Les documents du Golfe du Morbihan

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L'industrialisation de la Bretagne
Région traditionnellement agricole, la Bretagne débute son industrialisation en 1960. La priorité est dès lors mise sur l'électronique. Des industries automobiles et chimiques vont également s'implanter. Plus de 15 000 emplois vont être ainsi créés.

Par : INA

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Source de la chapelle de Notre-Dame de Bequerel su

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Couverture de dolmen avec entailles et cupules au

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Chapelle de Penmern et lech tumulé

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Sarzeau : L'eglise, la place le jour du marche

Par : Dastum

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Bulletin paroissial de Vannes paroisse de Saint-Pa
novembre 1916. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Vannes paroisse de Saint-Pa
avril 1916. 20ème siècle

Par : Gallica

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Château de Limoges, puis clinique du Parc
Château édifié sur la butte de Calmont dans un grand parc environnant clos de murs. Une haute grille en fer forgé autrefois située en bordure de route signalait l'entrée du château (elle est aujourd'hui déposée contre le mur nord du grand logis). L'entrée sud avec ses piliers et sa grille, donnant sur une grande avenue plantée d'arbres est par contre conservée. Le château comprend un grand corps de logis simple en profonndeur désenduit avec pavillon en retour d'équerre à l'extrémité nord et tour de plan carré couverte d'un toit de forme galbé, à l'extrémité sud. Le pavillon nord montre une élévation d'un étage carré surmonté d'un comble à surcroît percé de lucarnes en calcaire. Le corps de logis est construit sur un étage de soubassement avec rez-de-chaussée surélevé surmonté d'un étage de comble. La tour de plan carré plus élevée comprend deux étages carrés. Les façades désenduites montrent des encadrements d'ouverture et des bandeaux de façade en pierre de taille de granite et en calcaire. Une corniche à modillons se déploie sous la toiture. Puits polygonal en pierre de taille de granite.La seigneurie de Limoges, dont les archives ne subsistent qu'en fragments, est mentionnée en 1448 comme appartenant à Bonabes du Colledo par sa femme, fille de Jean Jehanno. Elle est la propriété successive de puissantes familles du pays vannetais : du Colledo jusqu'au milieu du 16e siècle, puis Phelippot de Coetregal. A partir du 17e siècle, se succèdent les familles Peschart de Lourme (1600-1660), Trevegat, Blevin et Charpentier. Au début du 19e siècle, les Le Mintier de Lehellec achètent la propriété qu'ils conservent jusqu'en 1962. La congrégation des soeurs de la Charité de Saint Louis achète la propriété pour agrandir leur clinique à l'époque située sur la Rabine. Entre 1963 et 1965, un nouvel établissement médical "la polyclinique du parc" est édifié en partie sur l'emplacement d'une petite chapelle domestique (visible sur le cadastre de 1844) et greffé au pavillon nord. Il ne reste aucune trace du manoir médiéval excepté peut-être le remploi d'une ouverture à cavet située à droite de la façade est du logis. Des désordres dans la maçonnerie montrent des parties plus anciennes. Une photographie prise dans les années 1950 montre en effet un autre pavillon à droite du premier qui semble avoir été ensuite englobé dans le corps de logis principal et qui pourrait correspondre à un édifice plus ancien. Le château actuel semble avoir été édifié dans la seconde moitié du 17e siècle pour François-René de Trevegat, conseiller au Parlement de Bretagne. Par la dimension de ses fenêtres, la forme de sa toiture et la position des lucarnes, le pavillon nord, plus haut que la partie centrale, pourrait être de quelques dizaines d'années plus récent et avoir été lors de l'édification du logis remis au goût du jour. A l'arrière, visible sur le cadastre ancien de 1844, le château donnait sur des jardins à terrasses avec parterres à la française, pavillons, orangerie. Plus à l'est se trouvait un verger et une grande prairie fermée par un mur d'enclos. En 1996, les jardins de Limoges ont fait l'objet de projets de lotissements. "Le Clos de Limoges" a intégré dans son espace paysager l'existence d'une ancienne fontaine qui avec un autre bassin et deux grands viviers non conservés formaient un ensemble de structures du château datables au moins de la fin du 18e siècle. La fontaine et l'emprise de cette fontaine ont été intégrés au domaine public communal en 2001. Les lucarnes de la tour d'escalier ont été remplacées. Les écuries, restaurées en habitation à la fin du 20e siècle, ont été percées de deux baies supplémentaires. Quant à la ferme située au sud du château, elle a également été remaniée à la fin du 20e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison
Maison enduite de type ternaire avec comble ouvert de deux lucarnes en bois à fronton triangulaire. Linteaux en bâtière. Identique aux n° 7 et 9 de la rue : même auteur présumé.Maison érigée dans l'emprise du lotissement Bouchet initié en 1895 ; elle apparaît sur le plan Léchard de 1897, construite peu avant cette date d'après la forme des linteaux. En 1899 elle appartient à André Massenet, lieutenant au 35è R.A. (annuaire de 1899). D'anciennes écuries ou dépendances ont été transformées en une modeste habitation modifiée vers 1980 par adjonction d'une grosse lucarne de toit. Elle correspond au n°13 de la rue.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison
Maison isolée, construite en retrait de rue avec jardin environnant. Maison de plan à avancée à pignon sur rue, double en profondeur. Elle présente une élévation en rez-de-chaussée surélevé, à étage en surcroît sur l'aile à pignon. Celle-ci présente un pignon découvert, au contraire du pignon latéral droit, avec cheminée d'angle supportée par une console. Le niveau du sol est occupé par un garage.Maison construite en 1937 selon le cadastre numérisé, ce qui est plausible ; elle fait partie du lotissement du Jointo dont elle occupe le lot n°3, appartenanr à Mr Tattevin. Elle a été modifiée à la fin du 20e siècle : enduit, ouvertures.
Auteur(s) du descriptif : Lainé Claire ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Hôtel de voyageurs dit hôtel Le Dauphin, 7 place M
L'hôtel est érigé en alignement de rue sur de grandes parcelles traversantes débouchant sur la rue du Pot d'Etain. Son plan double en profondeur, complexe, se développe autour d'une cour centrale suivant un plan en U ouvert à l'ouest. Il est construit en moellon enduit avec ouvertures et frontons en pierre de taille de granite. Malgré une construction en deux périodes, la façade offre un ordonnancement parfait au niveau des étages, scandée par une série de deux travées regroupées sous un fronton en pierre de taille. Au niveau du rez-de-chaussée, l'ordonnancement est rompu par la présence d'une large porte cochère dont l'arc s'orne d'un décor en haut relief avec blason figurant un dauphin, orné de volutes, cuirs, coquilles, chute de fruits et fleurs. Cette porte donne sur le hall de l'hôtel entièrement lambrissé d'inspiration néogothique ; deux consoles supportant deux fausses arcades sont ornées de chimères ailées. Le hall dessert la cage d'escalier, celui-ci en bois, à retours avec jour, à trois révolutions et rampe à balustres tournés. Dans l'escalier, certaines des baies ont conservé leur décor de vitrail, l'un figurant la danse d'un couple de paysans morbihannais. Dans la partie ouest, deux portes jumelées qui s'ouvrent à l'extrémité ouest donnent sur une cage d'escalier secondaire. Le décor d'inspiration néo-bretonne qui ornait les salles de réception du rez-de-chaussée a été en partie conservé, mais modifié dans son aspect dans les salles du rez-de-chaussée.L'hôtel du Dauphin est un des plus importants hôtels érigés à Vannes à la fin du 19e siècle et dans la première moitié du 20e siècle avec l'hôtel central et de Bretagne et l'hôtel du Commerce et de l'Epée. Son histoire commence au 16e siècle d'après les recherches menées par Viaud-Grand-Marais. La prise de possession des bâtiments en 1742 après la vente de l'hôtel dit du Dauphin Couronné dans les archives décrit l'ancien édifice construit sur une parcelle traversante entre la place du Marché et la rue du Pot (d'Etain). Les bâtiments sont sans doute reconstruits et en même temps agrandis après 1869 car l'hôtel figure encore sur cette même et unique parcelle sur le plan Bassac de 1869. Une des anciennes cartes postales montre la première reconstruction et agrandissement de l'hôtel qui s'effectue dans la deuxième moitié du 19e siècle.L'hôtel est encore agrandi vers 1890 sous la direction de la famille Rossignol qui rachète vers l'ouest les maisons voisines pour les démolir et construire à leur place l'aile ouest. Elle fait appel aux architectes nantais Georges Lafont et André Chauvet. En 1884, l'hôtel se dote d'un corps de bâtiment donnant sur la rue du Pot d'Etain. En témoigne l'élévation dressée par l'architecte Fraboulet réalisée partiellement ou transformée depuis. Au début du 20e siècle, les Rossignol décident de reconstruire l'aile est en suivant le modèle de l'aile ouest : cette reconstruction intervient avant 1910, car sur une carte postale ancienne, figure le nouveau corps de logis et l'entrée du garage de l'hôtel, sur laquelle prendra place en 1910 le cercle des officiers. L'hôtel est vendu en 1947 aux Brunel qui le conserve jusqu'en 1960, date à laquelle il est loti en appartements et en locaux commerciaux.
Auteur(s) du descriptif : Lainé Claire ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison
Maison isolée construite au milieu de la parcelle, orientée au sud, avec jardin environnant. De plan rectangulaire, elle est simple en profondeur et de type ternaire. Les encadrements des ouvertures sont granite. Trois lucarnes à pignon en bois éclairant le comble.Maison datée de 1895 par le cadastre numérisé. Bien qu'elle ne figure pas sur le plan Léchard de 1897, elle ne peut lui être que peu postérieure. Elle est alors construite en limite urbaine.
Auteur(s) du descriptif : Lainé Claire ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bulletin paroissial de Vannes - paroisse de Saint
août 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Vannes - paroisse de Saint
juin 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Vannes - paroisse de Saint
avril 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Vannes - paroisse de Saint
avril 1914. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Vannes - paroisse de Saint
décembre 1914. 20ème siècle

Par : Gallica

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Maison
Cette maison, parce qu'elle possède un rez de chaussée surélevé, est en décalage avec les immeubles voisins. Sur la place Jean XXIII, c'est la seule qui ne soit pas une maison d'angle. Au dessus de la porte d'entrée une niche conserve une statuette en plâtre du Sacré-Coeur.Cette maison n'apparaît pas sur le plan Bassac de 1898. Le terrain non bâti appartient à la veuve Boucher sur le plan du lotissement daté de 1875. Son garage remplace vers 1950, une ancienne ouverture du rez de chaussée.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison
Maison édifiée sur une grande parcelle, en alignement sur la rue. Elle est de type ternaire, à travées avec un étage carré. Les ouvertures du rez-de-chaussée et la corniche sont en pierre de taille de granite tandis que celles du premier étage sont en ciment.Maison construite au début du siècle dernier dans l'emprise du lotissement. Les ouvertures différentes de l'étage laissent supposer une surélévation de la maison peu de temps après sa construction.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Lainé Claire

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maisons jumelles
Maisons construites en retrait de la rue, sur jardin postérieur et parcelle d'angle. Maisons à plan à avancée à pignon sur rue. Elles présentent des rez-de-chaussées surélevés bâtis sur sous-sol comprenant garages et sont surmontées d'un étage carré. Elles sont enduites et présentent toutes les deux en fronton du pignon un décor de mosaïque cassée.Maisons construites en 1935 selon le cadastre numérisé, dans l'emprise du lotissement Gy créé en 1931. Elles ont fait l'objet de modifications comme le garage du n°28 transformé en pièce à vivre.
Auteur(s) du descriptif : Lainé Claire ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Air de flûte (51)

Par : Dastum

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Colloque conte

Par : Dastum

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Vannes - non renseigné
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Par : Dastum

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Air de flûte (94)

Par : Dastum

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Vannes : Fêtes d'Arvor, le défilé, reines du Faouë

Par : Dastum

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Remerciements du Capitaine Goering
Sur la demande du Maréchal Goering, une cérémonie présidée par son neveu le Capitaine Goering est organisée à Vannes en l'honneur de deux morbihannaises qui ont sauvé quatre aviateurs allemands de la mort.

Par : INA

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La plaque des émigrés à Vannes

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Le conservatoire de musique

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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