Croix et calvaires de Bretagne

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Don de Martha Lindner
Calvaire de Comfort près de Douarnenez

Par : Archives municipales de Sa

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Croix de Santé
Plan d'alignement de la Croix de Santé

Par : Archives municipales de Sa

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Don de Martha Lindner
Calvaire breton

Par : Archives municipales de Sa

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calvaire au bord d’un chemin

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Plessé - Calvaire
CALVAIRE, socle brique

Par : Dastum

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La Ferrière - Clocher / Calvaire / Accolade
CLOCHER + CALVAIRE, embase avec accolades

Par : Dastum

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Christ en croix
La croix semble être plus récente.
Auteur(s) du descriptif : Menant Marie-Dominique

Par : L'inventaire du patrimoine

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Kroazioù Plougastell [Les croix de Plougastel]
Lucien Cras, eus Plogastell-Daoulas, a sav renabl ar c'hroazioù e kaver war ar gumun ha kont mojenn Kroaz ar vosenn ouzh mikro Daniel Jekel. [Au micro de Daniel Jequel, Lucien Cras, de Plougastel-Daoulas, évoque les nombreuses croix érigées sur la commune et raconte la légende de "la croix de la peste".]

Par : INA

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Fin 1944 au Calvaire...
Fin 1944 au Calvaire, R. Cartier et Raymonde, Guy Julienne et Jacqueline, Jean-Michel, Yves Cartier et Annette, Jean-Philippe, Brigitte et Christine ; 1948, Tennis à Trébeurden ; 1949, Trébeurden et Bréhat ; 1954 Guingamp, 6, rue A.Le Braz, 23 mai à l'occasion de la 1ère communion privée de Martine Julienne ; Martine à des difficultés avec sa bicyclette.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Plantation de la croix de la mission de Vannes

Par : Gallica

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Brest négatives. , Chapelle Saint Philibert (calva
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Petit séminaire de Pont-Croix : distribution solen
Petit séminaire de Pont-Croix : distribution solennelle des prix, présidée par Mgr l'Evêque de Quimper et de Léon le 3 août 1880

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Visite des cimetières avec Mamé
Visite de trois cimetière en compagnie de Mamé qui donne, en voix off, des détails sur les personnes de sa famille enterrées dans ces cimetières. Mamé en manteau d’hiver et bonnet gris pousse la grille d’un cimetière et se rend sur la tombe de la famille Gasnier – Doisneau. Elle dispose des tulipes et des oeillets dans un pot en verre, elle s’arrête devant la tombe insolite d’un ferblantier, elle referme la porte du cimetière et s’éloigne, une canne blanche à la main. Mamé visite un second cimetière. Panneau en bois indiquant les horaires de fermeture du cimetière. Allée bordée d’immenses cyprès, tombes et croix catholiques, arrêt de Mamé devant le monument funéraire de la famille Fraysse qu’elle fleurit, église du village au loin (à identifier). Mamé quitte le cimetière. Rivière, façade maison bourgeoise, Mamé sort de la maison et coupe des fleurs avec un sécateur puis marche sur un chemin bucolique tout en racontant (en voix off) sa rencontre magique avec un écureuil. Visite du troisième cimetière surplombant la rivière, différentes tombes et croix, Mamé arrange un beau bouquet de fleurs sur la tombe de la famille Neyral – Fraysse, vieilles tombes abandonnées, tombes joliment fleuries, tombe de Camille Fraysse, reflets d’une croix en ferronnerie et de franches d’arbre sur le marbre de la tombe, tombes avec cœurs émaillés et inscriptions anciennes, croix rongée par le temps. Mamé referme le portail du cimetière et s’éloigne.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Brest négatives. , La Croix de Guilliguy : [photog
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Vivre en Bretagne - de Jean V à la Duchesse Anne
La mer, le sel, le vin. La terre. Les métiers de la ville. Des échanges à échelle modeste, mais une expansion marquée. La masse des paysans, une abondante petite noblesse, une aristocratie très puissante. Autant de notes concrètes, quotidiennes, que le film ordonne et insère dans une culture –exclusivement en breton pour la moitié de la population- dominée par la religion, par la très grande importance de la vie paroissiale, le culte des saints, les pèlerinages. L’Eglise y enseigne par l’image, celle des calvaires comme à Tronoën, celle des jubés comme à Saint-Fiacre du Faouët, celle des fresques comme à la chapelle de Kermaria en Plouha. Danse macabre, crainte de l’Enfer… La Bretagne du XVe siècle est celle de l’éclat de la puissance ducale (qu’a présentée un premier film, l’Etat breton de Jean V à la Duchesse Anne), celle d’une réelle prospérité économique, celle d’une paisible religion quotidienne, mais aussi une Bretagne de misère, de souffrance et de peurs.

Par : L'aire d'u

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secret de l'huitre (Le)
PLEURTUIT REVUE UN PEU DE TOUT A L 'ECRAN Différents petits films d'Emile Gaudu en 1925, mélange images "Pathé": film publicitaire pour le dentifrice Botot, Pan et une nymphe, le calvaire de Plougastel, et images Gaudu : Gaudu avec ses amis en permission, la mère de Gaudu, des jeunes femmes prenant le thé, une sortie au garage, une scénette fictionnée avec son chien ou bien Gaudu écrivant sur le film Le roi de Camargue. "Le secret de l'huître", film publicitaire d'animation. Le roi a mal aux dents. CARTON Après 8 jours et 8 nuits d'un voyage sous marin, Botot arrive chez la reine des huitres. "Prends ma plus jolie perle." Puis retour auprès du roi : "Sire pour bien digérer il faut avoir de bonnes dents. Pour cela employez toujours les dentifrices de votre serviteur Botot." Slogan final : Botot, le seul dentifrice approuvé par l'académie de médecine. Gros plan sur les visages des trois amis lors d'une permission. (Bachi Jean Bart) Une femme court dans un chemin avec son chien, puis elle est de face avec 2 chats dans ses bras, un homme s'approche, ils rient, elle lui pose un chat sur l'épaule. Scène de bassecour. Puis dans le clapier avec trois lapins blancs. Visite au garage. Une mère et un enfant devant la pompe à essence. Pathé pro: Histoire de Pan et de la nymphe en décor extérieur, avec scène de danse au bord d'un lac. Scène de thé, "Five o'clock tea" : trois jeunes femmes de bonne famille, s'installent autour d'une table, l'une d'elle a une canne à la main, elles portent toutes un chapeau cloche, mode années 30. Elles rient, offrent leur profil, sans leurs chapeaux.Croquent dans une galette. La mère de Gaudu avec une blouse de ménage et dans un médaillon blanc, prenant le frais au balcon. CARTON : "Vers la réalisation d'un programme de cinéma. Emile Gaudu passera à l'écran le film tiré de l'excellent roman de J. Aicard, Le roi de Camargue, mis en scène par M. André Hugon. En quelques lignes, voici le résumé..." Gaudu écrit toute l'intrigue du film, puis regarde les photos des acteurs. Vue Pathé teintée de Plougastel, avec son calvaire typique. CARTON Tante Jeanne. Une petite dame âgée sourit à la caméra. CARTON: La mort de Lulu. Solidement ligoté par les pattes, le chien est tué de 8 balles, puis le revolver se retourne contre le tireur.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Franck II Louise aux Rencontres Trans Musicales de
Instinct Paradise Lorsque la première vague hip hop submerge la France au début des années 80, Franck Il Louise est encore adolescent. Immédiatement, il se plonge dans ce monde nouveau. Il apprend à danser, rencontre Afrika Bambaata, part à New York et, surtout, crée le premier groupe de breakdance d'ici, Paris City Breakers. La mode passe mais le jeune homme continue de vivre sa passion au jour le jour. Il s'initie à la technique de Di, se met à la musique. Aujourd'hui, il compose pour les compagnies de danse les plus prestigieuses de l'Hexagone, comme Kâfig (Récital) ou AktueI Force, alors qu'il reste un chorégraphe de croix, travaillant sur maints films publicitaires ou événements spécifiques. Avec Instinct Paradise, il crée sa première pièce chorégraphique, qui met en scène trois danseurs. Inspirée par la science-fiction des années 70, cette création pose le problème de l'identité - de son affirmation plutôt - dans un univers où tout semble dépersonnalisé, aussi bien dans le microcosme du rap que dans la société actuelle. À l'instar des œuvres kafkaïennes, Instinct Paradise montre du doigt cette absurdité et, surtout, prône la connaissance de soi, étape essentielle pour connaître l'ivresse de la liberté universelle.

Par : Association Trans Musicale

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Ancien manoir, Kericuff (Pommerit-Jaudy)
Grande ferme concertée composée d'un logis et de dépendances disposées autour d'une cour, au nord. Un jardin clos de mur, avec portail d'accès en pierre, est aménagé au sud du logis. Celui-ci présente un plan double en profondeur, à double orientation nord-sud avec élévation à cinq travées. Deux pavillons latéraux couverts d'un toit à croupe encadrent le logis construit en pierre de taille de schiste avec encadrements de baies et chaîne d'angle en granite. Le vestibule d'entrée est entièrement lambrissé, il dessert le salon et la salle à manger, situés en vis à vis, ainsi que la cuisine qu'isole un sas de séparation dans l'axe de la porte d'entrée. L'escalier tournant en charpente dessert les chambres de l'étage.Au nord-est de la ferme principale est établie une ferme secondaire avec logis, étables et grange en alignement. Ces deux sites, séparés l'un de l'autre par une cinquantaine de mètres, correspondent, respectivement, au périmètre de l'ancien manoir et à celui de sa métairie noble dont il subsiste le logis englobé dans des nouvelles dépendances agricoles plus tardives. Cette ancienne métairie à étage, contemporaine du manoir disparu, est du type dit logis à fonctions multiples superposées : l'édifice abrite sous le même toit la salle surmontée d'une chambre à feu et l'étable surmontée du grenier. Située dans l'angle nord-est de l'édifice, la tour d'escalier permettait d'accéder à l'étage à partir de la salle. Autrefois dévolu au battage, l'espace situé devant la remise agricole à piliers de granite, est enclos d'un muret afin de le séparer la cour de ferme dévolue aux animaux. Le fief des Kerguenech de Kericuff est cité en 1500 lors du mariage d'Olivier Nicolas et de Marguerite Le Carzer, héritière du domaine par sa mère. Jehan de Kerguenech est le premier du nom connu, maître de navire vivant à Plouguiel en 1481.La vente du domaine de Kericuff a lieu en 1792 au profit de son fermier, Philippe Le Fichant, pendant l'exil à Jersey de ses propriétaires, Claude Hyacinthe et Marie-Renée de Kerguenech. L'inventaire du manoir réalisé en 1792 au moment de sa vente nous apprend que le manoir était assez important, comprenant trois salles, chambre, cuisine au rez-de-chaussée et quatre chambres à l'étage. Le manoir de Kericuff est détruit au milieu du 19e siècle comme en témoignent le cadastre ancien daté 1835, sur lequel figure encore l'édifice, et la date 1857 portée sur la charpente du nouveau logis construit à proximité immédiate du manoir. C'est une des filles Le Fichant, Marie-Guillemette, et son mari Pierre-Marie Tigeon qui font construire ce nouveau logis à l'emplacement d'une grande dépendance édifiée perpendiculairement au manoir. De grandes étables, soues et granges sont construites autour du nouveau logis ainsi qu'un logis secondaire à une centaine de mètres au nord-est avec remise agricole datée 1855. Parmi les dépendances contemporaines du manoir disparu, subsistent plusieurs édifices et édicules datant de la seconde moitié du 16e siècle : la chapelle Saint-Joseph et son petit calvaire ; le colombier ; l'ancienne métairie à une centaine de mètres au nord-est du manoir.Le cadastre ancien figure deux routoirs à l'est du manoir.
Auteur(s) du descriptif : Tanguy-Schroër Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

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