L'alcool et la Bretagne

vignette
picto
Souvenirs de bistrot à Paimpol
A Paimpol, la "Cité des Islandais" où la pêche à la morue et le départ des hommes, chaque hiver, pour six mois, ont rythmé la vie entre 1852 et 1935, rencontre avec Jean-Paul Cadic. Il a grandit dans le bistrot que tenait sa mère, le café des caboteurs et nous raconte, ses souvenirs des conversations des marins et anciens capitaines.

Par : INA

vignette
picto
Franck II Louise aux Rencontres Trans Musicales de
Instinct Paradise Lorsque la première vague hip hop submerge la France au début des années 80, Franck Il Louise est encore adolescent. Immédiatement, il se plonge dans ce monde nouveau. Il apprend à danser, rencontre Afrika Bambaata, part à New York et, surtout, crée le premier groupe de breakdance d'ici, Paris City Breakers. La mode passe mais le jeune homme continue de vivre sa passion au jour le jour. Il s'initie à la technique de Di, se met à la musique. Aujourd'hui, il compose pour les compagnies de danse les plus prestigieuses de l'Hexagone, comme Kâfig (Récital) ou AktueI Force, alors qu'il reste un chorégraphe de croix, travaillant sur maints films publicitaires ou événements spécifiques. Avec Instinct Paradise, il crée sa première pièce chorégraphique, qui met en scène trois danseurs. Inspirée par la science-fiction des années 70, cette création pose le problème de l'identité - de son affirmation plutôt - dans un univers où tout semble dépersonnalisé, aussi bien dans le microcosme du rap que dans la société actuelle. À l'instar des œuvres kafkaïennes, Instinct Paradise montre du doigt cette absurdité et, surtout, prône la connaissance de soi, étape essentielle pour connaître l'ivresse de la liberté universelle.

Par : Association Trans Musicale

vignette
picto
De l'usage immodéré de l'alcool et de ses résultat

Par : Gallica

vignette
picto
Jeudi soir dimanche matin
En une génération, l’alcool est devenu le moyen d’une défonce radicale pour une partie de la jeunesse. Dans le Grand Ouest « 60% des jeunes de 17 ans disent avoir consommé en une fois plus de cinq verres le mois précédent ». L’alcool comme un commutateur « off », abolit la réalité. Mais quel est ce réel dont il faut tourner le bouton ? Durant un an, une année cruciale pour ces jeunes, ils se sont filmés lors de ces soirées festives qui commencent le jeudi soir pour s’achever le dimanche matin. Puis, régulièrement, ils se sont retrouvés dans des ateliers audiovisuels sous le regard du réalisateur Philippe Lubliner pour exprimer leur rapport à l’alcool, mais aussi à leur environnement, famille et amis... Récits de l’intérieur d’une jeunesse par elle-même, ce documentaire propose une expérience partagée et dirigée. Une histoire de découverte et de rencontre avec soi-même.

Par : Bretagne et diversité

vignette
picto
A la gauche du père
" Chaque soir, je voyais mon père monter la rue en titubant. Il est mort, il y a 18 ans, des suites de son alcoolisme. Depuis, je cours après un fantôme. J’ai demandé à ma famille de m’aider à lui redonner chair pour m’en libérer. " (Nathalie Marcault).

Par : Bretagne et diversité

vignette
picto
Paysan de Scaër (Finistère)
Scaër.- Portrait d'un homme vêtu du costume traditionnel (veste, sabots, bragou-braz et guêtres). A l'arrière-plan, un coffre en bois sculpté sur lequel se trouvent deux bouteilles d'alcool, un pichet et des bolées.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

vignette
picto
Paysan de Scaër (Finistère)
Scaër.- Portrait d'un homme vêtu du costume traditionnel (veste, sabots, bragou-braz et guêtres). A l'arrière-plan, un coffre en bois sculpté sur lequel se trouvent deux bouteilles d'alcool, un pichet et des bolées.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

vignette
picto
Villages de Provence
En train sur la côte ; Monaco (port), pigeons ; villages alentours ; promenade et rues pittoresques ; chargement d'un âne, rues ; En train ; château, bâtisses, détails du mobilier urbain (lampadaires...) ; petite route ; un potier, gestes et pots ; train, "Fin" ; séquence guitare : les enfants, premier verre d'alcool ; Jean-Pierre et Françoise chantent (Françoise joue de la guitare) ; Communion : procession dans les rues, paysages de Bretagne (NB) ; promenade en pleine nature, tourbière, cours d'eau

Par : Cinémathèque de Bretagne

vignette
picto
Distillerie Société des Alcools du Vexin, actuelle
Ensemble situé à proximité du chemin de fer, essentiellement composé de bâtiments construits, à l'origine en briques, mais aujourd'hui entièrement recouverts d'enduit et d'un essentage de tôle ; ils sont surmontés de toits à longs pans en matériau synthétique. L'ancien bureau, en rez-de-chaussée, bâti en parpaings de béton, est couvert de tuiles mécaniques. Deux bâtiments se distinguent par leur architecture plus soignée. Le premier, ancien magasin industriel à alcool, est rythmé, sur chacune de ses façades, par sept travées de baies à arc surbaissé dont certaines sont aveugles. Il s'élève sur un étage carré et un étage de comble, est construit en grès et surmonté d'un toit à longs pans. Le deuxième bâtiment est le logis patronal, situé légèrement à l'écart de l'usine. Il est construit en granite, à un étage carré et un étage de comble couvert d'un toit en pavillon brisé en ardoises, percé de trois lucarnes en façade et d'un oeil-de-boeuf. Le logement de contremaître, situé sur le site de l'usine, construit en grès, compte un étage de comble couvert d'un toit à longs pans en tuiles mécaniques.Distillerie créée autour de 1920 par M. Dikansky. En 1929, elle devient la Société des Alcools du Vexin. Son activité principale concerne alors la distillerie de pommes et de betteraves, et la fabrication de concentré de jus de pommes ; une forcerie d'endives constitue son activité annexe. Toutefois, l'usine distille également du blé en vue de la production de whisky et de vodka. En 1971, la surface de forçage des endives représente 30 000 m2 et la production s'élève à 450 t par campagne. La distillerie a cessé son activité en 1981. Aujourd'hui le site est occupé par la société d'alimentation Arômes de Bretagne. En 1971, la distillerie utilise trois chaudières Veillet-Lescur ainsi que trois machines à vapeur d'une puissance totale de 350 ch.En 1971, elle emploie soixante-dix personnes.
Auteur(s) du descriptif : Gasnier Marina

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Propos sur les remèdes des bêtes et des gens (café
Sont détaillés : du café pour réchauffer les vaches, avec une bonne goutte dedans -– le romarin, contre les indigestions des personnes et des bêtes –- les rameaux, en fonction des gens, parfois du romarin –- l'ail pour le coeur, pour les personnes, et les vers des enfants. Pour le coeur on macérait dans l'alcool. Récolte d'ail sacrée.

Par : Dastum

vignette
picto
Buez sant Theodot
Vie de saint Théodore, patron des aubergistes, par le P. Jean-Marie Guillou (1830-1887), recteur de Penmarc'h L'ouvrage fut publié trois fois, en 1871, 1913 et 1922. Dans la dernière édition on peut lire : "« Le récit de M. Guillou est lui-même, d’ailleurs, une véritable œuvre d’art. Un zèle ardent et louable contre l’alcool en inspira l’idée au recteur de Penmarc’h. Saint Théodore était aubergiste et mourut martyr de sa foi au pays des Galates — des Celtes authentiques, dit-on —, au cours de la persécution déchainée par Dioclétien. Beau cadre pour insérer quelques leçons à l’adresse des buveurs et des membres de l’intéressante corporation dont S. Théodore est le patron. » Semaine religieuse de Quimper, 16 mars 1923."

Par : Diocèse de Quimper et Léon

vignette
picto
Buveur
Sujet représenté : portrait (homme ; table ; cruche ; verre ; ivresse ; pipe ; bonnet) - N° d'inventaire : 102

Par : Musée d'Art et d'Histoire

vignette
picto
Buveuse
Sujet représenté : portrait (femme ; table ; cruche ; verre ; ivresse ; vin ; coiffe) - N° d'inventaire : 106

Par : Musée d'Art et d'Histoire

vignette
picto
Distillerie de L'Hermitage Savidan et Cie, puis Di
Site desservi par embranchement ferroviaire. L'ensemble des bâtiments liés à la production et au stockage est construit en parpaings de béton et en béton armé : ils sont couverts de toits à longs pans, de terrasses et d'appentis en matériau synthétique. Cheminée d'usine en briques. Le logement de contremaître est en rez-de-chaussée enduit et est surmonté d'un toit à longs pans en ardoises.GASNIER Marina (1998)“Le site est composé de plusieurs bâtiments. Il ne reste en 2017 qu’une partie des aménagements d’après-guerre à savoir un ancien transformateur, trois grands hangars désaffectés, la cuverie où sont encore présentes les cuves en béton, l’ancienne tour de distillation, la maison du gardien, les garages, le magasin aux alcools, les bassins. Les bâtiments se répondent afin de faciliter la circulation entre les espaces de distillation et les entrepôts. La maison du gardien se trouve à l’est, à l’entrée du site. Les entrepôts industriels ainsi que l’ancien magasin sont de plan rectangulaire avec des toits en longs pans. Les ossatures sont en métal et boulonnées.Les couvertures sont en tôle ondulée en fibro-ciment. Certains pans ont été remplacés par de la tôle ondulée galvanisée par le Service Départemental des Incendies. L’ensemble des bâtiments sont construits en béton armé, en ciment, en parpaing de ciment et en brique. L’ancien bâtiment servant comme cuverie - distillerie conserve encore huit cuves en ciment à l’air libre et six enterrées. Une ancienne pancarte est conservée : “Défense Absolue de descendre dans les cuves sans passer au fond une bougie Allumée…”. Trois cuves rivetées sont conservées en intérieur (deux rondes et une carrée). On retrouve un four à charbon dans l’ancien bâtiment “Distillerie” avec de part et d’autre deux fours en brique avec une armature métallique reliés par un conduit riveté en métal circulaire rotatif. Sur l’une des portes du four on retrouve l'inscription “Ets G. Vernon”.La tour de distillerie est de forme rectangulaire et s’élève sur trois niveaux d’élévation. Le premier étage carré est prolongé par un toit-terrasse où se trouvent encore deux conduits de cheminée circulaires anciennement reliés à deux chaudières rivetées enlevées par le Service Départemental des Incendies pour cause d’insalubrité en 2006.À l’extérieur on retrouve les cuves circulaires rivetées. La grande cheminée en brique située à l’Est du site a été désasemblée par le Service Départemental des Incendies pour cause d’instabilité en juin 2006. Elle culminait à 26 mètres de hauteur avec un socle formé de briques croisées à mi-hauteur et une deuxième partie en briques simples sur une dizaine de mètres.” de ROQUEFEUIL Cécile, 2017Distillerie constituée le 15 juin 1923 sous la forme d'une société en commandite au capital de 200 000 f et formée entre L. et J. Savidan, E. Gazagne et E. Lemoigne. Inscrite sous la raison sociale Distillerie de l'Hermitage Savidan et Cie, son exploitation semble antérieure. La société en commandite est dissoute en 1926. C'est en 1929 que l'établissement est racheté et devient Les Distilleries Réunies de Bretagne et de Normandie. Elle subit alors de nombreuses transformations. En 1971, l'usine traite 19 000 t de pommes par an. La distillerie cesse son activité autour de 1990. Ses bâtiments sont aujourd'hui utilisés comme centre d'entraînement par les sapeurs-pompiers.Deux chaudières à vapeur sont encore en place dont une a été épargnée par les exercices des sapeurs-pompiers. Il s'agit d'une chaudière Veillet-Lescur, semi-tubulaire à deux bouilleurs et à tubes de fumée, vraisemblablement datée des années 1910 (source orale).En 1971, la distillerie emploie dix sédentaires et quarante saisonniers.GASNIER Marina (1998) “La construction des bâtiments principaux débute en 1925 mais l’entreprise Savidan et Cie est dissoute en 1926 et rachetée en 1929 par Henri Leblanc. La distillerie devient par la suite “Les distilleries réunies de Bretagne et de Normandie Henrie Leblanc” composées en 1944 de plusieurs usines : La Madone (Puteaux), Cormeilles (Eure), Brécey (Manche), Orval (Manche). Le siège social se situe alors à Paris dans le 8e arrondissement. En 1980, elle change à nouveau de propriétaire et de nom puisqu'elle devient une filiale de la Société des Cidreries Distilleries Réunies appartenant au groupe Pernod Ricard. La distillerie de L’Hermitage accueille alors une nouvelle activité : l’entrepôt des jus de fruit Pampryl. L’usine a pour destination première la production de cidre. En effet, l’exploitation des pommiers est très répandue au début du XXe siècle dans la région. L’arrivée du chemin de fer sur la commune en 1863 dynamise la population et influe sur la création de la laiterie en 1911. Un embranchement ferroviaire est créé afin d’alimenter directement le site.L’implantation de la distillerie est également une aubaine pour la région, grande productrice de vergers. Elle commence par assurer la production d’alcool d'Etat à base de pommes. La compétitivité de l’alcool de synthèse et de betterave est telle, que la distillerie s’adapte et varie sa production en proposant la fabrication d’alcool et eau-de-vie de pommes, de poires et cidres ainsi que la production de marc sec. Le site de près de 14 000 m2 comporte un ensemble de bâtiments. Lors de la Seconde Guerre mondiale, le site est gravement atteint. Le dossier de demande de réparation au Commissariat à la Reconstitution permet d’établir un état des lieux des bâtiments avant et après les bombardements des 14-15 et 27 juin 1944 et les multiples mitraillades de mai, juin et juillet 1944. Vingt-sept bâtiments construits entre 1922 et 1929 sont recensés. Le site compte alors des bâtiments délégués au commerce et au transport comme la bascule et les bureaux ; des bâtiments techniques comme le bâtiment des pompes, le générateur, les garages, les ateliers, le transformateur, le magasin pour les pièces de rechange, la buanderie et d’autres attribués à la transformation du cidre comme les distilleries, la cuverie, la cidrerie, le magasin aux alcools et séchoirs, le magasin aux marcs secs ou encore le caveau. La distillerie comprend également des habitations dont une pour le directeur, une pour le gardien et des dortoirs pour les ouvriers. Des bassins sont présents à l’extrémité sud du site. La distillerie ferme définitivement ses portes en 1989. Elle est rachetée en 1996 par le Service Départemental des Incendies et devient un centre d'entraînement pour les sapeurs-pompiers du département. Le site subit plusieurs transformations pour devenir un plateau technique afin de convenir au mieux aux exercices des pompiers. Il n’y a plus d’électricité dans les bâtiments. L’ensemble des bâtiments est répertorié à l’inventaire du patrimoine Général Industriel en 1998.”de ROQUEFEUIL Cécile (2017)
Auteur(s) du descriptif : Gasnier Marina ; de Roquefeuil Cécile

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
Les gens saouls

Par : Dastum

vignette
picto
Pêcher à Islande - Mythes et réalités de la pêche
L’expression des marins indique bien l’esprit de ce film : confronter le mythe et la réalité de la pêche à la morue. Le mythe, c’est celui qu’engendre l’incroyable succès de Pêcheur d’Islande de Pierre Loti en 1886, et celui de La Paimpolaise de Théodore Botrel en 1895. La réalité, c’est celle d’une activité économique ancienne : la pêche à Terre-Neuve commence vers 1500 et concerne des ports de toute la Bretagne, Saint-Malo en tête. L’épopée islandaise, de 1852 à 1935, est avant tout l’affaire des Paimpolais. Le film, tourné en partie à Paimpol, propose aussi, pour la première fois, des images des traces de la présence des Bretons en Islande, dans des villages et des paysages d’une magnifique austérité. Il utilise également des images tournées au début du siècle, et des photographies totalement inédites retrouvées en Islande, qui suscitent une émotion parfois poignante. Se dégagent ainsi les rapports complexes entre l’argent, la peine des hommes, l’alcool qui l’allège, et l’incroyable courage d’hommes dignes, en dernière analyse, de créer le mythe. Grand prix « Léon Gaumont » – Festival du film de chercheur – CNRS NANCY, 1997

Par : L'aire d'u

vignette
picto
Al lapin a c'haloup bepred (Le lapin court tou
Trois ans aprèsMon lapin bleu , Yvonne, tenancière d'un bistrot de campagne a cessé son activité à 80 ans et et vit toujours sur place. Yvonne a beaucoup de visites, comme aujourd'hui celle de Yann, le romancier bigouden. C'est en breton, qu'ils conversent. Et c'est seulement en breton, sa langue maternelle, qu'Yvonne peut aujourd'hui se confier...

Par : Bretagne et diversité

vignette
picto
Partie de Campagne - Portraits de quartier
« Partie de campagne » parle du quartier Saint-Martin, un morceau de campagne au milieu de la ville, un quartier de plus en plus vétuste qui se meurt. Rencontre avec un survivant qui a reprit l’affaire familiale.  A l’époque, le quartier Saint-Martin était un ancien jardin ouvrier, où tout le monde se connaissait, c’était un petit village. Aujourd’hui, sans point d’accès pour l’eau potable, et avec la fermeture progressive des commerces et bistrots, les habitant partent et le quartier se meurt. Pourtant, certains ont décidé de rester et nous raconte le passé de ce lieu qui a un jour regorgé de vie.

Par : L'aire d'u

vignette
picto
Powersolo aux Rencontres Trans Musicales de Rennes
Entre 1996 et 1998, le danois Kim «Kix» Jeppesen enregistre une cinquantaine de chansons, armé d'une guitare déglinguée, de maracas faites à la main, d'une boîte à rythmes et d'un micro en plastique. Inspiré par ses maîtres Johnny Cash, Bo Diddley, Link Wray et les Cramps, il s'amuse à mélanger rockabilly, country, blues, surf music et punk rock. PowerSolo est alors un one-man band taré qui ne joue que devant des auditoires aussi saouls que lui... Avec l'arrivée d'un batteur et d'un guitariste, le groupe devient un duo, puis un trio, et livre deux albums en 2001 et 2004 dans une veine toujours psychobilly. Leur musique s'appuie sur des textes à l'humour d'une rare immaturité, notamment centrés sur des fantasmes sexuels puérils mais tellement rock'n'roll !

Par : Association Trans Musicale

vignette
picto
ankou viendra ce soir (L')
CCPC (Club Cinéma et photo de Châteaubriant) présente un film de Jean Marsac. Adaptation en costume d'une légende bretonne. Un grand-père et un enfant se promènent dans un chemin et l'homme commence à raconter une histoire. Sous le règne de Louis XIV, une femme est acquittée du meurtre de son mari (vues du tribunal de Châteaubriant, au château de Chateaubriant). La foule l'insulte et lui prédit que l'Ankou passera la prendre bientôt. Le facteur passe et lui apporte la nouvelle suivante "l'an 1702, Madame comformément à nos accords, je viendrais vous chercher ce soir". la femme ne s'avoue pas vaincue, fait son ménage et attend l'Ankou. L'Ankou arrive sur un chariot, et la femme le saoule à l'eau de vie. L'Ankou repart ivre; Mais la femme s'assoids près du feu et est terrassée par une crise cardiaque.

Par : Cinémathèque de Bretagne

vignette
picto
Tanbouliner N°01
- Le carnaval de Sizun Un carnaval sur les contes de fée, une belle façon de faire plaisir aux enfants, aux parents, aux grand-mères. - Le cheval dans les Monts d'Arrée A Saint-Rivoal on faisait naître les poulains, pas à Saint-Cadou... La place des chevaux dans les petites fermes des Monts d'Arrée. - Les six heures de Sizun... c'est quand ? Que faire le week end ? Y'a pas de ciné mais y'a le moto cross. - Fermeture d'un bistrot à Saint-Cadou Les petits commerces ferment... Il est bien difficile de garder des lieux de vie dans des campagnes qui se dépeuplent. - Les petites annonces Allo l'ANPE, je cherche du boulot Un portique pour l'école Une petite caravane Un camping car Une friteuse pour le comité des fêtes

Par : Cinémathèque de Bretagne

vignette
picto
Compagnie Zahrat Top 9 aux Rencontres Trans Musica
Depuis Zahrbat, son premier solo, Brahim Bouchelaghem développe un travail de chorégraphe et d’auteur. Sa danse ouverte au monde se nourrit de réflexions, de souvenirs et d’échanges. C’est à Saint-Pétersbourg que naît une rencontre sensible mais aussi culturelle et artistique entre Brahim Bouchelaghem et les champions du monde russes du “Battle of the year 2008”, les Top 9. Le chorégraphe les embarque dans son univers poétique. Ensemble, ils partiront à la recherche de l’expression sensible, de l’émotion juste. Il a demandé à chacun de raconter une histoire intime, des souvenirs personnels. Il interroge avec eux les instants cruciaux des choix passés, qu’ils aient été anodins ou déterminants. Des images de vies défilent : de l’ivresse à la préparation quasi mystique d’un battle. Ils apprennent ainsi à transmettre ces émotions pures, parfois avec un simple regard, émaillées d’un profond silence. “Une métamorphose artistique pour ceux qui le connaissent”, confie Brahim Bouchelaghem dont le défi est d’aider les danseurs à tracer le chemin jusqu’à eux-mêmes. Chorégraphie Brahim Bouchelaghem • Interprétation Top 9, Stanislav Vaytekhnovich, Konstantin Eliseytsev, Les Tchan, Dimitro (Flying Buddha), Maxim Chakhov (Sims), Dimitry Brogov (Rezkiy), Dimitry Kolokolnikov (Kamar), Alexey Bonlgokov (Robin), Anton Savtchenko (Tony Rock), Brahim Bouchelaghem • Musique originale Aleksi Aubry Carlson • Musique additionnelle René Aubry • Lumières Philippe Chambion • Scénographie Brahim Bouchelaghem • Réalisation Pierre Briant • Vidéo Pierre Briant • Manifestation organisée dans le cadre des années croisées France-Russie 2010.

Par : Association Trans Musicale

vignette
picto
Bateaux lavoirs...
Séjour en Bretagne. Une régate sur la côte, partie de basket sur la plage au ralenti. Des bateaux-lavoirs, peut-être à Rennes, le Canal d'Ille-et-Rance. A Rennes, le Château branlant. Paysage de campagne, pêche et canoë probablement sur la Vilaine. Une église sans flèche, ses bas-reliefs puis une tour. Promenade dans les rochers. Vue d'un château puis de militaires sortant de l'hôpital militaire. Deux femmes et un enfant se rapprochent du cinéaste. Un chef de gare. M. et Mme Anger devant la caméra. Un château, des paysages de montagne. Une femme feuillette un magazine, jeu de dés. Une gare. Portrait du chien. Vue du clocher de l'église Saint-Martin d'Acigné. La buvette de la gare : deux hommes en sortent et feignent l'ivresse, puis sur un banc s'agitent. Au marché, de nombreuses femmes en coiffe de Pont-Aven. Des femmes en coiffe embarquent sur une barque. Rue de Pont-Aven, des lavandières font leur lessive. Effet de vagues et essai de fondu. Vue de goémoniers ramassant les algues en contre-jour. Vue du phare de la Vieille à la pointe du Raz. Les vagues sur la plage, et vue de bateaux dans un port. Promenade en forêt, chutes d'eau. Un grand bâtiment dans une ville. Baignade en maillot de bain en mer. Marché couvert et passage de cyclistes roulant à faible allure pendant le Tour de France.

Par : Cinémathèque de Bretagne

vignette
picto
Richesses de l'océan
Richesses de l'océan 1952/N&B/sonore/format d'origine film 16 mm/documentaire /Réalisatrice : Claudine Lenoir Présentation de tous les métiers de la mer sur la côte sud de Bretagne : pêche à la sardine, pêche au thon, ostréiculture, chantiers navals, plaisance. Le film comporte de très belles séquences de travail en mer. Tempête, mer déchaînée. Alignements de Carnac et basilique de Saint-Anne d'Auray. Les pêcheurs prennent la mer et installent les filets de pêche. Sur une petite barque, des pêcheurs remontent un filet. Un chalutier remonte également un filet rempli de poissons et le vide à bord. Les pêcheurs préparent les poissons. Au port de Concarneau, à peine les bateaux amarrés, une foule s'en approche afin d'acheter le poisson frais, tout juste pêché. La marchandise est ensuite conduite à la criée du Guilvinec où elle sera vendue et acheminée vers les villes. Les thoniers vident aussi leurs cales, et les thons sont débarqués un à un puis rangés. Les pêcheurs déjeunent dans un bistrot, c'est la cotriade. Le vin qui accompagne le repas se boit à la bouteille. A la Trinité, description du travail des ostréiculteurs : préparation des bouquets de tuiles sur lesquels vont s'accrocher les naissains d'huitres et se développer, récupération de ces naissains et mise en sac pour la vente internationale ou être semés dans les parcs à huitres en Bretagne afin d'y atteindre leur maturité et pouvoir être dégustées. Sur les chantiers navals, des ouvriers construisent et réparent des bateaux. D'autres préfèrent le plaisir de la navigation en mer, sur des bateaux à voile.

Par : Cinémathèque de Bretagne

vignette
picto
Train de 15h47 (Le)
Film humoristique tourné à Vigneux de Bretagne en 1957 Il est 10h15 en gare désaffectée de Vigneux de Bretagne (avec des bruits de train en marche) ; sur la voie ferrée, la végétation a depuis longtemps envahie les voies (chant d'oiseaux). M Prosper nourrit son coq et ses poules avec du grain (mais son tablier est troué et le grain qu'il distribue avec une grande cuillère s'échappe par le trou). M Prosper ancien chef de gare entend des bruits de chemin de fer mais la gare est toujours désaffectée. Deux farceurs rencontrent le facteur Sébastien à vélo (un facteur à la Tati) ; le trio met au point une blague. Les deux farceurs parlent avec les personnes au bourg, à la sortie du café notamment, et annoncent la réouverture de la ligne sur Vigneux. M Prosper regarde ses oeufs et le facteur lui donne une lettre (M Prosper met ses œufs dans la poche de son tablier mais qui étant troué les œufs tombent par terre et se cassent). Le courrier annonce le rétablissement de la ligne et la venue à 15h47 d'un train. M Prosper en est tout remué et tombe par terre, se relève (il porte des sabots de bois). Le facteur rit. Il n'y a plus une minute à perdre et M Prosper doit tout nettoyer; il débarrasse le foin, dérouille les aiguillages, sort les plantes qu'il pose sur une barrière, les arrose, les épouse avec un plumeau, astique les rails avec des patins, débroussaille la voie. 15h10, M Prosper repeint les caractères des enseignes à l'intérieur de la gare avec une échelle (en descendant il met un pied dans le seau par terre et se met de la peinture sur le visage). Les premiers clients arrivent et M Prosper part se nettoyer et mettre son costume de chef de gare; il accueille les premières dames avec des paniers, un homme qui transporte un sac de grain sur une brouette, une demoiselle, une mère de famille et son fils. Le chef de gare dans la cabine de vente des billets met la tête dehors et le rideau lui tombe dessus. Les deux farceurs et le facteurs observent le spectacle. le facteur arrive avec un sac de courrier (en fait rempli de foin). M Prosper vend les billets. 15h20, les clients sur le quai, une dame tricote, M Prosper vend pain et journaux. 15h45, le chef de gare se met en place et les clients le suivent en cortège. Un enfant s'amuse sur la voie et le chef de gare le sauve en enlevant sa veste comme s'il allait se jeter à la mer. une dame donne le biberon à un bébé dans un panier. Un enfant joue avec une locomotive miniature. Le chef de gare ne sait de quelle direction viendra le train. Mais le train n'arrive toujours pas. Le facteur caché se saoule et finit une bouteille de vin tout en riant. M Prosper est bien embarrassé, les clients s'impatientent. M Prosper téléphone (le facteur coupe la ligne) à la gare centrale qui le prend pour un farfelu. La foule s'impatiente, et le chef de gare déclare à la foule que le train viendra à la saint Saint Glin Glin ; il se met à courir et la foule lui court après (les hommes s'arrêtent pour uriner, le chef de gare se heurte de face à une demoiselle; le chef de gare se retrouve avec le chapeau de la demoiselle sur la tête et son parapluie, alors que la demoiselle à terre à le chapeau de M Prosper). Le facteur donne un coup de sifflet et dit à la foule que c'était une bonne farce. Les deux farceurs sont à leur tour poursuivis. Gros plan sur enfant. panneau "arrêt terminus".

Par : Cinémathèque de Bretagne

Afficher le widget sur mon site Voir tous les documents
X

Afficher le widget sur mon site

Vous pouvez afficher le ce widget sur votre site en insérant le code suivant :

<iframe src="https://www.breizhapp.net/widgetbretania/index.php?set=wgt_Alcoolisme"></iframe>

Vous pouvez également voir la liste de tous les widgets à l'adresse suivante Liste des widgets