Patrimoine de Paimpol

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Vies d'ouvrières
Il y a dix ans, paraissant "le voyage à Paimpol", qui racontait l'histoire de Maryvonne, ouvrière de Saint Brieuc qui, un jour d'extrême lassitude, fait une fugue et se paye le voyage en autocar pour Paimpol. Dix ans après, l'auteure du roman, elle même ancienne ouvrière, Dorothée Letessier a fait le voyage en autocar entre Saint Brieuc et Paimpol. Entretiens et montage d'entretiens avec Dorothée Letessier, ses anciens collègues d'usine de Chaffoteaux, revues après dix ans d'absence : le travail à l'usine, le manque d'alternative surtout pour les femmes, l'évolution professionnelle de certains collègues

Par : INA

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Ar minor

Par : Dastum

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Lanleff - Chapiteau / Motif
CHAPITEAU motif tressé

Par : Dastum

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Croix de procession

Par : L'inventaire du patrimoine

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Statue : saint Paul

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ferme
Ferme construite en moellons de granite. Elle présente un logis de type ternaire et à baies surnuméraires latérales en façade antérieure (murées) flanqué à droite d'une partie agricole en L (non vue). Les fenêtres du rez-de-chaussée du logis sont protégées par des barreaux en fer. La partie agricole comprend probablement un logement.Ferme datant du 2ème quart du 19ème siècle. Le logis date de l'année 1834 (date portée).
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ploubazlanec ; mur des disparus en mer

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Fontaine, rue des Cinq Maquisards, Kervenou (Paimp
Fontaine engagée couverte en maçonnerie dont le mur de fond est agrémenté d'une niche à statuette (vide).Fontaine datant probablement du 19ème siècle (datation incertaine).
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Temple de protestants, rue du Professeur Jean Rena
Temple de plan rectangulaire allongé, à vaisseau unique, couvert d'un toit à longs pans et pignons découverts à rampants à crossettes. Construction d'inspiration régionaliste : la maçonnerie est constituée de moellons de grès rose équarris laissés apparents, l'encadrement des baies, les chaînes d'angles, les contreforts latéraux et les rampants des pignons sont construits en granite gris. Précédé d'un porche, le pignon sur rue, placé au nord-est, est sommé d'une croix latine. Il est également ajouré de baies jumelées et présente un cadran solaire au-dessus de celles-ci.Temple de protestants datant du 2ème quart du 20ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Immeuble à logements, place du Martray ; rue des H
Immeuble à logements de style anglo-normand (faux pan de bois) composé d'un rez-de-chaussée à usage commercial et de deux étages carrés à usage d'habitation. Il est édifié sur une parcelle d'angle et présente une travée d'angle affirmée par un pignon.Immeuble à logements du 2ème quart du 20ème siècle, probablement construit d'après les plans de l'architecte départemental Jean Fauny (analyse stylistique).
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Construction navale : chantiers navals sur la comm
Les chantiers navals paimpolaisEn 1860, il existait à Paimpol plusieurs chantiers de construction navale : Julien et Yves Pilvin et Tanguy, associés, et Laboureur. Ces chantiers construisaient des bateaux tant de pêche que de plaisance, comme le yacht-bisquine 'L'Hirondelle', sorti du chantier Laboureur en 1889 et le cotre 'Illico' de 3,10 tonneaux, long de 11 mètres et lancé en 1888 par le chantier Laboureur, qui remporta le premier prix des régates de Tréguier. Louis Laboureur (1812-1888), charpentier, fut l'un des premiers constructeurs de bateaux installés à Paimpol au 19ème siècle. Louis (dit "Louis aîné" était "pouleyeur" c’est à dire fabricant de poulies pour cordages de navires comme l'était son père Yves. Mais il a aussi construit quelques bateaux de travail.Il avait installé deux chantiers dans le quartier de Kernoa à Paimpol, au Four à Chaux. Son fils Louis-Pierre-Marie Laboureur (1836-1892), maître constructeur, diplômé de l´arsenal de Cherbourg en 1854, reprit le chantier familial en 1860. Situé sur les cales du Four-à-Chaux, ce chantier est à l´origine de la naissance de la goélette paimpolaise.1 Laboureur fut honoré par de nombreux diplômes et médailles, non seulement pour ses morutiers, mais aussi pour ses caboteurs et ses yachts. Ces derniers sont les enseignes du chantier et, par leurs résultats en régates, lui assurent une formidable publicité. À la mort de Laboureur en 1892, son entreprise est si florissante que, faute de place, elle avait dû ouvrir deux autres chantiers à La Richardais. Entre 1894 et 1898, les chantiers Laboureur auront construit 37 navires ! Léon-Pierre-Marie Laboureur (1878-1941) prendra la suite de cette lignée de constructeurs. D’autres chantiers navals vont s’installer à Poulafret, Goasdoué, Perrot, comme Bonne qui allait étendre le potentiel industriel paimpolais jusqu’à la crise des années 1930. En 1902 et 1903, les chantiers paimpolais ne livrent pas moins de 85 navires aux armateurs.2 En 1877, les constructeurs demandèrent la construction d'une passerelle mobile à Kernoa, aux abords des chantiers, afin de faciliter les déplacements. L'absence de cale sèche impliqua d'édifier un platier de carénage entre le môle de Kernoa et le bassin à l'intérieur du port, ce qui permettait de poursuivre la construction de navires lorsque les chantiers étaient encombrés. Ce platier, approuvé en 1890, fut réalisé et accueille encore aujourd'hui plusieurs ateliers de mécanique et de construction navale. Il servit surtout aux constructeurs qui ne disposaient pas d’installations portuaires, mais aussi au débarquement des engrais marins et pour les entrepôts Dauphin. Au début du 20ème siècle, les chantiers navals étaient à leur apogée, bien que les travaux du nouveau bassin et de la nouvelle jetée gênassent leurs ateliers. Le chantier Bonne, en particulier, ne put satisfaire toutes les commandes en 1903. Bonne installa une première scie à vapeur pour accélérer le travail et la livraison. Cette année 1903, 51 navires étaient mis à l'eau, à la faveur notamment de la prime à la construction. En 1909, plus de 200 ouvriers travaillaient dans les chantiers navals paimpolais.Avant 1922, Laboureur construisait des goélettes au Four à Chaux, à la place du chantier actuel Pierre-Louis Dauphin, dont Bonne fut le contremaître avant de s'installer à son compte à Kernoa. Le chantier Goasdoué construisait des bateaux de pêche et de plaisance, dont le 'Bois Dormant' en 1913. En 1930-35, Antoine Kerbiguet était installé près des abattoirs (Kerpalud). Jean Huon, son ouvrier, prit plus tard la suite du chantier et s'installa sur le quai Loti, près de l'ancienne école hydrographique. Il vendit son affaire à Raynaud. Kerbiguet et Chevert construisaient des navires de moindre importance en plein air. Chevert fut l'un des derniers grands constructeurs paimpolais, pendant la seconde guerre mondiale, quai de Kernoa, après qu'il eut quitté Binic en raison de la fin de la grande pêche. Ses ouvriers travaillaient encore à l'herminette. L'un de ses derniers canots de 8 mètres fut 'La Pensée'. Les chantiers navals Huon et Le Chevert vont connaître une activité considérable en 1940-42 du fait de la construction de petites unités pour la pêche côtière (5-8 tonneaux). Jean Huon fit construire nombre de langoustiers et de petits chalutiers dont le '17 Août' (chalutier) mais aussi des voiliers de plaisance, dont la série des 'Mordicus'. Chevert était installé rue Labenne. Il existait aussi avant guerre le chantier naval et d'accastillage François Dauphin et après guerre, le chantier de Louis Marie et de Guillememon Henri, associés. Les Chantiers navals Yves Daniel et Louis Marie représentent les derniers constructeurs traditionnels. La relève a été prise aujourd'hui par le chantier naval Gilles Conrath et le charpentier de marine Klass Stelman. Le chantier naval Bonne (aujourd'hui disparu) a été étudié.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Banque de Bretagne, place du Martray (Paimpol)
Edifice construit sur une parcelle d'angle (angle de la rue de Romsey et de la place du Martray). Éléments de décor : ferronnerie, moellons de grès rose équarris, motifs d'inspiration bretonne et celtique (entrelacs, hermine stylisée).Banque datant du 2ème quart du 20ème siècle (vers 1940).
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Abbaye de Beauport à Paimpol

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Lancerf près Paimpol

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Lancerf près Paimpol ; le clocher

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Lancerf près Paimpol ; le clocher

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Ex-voto : Frégate 'Cornic'
La maquette du 'Reder Mor', frégate de 38 canons avec sabords et passavants, est réalisée en formes, avec bordage de la coque, chevillée sur les membrures. Le gréement de trois mâts est soigneusement reconstitué, sans les voiles.Cette maquette de frégate était la propriété du contre-amiral Pierre-François Cornic né à Bréhat et décédé sur l'île (1731-1801). Il avait demandé, qu'après sa mort, cette maquette fut remise à l'église de sa paroisse. Ce qui fut fait en 1836 par son fils Yves-Marie François Cornic, le maire de l'époque. Selon la tradition orale, cette maquette aurait été réalisée par Jean Lasbleiz, né en 1753, maître de barque et cousin de CornicCette maquette doit dater probablement de la fin du 18ème siècle. Elle représente au 1/25ème une frégate qui devait mesurer entre 30 et 40 mètres de longueur. Le vaisseau était armé de 38 canons. Les boulets pesaient 8 livres chacun. A la poupe du navire, on peut lire l'inscription suivante : 'Reder Mor' ('Coureur des mers'). Cependant, un navire de guerre, à la fin du 17ème siècle, pouvait-il porter un nom breton ? Il est permis d'en douter.Cette maquette fut suspendue, durant très longtemps, à la voûte de l'église. Mais elle y subissait des dégradations à cause des oiseaux. Elle était aussi sortie sur une civière lors du pardon de la paroisse et fut parfois malmenée. Les premières restaurations furent malencontreuses avant une remise en état plus sérieuse par Henri Brun en 1991. Le bateau est aujourd'hui présenté dans la nef Est de l'église, sur un socle surélevé, à côté de la statue de saint Budoc.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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L'Ile de Bréhat
A l'occasion des vacances de printemps, les îles bretonnes, et notamment l'Ile de Bréhat, sont une destination pour de nombreux touristes. Bréhat offre aux vacanciers charme et tranquillité.

Par : INA

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