Patrimoine culturel de Plouha

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Plouha ; calvaire près de Plouha ; route de Kermar

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Croix
Croix tombale de type Hernot ornée d'un Christ en croix. Le fût est écôté et le Christ est surmonté d'un phylactère portant l'inscription INRI.Croix tombale de l'atelier Hernot de Lannion datant de la fin du 19ème siècle ou du début du 20ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Outil agricole : concasseur mécanique
Concasseur à grains d'un poids approximatif de 130 kg, mû à bras, mais pouvant aussi fonctionner avec un manège de chevaux, un moteur électrique, thermique ou à pétrole, entraînant une poulie, qui fait tourner une meule mobile (en pierre piquée ou en fonte) sur une meule fixe, dans une caisse en bois. Le châssis est entièrement en bois. La trémie de forme carrée, qui reçoit le grain à moudre, mesure 68 cm sur sa partie supérieure.Ce concasseur à grains domestique, pour l'aliment des bêtes, utilisé dans les fermes, sous l'appellation "moulin de ferme", est daté de la 1ère moitié du 20ème siècle, modèle 1950. Il était fabriqué par d'Yprès à Bailleul dans le Nord de la France. Cet outil agricole a été restauré par l'association de Plouha "Vieux métiers, vieux outils". Les premiers concasseurs mécaniques sont apparus vers 1880-1890. Ils ont révolutionné le circuit traditionnel du grain puisqu'ils rompaient la relation entre le paysan et le meunier. Suivant le mode d'animation retenu, le rendement pouvait varier de 80 à 200 kg de grain concassé par heure. Les derniers modèles de machine offraient même la possibilité d'avoir une bluterie incorporée au châssis, d'un rendement de 60 kg de farine par heure.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison
Maison et dépendances construites en moellons de granite et schiste. Elle associe sous le même toit deux logis jumelés symétriques à pièce unique au rez-de-chaussée et à baie surnuméraire latérale. Elle est flanquée d'une dépendance composée de deux étages (à droite).Maison et dépendances datant de la 2ème moitié du 19ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison
Maison de style régionaliste à deux corps en équerre et à pignon en façade construite en moellons de grès, granite et schiste. Elle est composée d'un sous-sol semi-enterré, d'un rez-de-chaussée surélevé et d'un étage de comble. La porte d'entrée est abritée sous un porche dans-oeuvre à colonne semi-cylindrique. La façade antérieure est appareillée de moellons de grès rose équarris.Maison datant du 2ème quart du 20ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Moulin à farine du Harnio, puis scierie, actuellem
Le moulin du Harnio, de plan rectangulaire, comporte un rez-de-chaussée et un étage carré. Il est couvert par un toit à longs pans en ardoise. Sur sa façade antérieure, on trouve à l'étage trois ouvertures rectangulaires à arc surbaissé avec un encadrement de briques, alors qu'au rez-de-chaussée la porte rectangulaire avec encadrement en pierre de taille en granite est flanquée de deux fenêtres rectangulaires avec un encadrement alternant briques et pierre de taille en granit. Sur la façade postérieure, toutes les ouvertures ont un encadrement en briques. Sur son pignon est s'appuie le logement patronal, composé d'un rez-de-chaussée et un comble à surcroît, légèrement plus bas que le moulin. Au nord est du site, un hangar en parpaing de béton couvert en tôle avec une charpente métallique supportant un toit à longs pans, servait à stocker le bois.L'exploitation du moulin du Harnio a cessé dans les années 1960, alors qu'il était transformé en scierie. Il abrite actuellement un logement.Présence d'une turbine hydraulique.
Auteur(s) du descriptif : Cucarull Jérôme

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison 2
Maison haute mitoyenne à pièce unique au rez-de-chaussée construite en moellons de granite et schiste. Elle présente une petite baie au rez-de-chaussée près de la fenêtre et comprend une dépendance latérale basse à droite.Maison datant de la 2ème moitié du 19ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison
Maison haute mitoyenne de plan massé, à pièce unique au rez-de-chaussée, construite en moellons de granite et de schiste. Elle est flanquée d'une dépendance basse à pièce unique dont l'encadrement des baies est appareillé en brique et granite. Cette dépendance est également flanquée d'une autre dépendance couverte d'un toit en appentis.Maison et dépendance datant de la fin du 19ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison 2
Maison mitoyenne de type ternaire construite en moellons de granite et schiste. Elle présente un jour de chaque côté au rez-de-chaussée.Maison construite en 1807 (porte la date).
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison
Maison haute de plan rectangulaire simple en profondeur, à deux pièces au rez-de-chaussée et à deux portes d'entrée jumelées, construite en grès.Maison datant de la fin du 19ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Port de Port-Moguer
La baie du Moguer, encore appelée "Port Bernard"sur les plans datés de la 2ème moitié du 19ème siècle, est située à l'ouest de la baie de Saint-Brieuc, au fond de l'anse de Kersalic. Elle offre une anse ouverte au vent de nord-est, agitée par le ressac, sur une longueur de 79 m et une largeur de 40 m. Port-Moguer est abrité au nord-ouest par un mur ou une jetée insubmersible de 54 m de long et de 3, 70 m de largeur (non compris un double parapet de 2 m de hauteur et de largeur). La crête du parapet est à la cote 12 m, au niveau des plus hautes marées d'équinoxe. Une cale inclinée à l'amont a été accolée à la face sud de la jetée - elle est horizontale à l'aval - (large de 3 m). La baie est fermée au sud-est par un amas de roches, découvrantes à chaque marée. La baie communique avec le large par un passage étroit de 15 m, dont le fond se trouve à 8 m en contrebas au niveau des plus hautes mers de vive-eau.Descriptif du premier quai construit sur un roc schisteux en 1841 : d'une longueur intérieure de 52 m, la construction est en moellons smillés pour le parement (moellons de Carruhel) et pour les arêtes, et en moellons brut (moellons de Bréhat) pour le pavage (transportés par gabarre de Bréhat). L'arête supérieure de la cale de débarquement, du côté du port, formait un arc de cercle de 135 m de rayon. La seconde jetée, construite en 1846, faisait 54 m de long. Le parement suivait une inclinaison au 20ème avec une pente uniforme de 1 cm par mètre. Les parements du mur de la jetée sont en pierres de taille hourdées au mortier de chaux hydraulique ; la plateforme de la jetée et de la cale est pavée (sources : AD 22, S Art. 175).La baie du Morguer (appelé Moguer aujourd'hui), encore appelée "Port Bernard"sur les plans datés de la 2ème moitié du 20ème siècle, est située à l'ouest de la baie de Saint-Brieuc et offre une anse ouverte au vent de nord-est, agitée par le ressac. Le Port-Morguer est formé au sud et à l'ouest par la terre ; au nord se trouve un grand rocher que l'on a joint au continent par une jetée construite en 1841. La passe d'entrée est à l'est-nord-est. La largeur de l'anse est faible. La construction du premier quai fut réalisée en 1841 par l'entreprise Drillet, aux frais de Louis Bernard, député d'Ille-et-Vilaine et avocat général au siège de Rennes. Une cale de débarquement avec un parapet fut ajoutée en 1846, dessinée par l'ingénieur Fessard des Ponts-et-Chaussées. Aucune amélioration ne fut apportée à cet ouvrage et au port Morguer, malgré la demande renouvelée de la commune : demande d'enlèvement des rochers à babord en entrant et construction d'une nouvelle digue abri à tribord, en 1858 puis en 1879.Selon la tradition orale, la digue et la cale de débarquement furent construits pour acheminer des pierres de construction provenant de l'abbaye de Beauport, afin d'édifier l'église paroissiale en 1872. Les vestiges de ces murs se trouvent aujourd'hui représentées par les arcades, situées à l'entrée du camping de Keravel, à la Trinité, ancienne propriété du marquis de la Trinité.Selon la tradition orale, les anciennes grottes creusées dans la falaise entre Port-Moguer et Gwin Zégal auraient servi au temps des Chouans pour signaler l'approche d'un bateau (feu) ou pou servir d'abri aux contre-révolutionnaires. Au-dessus de Port-Moguer, se dresse une colonne blanche évidée en demi-cercle, appelée par les marins, "la chandelle". Cette tourelle d'une hauteur de 25 m est un "amer" terrestre, utilisé pour la navigation, comme repère en alignement avec d'autres amers à terre ou en mer. Le dernier pêcheur professionnel du port fut Pierre Le Rolland. Au cours du 3ème quart du 20ème siècle, le maire Alain Le Guen eut le projet de réaliser un port en eau profonde à Port Moguer, afin de répondre aux besoins de la plaisance qui se développait ; cependant, malgré l'élaboration d'une pré-étude, le projet fut abandonné.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Plouha (Cotes du Nord) : Fetes de la Saint Pierre,

Par : Dastum

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Plouha (C.du N.) : Kermaria en Isquit, interieur d

Par : Dastum

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Kermaria Nisquit : Les apotres (XIIIe siecle)

Par : Dastum

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Plouha (C.du N.) : Keregal, le pardon

Par : Dastum

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Mona Ozouf : les bibliothèques de Plouha (1931-196
Jean Maurice de Montremy interroge Mona Ozouf sur son enfance à Plouha. Elle racontes on enfermement dans l'école laïque où elle vivait entre sa mère, institutrice et veuve à 29 ans, et sa grand-mère et d'où elle ne sortait presque jamais : "une enfance confinée". Elle parle du décès de son père lorsqu'elle avait 4 ans, de la personnalité inclassable de ce régionaliste militant d'extrême gauche. Elle souligne le contraste entre les deux bibliothèques auxquelles elle avait accès : celle de la maison où les traductions des grandes œuvres en breton voisinaient avec la littérature folklorique et les héros de l'indépendance irlandaise, et celle de l'école, républicaine et hexagonale. Mona Ozouf évoque aussi le catéchisme et l'église, puis son arrivée au collège de Saint Brieuc, sa rencontre avec l'écrivain Louis Guilloux qui lui a servi de "débarbouillage" intellectuel...

Par : INA

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Plouha ; chapelle de Kermaria an Isquit ; saints p

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Plouha ; chapelle de Kermaria an Isquit ; intérieu

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Plouha ; chapelle de Kermaria an Isquit ; maître a

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Plouha ; chapelle de Kermaria an Isquit ; danse ma

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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