Le patrimoine de la baie de Saint-Brieuc

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Maison, 7 rue de la Bourgade (Saint-Quay-Portrieux
Maison de type ternaire à double orientation construite en moellons de granite et schiste laissés apparents. Elle est composée d'un sous-sol partiellement enterré, d'un rez-de-chaussée très surélevé, d'un étage carré et d'un étage de comble éclairé à l'avant par deux lucarnes-pignon. L'entrée est desservie par un escalier en maçonnerie.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ensemble de deux turbines hydrauliques
Ensemble de deux turbines Francis à axe vertical entraînant deux génératrices asynchrones. Le groupe 1 a un débit de 3,8 m3 par seconde pour une puissance brute de 1 200 kW, le groupe 2 a un débit de 1,5 m3 par seconde pour une puissance brute de 300 kW.Les turbines ont été mises en fonctionnement en 1983. Elles ont été fabriquées par l'entreprise Jeumont-Schneider de Champagne-sur-Seine (77).
Auteur(s) du descriptif : Cucarull Jérôme

Par : L'inventaire du patrimoine

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Salines d'Hillion
Les grèves et salines d'HillionLes salines d'Hillion et de Dahouët sont l'oeuvre de la duchesse de Mercoeur vers le 1er quart du 17e siècle (à partir de 1607), qui fit venir des paludiers du Poitou afin d'y construire des chaussées et aires de mares à faire sel aux grèves d'Hillion joignant le sillon de Saint-Jean (AD 22, E. 251). Ces salines furent rapidement afféagées par la seigneurie de Lamballe, comme le suggère la toponymie du plan de 1785.Dans cette partie des grèves, les afféagements représentent les redevances dues aux receveurs de la châtellenie du Penthièvre pour les salines, les terres cultivables ainsi que les marais. Les premières rentes sur les salines du comte de Penthièvre doivent dater du 11e siècle.Dans le domaine des terres à vocation purement agricole, la notion de grève peut évoquer ces terres situées en limite des marais, très riches en sédiments marins, actuellement propices aux cultures maraîchères. Les descriptions de ce type de terres sont très fréquentes dans les aveux.La ligne de rivage de l'ancien estran devait inclure le cordon de galets primitif des "Graviers", aujourd'hui dispersé et mêlé à l'argile et aux sédiments marins pour former un champ cultivé, protégé des inondations par l'ancienne digue de 1823. En fait, les sauniers ont commencé à aménager des levées de terre bien avant les agriculteurs pour aménager les marais salants : parcelle des Graviers (n° 2657), appelée "village des Graviers des salines d'Hillion" (AD 22, E. 258, aveu de 1555). Cette parcelle dépendant de la métairie de Jernugen (seigneurie des Marais).Une autre parcelle dénommée "la motte des sablons" ou "sablons" fut baillée en 1681 à la famille Pluart de Pinsoizon (Pissoison), comme marais, vasières et salines. Cette parcelle est toujours cultivée par les exploitants de la ferme de Pissoison.La seigneurie des Marais fut plus tard vers 1730 afféagée pour le compte de Florian Chappedelaine, qui repris ensuite la partie des salines dans les marais d'Hillion, considérée comme de mouvance noble. Au sud de ces salines et délimités par le charroi menant du pont Samson (ancienne voie de Saint-Brieuc à Langueux et Hillion, souvent empruntée par les gens de Langueux qui venaient enlever du sablon et de la marne) au village de Sous le Gué, se trouvaient les marais que la mer recouvrait dans les marées de "nouvelle et pleines lunes", joignant les métairies du Clos Goblet et du Marais, aux rivières de Saint-Jean et d'Yffiniac, et se perdant dans la filière et à la digue des héritiers du Sieur Chapedelaine (AD 22, E. 513-252).En 1785, les dessèchements devaient être très avancés sur ces paroisses riveraines des marais. Les sauniers affirment : Dans les coins que la mer semble abandonner, nous obtenons la permission d'élever des digues et ce n'est pas ce qui nous attache le moins à nos villages.Les sauniers des salines pratiquaient aussi l´agriculture en alternance saisonnière avec leur industrie. Ainsi, à côté des grèves, la proximité des champagnes, bien exposées et certainement « fumées » par des engrais marins reflète l´importance de la champagne de Mondehun comprise entre les villages de Licellion et des Grèves, et surtout celle dénommée « Sur les Salines », bordée par le sentier d´Yffiniac à Hillion et le chemin du Gué aux Aubiers (actuellement cadastrée D3, 580 à 626). Sur le cadastre de 1812, la rivière le Camois sépare la partie maritime des grèves d'Hillion des villages des polders : le Gué plat, les Murais et le Grèves.Les salines d'Hillion se trouvaient dans les marais (morées), situés à l'ouest des Aubiers. La plaine ou plateau dominant ces marais s'appelle "Sur les salines" ou "sous les salines". Le village des Salines est situé dans le fond des grèves et marais d'Hillion, identifié sous l'Ancien régime au village Hautbert, associé et baillé aux titres des seigneuries de Lesmelleuc et de Carbien (AD 22, E. 264.b et E. 485). Le plan parcellaire tracé à la veille de la révolution ("Sous les Salines" dans le Terrier du Penthièvre de 1785) révèle l'étendue de l'industrie du sel dans les grèves d'Hillion sous la féodalité : parcelles 2805 à 2842. A la fin de cette époque, il ne restait plus que deux familles de sauniers sur cette zone ; ce qui trahit un réel déclin, causé en partie par la concurrence des salins de la côte atlantique, l'envasement de la baie et les débuts de poldérisation des marais à des fins agricoles. En 1816, Habasque relevait seulement 2 salines pour Hillion (famille Le Maréchal), 7 à Yffiniac et 29 salines à Langueux. Les nouvelles lois sur le sel sous l'Empire allaient grever d'impôts une industrie déjà concurrencée par le sel blanc atlantique. De plus les salines, salins et marais salants étaient redevables de la contribution foncière. Le déclin de l'industrie du sel allait s'accompagner d'une reconquête de l'Etat sur ces rivages, que certains habitants de grèves s´étaient appropriés, sans limites bien précises, faisant payer les agriculteurs pour les amendements prélevés.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Grotte "La Houle Margot", La Banche (Binic)
La "Houle Margot" est une cavité creusée par la main de l'homme dans la falaise dite des Bernains, en face de la Banche. Cette grotte reçoit les eaux pluviales de la falaise. Actuellement, la falaise de la Banche, subit un phénomène d'érosion à la marine et pluviale.La "Houle Margot" a fait l'objet de récits légendaires, qui rappelle que cette grotte de contrebandier, aurait été creusée par la main de l'homme au cours des siècles précédents. Plus prosaïquement, la "Houle Margot" aurait été creusée serait une galerie minière, creusée à une date inconnue. La fée des houles est une autre version allégorique de ces cavités nombreuses dans les falaises de la côte du Goëlo et du Penthièvre, qui abriteraient des fées plus ou moins magnanimes. Les contes de Sébillot racontent ces histoires de fée des houles.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison, la Banche, 24 boulevard Clemenceau (Binic)
Maison mitoyenne construite en moellons de granite et schiste. Ajourée de trois travées de baies à l'avant, dont deux sont jumelées à droite, elle est composée d'un rez-de-chaussée comprenant probablement une grande pièce et d'un étage carré. Porte d'entrée à gauche et corniche en bois à l'avant.Maison datant probablement du 3ème quart du 19ème siècle.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bateau de plaisance : "Gros Léon"
Le navire de plaisance "Gros Léon" est un bateau ponté, construit à franc bord, avec une forte quête d'étambot. La coque est bordé en pitchpin sur membrures en chêne. Les formes sont très frégattés avec un bouchain dur. Le bateau est gréé en cotre aurique, avec bout-dehors, pour le foc, trinquette bomée, mât de flèche. Le pont est latté en teck et dispose de larges passavants. La cabine est volumineuse. Il est équipé d'un moteur Nanni 21 cv Diesel.Le navire de plaisance "Gros Léon" a été construit en 1922 en Angleterre (chantier inconnu). Il aurait connu plusieurs propriétaires et fut racheté en 1996 à Paimpol. Selon le témoignage de l'actuel propriétaire, ce bateau était à l'origine un bateau de travail, certainement armé à la pêche.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Là-haut là-bas de sur ces landes...

Par : Dastum

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Air de mazurka

Par : Dastum

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Machine à mouler par frittage (machine à noyauter)
Cette machine sert à fabriquer des noyaux en sable cuit de type Cronning. Cela permet d'obtenir des noyaux de grande qualité et de grande précision utilisés pour la fabrication de pièces particulières comme les patins de char ou les godets.Cette machine est toujours en service.
Auteur(s) du descriptif : Cucarull Jérôme

Par : L'inventaire du patrimoine

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Rue Cordière
Plan d'alignement de la rue Cordière

Par : Archives municipales de Sa

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Lycée Curie
Lycée Curie, le dortoir, côté lavabo

Par : Archives municipales de Sa

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Fête du centenaire de la révolution de 1848
Programme. Dessin du griffon en couleurs

Par : Archives municipales de Sa

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Lotissement de la Ville Audry
Plan des lots du lotissement avec l'implantation des maisons dans chaque parcelle. Indication de la surface de chaque parcelle. Lotissement situé entre la section C n°804 et n°810 et le lotissement de la Roche Gautier.

Par : Archives municipales de Sa

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Maison d'habitation des Frères des Ecoles chrétien
Projet de reconstruction

Par : Archives municipales de Sa

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Gare : plan général voies et bâtiments
Gare : détaillé d'ensemble de toutes les structures de la gare. Lignes Paris-Brest du viaduc de Gouédic (boulevard National) au pont en ciment (chemin de Saint-Brieuc à Saint-Donan). Modifications prévues indiquées : empierrements, pavages, murs, clôtures. Indications pour bâtiments, quai, bureaux, ateliers, hangars et la passerelle. Tracé de la ligne du chemin de fer départemental, boulevard Charner. Imprimé couleur.

Par : Archives municipales de Sa

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Saint-Brieuc (sans précision) - Niche
NICHE à Vierge PH cintr. Culot allong. Moul

Par : Dastum

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L'usine du Joint français à Saint Brieuc
Le Joint français s'agrandit et s'implante à Saint Brieuc. Malgré quelques inconvénients, ce site offre de nombreux avantages, notamment la main d'œuvre et le cadre de vie. Visite de l'usine et présentation des techniques de fabrication des joints.

Par : INA

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A Saint-Brieuc, grève à l'usine du Joint Français
Le Bureau départemental des Côtes-du-Nord vient d'être évacué par les forces de l'ordre. Les grévistes du Joint Français y retenaient depuis 24 heures trois représentants de la direction de l'entreprise. M. Mondrey (CFDT), M. Argenton (Bureau de la main d'oeuvre) et M. Fourt (direction) expriment leur point de vue sur le conflit.

Par : INA

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Souvenirs d'enfance de Louis Guilloux
Roger Grenier s'entretient avec l'écrivain Louis Guilloux : Saint-Brieuc, sa ville natale ; ses parents, son enfance ; son livre "le pain des rêves" ; ses études ; l'humiliation des boursiers ; son goût pour la lecture dès son plus jeune âge ; le théâtre, le chant choral...

Par : INA

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Le sacristain

Par : Dastum

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Polka

Par : Dastum

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Maison, 18 rue Guillou de Mezillis (Etables-sur-Me
Maison mitoyenne construite en moellons de granite et schiste. Elle est composée d'un rez-de-chaussée à pièce unique et d'un étage carré.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison, 15 rue Guillou de Mezillis (Etables-sur-Me
Maison de type ternaire à double orientation construite en moellons de granite et schiste. Elle comprend une aile latérale basse couverte d'un toit à croupe. Elle ouverte d'une porte à l'arrière desservie par un escalier en maçonnerie. Eléments de décor : ferronnerie, lucarnes-pignon.
Auteur(s) du descriptif : Pichouron Patrick

Par : L'inventaire du patrimoine

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Vies d'ouvrières
Il y a dix ans, paraissant "le voyage à Paimpol", qui racontait l'histoire de Maryvonne, ouvrière de Saint Brieuc qui, un jour d'extrême lassitude, fait une fugue et se paye le voyage en autocar pour Paimpol. Dix ans après, l'auteure du roman, elle même ancienne ouvrière, Dorothée Letessier a fait le voyage en autocar entre Saint Brieuc et Paimpol. Entretiens et montage d'entretiens avec Dorothée Letessier, ses anciens collègues d'usine de Chaffoteaux, revues après dix ans d'absence : le travail à l'usine, le manque d'alternative surtout pour les femmes, l'évolution professionnelle de certains collègues

Par : INA

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L'industrialisation de la Bretagne
Région traditionnellement agricole, la Bretagne débute son industrialisation en 1960. La priorité est dès lors mise sur l'électronique. Des industries automobiles et chimiques vont également s'implanter. Plus de 15 000 emplois vont être ainsi créés.

Par : INA

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