Patrimoine de Paimpol

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Vies d'ouvrières
Il y a dix ans, paraissant "le voyage à Paimpol", qui racontait l'histoire de Maryvonne, ouvrière de Saint Brieuc qui, un jour d'extrême lassitude, fait une fugue et se paye le voyage en autocar pour Paimpol. Dix ans après, l'auteure du roman, elle même ancienne ouvrière, Dorothée Letessier a fait le voyage en autocar entre Saint Brieuc et Paimpol. Entretiens et montage d'entretiens avec Dorothée Letessier, ses anciens collègues d'usine de Chaffoteaux, revues après dix ans d'absence : le travail à l'usine, le manque d'alternative surtout pour les femmes, l'évolution professionnelle de certains collègues

Par : INA

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Environs de Plouha, Lanloup : La place et l'eglise

Par : Dastum

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Croix de chemin
Croix sur socle et soubassement à trois degrés appareillé en pierre de taille. Socle chanfreiné. Fût écoté de section circulaire, bagué au sommet. Croix de Malte gravée sur la face nord du socle.Croix de chemin des ateliers Yves Hernot à Lannion érigée en 1897 par François Geffroy, son épouse veuve Rivoallan et leurs enfants.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ferme 2
Ferme construite en moellons de granite. Elle comprend un logis de type ternaire remanié dont le linteau de la porte d'entrée présente une inscription accompagnée du millésime 1835.Ferme dont le logis porte le millésime 1835.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Puits de Kermarie
Les murs du puits sont construits en moellons de granite et de schiste, avec une pierre en schiste servant de reposoir. La maçonnerie intérieure est en pierres de taille de granite sur une hauteur proche de la surface et en moellons de schiste en profondeur. Le puits mesure environ 2, 50 mètres de largeur et 2, 50 mètres de hauteur. Le diamètre intérieur est d'environ 1 mètre. La date de 1709 est gravée sur une pierre à l'intérieur du puits, sur la partie postérieure, à la hauteur de la margelle.Le puits de Kermarie est daté de 1709. Il est situé dans la cour d'une petite fermette (datant sans doûte de la même époque). L'habitation fait partie du domaine noble des Nouël (de). Ermarie est le nom du hameau à Marie.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ploubazlanec ; chapelle de Perros-Hamon ; petit po

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Ancienne ferme, chemin de Kergoyec, Kergoff (Paimp
Ancienne ferme datant du 3ème quart du 19ème siècle. Le logis est daté de l'année 1853 (date portée).
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Paimpol : Perspective de la flotille la veille du

Par : Dastum

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Paimpol : Tranchage de la morue

Par : Dastum

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Paimpol - Portail
PORTAIL principal Ouest, colonnettes + archivoltes

Par : Dastum

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Chapelle de Lancerf ; tombeau du comte de Labenne

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Lancerf ; tombeau du comte de Labenne

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Écart : Lavrec (île de Bréhat)
L´île Lavrec, dont la superficie est d'environ 10 ha, mesure 400 mètres de long sur 300 mètres dans sa plus grande largeur. Elle est reliée à Bréhat par une levée de pierres (ancien barrage de pêcherie).Elle est aujourd´hui habitée de manière irrégulière. Il existe un bâtiment à usage d'habitation, daté de la seconde moitié du 20ème siècle. L'île est en partie envahie par la végétation et peu entretenue. Autour de l'île, de nombreux vestiges de pêcheries, attestent d'une présence humaine très ancienne sur l'île.L'Île Lavrec, 'Insula Laurea', mentionnée dans le cartulaire de Landévennec, devient 'Insula Lavrea' dans la 'Vie de saint Guénolé', citée encore dans l'ouvrage de Dom Lobineau (1666-1727), elle a conservé le toponyme breton 'Lavreg' (mancherons d'une charrue). L'île conserve de nombreuses traces d'occupation humaine du Néolithique jusqu'au Moyen Âge, notamment un bâtiment romain, pourvu d'un système de chauffage, et un cimetière mérovingien et carolingien. Elle est connue pour avoir été le lieu de fondation du premier monastère, dont il ne reste actuellement que quelques ruines, de la Bretagne armoricaine. C´est le moine Budoc, venu de Grande-Bretagne, qui en fut l´initiateur au Ve siècle (470). Budoc découvrit sur l´île les ruines d'une villa gallo-romaine construite dans la première partie du IVe siècle (trois médailles romaines, un petit bronze de Crispus, fils de Constantin Ier, et deux autres de Constantin II y furent retrouvées). Budoc aurait éduqué saint Gwénolé, fondateur de l'abbaye de Landévennec (Finistère). Un bâtiment, dont deux murs sont encore visibles, a été partiellement étudié en en 1889-90-91 par A. de la Borderie et un prêtre originaire de Bréhat, l'abbé Lasbleis, qui a émis l'hypothèse d'une villa gallo-romaine sur ce site. Des fouilles ethno-archéologiques plus récentes furent réalisées sur le site par le professeur Giot en 1977, puis de 1979 à 1984. A Lavrec, il découvrit une parcelle, connue sous la dénomination de 'Bered ar Chapel', le 'Cimetière de la Chapelle', où furent enterrées environ 460 personnes de tout âge. Des abris rudimentaires furent aussi découverts dans la parie Est de l'île. Des tessons de poterie et des monnaies ont été trouvés dans des fosses à détritus. Les fondations d'une chapelle primitive ont été aussi exhumées sur une construction plus récente, datée de 1726 (vouée à saint Jude et saint Simon). Ce petit édifice a été rasée en 1966, ainsi que le site archéologique, lors de la construction d'une piste d'atterrissage pour un aérodrome privée. Vers 1930, une résidence fut construite sur l'île et le propriétaire aménagea des plantations de résineux.Les vestiges de nombreuses pêcheries sont visibles dans le Nord-Ouest de l'île.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bateau de pêche : 'Le Poilu'
Le bateau était entièrement creux à l'origine pour le pilotage et la pêche au filets (sardines), gréé en flambart. Il fut demi ponté plus tard, avec une tille à l'avant pour abriter les goémoniers, qui pouvaient dormir à bord un hublot fut percé à l'avant). La charpente de la coque était entièrement en chêne et en orme (dont la quille), avec un simple plat-bord et une contre serre plate à champ (appelée localement 'bouquin'), ou serre-gouttière carrée de 15 cm. boulonnée à la préceinte, afin d'éviter toute croche au filet. Les deux bancs d'origine étaient aussi en chêne et en sapin pour le banc arrière (2" cm de largeur), devant le sabot de mât. L'absence de banc de pompe était compensée par l'utilisation d'un seau emmanché pour écoper. L'emplanture du mât était équipé d'un guide pour faciliter le démâtage (appelé 'gastouarn' en Finistère). Croajou avait aménagé par la suite une pompe dans le passavant. Le plan de dérive est important, le maître bau assez reculé, cependant la tirant d'eau d'origine de 1, 50 mètres a été réduit pour la pêche du goémon et les échouages fréquents. La canot est fin de l'arrière avec une légère quête du tableau en forme d'écusson. Les flancs sont très frégatés, l'étrave est droite, accuse un fort brion ; les fonds sont très plats et porteurs. Les deux premières varangues sont très fortes et enquillées sous la carlingue. Trois varangues ont été rajoutées par la suite par dessus la carlingue, au niveau du mât de taillevent, pour supporter le bâti du 2ème moteur (CLM installé par Prigent). Les varangues à l'origine étaient situées sous la carlingue. Le bateau dispose de larges passavants et serre-bauquière (changés par Croajou) et des plats-bords étroits. Il n'y avait pas d'hiloire à l'origine. Une partie des éléments en chêne de la charpente a été remplacée progressivement par des pièces en sapin. Le tableau a été changé et en même temps percé pour caler la barre d'écoute. Le gréement a été modifié de flambart (avec une itague, une cadène sur l'arrière du mât, sans gambeyer et des bastaques de l'autre côté) en gréement aurique à corne, avec un seul mât et un gui à rouleau (avec un vit-mulet amarré au pied de mât), dépassant de 1 mètre le couronnement du tableau. Le bout-dehors, long de plus de 2, 50 mètres équilibre le nouveau plan de voilure avec foc et trinquette. Le bout-dehors mesurait 3 mètres hors tout, sans moustaches. Un petit moteur d'origine 'agricole', marinisé de 4 cv (Couach), permettait d'appuyer la voile et de travailler même par calme plat. Les plats-bords ont été rehaussés et le tableau, changé en partie. A l'origine, il n'y avait pas de trou de barre. A cause du risque de talonnage, le barre servait de clé. Le gréement fut démonté et n mât de charge et un mâtereau furent installés en 1958 par Le Bideau pour faire la drague.Dimensions : longueur de coque : 6, 83 m ; largeur : 2, 40 m ; tirant d'eau : 1, 40 m, avec une quille en fonte ; déplacement : 5 tonneaux ; surface de voilure : 50 m2. Le bordage de la coque est en pin au-dessus de la ligne de flottaison et en orme dans les fonds, avec un bordé d'échouage de plus grande section. Le bordé est de 7 cm de section en chêne et la préceinte est de plus forte section. Les membrures sciées sont en chêne, bien échantillonnées (50 x 50 mm tous les 20 cm) et la quille en orme, avec quille rajoutée en fonte. Cette quille prenait de l'arc et les membrures ne tenaient plus à la quille en 1980. A l'origine, la coque était peinte de couleur blanche avec un liseré rouge. Croajou l'avait repeint entièrement en gris, sans liseré).Les aménagements : un banc de pompe central, le tableau est percé pour la godille ; renforts pour les dames de nage au niveau des passavants ; demi pontage avant avec un capot de pont.Le bateau 'Le Poilu' a été construit dans un chantier naval de Locquémeau en 1920 (Collet, Landouar, Levier ?) ou de la côte trégorroise (Kegariou ?), sur les formes des canots de Carantec ou des bateaux goémoniers de Locquémeau, d'abord pour le pilotage et ensuite la pêche côtière.Nous avons trouvé la trace (témoignage oral) d'un certain Kervarec ou Kermarrec de Trébeurden qui aurait armé un bateau de pêche, dénommé 'Le Poilu'. Ce nom lui aurait été attribué par un 'ancien poilu', soldat de la Guerre 1914-1918 (témoignage de Charles Le Bideau de Bréhat, recueilli par Nicolas Pluet). Les frères Le Hénaff Marcel et Arthur de Lannion auraient aussi armé un bateau avec ce même patronyme, avant d'armer le 'Bélouga', gréé en lougre-flambart pour la pêche à la sardine.Son premier propriétaire serait un certain Le Hénaff de Lannion, qui l'arma à la pêche à la sardine, à la collecte du sable et au pilotage à Lannion, avec le gréement de flambart, avant de le vendre à un marin de Pleubian en 1944, François Croajou (ancien 'Poilu' de la guerre 14-18 à la retraite, qui lui donna son nom). Il fit rectifier sa quille pour faire le goémon, au scoubidou manuel, (vendu aux cultivateurs). Les varangues et l'étambot furent aussi changés pour diminuer le tirant d'eau arrière. Il modifia son gréement en cotre aurique (en bocq), l'équipa d'un moteur fixe de 4 cv, sans embrayage (et lui rajouta un petit poste avant, avec un pontage au tiers devant le mât. Jean Kerleau, charpentier de marine de Lanmodez a refait le pont avant que le bateau ne soit de nouveau vendu.En 1946, le bateau changea de nouveau de propriétaire et est revendu à Charles Le Bideau, marin pêcheur, originaire de Pleubian, pour la drague aux praires dans le Ferless (en 1954), le goémon, les casiers à homards en été, les filets à araignées et les lignes autour des îles de Bréhat. Il naviguait encore à la voile avec le moteur auxiliaire. C'est à cette époque qu'il a été bordé d'un soufflage à l'extérieur et d'une sous drague sous la quille pour pratiquer la pêche aux casiers. Pour la drague des praires, Charles Le Bideau avait utilisé en guise de treuil, un pédalier de vélo avec une chaîne.Le bateau de petite pêche côtière a pratiqué 8 métiers différents entre la baie de Lannion et la baie de Paimpol entre 1920 et 1976. C'est le canot creux polyvalent par excellence, typique des bateaux de pêche de la Bretagne Nord. Il a navigué à la voile jusqu'en 1959. A l'origine, il était équipé d'un gréement de flambart avec cependant moins de quête que les flambarts sardiniers de Loquémeau. Il a terminé sa carrière à l'Île de Bréhat comme bateau de pêche et de charge, vendu à Jean-Pierre Prigent de Bréhat en 1960, pour le transport des galets et le goémon (pour l'usine de Pleubian). Il a enfin été revendu en plaisance pour le Club Nautique de Bréhat. Cependant, le mauvais état de la coque (passavants) ne permit pas la restauration dont il avait besoin. Le bateau resta sur une grève à l'état d'épave. Il a été inventorié une première fois en 1992 dans le cadre de l'inventaire du patrimoine naval de la Bretagne (SRI). Néanmoins, un relevé de ses formes a pu être effectué par un charpentier de marine Nicolas Pluet en 1993 pour une reconstruction à l'identique.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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L'Ile de Bréhat
A l'occasion des vacances de printemps, les îles bretonnes, et notamment l'Ile de Bréhat, sont une destination pour de nombreux touristes. Bréhat offre aux vacanciers charme et tranquillité.

Par : INA

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