'environ 1 hectare et demi, forme un petit plateau abrupt au-dessus des plus hautes mers. A peine boisée, avec deux pins Parasol, un figuier et un bosquet d'ormes, elle est surtout envahie de ronciers et de prunelliers. Traversée de multiples sentiers, elle comprend les vestiges des cellules des moines, la citerne, le puits, l'un des murs de l'ancienne chapelle, parcelle n° 1669 (longue de 7, 70 mètres et large de 3, 90 mètres) et une partie des murs d'enceinte du monastère, large de 4 mètres. Sur la côte Nord-Ouest de l'île, à l'emplacement d'un ancien bâtiment et d'un mur de fortification, le Centre Nautique des Glénans, bailleur de l'île (bail emphytéotique de 100 ans), a édifié un gîte avec un toit à une seule pente, très bien inséré dans son environnement. Un chemin creux, orienté du Nord au Sud, long de 55 mètres et large de 3, 90 mètres dessert la partie orientale de l'île. Ensuite, se trouve un large enclos qui renfermait probablement un champ ou un jardin, et qu'un mur de refend large de 2, 40 mètres, traverse dans sa largeur et divise en deux parties inégales, celle du Sud étant de dimension inférieure à celle du Nord. Cet enclos, de forme irrégulière, a une largeur de 16, 30 mètres à son extrémité méridionale et de 35 mètres au Nord. Le mur oriental, défensif, de cet enclos, construit en moellons de granite gris de grand appareil, a une longueur totale de 55 mètres et son épaisseur est importante : 3, 80 mètres. Il a une hauteur de 3, 10 mètres au-dessus du niveau du sol et est percé au niveau du mur de refend par une porte de 1, 70 mètres de large. La portion Nord de ce mur a 33, 50 mètres de longueur et sa partie Sud, 19, 80 mètres. Les autres murs de cet enclos (en partie détruits) sont encore assez épais : 1, 52 mètre pour le mur Sud et 1 mètre pour le mur Ouest. Quant au mur Nord, dont la partie orientale forme pan coupé, il domine à pic la falaise Nord de l'île. A l'Ouest de ce premier enclos, des murs moins épais (0, 60 mètre) laissent apparaître trois enclos successifs, à peu près rectangulaires et juxtaposés. Le premier enclos, au Sud, semble former par son mur ouest arrondi, un jardin religieux (22 x 45 mètres). L'enclos du milieu, en forme de trapèze a une longueur moyenne de 29 mètres et une largeur de 14, 60 mètres. L'enclos méridional a 26 mètres de longueur et 27 mètres de largeur. D'autres petits murs délimitent d'autres petits enclos sur le versant méridional de l'île. Bordant ces trois enclos, se trouve le chemin de l'Ouest, parallèle à celui de l'Est, allant dans une direction Nord-Sud, sur une longueur de 45 mètres, pour une largeur de 4 mètres. Vers le milieu, un autre chemin, perpendiculaire au précédent, large de 1, 30 mètre, se dirige vers l'Ouest, sur une quinzaine de mètres. Le couvent s'élevait dans l'espace situé dans l'angle sud-Ouest de ces deux chemins, en forme de pentagone irrégulier (parcelle n° 1657). Il était déjà en ruine en 1832. Le petit bâtiment, représentant l'église conventuelle (la 'chapelle des Anges'), mesure 9, 60 mètres de long d'Est en Ouest et 6 mètres de largeur (cote n° 1659). Il n'en subsiste plus que la base des murs. Le petit bâtiment, situé au Nord du précédent, à usage de cellier aujourd'hui, mesure 3, 35 mètres de long Est-Ouest sur 2 mètres de large. Il est recouvert d'une voûte en berceau plein cintre longitudinale. Sa porte d'entrée est située à l'Est, à demi enfouie dans le sol. Cette construction est peut-être postérieure à 1790, en raison de son absence dans le premier inventaire. Le Centre Nautique des Glénans a réhabilité l'une des cellules monastiques en cellier, découvert et débroussaillé un puits ainsi que l'emplacement de plusieurs jardins enclos, dles cellules monastiques et de l'ancien réfectoire.Sur la partie Est de l'estran de l'île, deux quais parallèles, longs d'environ 25 mètres, permettent l'accostage de navires. Ces ouvrages, construits en moellons et en pierre de taille (granite), non datés, sont en partie en ruines. Une ancienne pêcherie, située au Nord-Est de l'île, forme une cuvette, accessible à mi marée.Le cadastre napoléonien de 1832 indique l'emplacement et les numéros des différentes parcelles de l'Île Verte, de 1657 à 1674, divisées en pâtures et en labours. On peut repérer le foncier insulaire bâti : le monastère (C1657-1658-1659), situé à l'Ouest et, la chapelle (C1669) isolée à la pointe Nord-Est. La matrice cadastrale indique les noms des différents propriétaires depuis 1833 : Lineul Armand, Le Cozannet Olivier de Lézardrieux, Le Collen René, de Lézardrieux et Watrin Armand Claude de Kéranvioux, puis sa veuve.L'Île Verte ou 'l'Île des Lauriers', 'Enez Glaz' ou 'Enez Laur' en breton, a aussi été dénommée 'Île Vierge', 'Insula Virgo'. Au Moyen Age, elle appartenait au seigneur de la Roche-Jagu et dépendait, comme Bréhat, de l'évêché de Dol de Bretagne.Selon la tradition orale et des recherches archéologiques effectuées en 1858 par Geslin de Bourgogne et A. de Bartélemy, il aurait existé un monastère sur l'Île Verte aux 5ème et 6ème siècles, qui fut détruit par les Normands au cours du 9ème siècle.Au 15ème siècle, des religieux franciscains, appelés encore 'Cordeliers' s'installèrent sur l'île et construisirent un modeste couvent en 1434 sur des ruines existantes, grâce aux dons du seigneur de la Roche-Jagu, Gilles de Tournemine. Ces religieux Observants aménagèrent à partir de 1436 de nouveaux bâtiments entourés d'un enclos (réfectoire, bibliothèque, cellules, citerne) et deux chapelles, dont l'une dédiée à notre Dame. Ils cultivaient des jardins en terrasse et utilisaient une pêcherie. A la pointe Sud-Ouest de l'île, s'élevait, au sommet d'un rocher, un calvaire, édifié par les moines.En 1632, le couvent de l'île Verte est transféré à un ordre religieux plus contemplatif : les Récollets. Au début du 18ème siècle, les moines de L'île Verte participaient aux cérémonies liturgiques de Bréhat. Un pardon annuel rassemble les croyants sur l'île depuis le continent, comme à l'Île Maudez, toute proche. A partir de la fin du 18ème siècle, le monastère accueillait périodiquement des moines de Beauport, de Bégard et de Pleubian, en pénitence. Des personnalités laïques et religieuses furent même détenues par 'lettres de cachet'. A l'Est de l'île, un rocher isolé porte encore le nom de 'La Prison'. En 1790, un inventaire des lieux fut effectué, conformément aux lois de la République, en présence d'officiers municipaux de Bréhat, dont Yves Le Bozec, représentant Pierre Cornic du moulin, maire de la commune de Bréhat. Cet inventaire permit de connaître l'état et la disposition des édifices ainsi que leur contenant (mobilier, ouvrages, ustensiles, outils).Cette même année 1790, à la fermeture de l'établissement monastique, les six religieux demeurant au monastère durent quitter leur île. Le 10 juillet 1792, les bâtiments furent vendus comme 'biens nationaux' à Honorat François Guillou. Selon la tradition orale, le monastère fut brûlé et détruit en 1793. A la fin du 19ème siècle, les pierres des anciens bâtiments furent en partie vendues et il ne resta bientôt plus qu'une petite bâtisse, habitée par une famille de goémonier. En 1974, l'île fut baillée au Centre Nautique des Glénans, qui y aménagea un gîte marin, sur les ruines existantes. Des murs éboulés furent remontés, l'emplacement des anciennes cellules des moines défriché, un puits fut redécouvert.Au cours des années 1980-90, l'île Verte reçut en court séjour les premières classe 'Patrimoine maritime' de Bretagne, de l'Ecole de mer CPIE (centre Permanent d'Initation à l'Environnement) du Trégor. L'île sert encore aujourd'hui pour le CNG (Centre nautique des Glénans) de base pour l'apprentissage de la voile et du pilotage côtiers dans les îles de l'archipel de Bréhat.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Écart de Saint-Riom (île de Bréhat)

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ile de Brehat (C.du N.) : L'embarcadere, "ar embar

Par : Dastum

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L'Ile de Bréhat
A l'occasion des vacances de printemps, les îles bretonnes, et notamment l'Ile de Bréhat, sont une destination pour de nombreux touristes. Bréhat offre aux vacanciers charme et tranquillité.

Par : INA

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